AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Daniel Casanave (222)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Nerval : L'inconsolé

Au dessin, Daniel Casanave déploie avec son aisance habituelle un graphisme à l’énergie rare, tout en petits traits saillants et expressifs, proche, dans l’esprit, de certains comic strips.
Lien : http://www.bodoi.info/nerval..
Commenter  J’apprécie          00
Nerval : L'inconsolé

Quel portrait pathétique est brossé là de ce célèbre romantique, dont je ne connaissais pas la triste biographie. Quelques citations tirées de ses oeuvres, de sa correspondance ou celles de ses amis émaillent le haut des pages, au dessin à l’ancienne rappelant un peu le style des Pieds nickelés. Une bande dessinée portée par la mode des biopics.
Lien : http://carnetsdesel.fr/nerva..
Commenter  J’apprécie          10
Nerval : L'inconsolé

Cette BD est un exercice très périlleux car un récit biographique est semé d’embûches. En s’intéressant à un auteur un peu oublié du Romantisme, les deux auteurs axent leur récit sur la découverte d’une personnalité pleine de surprises. Ils explorent le talent incroyable de cet artiste tout en pointant ce malaise face à la vie. Cette dualité de comportements est très bien amenée dans l’histoire. Gérard de Nerval est une sorte de petite chose mue par une force créatrice. La BD a un ton très léger grâce à la force des dessins. Les premières pages nous présentent un homme déterminé qui mènera de grandes aventures. Dès l’école, un grand destin lui est prédit, ce qui provoque une sorte de malédiction pour cette homme qui aurait pu t’avoir. Ce ton très sombre est présent dans la mise en scène même du protagoniste. Il est malléable, bousculé par les éléments et par la vie. Cette intériorité est le vrai sujet de la BD et les scènes de fantasmes féminins ou celles avec ses petits démons sont bouleversantes. D’un seul coup, ce petit homme devient un être d’argile. La fougue des dessins développe également ce besoin de mouvement de Nerval, une sorte de fuite en avant. Ce dynamisme perceptible tout au long de la BD renforce la fin tragique, une planche précise et succincte. Un point final qui a la force d’un couperet.
Lien : https://tourneurdepages.word..
Commenter  J’apprécie          30
Nerval : L'inconsolé

Cette BD est aussi étrange que la vie de Gérard de Nerval, né Gérard Labrunie.



Le dessin est très caricatural, et imite un peu le style des "Pieds nickelés", avec ce caractère vieillot, et ses couleurs mates.



L'histoire raconte les pérégrinations de cet étudiant en médecine, qui préférait les femmes, le vin, la bière, les cafés et la nuit.



On y croise Théophile Gautier, Balzac, Hugo, Dumas, Berlioz, et on assiste aux visions et aux hallucinations de Nerval, jusqu'à la folie et à son suicide par pendaison, une nuit d'hiver...



Des citations de ses oeuvres ou de Théophile Gautier introduisent les chapitres, et sont illustrées par les planches qui suivent.
Commenter  J’apprécie          10
Nerval : L'inconsolé

Je ne suis qu'à moitié convaincue par cet essai biographique sur Gérard de Narval. Je félicite tout d'abord la démarche qui surfe sur la mode des biographies dessinées et qui met en lumière le triste destin d'un des poètes maudits du romantisme.

Je connaissait peu Gérard de Nerval. Inconditionnelle des anecdotes historiques et de faits divers, je connaissais les circonstances de sa mort, quelques vers et un portrait...j'en sais maintenant plus mais je n'ai pas été vraiment touchée par le personnage.

Je pense que cela est lié au dessin choisi pour cette narration. Le trait est rond et enfantin et m'inspire, malgré moi, un sentiment de légèreté et de didactique humoristique bien peu en équation avec le propos. L'histoire est un peu passée au dessus de la narration sans que je m'y attache car je n'ai pas réussi, à cause du dessin, à y porter crédit et je ne me suis attachée au personnages que dans les dernières page de sa longue chute.

