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Critiques de Deborah Elmalek (39)
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La saveur de nos vies

Le monde de Jacques Kahn, grand chef étoilé ambitieux, bascule lorsqu’il est mis en examen puis écroué pour malversations financières. Les répercussions de son emprisonnement brisent l’équilibre instable sur lequel reposait sa famille. Catherine sa sœur, Estelle sa deuxième femme, Vanessa sa cadette fragile et Eva sa fille aînée, avec laquelle il a des relations tendues vont se battre pour lui. Et quand tout s’écroule, il n’est pas rare que des secrets fassent surface, pour le meilleur ou pour le pire...

Le rythme est rapide, l’histoire avance, comble notre avidité d’en savoir plus, de comprendre, de dénouer les intrigues. Deborah Elmalek nous offre dans son premier roman une galerie de personnages tous plus attachants les uns que les autres.

J’ai aimé les détails précis de la machine judiciaire et du travail des avocats, et l’histoire d’amour ! Elle était si fraîche au milieu de la situation dans laquelle sont englués tous les personnages.

Au final une belle chronique familiale qui peut nous faire réfléchir sur nos propres rancœurs familiales...est-il nécessaire d’attendre un cataclysme pour renouer des liens ? Pour se dire que l’on s’aime ?
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La saveur de nos vies

Il s'agit d'un premier roman de l'auteure, qui nous propose ici une histoire agréable et des personnages plutôt sympathiques 😍

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L'écriture est simple, parfois un peu trop à mon goût mais la lecture est fluide et entraînante, comme je l'aime 😁

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J'ai passé un très bon moment avec tous les membres d'une famille "formidable" dont l'harmonie va un beau jour voler en éclat !

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En effet lorsque Jacques Khan , le patriarche, grand chef étoilé, mondialement connu, est jeté en prison pour une transaction des plus suspecte, c'est toute la famille qui se retrouve au cœur d'un véritable tourbillon judiciaire 😱😱

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Cet événement sans précédent sera le point de départ de nombreuses révélations : secrets de famille, non-dits, rancœurs....

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Une bien jolie saga familiale 😍😍
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La saveur de nos vies

Jacques Kahn, est un chef multi étoilé, voulant toujours plus il achète un un hôtel à Marseille. Il est accusé de blanchiment d'argent avec cette transaction.



Eva une de ses filles les plus distante, galeriste à Paris, se retrouve soudain au beau milieu de cette histoire sans savoir pourquoi.



Quel secret lui cache son père et cette famille, voulant faire la lumière sur les affaires de son père, elle va faire des découvertes et rencontrer le grand amour.



🌾Mon avis 🌾

J'ai passé un très bon moment avec ce livre. L'écriture de @deborah_sportes_elmalek est fluide et agréable.



On est rapidement plongé dans un saga familiale, qui nous rappelle celles que nous avions avant l'été à la télé.



De bons ingrédients sont réunis, des secrets, la famille, les amis.



Le personnage de Eva est très attachant, une femme menant de front une belle carrière,ses enfants, le combat pour la vérité et qui rencontra l'amour.

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La saveur de nos vies

Jacques nous est présenté comme quelqu'un d'égocentrique, qui fait ce qu'il a à faire uniquement pour faire avancer son business. Il pense que tout peut s'acheter y compris l'amour de ses proches. Eva, sa fille aînée, est elle propriétaire d'une galerie qui commence à être réputée. Elle est divorcée et a deux enfants.

Très vite on sent que le lien entre les deux est tendu. Jacques essaie maladroitement de créer du lien avec sa fille mais ça ne fonctionne pas. Elle reste distante. Au fil de la lecture, on sent qu'Eva à du mal à faire confiance aux hommes et tout finit par s'expliquer.

Les malversations de Jacques pour atteindre son ultime but vont le conduire en prison (je ne spoile rien, c'est sur la 4eme 😜) ce qui impliquera un gros bouleversement pour son empire mais aussi pour son entourage. Eva se retourne mêlée de très prêt à cette histoire et gère d'une main de maître le sort de chacun des membres de sa famille. Au fil de l'enquête, menée par les avocats de Jacques, des secrets enfouis depuis plusieurs décennies vont éclater. L'homme '' puant'' du début se révélera plutôt fragile. Il n'a pas toujours fait les bons choix mais il les assume, enfin avec plus ou moins de nons-dits.



