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Critiques de Daniel Picouly (355)
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Un petit livre charmant, joliment écrit, qui respire l'authenticité.
Lien : http://rss.lapresse.ca/c/336..
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Tout petit livre autobiographique où Daniel Picouly revient sur son enfance et son rapport d’alors avec les mots, la langue française et les livres ! C’est court mais souvent drôle et émouvant, très pertinent. Il se met dans la position de l’écrivain qui vient devant une classe de collège pour répondre aux questions des élèves et le livre vagabonde entre ses souvenirs d’enfant à l’école, et les messages que l’écrivain qu’il est devenu voudrait faire passer aux jeunes qui le rencontrent. Je l’ai lu très vite (une centaine de pages) et avec beaucoup de plaisir ! J'ai bien aimé aussi, cette façon de rendre hommage à sa mère en célébrant ses fautes d'orthographe !
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Encore un de dévoré ! Comme souvent les livres de Daniel Picouly.

Mais celui-ci a pour lui le charme d'une conversation amicale.



Entre l'enfant et l'adulte qui se souvient, un peu.

Entre l'auteur et le lecteur.

Entre le modèle et les élèves.



Avec une certaine modestie et une bonne dose d'auto-dérision, Daniel Picouly retrace à travers ses souvenirs d'école (et de fautes d'orthographe) son parcours d'écrivain. C'est doux, tendre, ça fait sourire. Un vrai plaisir et une complicité renouvelée.



Une leçon d'écriture qui ne veut pas en être une. A la Picouly
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Ce que j'adore avec les livres de Daniel Picouly, c'est que non seulement ils se lisent très vite et lorsqu'on l'entend citer certains propos, que ce soit à de jeunes enfants pu à des collégiens ou lycéens, nous ressentons nous aussi, lecteurs, cette impression d'être uniques ; que si l'on se donnait un peu de mal, nous pourrions nous aussi devenirs écrivains et cela...j'adore !



Ici, l'auteur revient sur certains passages de son enfance à l'école mais aussi à la maison. Pas facile lorsque l'on se voit être au milieu d'une ribambelle de douze frères et sœurs, surtout lorsque vous n'avez uniquement que des jeunes sœurs qui vous font du chantage comme quoi si vous ne leur racontez pas une nouvelle histoire chaque matin, elles vous dénonceront auprès de votre mère comme quoi vous ne les avez pas escortées jusqu'à l'école. Mais le plus dur pour notre jeune garçon est de se retrouver confronter devant son instituteur qui l'humilie devant la classe entière parce qu'il a battu le record de fautes d'orthographe - mot auquel il a même faite une faute en y rajoutant un "h" comme toute première lettre. Vous imaginez un peu la honte ? Il est vrai que certaines blessures d'enfance ne cicatrisent réellement jamais mais petit Daniel qui devînt grand a depuis lors pris une sacrée revanche sur son instituteur d'antan. Si ce dernier pouvait lire ces ouvrages aujourd'hui...



Daniel Picouly joue énormément sur l'humour, tournant en dérision son image d'élève médiocre et prouve ainsi à tout un chacun que nous devenons tous, un jour ou l'autre, maîtres de son destin. Il ne faut pas se laisser abattre pas des mots qui nous auraient blessés jadis car nous, tous autant que nous sommes, doués en orthographe ou pas, avons notre propre histoire à raconter et pourquoi pas, un jour, à écrire !

Un ouvrage avec des chapitres et des phrases courtes, qui se lit donc très vite et au cours duquel, on ne peut s'empêcher de sourire. A découvrir et à faire découvrir !
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

un livre rapide à lire et dont la lecture est trés agréable. L'auteur nous y livre une réflexion sur l'écriture, trés pédagogique et trés fine.
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Pour avoir été puni une fois de plus pour orthographe aléatoire, le narrateur décide d'assassiner son instituteur. Mais pas avec des moyens très surfaits tels que poignard ou carabine. Encore moins le poison. Non, il l'assassinera à coups de fautes d'orthographe. Vaste projet...



