AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Corinne Naa (21)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Quand on s'appelle Simone

Pas facile aujourd’hui de s’appeler Simone Molière quand on est une petite fille, quand bien même c’est le prénom de sa grand-mère adorée ! Et encore, s’il n’y avait que ça… Avec deux parents policiers, Simone se trouve être une enfant introvertie et solitaire. Elle observe avec curiosité les excentricités de Gino, son père, un grand rouquin baraqué, obsédé par la sécurité et qui collectionne les couteaux, qu’il nomme affectueusement Alain, Bernard et René. Et puis il y a Gisèle, sa mère, férue de culturisme et dont la musculature ne se prête pas vraiment aux câlins… Heureusement, pour les câlins, Simone peut compter sur sa grand-mère, une femme de caractère qui ne mâche pas ses mots mais qui sait faire preuve d’une grande tendresse.







Cependant, malgré l’affection qu’elle porte à sa famille, Simone sait qu’elle doit partir si elle ne veut pas étouffer. Mais la vie ne va pas être tendre avec la jeune femme… Après un mariage raté, elle va trouver l’amour dans les bras d’un fermier endetté et se construire peu à peu, mais le bonheur et fragile et le destin parfois cruel…







En commençant cette lecture, je m’attendais à lire le récit d’une enfance et, à vrai dire, c’est une idée qui me plaisait bien au vu de la famille atypique et complètement névrosée formée par les Molière ! La première partie du roman (qui en comporte cinq) est un pur régal de fantaisie et d’humour, qu’on aimerait faire durer plus longtemps tant elle est plaisante. Non pas que la suite soit moins bonne, au contraire, mais Simone va grandir et connaître des préoccupations beaucoup moins légères. La douleur et le chagrin vont venir frapper de plein fouet cette héroïne ordinaire et attachante. Heureusement, les épisodes truculents sont toujours présents et viennent apporter une note de fraîcheur et d’humour bienvenus ! Corinne Naa force avec talent le trait de ses personnages, elle les incarne et les anime, les rendant attachants ou détestables à souhait ! Le ton est vif, percutant et grinçant. Elle aborde avec beaucoup d’habilité des sujets de société des plus actuels tels que le culte de l’image, la précarité dans les campagnes ou encore la déshumanisation des rapports entre employés et manager dans les grandes entreprises. Un roman étonnant, plein de tendresse et de cruauté, qui m’a complètement séduite !
Commenter  J’apprécie          340
Quand on s'appelle Simone

Tout d’abord je remercie l’opération « masse critique » de Babelio et l’éditeur « la grande ourse » de m’avoir permis de découvrir ce roman et cette auteure.



Le bonheur est notre quête à tous et celle de Simone en particulier …

Une enfance heureuse entre des parents flics relativement absents (un père collectionneur de couteaux, une mère championne de body building) et une grand-mère qui joue la mère au foyer. Fan de Janis Joplin, Simone essaye de faire partager sa passion à tout son entourage. Adolescente, notre Simone découvre LE secret de sa grand-mère (Simone elle aussi … ) et en sera toute sa vie perturbée. Après un mariage raté, elle trouve l’amour « dans le pré » et découvre les difficultés de la profession d’agricultrice.

Mais voilà, le malheur fait aussi partie de la vie et notre Simone y sera confrontée. Certes elle peut être considérée comme un modèle de résilience mais les dérapages laissent des traces … sur Simone, car son entourage s’en sort plutôt bien.

Une narration efficace au féminin par une femme mais qui n’est pas sans rappeler le ton de Gilles Legardinier (« et soudain tout change » lui aussi très efficace quand il parle au féminin). Les milieux où évolue Simone sont finement observés, le lecteur peut facilement s’y retrouver. Les personnages sont attachants.Beaucoup d’humour surtout dans la première partie de ces 180 pages qui se lisent d’une traite. Je décernerais une mention particulière pour la rencontre improbable de Simone et de l’homme de sa vie …. Un peu de gravité et de douleur ensuite et en fin de roman, la souffrance et un dénouement assez inattendu. La critique du monde du travail et de la grande distribution est corrosive et la description des personnages, jubilatoire.

Vous l’aurez compris, j’ai aimé cette aventure décalée. J’ai aussi découvert une auteure née en 1966 et qui signe là son 4ème ouvrage (après « sur le dos d’un papillon » en 2002, « appartement 913 » en 2003 et « dans l’impasse » en 2006). Saluons sa performance et souhaitons-lui de pouvoir rapidement en faire son activité professionnelle à temps plein.