Commenter  J’apprécie          110
Petit Pierre : La mécanique des rêves

Une histoire pleine de poésie, de tendresse, d'humeur bourrue, de charme.

Petit Pierre n'est pas un enfant comme les autres, handicapé, défiguré, il est l'objet de raillerie. Peu importe, il se plaît à fabriquer des merveilles d'ingénierie avec les objets récupérés à droite et à gauche.

Une fois le livre refermé, on a qu'une envie, aller faire un tour à la Fabuloserie...
Commenter  J’apprécie          40
Petit Pierre : La mécanique des rêves

Du rêve ou un soupçon d’espièglerie auraient certainement apporté un supplément d’âme à la narration. Heureusement, la personnalité attachante du héros se montre suffisamment forte pour porter un album somme toute sympathique et rempli d’une certaine grâce.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
Commenter  J’apprécie          00
Petit Pierre : La mécanique des rêves

Pierre Avezard dit Petit Pierre est handicapé, moqué. Muré dans son silence, il est fasciné par la mécanique et en décortique les moindres rouages. C’est ainsi qu’avec des petits restes du quotidien, il crée son fameux «manège». Cette bande dessinée aux doux dessins rend hommage à l’humilité de Petit Pierre et à l’art brut.
Lien : https://www.payot.ch/Detail/..
Commenter  J’apprécie          00
Petit Pierre : La mécanique des rêves

Je n’ai malheureusement pas aimé cette bande-dessinée que j’ai dû me forcer à terminer. Je me suis ennuyée tout le long et je n’ai pas apprécié les illustrations. Elle aurait pu être intéressante, car elle parle d’une histoire vraie, celle de Pierre Avezard qui est laid, sourd et presque muet, mais également un éternel rêveur qui est parvenu à vivre de manière passionnée en créant notamment une œuvre consistant en un immense manège. Je n’ai pas accroché et je suis passée complètement à côté. Dommage.


Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          00
Petit Pierre : La mécanique des rêves

J'ai découvert le manège de Petit Pierre lors d'un magnifique spectacle au festival d'Avignon. Mais je ne connaissais pas du tout la vie de Pierre Avezard.

Son handicap lui a valu des moqueries à l'école, dont ses parents l'ont enlevé assez tôt, et auprès des autres garçons de ferme avec qui il travaillait. Mais Petit Pierre a su se défendre, avec fermeté et sans violence, et il a toujours trouvé autour de lui des personnes qui l'ont aimé ou aidé, notamment sa soeur et son frère et plusieurs fermiers qui l'ont fait travailler. Il s'est réfugié dans son monde, tout en étant ouvert à la technique et à ce qui l'entourait. Il s'est inspiré de sa vie quotidienne; des cartes postales que sa famille recevait ou des progrès techniques que son frère lui faisait découvrir pour créer le monde de son merveilleux manège.

Cette BD lui rend un bel hommage en nous transportant dans son monde. Ses oeuvres nous parlent et nous servent de guide. Les dessins peuvent paraître parfois simples, mais ils reprennent bien les personnages créés par Petit Pierre.

J'ai appris avec plaisir le sauvetage de ce manège inspiré et son transport dans la Fabuloserie que je rêve de pouvoir visiter un jour. Pour conclure le livre, un petit cahier de quatre pages nous donnent quelques indications sur l'art brut.
Commenter  J’apprécie          100
Petit Pierre : La mécanique des rêves

"Petit Pierre : La mécanique des rêves" est une bande dessinée qui rend hommage à Pierre Avezard, surnommé "Petit Pierre". Atteint du syndrome de Treacher Collins, Petit Pierre a des malformations physiques qui vont l'obliger à faire face au harcèlement et aux moqueries.