J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman, le 1er de l'auteure. L'écriture est fluide. Les détails sont donnés par petites touches et de manière très habile. Ce qui donne envie de lire la suite. J'aime beaucoup ces histoires basées sur des secrets de famille où les langues se délient petit à petit. Ces histoires où l'on s'aperçoit que finalement les secrets n'étaient pas secrets pour tous... Si on ajoute à cela une romance légèrement torturée, voilà le combo parfait pour une bonne lecture.
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Quand je chante on ne me regarde pas, on m'..

Quand je chante on ne me regarde pas, on m’écoute.



Élisa chante le jazz. Elle le chante le soir, après son travail de libraire. Elle le chante et enfin prend vie. Élisa a été tellement maltraitée psychologiquement par sa mère, dénigrée, n’a jamais reçu d’amour de celle qui aurait dû lui en offrir tant.

Heureusement, elle a su s’entourer de personnes formidables pour tenir le coup.

Quand la vie décide de mettre des remous à son quotidien, ce sont des événements et ses blessures que vous lecteurs allez découvrir.



Ce roman est une palette émotionnelle intense.

Des tons sombres, comme l’enfance qu’Elisa a subi, devant cette mère rigide, dépourvue d’amour, dont elle a reçu tellement d’uppercuts que j’en ai le cœur serré.



Des tons neutres, qui lui ont fait faire des choix plutôt par déconvenues, car de toute façon, méritait-elle mieux ?



Des tons lumineux, grâce à ceux qui sont venus illuminer sa vie. Et l’aider à cheminer vers sa reconstruction.



J’ai adoré la construction de son personnage cabossé, et suivre son évolution. Je me suis beaucoup attaché à elle, telle une amie.



J’ai aimé son entourage amical, devenu sa famille, celle qu’elle a choisi et qui lui apporte tant.



J’ai aimé la place de la musique, qui a des vertus thérapeutiques, comme le jazz qu’Elisa a dans la peau depuis toujours, et qui lui permet d’être elle-même lorsqu’elle chante, se libérant ainsi de ses démons.



Autour de secrets familiaux, d’amour et d’amitié, Déborah nous propose un roman bouleversant et difficile à lâcher. Je l’ai dévoré. J’ai aimé le message d’espoir porté par cette histoire.

Je vous conseille vivement de le lire.
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La saveur de nos vies





Jacques Kahn est un célèbre chef étoilé.

Lorsqu'il est arrêté pour blanchiment d'argent, c'est toute sa famille qui se trouve entachée par le scandale.

Sa fille Eva devra malgré elle faire la lumière sur cette affaire avec l'aide du bel avocat ; Sacha.

Depuis longtemps, Eva en veut à son père ; sa mère est partie alors que sa petite sœur et elle n'étaient que des enfants et Eva en sait bien plus qu'elle ne devrait.

Ce livre plonge le lecteur dans des secrets de famille étourdissants.



C'est un court roman qui se lit facilement que nous propose ici l'auteure. Je trouve néanmoins les dialogues un peu brouillons et l'écriture un peu dénuée d'émotions.



Je suis assez détachée des personnages auxquels je ne m'attache pas tellement.



Le récit me plaît et je passe un bon moment avec ma lecture malgré les quelques bémols énoncés plus haut. Néanmoins, je trouve la fin un peu moins aboutie, travaillée.



Je vous conseille, à votre tour, de découvrir le premier roman de l'auteure.







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La saveur de nos vies

Pour vous planter le décor, il s'agit d'une saga familiale qui s'articule autour de Jacques Kahn, chef multi-etoilé qui se voit pris dans la tourmente lorsqu'il est accusé de blanchiment d'argent.

On suit principalement l'une de ses filles, Eva, qui en cherchant à lever le voile sur l'affaire rencontre l'amour et déterre quelques secrets de famille.



J'ai apprécié l'écriture fluide de l'autrice. Les nombreux dialogues permettent de se plonger dans l'histoire rapidement et facilement.

L'objet livre est, quant à lui, sobre et élégant. Pour moi il est de la bonne longueur, compte tenu de l'intrigue qu'il recèle.

