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Citations de E.L. Todd (518)


Les filles nous apportaient en général une touche de lumière au quotidien. Soit elles avaient décoré le bureau de fleurs fraîches, soit elles avaient apporté d’agréables nouveautés pour faire joli dans nos restaurants… Initiative qu’aucun de nous, les mecs, n’aurait prise tout seul.
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J’avais envie qu’elle ne soit qu’à moi. De ne la partager avec personne. Et peut-être même qu’on finirait par se rapprocher, et qu’elle ne voudrait plus partir.
Certes, je prenais mes rêves pour la réalité, mais on avait bien le droit de rêver, de temps à autre, non ?
Et quel joli rêve.
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Notre relation est déjà trop compliquée. Et ça ne ferait que la complexifier davantage. Personne ne s’en sortira indemne.
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Je déversai tout en elle, avec la ferme intention de m’assurer qu’aucune goutte ne lui échappe. Je voulais qu’elle dorme pleine de moi, et qu’il ne s’échappe d’entre ses jambes que durant sa douche, pour qu’elle pense à moi.
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Elle me suppliait de déverser ma semence en elle, comme si je n’étais pas déjà impatient de le faire. Je me mis à la pénétrer encore plus fort, insérant tout mon membre à chaque fois.
— Ça vient…
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Un seul élan, profond, et je m’enfonçai complètement jusqu’à ce que mes boules viennent se caler contre ses fesses. Je me relevai tant bien que mal, toujours en elle, tous mes sens embrasés d’un puissant feu. Je n’avais aucune envie de bouger, c’était si bon. Une seule envie m’habitait, soit de déverser tout mon foutre en elle, mais je devais d’abord la satisfaire.
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Aucun mot n’est assez fort pour décrire la haine que je porte à Evan, et si je pouvais le renverser en voiture, je te garantis que je le ferais sans hésiter. C’est pour dire !
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Je ne m’étais jamais sentie aussi perdue de toute ma vie. J’étais amoureuse d’un homme qui ne me voyait que comme une poupée gonflable, une chaudasse à côté de laquelle il ferait bon dormir. Et l’homme qui m’avait trahie autrefois voulait revenir à mes côtés, même s’il ne le méritait pas. La vie simple des autres me faisait parfois rêver.
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Quand j’avais dit aux gens que je voulais devenir enseignante alors que j’avais un diplôme de chimiste, ils m’avaient prévenue que c’était gâcher mon potentiel. J’aurais pu gagner bien plus en travaillant dans un labo ou en faisant de la recherche. Mais ça ne m’intéressait pas. J’avais toujours eu une passion pour l’enseignement – et encore plus pour les enfants. Rencontrer quelqu’un qui partageait mes opinions était profondément rassurant.
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Je ne voulais pas la blesser, donc la pousser à sortir avec quelqu’un d’autre serait une meilleure manière d’accomplir mon objectif.
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Mon attirance initiale n’avait été que physique. Maintenant que je le connaissais un peu plus, j’avais compris qu’il n’était pas mon style. Il était le genre d’homme qui n’avait aucune intention de se caser, ne cherchait pas de relation amoureuse et brisait des cœurs comme il changeait de chemise.
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Elle n’était pas du tout le type de femme qui m’attirait généralement. J’aimais les femmes avec des robes courtes, des cheveux épais et perchées sur des talons qui leur donnaient presque ma taille. J’aimais les filles allumeuses et sexy, celles qui enfonçaient leur langue dans ma bouche dès qu’elles avaient posé les yeux sur moi.
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Je la trouvais jolie, comme la plupart des femmes, mais je la trouvais également gourde, godiche. Quand je l’avais rencontrée la veille, elle n’avait pas pipé mot et s’était contentée de me dévisager. Si elle ressemblait aux autres amies de Natalie, elle était du genre obsessionnel et pot-de-colle.
J’avais appris à éviter ce genre de femmes il y a longtemps.
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Un des aspects de mon boulot était de comprendre les émotions humaines sans poser de questions. Pour aider mes étudiants à réussir, je devais deviner leurs besoins sans qu’ils aient besoin de m’en parler.
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L’image que je m’étais faite de ma demande se cassa comme une brindille sèche. Le rêve explosa en mille morceaux, brisé pour toujours. La douleur qui me brûlait de l’intérieur était agonisante. Je n’avais jamais rien ressenti de tel. Je préférerais de loin une jambe cassée ou une côte fracturée.
Et pourtant, je n’étais toujours pas furieux.
Je me sentais stupide.
Ridicule.
Et nul.
J’avais tous les droits de les interrompre et de leur dire le fond de ma pensée. J’avais tous les droits de piquer une crise et de sortir en trombe. J’avais tous les droits de lui dire ce que j’avais sur le cœur.
Mais je ne voulais faire aucune de ces choses.
Parce qu’à cet instant, je réalisai que mes sentiments importaient peu. Si elle m’avait fait ça, alors je ne signifiais rien pour elle. Chaque baiser, chaque caresse, n’avait été qu’un simulacre. Nous avions joué à faire semblant.
Pourquoi se soucierait-elle de moi à présent ?
Elle ne méritait ni mon temps ni mon chagrin. Traitez-moi d’homme orgueilleux ou obstiné, mais je n’allais pas laisser cette femme découvrir le mal qu’elle m’avait fait. En fait, j’allais la blesser bien plus qu’elle ne m’avait blessé.
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Je continuais à les regarder, incapable de croire ce que je voyais de mes propres yeux. Je tentais d’être logique et de lui accorder le bénéfice du doute. Peut-être était-ce un élan d’affection entre deux amis proches. Mais à chaque baiser, cette possibilité s’évanouissait. Ça ne ressemblait même pas à un plan cul.
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J’avais une bague de fiançailles hors de prix en poche et une question à poser. En m’imaginant sur un genou, je me sentis excité. Ses yeux bleu vif deviendraient encore plus brillants, et la même joie qui brûlait dans mon cœur exploserait comme un feu d’artifice dans son sourire. Au lieu d’avoir peur, je me sentais motivé.
Je traversai la rue au feu vert, puis m’approchai de l’entrée du bar. Je n’y avais jamais mis les pieds, mais c’était ce qui me plaisait à Manhattan. Vous pouviez vivre dans cette ville toute votre vie sans en expérimenter toutes ses facettes.
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J’étais un étalon fougueux qui ne pouvait être dompté. L’appel de la liberté tintait dans mon cœur comme une cloche puissante. L’avenir n’avait aucune prise sur moi car je ne regardais jamais au-delà du jour qui se levait. Je vivais dans le moment présent, le goûtant et le sentant dans mon sang.
Jusqu’à ce que je la rencontre.
Elle m’avait ancré avec la force de la pesanteur. Comme si elle avait la capacité de déplacer des montagnes et de les dominer, elle m’avait remis à ma place.
Et je n’en bougeai plus.
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En repensant à notre amitié, je me rendis compte que j’avais toujours été là pour lui. Que ce soit pour repasser ses vêtements ou pardonner ses erreurs, j’avais toujours été à ses côtés. Même quand il m’avait complètement ignorée alors que je lui confiais mes angoisses. En cet instant, je compris qu’il ne m’avait jamais aimée. J’avais juste été un coup facile.
La vérité était trop dure à accepter. Je fermai les yeux et me forçai à penser à autre chose, n’importe quoi. Je savais que je devais partir, fuir cette ville méprisable et les gens qui m’avaient blessée. Je méritais mieux que ça. Je devais sortir de là.
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J’ignorais totalement que je pouvais être aussi attiré par une femme que j’avais vue dégobiller, piquer une crise, se ridiculiser ou manger un hot-dog qui était tombé par terre. Elle était incroyablement sexy. Notre coup d’un soir m’avait vraiment remonté le moral.
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Normandie : 1870

