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Citations de Elizabeth Hoyt (105)


_ Merde , voilà les flics locaux, jura John, il ne manquai plus que cela.
_Ils ont pris leurs temps, constata Turner en regardant sa montre.J'ai appelé le 911 il y a une heure .
Il y eut un court silence.
_Vous avez appelé la police !...
..Je suis un agent du FBI et vous avez appelé les flics pour qu'ils viennent m'aider?
_ Les agents du FBI peuvent être tués eux aussi.
_Agent Spécial, précisa John...
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_ Ah, les poivrons ... je parie que vous aimez la salsa vraiment très HOT.
_ Plus c'est HOT meilleur c'est.
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Jamais plus elle n'aurait une pareille occasion. Elle le savait parce que ça faisait quatre ans qu'elle attendait cet instant . Turner sourit intérieurement en palpant la clé à travers le papier.
C'était à son tour de braquer la banque.
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— En vérité, je ne sais plus quelle sorte d’homme je suis. C’est comme si j’avais été fraîchement démoulé et que j’étais encore trop brûlant pour évaluer ma consistance. Mais je sais une chose : quelle que soit la créature que je suis devenue, je suis à vous. Aidez-moi, Lily. Donnez-moi la forme que vous souhaitez et ranimez le souffle de vie en moi.
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— C’est le capitaine James Trevillion. Mon frère l’a désigné comme mon garde du corps, et il est enchaîné à moi comme un chien à un morceau de pâté.
— Je pense plutôt à vous comme à une tarte aux pommes, milady, murmura le capitaine Trevillion.
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— Chuut, murmura-t-il en lui caressant le visage.
Il y avait des gens dans la pièce d’à côté, Lily le savait et n’en avait cure. Elle se cramponna aux épaules Apollon, rêvant de le sentir nu contre elle, et qu’il redevienne Caliban l’espace de quelques instants.
C’est alors qu’il la souleva et l’assit sur une petite table qui vacilla sous son poids. Il lâcha un juron, puis lui retroussa ses jupes et glissa la main entre ses cuisses. Il alla droit au but, glissa les doigts entre les pétales de son sexe sans autre préambule, comme s’il avait tous les droits.
Lily gémit de nouveau.
— Chut ! l’admonesta-t-il.


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Avez-vous remarqué qu'une fois que l'on a goûté à certains plaisirs ( la gelée de framboise est l'un des miens), il devient pratiquement impossible d'y renoncer, de ne pas rêver d'en prendre une autre cuillerée.
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Certaines femmes sont prêtes à vendre leur bébé pour une gorgée de gin. Et des hommes volent et tuent pour une bouteille. Le gin est une lèpre qui finira par réduire la ville à néant si sa progression n'est pas enrayée. Cette maudite boisson doit être combattue avec la même vigueur qu'une maladie contagieuse.
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— Que c'est romantique, tonna une voix.
Le Vicaire et une demi-douzaine de ses hommes venaient de sortir de la prison juste derrière le petit groupe formé par Silence, Harry et Bert.
[spoiler]Harry n'eut pas le temps de pivoter qu'il se retrouva cloué au sol. Bert recula comme deux hommes braquaient leur pistolet sur lui. En un clin d'œil, Charlie referma la main sur la nuque de Silence comme s'il s'agissait d'un chien. Elle tenta d'agripper les doigts qui la meurtrissaient, et chercha, affolée, le regard de Mickael.
— C'est ta dame, Mickey? demanda le Vicaire. Non. Non.
Du sang coulait de la tête d'Harry, mais il essayait de se redresser, preuve qu'il était conscient. Bert, toujours sous la menace des deux pistolets, n'était pas en mesure d'aider Silence.
— Elle ne m'est rien, mentit Mickael, s'efforçant de contrôler sa voix. Laisse-la aller, Charlie.
— Oh, je le ferai peut-être un jour! répliqua le Vicaire. Mais je vais d'abord lui apprendre à me servir convenablement. Après tout, ta mère est morte, Mickey. J'ai besoin d'une remplaçante. Et puis, j'ai patiemment attendu ce moment depuis ton arrestation, histoire que tu le savoures pleinement.
Mickey sentait un flot de bile lui monter à la bouche. Il croisa le regard de Silence. Elle avait peur, visiblement, mais elle avait retrouvé son calme.
— Je t'aime, Mickael.
Mickey ferma brièvement les paupières, avant de foudroyer le Vicaire du regard.
— Dis ton prix. N'importe lequel.
Le visage de Charlie se déforma dans une parodie de sourire.
— J'ai déjà mon prix, mon garçon. Ta mort et ta femme. Je prendrai peut-être aussi ta fille, mais ce sera juste un dessert. Ça, ajouta-t-il en secouant Silence, c'est mon plat de résistance.[/spoiler]


