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Critiques de David De Thuin (64)
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Les zorilles, tome 2 : Gare aux zorilles

Une série de gags mettant en scène des animaux imaginaires qui essayent de survivre au milieu de la savane. L’un d’eux est un peu hargneux et a toujours une idée qui se retourne contre lui ou le groupe. Voilà ce que c’est que de suivre un leader. C’est la même chose à l’image d’un pays.



Pour le reste, je me suis ennuyé à en mourir. On est très loin de l’humour d’un Fabcaro par exemple. Oui, on est à l’antipode de ce que j’aime dans la bd d’humour. En effet, ce n’est pas avec ce titre que je vais mourir de rire.

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Le corps à l'ombre

Il est vrai que j'ai mis du temps à apprécier ce thriller au fil de ce récit auquel il faudra s'accrocher. Le graphisme ne m'inspirait pas. C'est surtout assez désuet. Cela faisait un peu bd des années 80 avec le style ligne claire.



Il est question de meurtres en série dans une petite ville et d'une enquête par un lycéen. Les têtes des personnages sont ceux des animaux. Bref, encore du zoomorphisme qui est décidément très en vogue. Cela faisait également un genre de bd à la Jason mais dans un tout autre style.



Cette oeuvre prend une certaine densité psychologique mais à la toute fin. C'est finalement une bonne surprise dans un genre que pourtant je n'apprécie guère.
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Zélie et Compagnie, tome 7 : Comme les doigts..

Une des nombreuses BD issues des magazines de Bayard presse, que les enfants aiment retrouver en albums, les personnages les accompagnant au fil des semaines.

Ici, on a 12 courtes histoires d'une dizaine de pages, de Zélie et ses inséparables copains, sans oublier La Glu, le petit frère très collant.



On aime Zélie parce qu’elle est très positive, et cherche toujours une solution, surtout pour aider.



J'ai particulièrement aimé la dernière histoire, Einstein veut un chien, où il est question de racket, et où les enfants vont trouver une solution belle et drôle. (Peut-on parler de racket quand un grand terrorise un petit, en le menaçant s'il parle, non pour lui extorquer de l'argent, mais pour l'obliger à faire ses devoirs ? Mais la démarche est bien la même)

Parfois, Zélie quitte sa bande et sa tour pour aller s’ennuyer horriblement à la campagne chez son oncle Louis. Mais à la campagne, il y a Rodolphe Broutechoux, et son vieux tracteur !


Lien : https://livresjeunessejangel..
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Les zorilles, tome 2 : Gare aux zorilles

Un livre d'humour noir pour les jeunes. Mon garçon a aimé, moi un peu moins.
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Coup de foudre, Tome 1 : La complainte du t..

Graphisme et couleurs adorables, du bétail mignon partout, oui mais... une histoire bien vide au final que celle de ce taureau transsexuel qui refuse de faire un bébé à Rosette et rêve de se faire greffer des pis. Une vague réflexion sur la condition des bovins voués à la reproduction et destinés à l'abattoir, peut-être ? J'en resterai là avec cette série.
Lien : http://canelkili.canalblog.c..
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Coup de foudre, Tome 1 : La complainte du t..

Cauvin est un type extraordinaire... Passer des Tuniques Bleues à Cédric, et à la série Coup de Foudre, cela relève de l'exploit.



De quoi est-il question? D'un taureau, doté de tous les attributs ad hoc, qui -justement- ne se sent pas taureau. Le premier taureau transgenre, donc. Impossible qu'il engrosse la rosette... Rien n'y fera. Frappés par la foudre, Rosette et Désiré sont subitement dotés de la parole et peuvent discourir de leurs problème de fécondité avec le fermier et la fermière.



C'est tout. Le pitch est ridiculement réduit. Il rend bien mal l'humour décalé des scènes entre le fermier, la fermière, Rosette et Désiré... ah oui, vous ai-je dit qu'il s'appelle Désiré (private joke, faut lire le livre pour comprendre). Vous permettez que je vous appelle Marcel? Autre running gag (tiré très en longueur) dont Cauvin parsème la BD.



