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Critiques de Enrico Marini (703)
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Les aigles de Rome, tome 1

Je n'ai qu'un regret ici, l'arrêt brutal de cette série! Comme je suis frustré par cette fin en queue de poisson!

Pour le reste, je n'ai que des lauriers à tresser et à déposer respectueusement sur le chef d'Enrico Marini.

Son scénario conduisant au désastre de Varus dans la forêt de Teutobourg. est fort ingénieux.

Son coup de crayon est magistral. J'imagine les heures qu'il a dû passer aux deux pleines pages de la grande scène de bataille, un moment qui me fait penser à "la bataille de Cascina " du grand Michel-Ange! Pas moins!...



Selon la légende, Auguste mourant se serait exclamé dans un dernier râle "Varus, rends moi mes légions!". Ne pourrait on s'en inspirer pour pousser un "Marini, donne nous de nouvelles aigles de Rome"?!...
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Noir burlesque, tome 2

Après que le premier tome ait planté le décor, ce second tome nous emmène dans la guerre de gangs. Avec toute la violence qu'elle contient, les dommages collatéraux.

Un récit haletant qui ne nous réserve pas beaucoup de surprises mais beaucoup d'action et de petits revirements de situation. Le tout fonctionne très bien et on passe un très bon moment.

Les personnages ne sont pas décevants. Un brin stéréotypés entre la femme fatale qui sauve sa peau comme elle peu et le gentil bad boy. De même pour la mafia. Pas manichéens, ils sont du coup attachants et touchants.

Les dessins sont toujours incroyables. Et on voit que Marini prend plaisir à ce qu'il fait avec les pages entières pour nous peindre le décor et l'ambiance. Ils sont très expressifs. Et cette colorisation est vraiment en adéquation avec le récit.
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Noir burlesque, tome 1

C'est avec un grand plaisir que je retrouve le trait de Marino que j'aime tant. Il est toujours aussi doué pour faire les hommes charismatiques et les femmes fatales. Mais en plus ici nous avons la douceur de l'aquarelle et le caractère du noir et blanc relevé d'une touche de rouge. Caractère qu'on retrouve dans le récit avec ce contexte des années 50 aux USA.

Ce premier tome plante le décor et les personnages, leur caractère, leur passé et leurs objectifs. C'est très prometteur et prenant. On passe un bon moment. A voir ce que devient le récit.

Les personnages sont un poil stéréotypés. Mais si ils sont charismatiques et assez complexes pour être attachants et intéressants.
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Les aigles de Rome, tome 1

Belle BD, avec des beaux mecs musclés, qui font trembler le colisée de Rome. Les combats sont bien rendus. Le graphisme est beau. Même si les couleurs pourraient être plus éclat' quand même. L'histoire est plaisante et érudite. On apprend beaucoup. Se lit très vite.
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Noir burlesque, tome 1

Années 1950. Slick doit de l'argent à Rex et pour ça, il doit réaliser un casse pour lui. Mais Rex est aussi fiancé à Caprice, une effeuilleuse réputée et l'ancienne maîtresse de Slick.

Les codes du roman noir sont tous là: des flingues, des gangsters, du jazz et des jolies filles fatales. Le scénario est assez classique mais c'est à la fois un hommage et une ambiance. Ce roman graphique en deux tomes offre un visuel d'une très grande élégance, tout en noir et blanc rehaussé de touches de rouges. Le tome 2 est plus riche en action et en surprise, je recommande vraiment de lire les deux à la suite. Une très jolie découverte.
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Noir burlesque, tome 2

Après un premier tome qui m’avait laissé sur ma faim, voici le second qui sonne la fin.



Et le dessin est toujours aussi parfait, le style « roman/film noir » accompagné de gros bras, maffieux, jolies poupées, scotch, coups de poings, révolvers et carabines est parfaitement respecté ! Il y a du sang !



Alors, certes, il ne faut pas s’attendre à autre chose, mais le dessin est sublimement adapté au genre et Marini signe ici deux tomes de très bonne facture !
Lien : https://www.noid.ch/noir-bur..
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Noir burlesque, tome 1

Le coup du sombre héros.