Ayant des troubles de l'apprentissage, pour gagner sa vie, il garde des vaches et sert de main d'oeuvre dans des fermes. Sa véritable passion est la mécanique. de manière autodidacte, il fabrique des jouets pour son petit frère, qu'il réalise avec talent malgré son handicap.



Petit Pierre consacre ses moments de loisirs à collecter des matériaux, des déchets qui peut réutiliser dans ses créations. Il se lance ensuite dans la conception d'un manège, qu'il améliore tout au long de sa vie. Soutenu par son entourage, son frère l'emmène régulièrement visiter des villes européennes qui l'inspire dans ses créations.



Cette pièce d'art brut est finalement déplacée après sa mort et conservée à la Fabuloserie, un musée privé dans l'Yonne.



Le récit est empreint de féerie et de poésie. Cependant, certains dialogues en patois peuvent être un peu difficiles à lire pour les personnes dyslexiques.



"Petit Pierre : La mécanique des rêves” est une bande dessinée touchante qui met en lumière la créativité et la détermination d'un homme qui a su trouver un moyen d'expression, de communication avec ces contemporains, malgré ses difficultés, au travers d'un spectacle innovant.
Lien : https://www.tiktok.com/@ink_..
Commenter  J’apprécie          00
Romantica, tome 1 : Shelley, La vie amoureu..

Déception pour ce petit roman graphique pourtant bien alléchant par son titre : Shelley, la vie amoureuse de l'auteur de Frankenstein.

Shelley ? Oui, mais pas celle de Frankenstein, pas Mary, mais celui qui allait devenir son ami, puis son amant, puis son mari, Percy Shelley.

Je m'attendais à une bd sur Mary Shelley, mais j'ai eu droit à une espèce de biographie qui se transforme en fiction, avec une épidémie de peste qui dépasse les frontières de l'Histoire.

J'ai bien aimé les passages avec Lord Byron, sinon, cette première partie se révèle faible, tant pour le dessin, que je n'aime pas, que pour le texte, alambiqué, mais ne nous apprenant pas grand-chose au final.

Je me passerai du second opus.
Commenter  J’apprécie          170
Romantica, tome 1 : Shelley, La vie amoureu..

Un album qui prend malgré tout toute sa saveur avec la dernière partie ou la fiction prend le relai sur la réalité ! Une partie que j'ai personnellement adoré, car très intrigante !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          00
Romantica, tome 1 : Shelley, La vie amoureu..

C’est une déception. Les personnages traversent cette histoire sans nous laisser le temps de nous y attacher. C’est entre la biographie et la fiction. La première partie traite de Percy Bysshe Shelley, personnage pas très sympathique, voire franchement agaçant, la seconde de Mary Shelley, qui reste ébauchée de façon très superficielle. Le titre est assez mensonger, le romantisme n’est évoqué que de façon historique, et la tentative de se rapprocher de l’esprit de ce courant avec l’évocation de la peste tombe comme un cheveux sur la soupe, le rythme du récit est haché, et l’intrigue se contente d’être une suite de faits. Dommage, un idée prometteuse, un graphisme dynamique et vivant, mais un résultat qui manque de relief, plus de 250 pages et pourtant, je reste sur ma faim.
Commenter  J’apprécie          210
Romantica, tome 1 : Shelley, La vie amoureu..

Le sous titre est trompeur, l’album s’attardant davantage sur la vie amoureuse de l’époux de Mary Shelley que sur celle de l’auteur de Frankenstein. Un drôle de loustic, le Sir Percy Bysshe Shelley. Renvoyé d’Oxford en 1811, à 17 ans, pour avoir rédigé et diffusé auprès de tous les évêques d’Angleterre une brochure intitulée « De la nécessité de l’athéisme ». Shelley le poète maudit, personnage sulfureux, intime de Byron, pionnier du romantisme anglais, punk avant l’heure dont le décès à 26 ans aux larges des côtes italiennes contribua à construire la légende.