Commenter  J’apprécie          180
Un banc de libre dans votre vie

Marie-Mercredi a 40 ans, divorcée, sans enfant, d’où son divorce et pour seule passion le cinéma mais le cinéma d’auteurs.



Ancienne vice-championne de natation synchronisée elle a grandi entre une mère bigote, un père aveugle aux souffrances de sa fille et un entraineur rigoureux. Puis le mariage où elle a tenté de se conformer aux standards en vigueur ! Bref, jamais elle-même, en phase avec ses aspirations, ses peurs et ses espoirs.



Un soir elle sort faire les courses peu de temps avant la fermeture du supermarché. Dans sa précipitation elle avale le jeton du caddie qui se coince dans sa trachée ! Elle étouffe, quelqu’un vient l’aider et ni une ni deux elle se retrouve dans une fourgonnette, kidnappée par 2 frères qui viennent de braquer un fourgon !



Sauvetage et kidnapping n’étaient pas au menu du braquage ! 3 personnalités contraires et un peu barges vont se confronter et être mises à nu devant le vide de leurs vies.



Avec un langage riche, fleuri et imagé, les jeux de mots s’enchaînant parfois trop rapidement, Corinne Naa n’empêche pas le désespoir d’affleurer à la surface des images ! Les personnages sont touchants et attachants mais Marie-Mercredi sera la seule à sortir vainqueur de ce kidnapping qui a tourné à la quête d’identité !



Un roman pas mal déjanté malgré tout qui se déroule sans temps morts et avec beaucoup plus de profondeur et de sensibilité qu’il ne le laissait paraître au premier abord !



#Unbancdelibredansvotrevie #NetGalleyFrance #librinova



CHALLENGE RIQUIQUI 2020
Commenter  J’apprécie          140
J'ai ouvert  votre lettre...

J'ai été un peu déçue par cette lecture car l'histoire ne correspondait pas vraiment à ce que j'attendais. L'idée que je m'en étais faite à partir de la quatrième de couverture était toute autre, plus légère.



Les personnages m'ont paru trop bavards et je me suis vite ennuyée à suivre leurs considérations trop philosophiques à mon goût. J'exagère un peu car ils évoquent aussi leur quotidien (en particulier leurs rapports avec leur famille respective) mais bizarrement cela m'a semblé rester très abstrait.



Le dénouement m'a aussi semblé excessif après les atermoiements qui ont précédé : difficile d'y croire… Dommage.
Lien : http://lecturesdestephanie.b..
Commenter  J’apprécie          120
Sur le dos, un papillon

Un roman noir où les personnages s’ébrouent avec vigueur, ils veulent sortir du désespoir, tous connaissent des peurs incessantes. Ces peurs les freinent dans leurs élans, le pire les rattrape.



Elle, Betty l’héroïne est blessée à vie. Elle ne peut voir et sentir les évènements et les personnes qui l’entourent comme les autres. Elle provoque les traumas, son passé malheureux la rattrape, un secret partagé avec sa sœur terrorise sa vie.



Lui, Eddy approche la démence ses actes sont secs, sans états d’âmes. Un énorme et très beau papillon noir et violet orne son dos. L’insecte, un tatouage, a marqué les souvenir de Betty.

L’insecte et son propriétaire sortir ont-ils vivant de ce cauchemar ? L’entourage s’efforce de conjurer le sort mais il est déjà trop tard. Le style est vif, pure, net sans fioriture. Corinne Naa va à l’essentiel, elle nous entraîne. Il est difficile de ne pas se laisser happer, rapidement l’histoire s’écoule.

Haletant jusqu’au bout c’est un soulagement d’en finir.

Commenter  J’apprécie          110
J'ai ouvert  votre lettre...

A la suite d'une indiscrétion, Marguerite ouvre une lettre qui ne lui était pas destinée et s'engage dans un échange épistolaire suivi avec son auteur Archibald.. Tout sépare les deux protagonistes de ce roman épistolaire à la mode d'aujourd'hui, l'email ayant remplacé la traditionnelle lettre mais ni l'un ni l'autre ne souhaite rompre ce lien qui s'est tissé par hasard entre eux deux. C'est le début d'un long échange qui prend des allures de danse de salon, quand l'un s'approche top de l'intimité de son interlocuteur , ce dernier fait un pas en arrière ...