J'ai pensé à F'murr en lisant cette BD. Désiré a des réflexions terriblement touchantes, empreintes de bon sens paysan, ce qui est normal pour un taureau, finalement. Hélas, on finit par tourner en rond, il manque un second souffle, quelque chose qui rebondisse. L'ensemble repose un peu trop sur les dialogues et sur la répétition. Mais cela reste une très chouette découverte.
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Zizi la chipie, tome 2 : Vedette de la chan..

Cette deuxième aventure de Zizi est selon moi de meilleure qualité que la première. Dans cet opus, Zizi se retrouve malgré elle projetée sur le devant de la scène, à la télé, et devient une "star" du jour au lendemain. Ce qui ne lui plaît pas du tout !



De l'humour, mais aussi un album qui peut faire réfléchir sur les notions de mode, de popularité, d'authenticité, de respect de soi-même.
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Zizi la chipie, tome 3 : Premier amour

Zizi la Chipie part en colonie de vacances. Pas de chance, Sonia, la peste fait aussi partie de l’aventure. ça sera aussi l’occasion de faire connaissance avec Lucien, le fils de la ferme d’à côté. Le dessin expressif et brut de David de Thuin s’accorde au récit, pétillant, espiègle et vivant. Les couettes de Zizi toujours en l’air, se balancent de page en page au gré des émotions. C’est aussi une histoire d’amour, d’enfance, de jalousie, de fierté, d’innocence, c’est drôle, parfois émouvant, léger et divertissant pour tous les âges.
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Meurtre à la compta

Qu'il est difficile de faire rire.

Le comptable d'une société est découvert mort à son poste de travail. Un couple de policier mène l'enquête entre les différents collègues du mort.

Principe "une page/un gag mais qui forme une histoire complète au final", ce n'est pas franchement réussi.

Déjà, ce n'est pas drôle à chaque page. Si ce n'est pas trop grave pour une ou deux pages, c'est un peu plus embêtant pour l'humour de répétition. Si c'est pas drôle la première fois, ça ne l'est pas toujours pas au bout de la cinquième.

Ensuite, la trame principale est vite éventée et on attend qu'elle se termine rapidement histoire de pousser plus loin le concept. Mais non, on aura pas cette chance.

Enfin, le dessin est typique de ce genre de production: très caricatural et assez plat.

Cependant, je ne peux nier que j'ai parfois ri, surtout avec l'histoire d'amour impossible entre deux personnes de services différents. Un mélodrame prenant le chemin de l'exagération épique en restant dans sa médiocrité, un très bon équilibre a été trouvé là.
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La Proie

La Proie est un roman Monde.



Non pour sa taille respectable, les mille pages et dix milles cases de l'album faisant un peu figure d'argument marketting de première année d'école de commerce, mais bien pour l'univers foisonnant, riche et détaillé qu'a créé David de Thuin au cours de ce voyage initiatique d'un naufragé à la recherche de son fils, accomplissant malgré lui une prophétie auquel, comme tout bon prophète, il ne croit pas, sur un continent étrange.



Sorte de chien antropomorphique, notre héros est surtout dépressif, perclus de culpabilité, ayant laissé sa mère et sa femme pour partir à la recherche de son propre père, il a entrainé son enfant pour finir par échouer sur un continent fermé de tout contact avec le monde extérieur et où s'est développé une flore et une faune particulière, et divers peuple sortes d'insectes évolués, les infectes, plus quelques races autres qu'on découvrira tout au long du voyage.



Claustrophobe, il devra, plus souvent qu'à son tour, descendre dans les entrailles de la terre pour échapper aux nombreux prédateurs qui le guettent sur son trajet vers la montagne où l'attend son destin : la Pire Ainée (jeu de mot douteux, mébon).