Je m'attendais à ce que l'histoire tourne davantage autour du milieu culinaire mais ce n'est pas du tout le cas. En ce qui me concerne, j'aime autant, mais il faut le souligner.

La seule note dérangeante, de mon point de vue, réside dans plusieurs répliques de sexisme ordinaire (dessin animé pour les filles et pour les garçons, par exemple).

Sans cela, la lecture est rapide et agréable.

Si vous cherchez une saga familiale sur fond d'art et de cuisine, vous avez trouvé !
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La saveur de nos vies

Découvert sur instagram j'ai lu le livre de Deborah dans le cadre d'un Sp. Il s'agit d'un premier roman. On y découvre eva galeriste parisienne dont le père Jacques Kahn est un célèbre pâtissier étoilé. Alors qu'il vient de faire l'acquisition d'un hôtel à Marseille il est arrêté puis incarcéré. Le monde d'éva s'écroule. Bien que distante de son père elle va tout faire pour que la vérité éclate. Ce roman aborde des thèmes forts les secrets de famille la force des liens l'acharnement de la justice la vengeance la solidarité familiale. L'intrigue est prenante, l'écriture fluide. J'aurais aimé sur la fin quelques pages supplémentaires pour mieux appréhender la réaction des personnages après cette issue et peut être aussi une psychologie des héros plus approfondie. Ce fut toutefois une lecture agréable et prenante que je recommande
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La saveur de nos vies

Je me suis frotté à un style plus "classique" avec ce livre. Et j'en ressors convaincue avec un petit bémol.

La petite histoire d'abord : Jacques est un homme connu et très respecté dans le domaine de la cuisine, il s'est fait tout seul, à la sueur de son front, et il mérite amplement le succès qu'il a aujourd'hui.

Mais voilà sous cet homme qui dans les médias est dépeint comme l'homme parfait, se cache un homme très peu présent pour ses enfants (surtout pour Eva), assez calculateur, qui aime un peu trop voir son image partout et surtout qui ne se contente jamais de ce qu'il a déjà et veut toujours plus.

C'est d'ailleurs ce besoin de posséder toujours plus qui va le pousser à signer un prêt avec une agence pas très nette et qui va le conduire tout droit en prison...

Et purée je l'ai DÉ-TE-STER ce type, mais quand je dis détester, je pèses encore mes mots mdr. Il a été insupportable pendant quasiment tout le livre. Et aussi bizarre que cela puisse paraître, c'est ce qui m'a le plus plu, de le haïr lol.

Il est imbu de lui-même, il a des réflexions envers sa famille qui sont inadmissibles, il ne réalise pas le mal qu'il fait, la tristesse de son entourage, les conséquences que ses actes peuvent avoir sur eux... et j'en passe.

L'auteur a réussi à me mettre hors de moi quand je lisais certains passages.

Et pour autant mon bémol est sur l'histoire globale, parce qu'à part ne pas voir en peinture Jacques, je n'ai pas trouvé quelque chose d'autre qui m'a assez accroché pour que j'aime réellement ma lecture. Ça manquait d'un petit truc mais je ne sais pas trop quoi.

Eva était un personnage assez chouette même si elle avait certaines réactions complètement puériles.

Le reste de la famille était présent mais sans trop l'être non plus.

Le point central était Jacques et on peut dire que ce personnage est plus vrai que nature (comment ça je vous parle ENCORE de lui ? Lol).

En bref je ne sais pas si je vous le conseille simplement pour que vous aussi vous puissiez passer vos nerfs sur un perso ou si je vous le conseille pour vous prouvez que même votre propre père peut vous mettre dans la panade au calme et n'en avoir rien à faire. Donc qu'il faut vraiment se méfier de tout le monde. Lol. À vous de choisir.
Lien : http://tchusspeacekisslovalo..
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La saveur de nos vies

Il n’y a pas que les mets raffinés que l’on met sous cloche… Il y a parfois aussi ces secrets trop lourds à assumer, comme ceux que cache Jacques, Chef étoilé que l’on s’arrache jusqu’à l’Elysée.

