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Citations de Cynthia Maréchal (62)


Parfois, les maudits voisins peuvent être assez pénibles, merci. Ma fille a eu un problème de ce genre quand elle est partie pour la première fois en appartement avec son chum. Une maudite place cheap. Les murs étaient en carton. Ils entendaient leurs voisins se disputer le jour et baiser la nuit.
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On respecte la politique d’origine, soit le service amical, et on a gardé le même menu délicieux qui a fait notre renommée.
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Ce qui le tracassait quelque peu était que, parfois, il avait des pensées lubriques. Le problème était que ce n’était pas Sylvie qui apparaissait dans ses fantasmes, mais plutôt Marie-Josée, la délicieuse veuve qui habitait la maison voisine. Son mari, un homme très généreux que Luc avait bien connu, était décédé d’un cancer fulgurant trois années auparavant. Cela avait été très difficile pour la sulfureuse Marie-Josée, mais maintenant, le temps avait quelque peu pansé sa blessure et elle émergeait de son deuil.
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De nouveaux voisins, ça pouvait signifier toutes sortes de choses : du bon monde, des personnes envahissantes, bruyantes, tout était possible. Rien, ces derniers jours, n’avait annoncé ce subit branle-bas de combat.
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Elle était heureuse dans les bras protecteurs de Guillaume. Il avait le don de lui faire oublier tous ses problèmes. Bien sûr, il n’était plus question à cette heure de la soirée d’aller rendre visite à la voisine. Cela serait pour le lendemain !
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Sa compagne arborait une poitrine proéminente, une jupe plus que mini à motif léopard et une chevelure teinte en rouge. Jenny pensa que cette femme avait une allure très vulgaire, surtout qu’en plus, elle était chaussée de très hauts talons. Les deux marchaient avec des visages fermés, très peu avenants. Le gars tenait avec une laisse en chaîne un gros pitbull à la tête massive. C’était le genre de bête réputée pour ses morsures parfois mortelles.
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N’empêche… La belle météorologue aimait toujours son homme : oui, Sylvie lui devait la montée de sa carrière, mais elle sentait au fond de son être qu’un changement important se produisait. Et ce changement concernait son couple. Ce qui lentement, mais sûrement, s’éveillait en elle était une grande lassitude par rapport à toute cette situation.

 
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La compétition était féroce. Sur le plateau de tournage, plus d’une femme minaudait devant ce comédien célèbre aux belles manières. Au fil des jours, c’est ainsi que Sylvie et Luc s’étaient épris l’un de l’autre. Leur relation amoureuse durait depuis déjà vingt-cinq ans.
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C’est un rêve qui se réalise, on a travaillé fort et on a fait de gros sacrifices. Pis là, d’un coup, on vit ça. Wow ! Je t’aime tellement, mon amour, tu es merveilleuse.
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Entre femmes, on trouve toujours une façon de se comprendre. Il ne faut pas juger trop rapidement les gens… Il y a parfois des raisons aux drôles de comportements.
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Qu’une personne puisse porter le nom de Lebeau-Petit toute sa vie lui semblait risible. Elle ne voulait pas que ses enfants soient humiliés. Après d’âpres délibérations pendant la grossesse, alors qu’ils savaient qu’ils auraient des jumeaux, Catherine et Pascal avaient donc décidé que chacun des enfants allait avoir le nom d’un des parents. Alors on donna à Théo le nom de Lebeau et à Léa le nom de Petit. Compromis que Pascal avait finalement accepté en reconnaissant que c’était tout à fait logique.
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Le meilleur ami de Pascal était tout son contraire : autant Pascal était jovial et de nature positive, autant son ami était introverti et plutôt pessimiste. Il portait bien son surnom : le ténébreux.
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Mathilde se sentait si heureuse. Et soulagée. Enfin, l’école était finie ! Deux mois de vacances d’été représentaient une éternité d’absence de contraintes et de plaisir pour une adolescente. La jeune fille savourerait pleinement cette liberté et ce repos bien mérité, car elle avait bien étudié toute l’année. Après le décès de sa mère, alors qu’elle n’avait que neuf ans, Mathilde se sentit responsable de son petit frère, Kevin. Elle eut tout de suite le besoin de le protéger de ce monde imprévisible et parfois cruel. Les premiers mois, elle fut profondément triste du départ de sa mère, mais voir son père envahi de tristesse et de désespoir la bouleversa encore plus. Mathilde, toute jeune qu’elle fut à l’époque, se jura de prendre soin de son frère et de son père et de les protéger. Ils étaient tout ce qu’elle possédait au monde, désormais. Seul élément féminin de la maisonnée, elle prit ce rôle très au sérieux. Lorsque la belle Sandra débarqua dans leur vie, Mathilde vit d’abord cela d’un mauvais œil. Elle se sentit menacée dans son rôle et craignit de perdre l’attention de son père. Elle eut même le sentiment qu’il la trahissait un peu. C’était si tôt après la disparition de sa mère ! Mathilde ne pouvait imaginer que déjà son père partageait le lit conjugal avec une autre femme… Qu’une autre femme faisait siennes les affaires de leur maison. Mais, après un certain temps, elle dut admettre que cette Sandra avait su remettre de la joie de vivre dans le regard de son père. De plus sa belle-mère était très gentille et dévouée à leur égard. Jamais elle ne se montra intrusive ou autoritaire. Puis, quand Samuel naquit, tout le monde fut ravi.