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— Pourquoi gardez-vous tous ces trésors dans une même pièce? demanda-t-elle. Vous ne craignez donc pas les voleurs?
Mickey sourit.
— Vous croyez qu'on viendrait me cambrioler chez moi?
Elle rougit.
— Non, bien sûr. Mais vos hommes pourraient être tentés.
— Je les paie bien, répliqua Mickey. Mieux, en tout cas, qu'ils ne pourraient l'espérer partout ailleurs dans Londres. S'ils étaient quand même tentés. Cela vous surprendra peut-être, mais je suis réputé violent.
Silence frissonna.
— Je sais.
Mickey était conscient que sa violence la mettait mal à l'aise. Mais comme il ne pouvait changer sa nature, il préféra penser à autre chose.


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Les enfants sont adorables, bien sûr, mais tellement nerveux. Il faudrait trouver un moyen de les maîtriser, surtout face à des créatures aussi fragiles que Sa Grâce.
— Vous voudriez les enfermer dans des cages ? demanda innocemment Sarah.
— Il suffirait de les attacher à des piquets solidement enfoncés dans la terre,
intervint Godric.

Tous les regards se braquèrent sur lui.
Sarah était médusée.

— Mais comment ferais-tu, à l'intérieur ?
— Le mieux serait de les laisser toujours dehors, répliqua Godric, imperturbable. Comme cela, ils profiteraient du grand air. Mais pour les parents qui tiendraient absolument à les rentrer, on remplacerait les piquets par des anneaux scellés dans les murs.

La grand-tante Elvina fronça de nouveau les sourcils. Elle n'était pas réputée
pour son sens de l'humour.

— Monsieur Saint-John ?
Il se tourna poliment vers elle.
— Oui, madame ?
— Je ne peux pas croire un instant que vous suggériez sérieusement d'attacher les enfants aux murs.

Godric se resservit du vin.

— Oh, non, madame. Vous m'avez mal compris.
— Ah, me voilà soulagée...
— Jene parlais pas « d'attacher » les enfants, mais de les « pendre »,
précisa-t-il, avec un sourire chaleureux pour la vieille femme. Un peu comme
des tableaux, voyez-vous.
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— Je suis enchanté de vous rencontrer, mademoiselle Saint-John, susurra le vicomte, en lui baisant la main. Votre beauté éblouit mon regard.

— C'est embêtant, répliqua Sarah, quand d'Arque se redressa. J'espère que vous ne serez pas aveuglé au point de vous cogner dans le mobilier.

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Isabel vit Winter Makepeace cligner des yeux le temps d'absorber la nouvelle. Ce futsa seule réaction, mais elle était déjà éloquente, de la part de quelqu'un qui aurait fait passer une statue de pierre pour un modèle d'animation.

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- J'ai trente-deux ans et j'ai enterré un mari. Je ne suis plus vraiment une gamine, monsieur Makepeace.

— Mais vous n'êtes pas non plus une antiquité, milady.
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— Joseph, commença Winter sans se départir de son calme, tu sais que j'ai interdit le mensonge dans cette maison. La parole d'un homme est un trésor que même les plus pauvres peuvent posséder.
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— Vous ne croyez pas à l'amour, alors, pourquoi acquiescez-vous à ce que je dis ?
Il rit doucement.
— Parce que, commença-t-il, avant d'essuyer du pouce une larme qui roulait sur la joue de la jeune femme, parce que vous m'ensorcelez, ma chère Silence. Je serais prêt à jurer que le ciel est rose, que la lune est en sucre et que des sirènes nagent dans la Tamise si cela pouvait faire cesser vos larmes. J'ai le cœur brisé quand je vous vois pleurer.
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La porte de la chambre s'ouvrit.
— Dehors ! cria Maxime au domestique, quel qu'il soit, qui avait osé le déranger.
Ils entendirent un petit cri étranglé et la porte se referma vivement.
— Tu t'es montré un peu rude, fit Artemis.
Il se renfrogna.
— Tu aurais préféré qu'elle nous regarde baiser ?
— Ne sois pas grossier, répliqua-t-elle.
Elle le repoussa, et il céda à contrecœur, conscient de s'être mal conduit. Elle se leva, offrant le spectacle de sa glorieuse nudité.
— De toute façon, ajouta-t-elle, ils ne tarderont pas à savoir que je suis ta maîtresse.
Il grimaça.
Artemis haussa un sourcil.
— C'est ce que tu veux, n'est-ce pas ? Que je sois ta maîtresse ?
— Je ne peux pas avoir ce que je veux réellement.
— Vraiment ? répliqua-t-elle, désinvolte. Tu es pourtant le duc de Wakefield, l'un des hommes les plus puissants d'Angleterre. Tu sièges au Parlement, tu possèdes des domaines à ne plus savoir qu'en faire et tellement d'argent que tu pourrais prendre des bains de pièces d'or. Je me trompe ? conclut-elle en se penchant pour ramasser sa chemise de nuit.


