Citations de Emilie de Mot (22)
Ne pleure pas de l'avoir perdue, mais réjouis-toi de l'avoir connue."
Dehors, le temps est aussi sombre que dans mon esprit. Le ciel pleure à chaudes larmes [...]
Elle sait pourtant que ma vie n'est pas rose, mais elle comprend mes silences.
Je suis une fille comme une autre, avec juste quelques blessures en plus.
Ma dernière tentative de suicide date d'il y a trois semaines. Comme je rate quasiment tout, j'ai bien évidemment raté mon suicide aussi .
Je ne pensais jamais pouvoir m’attacher autant et si vite à une personne, il a suffi d’un été. De deux petits mois. Juillet, août, pour que ma vie soit bousculée à jamais.
À l'intérieur, j'ai le cœur qui valse.
Moi aussi je veux être un feu d’artifice et briller, qu’on m’entende lorsque je parle, qu’on me remarque lorsque je marche. Je veux que l’on me voie !
Je suis une fille comme une autre, avec juste quelques blessures en plus.
Dans chaque parcelle de mon corps, dans chaque recoin, dans le flux incessant parcourant mes veines, j’imagine sentir les battements de mon cœur danser au rythme de la musique. C’est donc ça, être heureuse ?
"Ne pleure pas de l'avoir perdue, mais réjouis-toi de l'avoir connue."
Ne pleure pas de l'avoir perdue, mais réjouis-toi de l'avoir connue.
Ne pleure pas une personne disparue, mais félicite-toi de l’avoir connue.
Depuis que j'ai porté la mort, selon moi, mon corps n'est plus qu'un tombeau.
Peu de personnes connaissent cette facette de moi. Je la dissimule à coups de rires et de bonne humeur. Un conseil : méfiez-vous des gens qui arborent sans cesse un large sourire, ils cachent souvent d'importantes blessures.
C'est le plus beau baiser de ma vie.
Celui qui vous chamboule.
Celui qui vous donne le sentiment d'être enfin vivante.
Celui qu'on aimerait ne pas voir s'arrêter.
Nos lèvres se percutent, se découvrent, et c’est comme si nos corps reprenaient vie à travers ce baiser rempli de passion.
Ça fait tellement de bien de se sentir aimée, pour une fois que je me sens en sécurité auprès d’un homme. J’ai toujours cru qu’ils étaient mauvais, tous, sans exceptions.
Il me regarde droit dans les yeux et me répète que je ne suis qu’une merde, que les merdes ne sourient pas.
La musique est une source intarissable d’inspiration. Quand elle nous prend aux tripes elle nous relâche seulement à la fin du show, lorsque plus aucune note ne résonne. Lorsque les lumières s’éteignent et qu’on se retrouve là, seul face à nous-même.
Je me souviens de chaque coup porté, des mots enragés, et du vide se creusant un peu plus dans mon cœur.