Plus qu'un récit linéaire, le sympathique Daniel Picouly partage des anecdotes liées à l'enfance et les joyeusetés des salles de classe  (quand elles ne sont pas également de torture).

Pour épater une fille, il achète notamment un volume de Proust... hélas pas le premier de La recherche. A sa tentative de lecture, il finit par croire que le Marcel n'écrivait pas français! Et de se sentir asphyxier "au monoxyde de Proust" (celle-ci, je l'adore!)



L'auteur développe toute sa verve et son humour dans un court volume vite lu mais qui fait chaud au coeur.
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Picouly revient une fois encore sur ses souvenirs du temps où l'orthographe avait son importance et où il faisait parfois 26 fautes 3/4 dans sa dictée!



Fils de griot, ce quarteron de la tradition orale s'est mis à écrire parce qu'à propos d'une histoire déjà entendue par ses sœurs et pour éviter qu'il la répète, elles lui ont dit "taka les écrire" tes histoires.



Ce petit livre tendre et humoristique, très sympa pour un voyage d'une heure. Il me donne envie de lire "le champ de personne".

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La faute d'orthographe est ma langue matern..

S’il y a bien une question que je ne m’étais jamais posé, c’est de savoir quels sont les six premiers ouvrages publiés dans la collection Livre de poche ? Sur les six, je découvre que je n’en ai lu que deux. Quant au premier de la liste, je le ferai attendre encore un peu … Qui d’autre que Picouly aurait pu émettre une telle observation, totalement inutile pour moi.

Dans « La faute d’orthographe est ma langue maternelle », il nous offre plusieurs de ces observations stockées dans sa mémoire d’élève.



C’est un livre fait de souvenirs d’école, souvenirs de l’usage de la langue française, en particulier de l’orthographe. Il y a aussi des souvenirs de lecture d’auteurs et de leurs usages: Prosper Mérimée, Proust, Martin du Gard, Gide, Alexandre Dumas, Gaston Leroux et Hervé Bazin.



J’ai beaucoup apprécié les tentatives de l’auteur pour expliquer ce qu’implique le travail d'écriture, et cette jolie formule parle d'elle-même : « Il faut écrire en amant et relire en mari ».



En résumé, j'ai passé un très bon moment en compagnie de Danièle Picouly, un moment divertissant mais trop court. Pendant la lecture, je me suis demandé ; Picouly ne serait-il pas un auteur hyperactif ? Peu importe.

Le récit est fluide et ponctué d’humour. On en attendait pas moins d’un auteur qui a depuis longtemps déjà séduit et conquis un très large lectorat.

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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Dans ce court récit autobiographique, l'auteur se rappelle de son année de septième, lorsqu'il avait été puni par "le remplaçant" qui s'était moqué de son double zéro en dictée. Il se jura alors de le tuer, une fois réglée la question de l'arme à employer.

Des années plus tard l'Auteur revient sur les lieux du crime, répondre aux questions des enfants qui l'ont remplacé. Le récit est très amusant et haut en couleurs et nous entraîne à force de digressions dans l'univers de l'auteur, son enfance, sa famille et ses ruses de petit garçon et futur écrivain.
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Petite lecture détente et pleine d'encouragement pour les quiches en orthographe comme moi: La faute d'orthographe est ma langue maternelle, de Daniel Picouly.

L'été dernier alors que j'écoutais France bleu midi, je découvrais un titre très intéressant: la faute d’orthographe est ma langue maternelle. Rien que le titre m'a intrigué. Il faisait écho à une partie de moi qui hélas est toujours la: celle qui a beaucoup de mal avec l'orthographe! Une vrai quiche orthographe je suis!

Cet ouvrage raconte les déboires de Daniel Picouly avec l'orthographe, mais surtout une expérience traumatisante (enfin c'est ce que je pense) qu'a vécu l'auteur. Il a été présenté à toute la classe, debout sur une table, par un professeur remplaçant, car il avait fait plus de 20 fautes à dictée. Autant dire que je compatis!