"Pendant plusieurs jours de suite des lambeaux d’armée en déroute avaient traversé la ville. Ce n’était point de la troupe, mais des hordes débandées. Les hommes avaient la barbe longue et sale, des uniformes en guenilles, et ils avançaient d’une allure molle, sans drapeau, sans régiment. […] Les Prussiens allaient entrer dans Rouen, disait-on." [...] Il y avait cependant quelque chose dans l'air, quelque chose de subtil et d'inconnu, une atmosphère étrangère intolérable, comme une odeur répandue, l'odeur de l'invasion. Elle emplissait les demeures et les places publiques, changeait le goût des aliments, donnait l'impression d'être en voyage, très loin, chez des tribus barbares et dangereuses." La débandade de l'armée française, l'occupation prussienne en Normandie, le cortège des horreurs de la guerre de 1870 servent de motif à de nombreux contes et nouvelles de Maupassant où sa férocité s'exerce avec maestria dans la plus connue et réussie de toutes dont le titre est le sobriquet de l'héroïne principale : "Boule de Suif". Mais quel est l'état-civil de Boule de suif dans le récit ? 👩‍🦰👩‍🦰👩‍🦰

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Thèmes : guerre , Guerre franco-allemande (1870-1871) , littérature , nouvelles réalistes , contesCréer un quiz sur cet auteur

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