Un jeune homme haï par ses contemporains dont va tomber amoureuse Mary Godwyn, sa future seconde épouse. La célèbre romancière avait, il faut dire, baigné depuis sa tendre enfance dans une ambiance des plus modernes aux cotés d’une mère philosophe et d’un père, William Godwin, qui fut l’un des premiers penseurs anarchistes établis à Londres.



Cet album au format atypique, réédition en un seul volume d’un diptyque paru précédemment, revient sur la construction de leurs relations en se focalisant néanmoins largement plus sur Percy que sur Mary. C’est le second titre de la série Romantica, une collection présentant la vie et l’œuvre de grandes figures du romantisme européen en mêlant à la biographie réelle une œuvre de l’auteur. Ici, aux faits historiques avérés, David Vandermeulen a associé des éléments d’un roman de Mary Shelley peu connu sous nos contrées, « Le dernier homme ». Dans ce roman, une épidémie ravage l’Europe et la couronne d’Angleterre tombe. Le scénariste a inséré ces épisodes dans son récit de la vie des Shelley et c’est à mon avis là que le bât blesse, ce mélange des genres ne permettant pas de distinguer clairement la réalité de la fiction. Personnellement, j’aurais préféré que la biographie reste réaliste jusqu’au bout et je ne vois pas ce que les éléments du roman apocalyptique apportent de plus.



n dehors de cette réserve d’importance, je dois reconnaître que l’atmosphère gothico-décadente propre aux prémices du romantisme anglais est bien rendue et qu’il est fort agréable de croiser au fil des pages des figures comme celles de Byron ou de John Polidori, un auteur auquel on attribue la paternité du vampirisme en littérature.



Une plongée à la source du romantisme, peut-être un peu légère, manquant parfois de fond, mais qui peut constituer une bonne introduction à la découverte de personnalités marquantes des lettres européennes.


Lien : http://litterature-a-blog.bl..
Commenter  J’apprécie          130
Romantica, tome 1 : Shelley, La vie amoureu..

J'ai apprécié cette autobiographie, un peu romancée, de Mary Shelley. Cette dernière entre en scène après un grand nombres de planches tout de même mais je pense que cela se justifie pour présenter l'état d'esprit et les mœurs entretenus par son époux, le poète Shelley. Les dessins sont beaux et se prêtent tout à fait à cette histoire romantique. C'est l'ambiance de la demeure Suisse et la communion des personnages qui permettra à Mary de donner naissance à "Frankenstein". Le format n'est pas commun mais pas dérangeant non plus.
Commenter  J’apprécie          50
Romantica, tome 2 : Chamisso, L'homme qui a..

Cet album est superbe. Je ne connaissais pas ce poète franco-allemand, et j'ai donc découvert la vie de Chamisso. La première partie nous présente le personnage, son caractère, c'est un personnage attachant. Puis le côté fantastique débarque au détour d'une page, Chamisso vend son ombre au diable. J'ai beaucoup apprécié son tour du monde avec la découverte des pays et des peuples.
Commenter  J’apprécie          40
Romantica, tome 2 : Chamisso, L'homme qui a..

Une BD au format paysage, assez touffue.

Ma critique pourrait s'arrêter là mais 250 oblige, je développe.

Je ne connaissais pas Chamisso, je le découvre donc mais voilà, sa vie, son oeuvre, comment il vécut, comment il est mort, comment il a perdu son ombre, et bien, cela ne m'a guère emballé.
Commenter  J’apprécie          00
Romantica, tome 2 : Chamisso, L'homme qui a..