On entrevoit ainsi l'ancienne éducation où il était parfois courant d'humilier les élèves. Heureusement cela a changé. En commençant le livre, je m'attendais à suivre les différents déboires d'un élève faché avec l'orthographe mais il n'en ai rien. C'est un récit frais, où le narrateur (l'auteur) est tour à tour un enfant et un adulte. On suit l'auteur dans la préparation d'une intervention dans une classe qui fait remonter les souvenir d'enfance. Je n'en dirai pas plus car le récit étant court, cela gacherai le plaisir que vous auriez à lire.

Mais une chose est certaine: Daniel Picouly nous prouve que l'on peut être brillant et très intéressé par la littérature sans pour autant être au départ un cador en orthographe.
Lien : http://wp.me/p3uBku-15
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Daniel Picouly est un aujourd'hui un auteur reconnu et primé. Mais cela n'a pas toujours été le cas. 11e né d'une famille antillaise de 13 enfants, élevé en banlieue parisienne dans un quartier très populaire, il a subi de nombreuses humiliations lors de sa scolarité. Dans ce court roman écrit comme une pièce de théâtre, l'auteur revient sur cette période où un double zéro en dictée lui avait valu l'humiliation de sa vie par un professeur remplaçant. Il nous parle, à travers un dialogue fictif "élèves/écrivain", de son enfance, de ce qui l'a amené à lire, puis à écrire.



Une histoire sympathique, qui ne casse pas trois pattes à un canard, mais qui m'a fait sourire gentiment à plusieurs reprises. Daniel Picouly nous offre ici de belles tournures de phrases, de belles métaphores, et de bons sentiments enfantins. Mais rien de plus. Un livre vite lu, et agréablement, mais vite oublié également.

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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Avec humour et tendresse, Daniel Picouly nous propose de partager sa madeleine de Proust.

Un texte simple et efficace qui dévoile l'importance de la famille, de la fratrie dans le processus d'écriture.

Un écrit court, qui donne tout en moins d'une heure, format "théâtre" : léger mais concentré !

A découvrir.
Lien : http://bibliobleu.blogspot.fr
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Quand l'écrivain adulte Daniel Picouly revient dans son école et se remémore son enfance. quand il nous explique comment de cancre il est devenu un auteur. Quand il nous raconte une tranche de sa vie et qu'on prend plaisir à la lire car c'est drôle et plein de style.



Ayant participé à l'édition des "timbrés de l'orthographe" lors du parrainage de Mr Picouly et ayant à la fois souffert sur sa dictée mais aussi pris un énorme plaisir à la lecture se son texte écrit pour l'occasion ("adoptez moi" où un faute d'orthographe suppliait qu'on l'adopte...et j'ai succombé à son appel de multiples fois); il m'était impossible de ne pas profiter de sa présence à la foire du livre de Brive 2015 pour acheter ce livre au titre éloquent.



Et je dois dire que je ne fut pas déçu. Là encore dans un récit court, Daniel Picouly réussi avec brio à nous faire plaisir par son style littéraire jubilatoire.



"La mort aux rats c'est pratique. On en a chez nous...Normal, on a des rats. Mais moi le poison que je préfère, c'est le monoxyde de carbone. Le monoxyde de carbone, c'est l'amanite phalloïde des villes: un gaz inodore et incolore. On en a chez soi, mais on ne le sait pas. Alors on s'endort et on meurt. Gratuit. C'est un gaz de pauvre. Notre famille a failli en mourir. Normal, on est des pauvres. Le monoxyde de carbone, c'est aussi un gaz saisonnier. Il revient chaque hiver."..



Mais aussi a nous donner quelques réflexions sur son métier:



Il faut écrire en amant et relire en mari [...] "comment on fait pour réduire la distance entre [...] ce qu'on rêve d'écrire et ce qu'on écrit?" Le travail!



Tout cela se lit vite, facilement mais...on a presque en vi de le relire. Encore et encore. Juste pour le plaisir du style. Finalement il nous raconte des choses ordinaires et pourtant...essayons de faire la même chose et comparons...non décidemment il faudra beaucoup de travail pour faire aussi bien
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Très drôle
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Je connaissais vaguement Daniel Picouly pour l'avoir vu quelquefois à la télé (France 5).