Ce pas de deux se poursuit au fil des mois , et nos deux personnages se dévoilent, se confient leurs doutes, leurs déceptions, mais aussi leurs joies avec leurs enfants, leurs passions ,la tauromachie ou la musique de Bach.

A travers la vie quotidienne qu'ils se racontent dans leurs échanges épistolaires, c'est bien une entreprise de séduction qui est menée , lentement mais sûrement et qui bien sûr, finira par être couronnée de succès.

J'ai trouvé l'idée de base , faire parler deux personnes que tout oppose à travers leurs courriels, très intéressante et je ne peux que regretter que l'auteur n'ait pas cru bon de différencier davantage les discours. En reprenant ma liseuse en cours de lecture, j'ai du quelque fois reculer d'une page pour savoir qui était en train de parler et cela m'a paru étrange tant les deux protagonistes ont des parcours et des sensibilités différentes. Ensuite il est vrai que leur vie quotidiennes respectives qu'ils se racontent inlassablement, ne m'a pas particulièrement passionnée et j'aurais apprécié que le roman fasse la place à une véritable intrigue susceptible de relever l'intérêt du lecteur . La langue employée est très belle et l'écriture élégante ce qui enrobe le texte d'une jolie petite musique, mais cela ne me parait décidément pas suffisant pour en faire un livre émouvant dont on se souvient longtemps.
Commenter  J’apprécie          70
Quand on s'appelle Simone

Simone est une jeune fille qui grandit entre des parents policiers et une grand mère qui ne lâche jamais ses mots. Son père vénère les couteaux et sa mère vit pour le culturisme. Simone tente tant bien que mal de faire sa place au sein de cette famille bancale...

Un roman dans lequel j'ai eu du mal à entrer, peut être parce qu'il n'est écrit qu'avec les mots de Simone. Une histoire pourtant touchante et des personnages émouvants.
Commenter  J’apprécie          60
Quand on s'appelle Simone

Pas mal, du talent, du rythme mais un peu monotone car monocorde.
Commenter  J’apprécie          30
Quand on s'appelle Simone

J'avais vu cette couverture dans la vaste liste proposée par Babelio dans le cadre du Masse Critique organisé en janvier, j'avais trouvé le titre amusant et le résumé intéressant, je me suis laissée tenter... et j'ai eu la chance de recevoir l'ouvrage chez moi quelques semaines plus tard.



Et j'ai beaucoup aimé ma lecture, autant vous le dire tout de suite ! Je ne connaissais pas du tout l'auteure et ne savait pas du tout à quoi m'attendre. Le résumé me laissait penser que j'allais suivre les pérégrinations d'une gamine de 11 ans prénommée Simone, mais au lieu de ça, c'est quasiment sa vie entière que l'on suit, que l'on découvre, que l'on apprend à connaître.



Le style de Corinne Naa peut paraître un peu étrange dans un premier temps, pourtant, on s'habitue vite à ces phrases saccadées, sèches, courtes, posées à la suite des unes des autres, comme des respirations. Le rythme imposé par l'auteure est haletant et pourtant, parfois, on sent une lassitude dans la vie du personnage.



L'histoire est vraiment prenante, on a envie de découvrir la suite, de rester auprès de Simone, de comprendre vraiment qui elle est et de la connaître. C'est un personnage touchant et émouvant, très réel dans sa fiction. J'ai aimé la découvrir et la suivre et j'aurais aimé continuer longtemps avec elle.



Je n'irai pourtant pas jusqu'au coup de cœur pour ce roman. C'est une réussite certes, mais pour autant, je n'ai pas eu ce pincement au cœur lorsque je suis arrivée à la dernière page... Toutefois, si vous en croisez la route, n'hésitez pas une seule seconde, ça vaut le détour !



Merci à Babelio et aux édition La Grande Ourse.
Lien : http://dernierepage.blogspot..
Commenter  J’apprécie          30
J'ai ouvert  votre lettre...

Dans j'ai ouvert votre lettre, nous faisons la connaissance de Marguerite. Celle-ci a trouvé une lettre qui ne lui était pas adressé et l'a gardée. Après plusieurs jours, plusieurs semaines, elle a l'a finalement ouverte. Suite à cela, elle a décidé d'écrire un mail à l'expéditeur de cette lettre, un certain Archibald.