Jusqu’à ce que son passé le rattrape au détour d’un montage financier plus que douteux auquel il a cédé pour nourrir ses ambitions, et surtout son égo surdimensionné, au prix d’une note qui s’avèrera bien salée.

Finis les honneurs de la gloire et des paillettes, place à la noirceur et à l’anonymat du milieu carcéral dans lequel Jacques plonge à la faveur d’une juge bien décidée à lui faire payer cet écart.

Il est alors temps pour lui de relever la cloche et de se mettre à table… au risque de tout perdre, à commencer par les siens, entrainés bien malgré eux dans sa descende aux enfers.

Une plume agréable et fluide, des personnages principaux comme secondaires attachans pour un premier roman réussi.

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La saveur de nos vies

Clairement je l’ai dévoré !

On se retrouve au milieu de secrets de famille, d’affaires pro pas très claires, de financement occulte ...

On sent l’urgence de rétablir la vérité afin de faire sortir le patriarche de prison. Entre révélations, règlements de compte familiaux tout s’enchaîne, ce qui rend cette lecture addictive. Et la petite romance dans l’air ne gâche rien. Je me suis plongée de suite dans ce récit, et je me suis sentie bien aux côtés de cette famille un peu "Dallas" avec toutes ses casseroles (enfin les casseroles de Jacques = 🧑‍🍳, ok je sors). Un premier roman réussi !
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Quand je chante on ne me regarde pas, on m'..

Ce deuxième roman de l'auteure est une belle lecture touchante.



Elisa n'a pas eu une enfance facile. Sa mère l'a toujours rabaissée, lui faisant perdre toute confiance en elle et la rendant mal dans sa peau. Son échappatoire ? La musique. Elle possède un vrai talent et met toutes ses émotions quand elle chante.



Ce roman m'a fait passer par une palette d'émotions. Si J'a été touchée par le personnage d'Elisa, bouleversée a la lecture de certains passages, j'ai aussi été révoltée fae à l'attitude de sa mère.



J'ai aimé les amis d'Elisa et j'ai trouvé qu'ils formaient une jolie famille. Unis, ils passent les épreuves de la vie ensemble, en se soutenant les uns les autres.



Même si j'avais deviné certaines choses vers la moitié de ma lecture, je n'en ai pas pris moins de plaisir à aller au bout de ce roman.



De nombreux rebondissements ponctuent ce récit, il n'y a aucun temps mort et on ne s'ennuie pas. La plume de l'auteure est fluide et très agréable à lire. Les pages s'enchaînent, ce livre se laisse dévorer. Déborah aborde les sujets du harcèlement moral, des relations familiales difficiles, de la maladie. J'ai aimé la belle place qu'a la musique, et le jazz particulièrement, dans ce roman.



Si vous aimez les romans aux secrets de famille je vous invite à découvrir cette très belle histoire, ainsi que le premier roman de l'auteure que j'avais beaucoup aimé.
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La saveur de nos vies



J’ai commencé ce roman et je n’ai pas pu le lâcher, j’avais besoin de connaitre la suite.

Ce roman nous amène dans une intrigue judiciaire et on s’aperçoit du travail qui a dû être fait en amont par l’auteure pour donner des détails, qui en font un roman crédible.

Je suis entrée dans l’histoire comme on entre dans un film. Ce livre est bien rythmé, l’intrigue est bien menée. Il s’agit du 1er roman de l’auteure, et pourtant il est bien écrit et se lit facilement. On retrouve cependant la timidité du jeune écrivain, surtout dans la 3ème partie du livre, où les dialogues sont un peu moins fluides et auraient pu être incrustés à l’histoire sans avoir à préciser « Elle dit ».



En résumé j’ai lu ce roman en un week-end. Les dialogues, le rythme du roman et les chapitres courts en font un livre facile et agréable à lire. Un bon premier roman, un début prometteur pour la suite 🌻🌻🌻
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La saveur de nos vies

L’auteure nous propose une histoire de famille particulière, où règne le mensonge et l’apparence... jusqu’au jour où cet empire s’écroule. La vie de ce chef cuisinier reconnu et médiatisé va basculer ; prêt à tout, ses actes lui vaudront un séjour en prison. Eva, la fille de Jacques, va se retrouver mêlée à cette affaire, à son insu. Le lecteur découvrira aussi au fil de la lecture une histoire sentimentale, peu banale, entre non-dits et envies inavouées.