Dans sa quête, il sera aidé par divers infectes qui deviendront ses amis et alliés et dont on suivra les trajectoires parallèles au gré de leurs séparation car tous ne suivront pas le même chemin qui mène à l'accomplissement de la prophétie.



A travers ce récit fleuve, David de Thuin offre surtout une très belle fable sur l'amitié, entre les individus d'abord, et entre les peuples ensuite, amitié remise en cause par les appétits de pouvoir de certains qui tentent de régner par la peur du changement, thème classique, mais indémodable.





L'histoire met un petit temps à monter - 80 pages tout de même, mais qu'est ce que c'est rapporté au 920 autres ? - parce que l'auteur semble mettre un peu de temps à trouver son rythme de narration.



Ces premières pages sont en effet coincé dans un gauffrier innamovible, toujours envahi de texte, ce qui rend le rythme de lecture assez monocorde...



Il faut donc attendre un bon paquet de page pour voir apparaître des cases muettes, et, surtout, exploser le gauffrier trondheimien du Lapinot et les carottes de Patagonie.



L'influence trondheimienne qu'on peut voir de façon superficielle dans le dessin de David de Thuin se dilue d'ailleurs tout au long de l'histoire, évoluant vers un style beaucoup plus fluide et dynamique qui rappelle un peu l'école de Marcinelle et plus particulièrement les excellents Chlorophyles.



On retrouvera aussi dans certains personnages d'autres influences des grands anciens comme Will, avec un personnage qui fait irrésistiblement penser au "schnuffle-schuffle-snruffle" (je sais plus) d'Isabelle, qu'on retrouve dans le formidable album La Traboule de la Géhenne.



La subtilité des rapports entre les personnages, qui mettent du temps à s'apprivoiser, la subtile pédagogie qui permet à l'auteur de présenter son monde, les dialogues qui sortent des schémas convenus et une histoire bien troussée qui se boucle à tout point de vue font de ce livre un chef d'oeuvre.



La fabrication de l'ouvrage est tout à l'honneur des éditions glénat qui ont réussi là un magnifique codex qui échappe au côté bottin grâce à un soin particulier de la couverture en toilé sérigraphié.



Pour pinailler un peu...



On regrette que, par la suite, cette idéal de la rencontre trouve ses limites dans la fin de l'album, proposant à un peuple réunifié de rester dans un isolationnisme protecteur, une petite limite au propos de rencontre de l'autre. Cependant, la fin offre une ouverture et laisse à entendre que l'auteur n'a pas tout dit.



Le traitement au noir et blanc, nécessaire pour un ouvrage de cet ampleur, ne laisse pas quand même un peu de regret pour un travail de couleur qui pourrait magnifier totalement certaines planches. On se prend à rêver à un effort de colorisation narrative - et non de coloriage- de l'objet pour donner une nouvelle dimension au(x) continent(s) créé(s) par l'auteur.



Enfin, et c'est vraiment du petit pinaillage, le titre est assez peu raccord avec l'ouvrage. LA PROIE... finalement, on se demande qui serait cette proie, certainement pas le héros qui, finalement, sera assez peu pourchassé.



Les autres protagonistes ont effectivement une peur panique du prédateur qui évoluera au cours de l'album (dont le final rappelle un peu le retour à la comté des héros du Seigneur des anneaux, ceux qui savent comprendront).



Mais finalement le concept de Proie est très secondaire dans l'album qui aurait mérité un titre plus chouette que ça. D'autant que c'est un titre finalement assez galvaudé dans la littérature ET dans la bd. Alors tant qu'à faire une oeuvre puissante et originale, pourquoi ne pas aussi lui donner un nom à sa mesure ?



La couverture, quoi que belle par sa fabrication est un peu limitée. Un seul petit dessin présentant le héros dans sa position de départ, allongé sur la place. On sent un choix volontairement minimal qui finalement colle assez peu au résultat choral de l'ouvrage.