Nous allons donc suivre tout au long de ce livre, les échanges par mail de Marguerite et d'Archibald. Si Archibald au départ est très fâché que Marguerite lui écrive, il va ensuite se tisser entre nos deux protagonistes un lien, au début très fragile, mais qui va se renforcer au fil des mails échangés.



J'ai ouvert votre lettre est un roman touchant, réunissant deux êtres seuls et endurcis par la vie. Chacun ayant son passé, ses soucis, ils vont ainsi se confier l'un à l'autre, directement ou pas.Alors bien sûr ne vous attendez pas à de l'action, il n'y en a pas. Le lecteur évolue au fil des mails échangés et des confidences. Plus on tourne les pages, et plus on a envie que Marguerite et Archibald passent au réel.



L'écriture et le style de Corinne Naa est très agréable à lire, et la présentation sous forme de mails fait que ce livre se lit vraiment très vite.

Il y a quelque chose de vraiment touchant à lire ces missives. Un peu de voyeurisme aussi, mais n'a t'on pas tous un jour souhaité pouvoir lire la correspondance des autres ?



Si vous souhaitez une lecture douce, touchante, parfois drôle, je vous conseille alors d'ouvrir ce livre et de vous plonger dans cette correspondance.



Je vous laisse avec deux citations que j'ai trouvé tellement réalistes :



"Notre époque me désespère. Autrefois, les amoureux s'accrochaient aux branches, ils se battaient pour préserver leur union. De nos jours, la paresse prédomine, on ne répare pas, on rachète."



" Quitter... Un verbe à qui le double t va si bien, un verbe qui me Terrorise, qui me Terrifie."
Lien : http://aubazaardeslivres.blo..
Commenter  J’apprécie          20
J'ai ouvert  votre lettre...

e livre est uniquement un échange épistolaire entre Marguerite et Archibald, cet échange n’aurai jamais dû exister mais le destin en a décidé autrement. Dans un élan d’audace, Marguerite décide d’envoyer un mail à l’expéditeur de cette lettre qui ne lui était pas destinée, à cet instant elle ignore qu’il ne s’agit que du premier d’une longue série.



Marguerite est une femme franche qui n’hésite pas à dire ce qu’elle pense, même si cela peut faire mal, elle travaille pour l’entreprise familiale et a 3 frères qui ne sont pas toujours tendre avec elle. Quinquagénaire drôle, bavarde, adepte des post-it et pleine de répartie, elle ressent un mal être et éprouve le besoin d’en parler, de se libéré de certains poids.

Archibald, flic et amateur de musique classique, est un homme bourru, blessant mais il devient très vite attachant. En apparence, ils n’ont que leur âge en commun, pourtant ils vont s’en découvrir bien plus qu’ils ne l’auraient jamais imaginé.



Les deux personnages sont attachants, attendrissant et rempli d’humanité. Mal dans leur peau tous les deux, leurs échanges les aident l’un comme l’autre à s’affirmer et à comprendre les erreurs qu’ils ont pu faire dans leur vie. Ils vont essayer de réparer ces erreurs grâce aux encouragements qu’ils se donnent mutuellement. Petit à petit ils apprennent à s’apprivoiser, après des passages plutôt tendu entre eux, ils deviennent de plus en plus intimes et se livrent sur leur vie privée avec beaucoup de pudeur et de sincérité.



Le style d’écriture est plaisant et comporte de très belles phrases, certaines formules sont poétiques, très bien écrite et nous poussent à la réflexion.

J’ai beaucoup aimé leurs « PS » de plus en plus personnel au fil de leurs échanges.



Même si ce livre est court, seulement 90 pages, l’auteur a réussi à me faire passer par des émotions différentes : la colère, l’étonnement, la tendresse mais aussi la tristesse.

La fin est celle que j’attendais même si j’aurais aimé en savoir un peu plus sur la suite des événements.

Au final, c’est une petite lecture simple et agréable.
Lien : https://labibliothequedeceli..
Commenter  J’apprécie          20
Quand on s'appelle Simone

J'ai découvert ce livre grâce à l'opération Masse Critique de Babelio et je les remercie.

En lisant la 4e de couverture et surtout le titre et le choix du prénom, je m'attendais à un livre à la tonalité légère sur la vie d'une jeune Simone dans un milieu qui ne lui correspond pas (une sorte de Matilda pour adulte en somme).

Au final, s'il y'a bien des moments drôles , c'est finalement une lecture plutôt grave sur la vie entière de Simone.