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— Quand je l'aurai récupérée, je ferai rattacher toutes les pierres.
— Et tu offriras le collier à Pénélope, dit-elle tranquillement.
Maxime tressaillit. Il ne s'était certes jamais projeté aussi loin dans le futur. Durant toutes ces années, récupérer les émeraudes et traîner l'assassin de ses parents en justice avait occupé toutes ses pensées. Il ne s'était pas demandé ce qui se passerait ensuite.
Mais Artemis avait raison. Ce collier appartenait de droit à la duchesse de Wakefield.
Il se tourna vers cette femme qui lui avait donné son corps, et peut-être son cœur. Cette femme qui le connaissait mieux que quiconque. Cette femme qu'il ne pourrait jamais honorer comme elle le méritait. Et comme il le souhaitait.
— Oui, répondit-il.
— Pénélope l'adorera, assura-t-elle sans ciller - sa déesse si courageuse. Elle a un faible pour les bijoux et ces émeraudes sont magnifiques. Elle sera superbe avec ce collier.
Sa bravoure irrita Maxime. Elle ne manifestait aucune jalousie, aucune colère à la pensée qu'il coucherait avec une autre femme, et sa réaction, bizarrement, lui donnait envie d'enfoncer le clou. Pour l'obliger à reconnaître ce que cette situation avait d'obscène. A dire à voix haute qu'il lui appartenait.
— Resplendissante même, renchérit-il avec cruauté. Je lui achèterai peut-être des boucles d'oreilles pour aller avec.
Artemis accrocha son regard.
— Crois-tu ?
Et il eut, à cet instant précis, l'absolue certitude qu'il n'achèterait jamais de boucles d'oreilles à Pénélope.
— Non, lâcha-t-il.
Il ferma les yeux. Si Artemis pouvait supporter cette épreuve, il n'y avait pas de raison qu'il n'en soit pas capable. Au moins, il était sûr d'avoir Artemis pour lui - même si ce n'était que partiellement.
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— S'il te plaît.
Il l'implorait. Lui qui ne s'était jamais incliné devant personne.
Artemis secoua la tête, mais elle lui prit la main pour l'attirer contre lui.
— S'il te plaît, ma déesse. Ne me quitte pas.
Elle ne répondit pas. Mais elle leva le visage vers lui, et entrouvrit doucement les lèvres lorsqu'il écrasa sa bouche sur la sienne. Il prit délicatement son visage entre ses mains comme s'il ne possédait rien de plus précieux au monde.
Si seulement il pouvait la convaincre qu'elle était à lui, dans ce monde et dans l'autre !
Il enfouit les doigts dans ses cheveux, explora sa bouche avec passion, usant de toutes les ruses qu'il connaissait pour la séduire. Elle laissa échapper un gémissement et lâcha sa chemise de nuit. Mais quand Maxime voulut lui embrasser le cou, elle tourna la tête.
— Maxime, je ne peux pas...
— Chut, souffla-t-il, et ses mains tremblaient tandis qu'il l'enlaçait. Je t'en prie, laisse-moi faire.

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— Griffin, essaie pour une fois de mettre tes préoccupations de grand frère de côté. Comment puis-je envisager d'épouser un homme qui semble épouvanté à l'idée de m'embrasser ?
— Comment sais-tu seulement qu'il songeait à t'embrasser ? Peut-être craignait-il que tu ne prennes froid ? Ou s'inquiétait-il pour ta réputation.
— Parce que je lui ai demandé !
— Quoi ? De…
— De m'embrasser, confirma Margaret. Et il a réagi comme si je lui avais demandé de lécher un calmar. Un calmar vivant.

Griffin se demanda s'il pouvait provoquer en duel un homme pour n'avoir pas embrassé sa sœur.
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