L’écriture est fluide et concise. Le livre se lit facilement, avec ce suspens qui nous tient en haleine et qui nous donne envie de découvrir le fin mot de l’histoire.



Les secrets de famille éclatent toujours tôt ou tard, laissant amertume, colère, incompréhension... C’est une histoire de fierté, de volonté d’impressionner, d’apparence ou simplement... une envie irrépressible d’aller à la conquête des rêves les plus fous quelque soit le prix à payer !



L’auteure met habilement en exergue des réflexions sur la saveur de nos vies. Le plus simple est parfois le plus apprécié. Les personnages principaux sont opposés, et tendent à redonner de l’humanité aux faits et gestes de chacun.



Ne vous laissez pas tromper par les apparences... La confiance se mérite.



Un livre à découvrir !
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La saveur de nos vies

La saveur de nos vies de Deborah Elmalek.



Guidée par le titre, je m'attendais à une lecture plus gaie que ce que en réalité c'était pour moi.



Le plume de l'autrice est fluide et grâce à ça la lecture se fait facilement mais, la vérité c'est que au bout d'un moment, l'histoire devient lassante.



Les personnages sont exaspérant ! Les uns plus énervants que les autres, malheureusement j'en n'a pas trouvé un pour m'accrocher. J'ai trouvé très compliqué de s'identifier avec eux, j'ai même eu du mal à présenter un peu d'empathie, enfin, je ne les ai pas apprécié.



L'histoire démarre bien sauf que au fur et à mesure qu'on avance, l'histoire tourne en rond, j'avais l'impression que c'était toujours la même chose mais avec des mot différents dans des situations ressembles.



J'ai comme même lu jusqu'à la fin car ma curiosité piqué, je voulais savoir le dénouement de la histoire.

Malheureusement ça n'a apporté quelque chose de plus.



Comme je disais, j'imaginais quelque chose de plus gaie et l'histoire si je la mettait dans une palette des couleurs, les nuances resteront dans le gris.



Je trouve qu'il y a des événements à développer, les personnages aussi car on reste plat sur leur personnalités et on n' arrive pas à comprendre pourquoi ils sont comme ça.



La trame n'est pas mal mais il manque des hauts car j'ai eu l'impression que c'est que du bas dans l'histoire.



C'était compliqué d'écrire mon avis et je l'ai énormément réfléchi mais je veux rester honnête.

L'histoire ce n'était pas pour moi.

Je remercie comme même Deborah Elmalek pour l'opportunité de lire son roman.

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La saveur de nos vies

Hannah est fière de son grand-père. Le célèbre chef cuisiner irradie dans la célèbre émission de télévision Top Chef. Il faut dire que Joseph Kahn enchaîne les succès: les restaurants, les livres, les émissions télé. Tout semble lui réussir. Et son ambition ne s’arrête pas là. Il veut absolument ouvrir un hôtel restaurant à Marseille. Son rêve depuis des années. Pourtant la banque refuse de lui prêter l’argent nécessaire. Il faut dire que ses dernières années, Joseph a eu les yeux plus gros que le ventre. Mais loin de le décourager, ce refus va le motiver à chercher une autre solution pour emprunter de l’argent. Et pour cela, il va même jusqu’à faire signer à l’aveugle des papiers à sa fille….



S’ensuivent alors des jours pendant lesquels nous allons découvrir ce que cache cette famille. Des jours pendant lesquels les secrets et les non-dits vont valser. Et au milieu de toute cette agitation, une figure féminine : Eva, la fille du patriarche. Entre Eva et Joseph, la relation a toujours été houleuse, le père et la fille n’ayant jamais réussi à communiquer.



Eva a tout de la femme froide et courageuse. Je n’ai pas réussi à m’attacher à ce personnage qui est extrêmement contrôle-freak. Eva est divorcée et a du mal avec les relations humaines. C’est une femme qui a réussi sa vie professionnelle au détriment de sa vie personnelle. Contrairement à sa sœur beaucoup plus fragile, Eva a toujours tout encaissé sans rien laissé paraitre…



L’écriture est habile et fluide. Déborah Elmalek nous immerge au sein d’une famille aisée, célèbre et qui pourtant cache de nombreuses fêlures. J’ai vraiment aimé cet aspect psychologique et cette tension narrative qu’il pouvait y avoir.



