– Oh oui ! Oh oui ! Oh ouiii ! Oh c’est bon ! Oh oui ! Oh oui Oh ! Oh ! Oh . Et ainsi de suite. Amies lectrices, je vous laisse choisir la cadence, la longueur et l’intensité de la tirade. Vous pouvez même rajoutez des onomatopées. Le principal c’est que cela vous donne du plaisir ! Une voix mâle s’ajoute en écho : Rhâââ, c’est bon ! C’est bon ! Oh oui, c’est bon ! Rhâââ ! Aaahhh ! A vous, Monsieur ! Et du rythme surtout, je compte sur vous ! Soyez bien dans le tempo, et surtout, tenez bien la distance ! Le dialogue ci-dessus s’avérant un peu répétitif, mais néanmoins jouissif pour les heureux duettistes, je l’abrège quelque peu pour revenir dans la cellule des deux prisonnières. Qui se regardent à nouveau, interloquées. (Page 193- 194).
- Absolument Gontran ! Cette mort, je la qualifierais...de manque de savoir vivre !
- Oh, Marie-Amélie ! Quel esprit ! Quel à propos ! Cette mort, quel manque de savoir-vivre ! Oh ! Elle est excellente, excellente ! Regardez....vous me faites pouffer !
LSD, vexée et déçue de s’être fait prendre la main dans le pot de confiture – que mes lectrices ou lecteurs diabétiques se rassurent, leur taux de glycémie ne bougera pas, cette expression n’est qu’une catachrèse, une simple métaphore, pour ceux qui ne kiffent pas les mots compliqués – bref, LSD n’est pas contente… (Page 135)
- Quelle heure est-il, madame Persil ?
- Dix heure un quart, madame Placard.