En 1791, le jeune Aldebert de Chamisso coule des jours heureux dans le château familial en Champagne, se passionnant pour la nature et ses merveilles. Mais la Révolution Française va précipiter toute la famille en Allemagne, où ils s'installeront à Berlin et deviendront les von Chamisso.Mais quelques années plus tard, pour Aldebert, qui doit faire son service militaire dans l'armée prussienne, l'intégration n'est pas facile en pleines guerres napoléoniennes : pour les Allemands, il est français et pour les Français, il est allemand. Amoureux éconduit, il décide de retourner en France pour travailler mais le poste offert n'a apparemment jamais existé ! Cette malchance en toutes choses le poursuivra toute sa vie mais cela ne l'empêchera pas d'écrire et d'effectuer un tour du monde …

Dans la même collection axée sur les Romantiques et par les mêmes auteurs que le diptyque sur Percy et Mary Shelley, j'ai été très curieuse de découvrir la vie de Chamisso, que je ne connaissais pas du tout. Apparemment, il est bien connu en Allemagne, son roman « Peter Schlemihl » étant devenu un classique de la littérature de ce pays. D'ailleurs, comme dans Shelley, les auteurs suivent assez fidèlement la vie de Chamisso et à un moment donné, ils basculent sur le roman de celui-ci, le mettant en scène comme s'il était lui-même Peter Schlemihl et lui faisant vivre le même genre d'aventures un peu fantastiques (il échange son ombre contre une bourse inépuisable). Ce procédé m'avait peu convaincue dans Shelley mais là, c'est très bien passé, peut-être parce que je ne connaissais strictement rien à ce poète et à son œuvre ! Je me suis laissée emportée par l'histoire qui fait un peu penser au pacte de Faust et puis, il faut dire que Chamisso s'est inspiré de lui-même quand il a construit le personnage de Peter et ce qu'il lui a fait vivre a finalement rejoint partiellement la réalité (les deux ont fait un tour du monde). Le dessin m'a toujours bien plu, avec un côté un peu simple mais expressif et des décors néanmoins suffisamment détaillés pour se les imaginer. Il y a aussi de l'humour et le contexte historique est intéressant car je ne connais pas bien et j'ai donc appris beaucoup de choses. Chamisso a aussi beaucoup fréquenté les salons intellectuels de la communauté juive allemande et cela m'a permis de découvrir une galerie de personnages réels qui sont un peu tombés aux oubliettes. J'ai aussi apprécié le format à l'italienne et le petit dossier en fin d'album, qui permet d'en apprendre un peu plus et de recadrer le vrai de l'imaginaire dans la vie de Chamisso. Un album intéressant sur un personnage méconnu et attachant !
Commenter  J’apprécie          10
Shelley, tome 1 : Percy

La vie du poète britannique Percy Shelley (oui oui le mari de Mary Shelley). Enfin sa jeunesse aventureuse.

De la rencontre avec sa première femme Harriet, qu'il renvoie assez rapidement à son père jusqu'à sa fugue avec Mary, qui deviendra sa seconde épouse.

Un esprit bouillonnant, toujours à l'affût d'une idée, d'un vers. Il connaîtra des débuts littéraires assez difficiles, s'engagera pour les catholiques irlandais... Bref sera l'objet de maints scandales au cours de sa courte vie.

Le graphisme ne se préoccupe pas de réalisme ; en cela il s'accorde bien avec la personnalité de Shelley, qui vivait un peu en large de la société de son époque.

C'est plein d'allant, un agréable moment de lecture.
Commenter  J’apprécie          70




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Daniel Casanave (911)Voir plus

Quiz Voir plus

Quiz spécial enfant spécial Hubert Reeves raconte la Forêt!

Laquelle de ses strates (niveau de vie) ne fait pas partie de l'écosystème forêt ?

L'univers
jusqu'à 15 cm (mousses)
De 15 cm à 1 m ( herbes)
jusqu'à 5 ou 6 m (arbuste)
Celle qui peut aller au-delà de 30m (grands arbres)

12 questions
2 lecteurs ont répondu
Thème : Hubert Reeves nous explique, tome 2 : La forêt de Daniel CasanaveCréer un quiz sur cet auteur

{* *}