Vu les qualités de dessin de David de Thuin, on ne peut que regretter cet espèce de non-choix (si si) qui montre une fois de plus qu'un auteur dessinateur n'est pas forcément un graphiste (han !)



Mais, encore une fois, c'est du pinaillage tant l'album domine totalement toute la production actuelle en proposant un univers cohérent, un propos intelligent et des heures de lectures enthousiasmantes.



Je ne peux que vous encourage à devenir seigneur et maître de cette ouvrage. Et je croise les doigts pour que David de Thuin continue cette œuvre exceptionnelle comme le final nous le fait miroiter.
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Umour de poche 2021

Un extrait des gagmen (et women) qui dessinent à Fluide. Certaines histoires paraissent ultra réalistes (le stage et le contrôle de gestion), loufoques (les pages de Reuze) ou gentiment trash. Certains sont inédits, d'autres déjà parus en album? Un bref concentré de l'humour à la Fluide.
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Zizi la chipie, tome 1 : La cousine d'Amérique

Zizi reçoit sa cousine Barbara, cette crâneuse qui vient d’Amérique et patati et patata.

Cette bande dessinée est totalement loufoque et jubilatoire. On s’attache immédiatement à Zizi, cette petite fille un brin rebelle qui ne se laisse pas faire. On aime ses exubérances et ses idées folles. Du coup le tome se dévore et on aimerait directement avoir le suivant entre les mains.
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Le bois des mystères : Les enfants-hiboux

Des enfants se déguisent en hiboux, se retrouvent piégés par une vilaine sorcière et sont condamnés à des travaux forcés. Comment vont-ils s’en sortir avant leurs quatre-vingts ans ?

L’histoire est simple, et bien mise en place : les jeunes lecteurs pourront ainsi aisément comprendre les enjeux, les personnages, l’objectif. Les rebondissements sont toutefois assez peu nombreux et l’histoire très linéaire. Pour une lecture un peu plus dynamique, on aurait aimé voir un peu d’originalité dans le développement et quelques gags humoristiques un peu plus poussés. Quant au dessin, il est classique et assez soigné : il fonctionne bien avec le genre du scénario.

On peut donc regretter que cette histoire manque un peu d’ampleur mais il est certain qu’elle plaira aux plus jeunes.
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Arthur Minus, tome 1 : L'Ecole des mutants

Un peu fort impressionnant comme bd pour enfants, non? N'ai pas trop aimé, fait pensé au Z de Zorglup (?..)
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Meurtre à la compta

Un plaisir coupable ! Le comptable est decouvert mort dans l'entreprise,et nos deux detectives de choc menent leur 1ere enquete !

Une excellent decouverte pour moi : un humour absurbe, des punchlines toutes les 2 pages. Bref incroyablement drôle (en tout cas pour moi !)

Si vous voulez rigoler, c'est mon conseil du jour !

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Le Roi des Bourdons

J'avais bien envie de lire cette BD depuis un long moment, et j'ai pu dénicher une intégrale à bas prix dans les occasions, ce qui fut parfait pour découvrir l'histoire avec les petits ajustements de l'histoire faits par l'auteur.



L'histoire fait énormément penser à du Trondheim, sans aucun doute, entre les personnages anthropomorphes et le côté très personnel de l’œuvre. On pense à du Approximativement, par exemple, et son côté intimiste, plongée dans la vie d'une personne dessinatrice de BD. Mais à la différence de Trondheim, on a une grosse part de fantastique ici, même si progressivement ce fantastique est bien tempéré par des explications plus terre-à-terre. Explications que j'ai senti en partie venir d'ailleurs, sans que cela ne soit un frein dans la lecture. De toute façon l'ouvrage mérite une deuxième lecture, après les clés de compréhension données, pour tout revoir à l'aulne de cette compréhension là.