J’ai noté toutefois quelques longueurs vers la fin du roman. L’épilogue était proche et je voulais rapidement savoir quel allait être le futur de Jacques.



Je conseille?



Cette lecture a été très agréable. J’aime beaucoup les secrets et les non-dits dans les familles. Et là j’ai été servie! Un premier roman prometteur.
Lien : https://ladybookss.wordpress..
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La saveur de nos vies

Voilà une lecture que j'ai adorée. Le thème, le style, les personnages, tout m'a plu.



Difficile que de se plonger dans une famille qui semble en apparence normale mais qui au final recèle de nombreux secrets.



Le grand père est un chef cuisinier étoilé, qui a mis sa passion de cuisiner de côté pour développer son côté entrepreneur, businessman.



Mais comme tout le monde le sait, le monde des affaires est très complexe et surtout certaines personnages sont peu scrupuleux.



Les filles de Jacques Kahn, ainsi que sa femme vont découvrir à leur insu l'envers du décor et devoir en supporter les conséquences.





La construction de ce roman est particulièrement réussie et permet au lecteur de rentrer dans l'histoire dès les deux trois premières pages. Vous parviendrez sans trop de mal à vous sentir proche de l'un ou de l'autre des protagonistes.



L'ambiance est particulière car je n'ai lu que peu d'histoire tournant autour d'un chef cuisinier qui va voir sa vie basculer.



Ce récit vous tient en haleine et se lit en peu de temps tellement l'impatience de découvrir le dénouement est grand, mais également les nombreux secrets de famille qui remontent petit à petit au plus grand dam des filles de Jacques.



Un seul secret restera néanmoins enfoui dans la mémoire de quelques personnes.



Le rythme insufflé par l'autrice se ressent à chaque page, à chaque dialogue, et l'amour familial finira par l'emporter. Mais pas de manière aisée.



Chacun va devoir s'ouvrir et relâcher ses émotions pour appréhender le combat de cette personnalité qui devient peu à peu un monsieur tout le monde face à une juge exigeante.



Je vous conseille cette lecture que j'ai vraiment adorée.
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La saveur de nos vies

Ce n’est habituellement pas mon style de lecture mais j’ai beaucoup aimé !

J’ai parfois été déstabilisée par l’utilisation de phrases très courtes et simples mais je m’y suis fait finalement !

Je me suis attachée à cette famille et à ce clan soudé et très féminin.

Une chouette découverte !

D’ailleurs, les problèmes financiers en moins, ça m’à un peu fait penser au cahier de recettes de Jacky Durand.
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La saveur de nos vies

Je remercie l’auteur pour cet envoi car je peux déjà vous dire que j’ai aimé ce que j’ai lu.

Déjà la couverture est magnifique, sobre et élégante. La 4ème de couverture ne nous en dévoile pas trop mais suffisamment pour avoir envie d’en savoir plus. Et d’ailleurs pour en savoir plus, j’ai quand même regardé un de ses live.

Ensuite dès le début du roman, je me suis très vite attachée au personnage principal d’Éva. Elle mène sa vie avec brio, c’est une maman attentive, une ex-épouse conciliante mais quel caractère ; quand elle explose, on ressent toute l’ambivalence de ses sentiments et de ses émotions qui la consument.

Et ce père, surexposé, qui l’embarque dans ses excès malgré elle, font resurgir une rancœur qu’elle avait plus ou moins réussi à étouffer même si elle gardait ses distances. Et là aussi tout part à vau l’eau.

Vous l’aurez compris, les liens qui tissent cette famille, car il y a aussi le cousin, la tante, la belle-mère, la sœur, etc…, mais aussi les liens amicaux forts et protecteurs, sont omniprésents dans ce roman.

Les émotions se font aussi la part belle et c’est ce qui donne à ce roman son pouvoir de lecture addictive : vous aurez envie de savoir, vous souffrirez des non-dits et vous serez émus de l’amour qui les lient.

Je m’arrête là sinon je vais vous spoiler !!!

Bonne lecture

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