Dans ce livre il nous raconte un petit peu comment il a commencé à écrire et nous fais part de son expérience d'écrivain. Il nous plonge ainsi dans plusieurs de ses souvenirs, notamment sur les bancs de l'école.



C'est plaisant et parfois drôle mais ça ne m'a que peu intéressé.



Je conseille ce livre à tous ceux qui apprécient Daniel Picouly et qui souhaitent le connaître un peu mieux.
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Daniel Picouly revient sur ses souvenirs d'enfance, et en particulier sur son instituteur qu'il voudrait tuer.

Une petite histoire de mots, de souvenirs d'écolier, douceur de l'enfance.

On peut être un piètre élève on n'est pas pour autant condamné à une vie terne et un boulot mal payé !

Rien n'est jamais acquis et rien n'est jamais définitif non plus. Chaque enfant est unique et il le rappelle bien ici.

Pour l'avoir rencontré au Salon du livre de Montmorillon dans la Vienne, c'est un homme d'une grande humanité, très chaleureux et accessible.

Une très belle rencontre.
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Dans ce petit opus, Daniel Picouly, raconte ses souvenirs d'enfant puni par un instituteur pour avoir fait trop de fautes d'orthographe. Il y a un côté " Je me souviens " de Perec, qui se cantonnerai uniquement sur l'apprentissage de la langue, et sur ce qui contribue à forger l'écrivain, qui plus tard rencontre des élèves. Il revient sur ses origines martiniquaises, sur ses jeux de gamin de banlieue, sur les objets qui lui restent en mémoire, et sur ses lectures d'adolescent. C'est agréable à lire, probablement plaisant à entendre, car il semble que ce soit un texte qu'il dit en public. C'est vite lu et ça fait sourire, c'est parfois utile.
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

A l'occasion d'une visite dans son ancienne école, où il doit rencontrer des enfants pour leur parler de son métier d'écrivain, Daniel Picouly revient sur son enfance, ses souvenirs d'école, sa famille nombreuse, son amour pour les livres, la pauvreté de ses parents. C'est une belle description sans plainte, sans culpabilisation et sans regrets aussi. Il raconte, simplement, sans jugement, comment les mots peuvent blesser. Le jour où son instituteur lui a dit "Pour faire autant de fautes d'orthographe, il faut vraiment être bête... bête à manger du foin", son orgueil a été blessé à travers lui d'abord, mais à travers sa mère surtout.



Ce témoignage très bref est un bel hommage plein de pudeur aux gens simples, à la beauté de notre langue, aux nombreux chemins qui mènent à Proust et à la littérature.
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La faute d'orthographe est ma langue matern..

Petit livre rempli d'humour qui relate les souvenirs et le retour de l'auteur dans une classe de l'école primaire: lieu de souvenirs de lecture, d'apprentissage, de fautes d'orthographes..

Un bon moment de lecture agréable, léger et drôle.

Un très bon moment d'humour.
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La lumière des fous

4eme de couv : " Il faudrait encore tenir deux heures, mais chaque pas la cisaillait comme du fer-blanc, Il n'y aurait bientôt plus qu'à tirer sur la bague métallique, et elle s'ouvrirait comme une boîte de bière chaude. Le sang séchait dans sa bouche. Sa tête bourdonnait, les visages se multipliaient... " Une petite ville de province où tout le monde s'épie. Coup de feu de midi dans le Bar-Café-Restaurant-Billard. Héra, la jeune serveuse, entre une crudité et une francfort-frites, va se débarrasser de l'enfant qu'elle attend d'un minable. Mais avec cet enfant-accident, elle a trahi un autre homme : Ivan, son jumeau, Ivan le terrible. Et la violence se déchaîne. Sexe, sang, violence et passions : un roman âpre, dont les personnages ont la politesse de garder gouaille et humour noir devant l'horreur.



Abandon à la moitié du livre. Je n’adhère à rien... ni l’écriture, ni l’histoire qui est tellement déjantée, décousue que je ne la comprends même pas, ni l’ultra violence gratuite sur des animaux.

Ce livre n’est absolument pas pour moi... j’ai juste perdu mon temps...
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