L'album se lit assez vite, mais il m'a touché par son aspect très personnel. On sent que l'auteur a mis de lui-même dedans, et que ce dont il parle le touche. C'est une critique du monde d'édition de la BD, mais aussi une histoire sur la maladie et la mort, sur la réussite et aussi une jolie déclaration d'amour à la BD. L'interview donné par le personnage à la fin est assez belle à cet égard.



En somme, j'ai eu grand plaisir à cette lecture. C'est simple et prenant, mais le genre d'introspection que j'apprécie beaucoup lire. On est dans du roman graphique pur jus, mais bien emmené et qui a son lot de surprises. Une BD recommandée, en ce qui me concerne !
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Scopitone

3 petites histoires de Scopitone le mulot et de son quotidien avec ses amis. Entre amitié, aventure et faits de société.



Malheureusement, je suis un peu passé à côté de ma lecture. Je n'ai pas particulièrement apprécié l'humour ou les personnages. Peut-être trop lisses, même si certains sont sensés être caractériels.

Dommage, je suis restée hermétique à cette lecture qui serait peut-être appréciée par d'autres lecteurs.
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De père en fils

Une bande dessinée qui met en scène un père sensible et pédagogue et son fils, Pépin. Chaque fois que Pépin soulève un problème, une difficulté ou qu'il interroge, le père lui raconte une histoire qui va permettre à l'enfant de réfléchir, de trouver une réponse à son inquiétude, ce qui lui permettra d'évoluer ; quelques-uns des thèmes abordés sont l'autonomie, la pensée positive, la vie en harmonie avec ses valeurs, l'importance de ses racines, la capacité à surmonter une situation difficile grâce à son intelligence, l'amitié et bien d'autres encore.

Cette bande dessinée est construite sous la forme d'histoires courtes de quatre planches qui permettent de lire comme bon nous semble : passer une histoire, revenir à l'une d'elles, relire plusieurs fois la même, donc un excellent livre à raconter à ses enfants le soir avant de s'endormir pour la forme et le contenu qui aborde des sujets cruciaux pour les petits comme pour les plus grands. Je recommande vivement.
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De père en fils

Dans des histoires courtes de 4 pages chacune, Arthur, le père, essaie de faire passer des messages sur la vie à son fils, Pépin. Souvent sur le ton de l'humour, mais parfois aussi par le biais d'histoires émouvantes, mais toujours avec fantaisie, car le papa est un homme sensible et un peu poète sur les bords. Il n'échappe cependant pas aux répliques cinglantes de son fils qui sait prendre du recul face à ses récits improvisés. Malgré tout ça, à la fin de la lecture, il ne subsiste peut-être qu'une seule chose : la tendresse inaltérable entre un père et son fils.



Cette BD a été une magnifique découverte!j ai adoré...

Ce papa tout en rondeur s'occupe seul de son fils, longiligne.

Les histoires inventées ou non par Arthur sont belles, quelque peu naïves (mais non niaises, absurbes), pleine de respect, de tendresse et d'amour.

Le cycle de la vie est bien montré, le respect de la nature est mis en avant.

Mais ce qui est mis en lumière est la transmission entre ce père au cœur tendre et son fils à la parole parfois acide!

A travers ses histoires, Arthur distille des leçons de vie, des conseils et des preuves d'amour à son fils.

Les dessins sont également superbes, en harmonie avec les textes.

En résumé : des fables de La Fontaine version 2022 et en mode graphique!

Merci Babelio pour cette belle découverte
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Zizi la chipie, tome 1 : La cousine d'Amérique

Cette BD ne m'a pas convaincu, tant par l'histoire que par les couleurs.

Le scénario est trop abracadabrantesque : la cousine de Zizi s'enfuit, prend l'avion seule pour retourner à Los Angeles, et Zizi la suit. Sans billets, sans rien pour Zizi, les deux fillettes arrivent en Amérique... Ne prenons pas nos enfants pour des imbéciles !
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