Le bruit du jeu de course automobile qui provenait du téléviseur à l’étage la fit sortir de ses pensées. Il était presque midi. Même si Sandra avait pris le relais dans leur famille, Mathilde n’avait rien perdu de sa fougue dans l’accomplissement de sa mission. Il n’était pas question qu’elle ne prenne pas toutes ses responsabilités à cœur. Elle monta aussitôt préparer un lunch pour Kevin.
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Jusque-là, tout allait encore relativement bien au sein du clan Bélanger, même si certaines tensions se mettaient à jour sous forme de quelques prises de position, qui, parfois, devenaient de véritables prises de bec.
C’était désormais impossible à réfréner. Tous les ingrédients étaient réunis pour créer des maudites chicanes de famille.
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Elle s’intéressait à beaucoup de choses et elle avait plusieurs talents, dont des aptitudes certaines en musique. Elle jouait bien du piano et du ukulélé. Elle avait aussi de belles dispositions pour le dessin et un penchant pour l’écriture de poésie. De plus, comme elle appartenait à la génération des Y, elle était facilement portée sur tout ce qui touchait l’informatique et les jeux vidéo.
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Elle se spécialiserait en études françaises, car elle estimait que la connaissance de sa langue maternelle, c’était très important. Elle avait vu en Xavier, dès la première seconde, l’homme qui la ferait s’élever dans la société. Josée ne le disait à personne, mais elle souffrait en secret que sa famille en soit une de bons commerçants sans ambition autre que le bien-être matériel.
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Pour eux, le bonheur de leur fille était primordial. Qu’importait alors les modestes origines de Gérard ? Surtout si celui-ci se montrait aussi persévérant, plein de cœur au ventre ? Ce dernier présentait en effet bon nombre de qualités intéressantes qui, avec un peu d’aide, pourraient contribuer à de grandes réalisations.
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Comment pouvait-on oublier la Saint-Valentin, qui marquait de surcroît un anniversaire important ? Franchement ! Normand l’aimait-il vraiment ? Après dix ans, leur couple était-il engagé dans cette routine qui tue l’amour et contre laquelle il n’y a rien à faire ? La passion existait-elle encore entre eux ?
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Elle dégageait un petit quelque chose d’irrésistible. Blonde platine, visage de top model insolent, ongles longs aux teintes flamboyantes et toujours impeccablement manucurés, cette femme sublime incitait la clientèle à majorité masculine à consommer davantage. Bien entendu, sa poitrine généreuse moulée dans des hauts seyants (dont la couleur était toujours assortie à celle de ses ongles) contribuait grandement à l’essor des ventes.
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La première chanson qu’Isabelle entendit en fut une de la grande Céline Dion, qu’elle aimait depuis son enfance, surtout à cause de son histoire rappelant celle d’un conte de fées. Isabelle alluma le foyer au propane. Ce dernier ne possédait pas le cachet d’un vrai feu de bois crépitant dans l’âtre, mais il créait malgré tout un décor des plus chaleureux évoquant la sensualité.
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