On y suis son parcours (pas tout à fait linéaire et légèrement chaotique) de son enfance esseulée à sa vie d'adulte dans le monde agricole.



Ce que j'ai le plus aimé, c'est le rythme de l'écriture de C.Naa qui fait qu'on n'a pas le temps de s'ennuyer. Les années de Simone défilent en quelques pages et celle-ci est décrite de manière attachante.



Un roman que je vous conseille



Commenter  J’apprécie          20
Quand on s'appelle Simone

Le récit fait que l'on est vite mis au parfum. Une certaine ambiance. un rythme haletant par des phrases courtes, des expressions rigolotes qui donnent du piquant pour suivre le parcours chaotique de Simone. Un personnage attachant. Tout un cocktail pour une

lecture très facile, du rythme et du suspens jusqu'à la dernière page.

A recommander et bravo.
Commenter  J’apprécie          20
Quand on s'appelle Simone

UN LIVRE A DECOUVRIR, un vrai chef d'œuvre d'originalité, un ton unique!
Commenter  J’apprécie          20
Quand on s'appelle Simone

Commenter  J’apprécie          20
Quand on s'appelle Simone

Joli roman, plein de bons mots... C'est l'histoire d'une vie, celle de Simone. Nous suivons ses histoires, de son enfance à l'âge adulte, et découvrons ses amours, ses blessures. Les phrases sont courtes, mais souvent belles, avec des comparaisons qui peuvent parfois faire sourire. J'ai beaucoup aimé ce livre... il sort du lot.
Commenter  J’apprécie          10
J'ai ouvert  votre lettre...

La couverture est représentative de l'histoire qui est épistolaire.

Le thème est intéressant : la rencontre à travers les lettres.

Cependant je n'ai pas accroché à l'histoire car elle manque de dynamlsme et de fil conducteur.
Commenter  J’apprécie          10
Quand on s'appelle Simone

Famille Molière particulière... Les parents sont flics, la mère est obsédée par le culturisme, le père collectionne les couteaux et la grand mère passe ses journées en cuisine et collectionne les secrets.

Au milieu Simone, fille paumée vivant au rythme de cette famille bancal.

Livre très rythmé, de nombreuses péripéties pour Simone qui essaye de trouver un sens à sa vie, on ne s'ennuie pas! Ma note aurait pu être 4 mais je n'ai pas adhérer du tout à la fin... A lire pour se faire sa propre idée!
Commenter  J’apprécie          10
Quand on s'appelle Simone

J'ai adoré suivre le parcours chaotique d'une Simone attachante parce que entière et maladroite.

On rit, on pleure, coilà un roman-émotion comme je les affectionne.

L'écriture est rythmée et pleine de poésie.

A savourer de toute urgence !!
Commenter  J’apprécie          10
Un banc de libre dans votre vie

Le commentaire de Nathalie :

Un petit bonheur découvert entre ces pages. J'ai voyagé dans un univers de mots, de langage fleuri, coloré et parfois même musical.

Marie-Mercredi est une femme de 40 ans pas très heureuse et nouvellement célibataire. Un jour de commission, elle s'étouffe avec un jeton. Ce qui aurait pu lui être fatal lui ouvrira plutôt les bras d'une nouvelle vie, même si celle-ci débute par un kidnapping. Durant ce rapt, elle décide de mettre à profit les événements. Au lieu de paniquer, elle appprend à lâcher prise, elle se retrouve intérieurement. C'est donc une nouvelle Marie-Mercredi que l'on découvrira à sa libération. Une nouvelle elle avec plus de sensibilité voire même de vulnérabilité face à la beauté qui l'entoure. Maintenant, elle croit son rêve de plus en plus accessible. Celui d'être heureuse, de surmonter le retour à la lumière, de rencontrer de nouvelles personnes, de reprendre contact avec des gens qu'elle avait laissés dans l'ombre.

On y découvre des personnages très touchants et attachants, mais Marie-Mercredi sera-t-elle la seule à sortir gagnante de cet enlèvement qui finit par ressembler à une quête d'identité !
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Corinne Naa (55)Voir plus

Quiz Voir plus

Amélie Nothomb : Les titres de ses romans

Hygiène ...

de l'assassin
du tueur
et purification

12 questions
289 lecteurs ont répondu
Thème : Amélie NothombCréer un quiz sur cet auteur

{* *}