Slick, le truand et Debbie l’effeuilleuse se retrouvent pour une dernière danse dans une chambre d’hôtel. Les dés sont pipés et les pétards sont chargés. Un coup de feu éclate. Flashback : Slick braque une bijouterie pour rembourser une dette auprès de son ex beau-frère, Rex, mafieux notoire à qui Caprice, ex Miss Debbie, ex de Slick, stripteaseuse vedette du Rex Night Club est promise en mariage. En consumant son âme et en grillant son amour, Debbie pourrait espérer percer à Hollywood car Rex, son futur le lui a promis et il a le bras long. Rex, le parrain irlandais, voudrait que Slick intègre son équipe mais le bad boy préfère jouer avec le feu qui lui brûle le ventre en retrouvant Debbie.

Enrico Marini est un dessinateur exceptionnel et un scénariste remarquable. Il s’offre des intermèdes de haut vol dans sa riche carrière (Gipsy, Rapaces, Le Scorpion, Les Aigles de Rome, etc.) avec son diptyque sur Batman et celui-ci sur la mafia américaine des années cinquante. Non seulement l’auteur mouline avec classe et légèreté tous les ingrédients du genre mais il soigne particulièrement les dialogues mesurés et en retenue qui suggèrent davantage qu’ils en disent. A travers une mise en page alerte, des cadrages cinématographiques dynamiques en plans larges ou rapprochés, le dessin en noir et blanc de l’artiste helvète est éclatant de justesse et d’élégance. Avec un lavis en camaïeu de gris rehaussé d’aquarelle rouge pour la chevelure de Debbie et son cabriolet, le lecteur embarque avec grand plaisir pour une histoire très référencée qui n’est peut-être pas courue d’avance.
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Noir burlesque, tome 2

Suite et fin du diptyque.

Ce second tome est dans la lignée du premier avec un grand nombre d'échanges de coups de feu en plus.

Les ingrédients du polar à l'américaine sont toujours bien présents et Marini reste fidèle à ses fondamentaux en saupoudrant le tout d'un érotisme sulfureux.

Le dessin est vraiment l'intérêt principal de cette BD au scénario sans réelle surprise et qui laisse même un certains sentiment d'inachevé...
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Noir burlesque, tome 1

Un polar noir comme un film des années 50...

Un Bad boy, une magnifique rousse incendiaire, des mafieux et un flic.

C'est très bien fait, Marini réalise un travail admirable avec un dessin de grande qualité mis en valeur par une palette de sépias où se détachent seulement un peu de rouge judicieusement placé.

C'est sympa, ça se lit avec plaisir mais sincèrement je ne suis pas transportée.

C'est surtout le scénario qui se met au service du dessin de Marini. Dessin qui, pour moi reste toujours égal à lui même et qui est magnifique, j'en conviens.
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Les aigles de Rome, tome 1

Il y a des temps lointains... Rome était en guerre contre l'empire Germanique, les barbares, etc... Histoires de noble sang, d'entraînement, de digne héritier. De prince vaillant, fraternité, rivalité... Les deux princes suivent un entrainement pour les préparer à un avenir politique et guerrier... Avec quelques histoires de fesses pour pigmenter un peu le récit. Il y a une suite. Si je devais l'acheter je dirais non, mais là il est à la bibli donc ça va.
Lien : https://www.instagram.com/ph..
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Noir burlesque, tome 2

Touche pas au Zizzi, salope !



Ce n'est pas parce qu'on s'appelle Rex, qu'on se couche facilement. Et le propriétaire du cabaret Burlesque ne plaisantait pas en prévenant Slick de ne pas toucher à sa fiancée.



Mais que voulez-vous, les gens comme Slick n'en font jamais qu'à leur tête et le voici donc en mauvaise posture, contraint sous la menace, d'aller cambrioler Zizzi, un capo de la mafia, et lui dérober un portrait de sa mère qui présente la particularité d'avoir été peint par un célèbre artiste franco-espagnol, avec les cendres de l'ancêtre.



S'en prendre au Zizzi n'est déjà pas simple, mais quand en plus, on est accompagné d'une équipe de tueurs aussi crétins que violents, ça ne peut que tourner au désastre.



Marini poursuit son travail récréatif de recréation. Noir Burlesque est un exercice de style, un récit noir avec tous les éléments attendus : les truands bêtes et méchants, la femme fatale, la petite fille riche, le dur à cuire cynique, le flic tenace...



Le récit en 2 volumes est astucieux et cohérent avec notamment une des scènes finales répondant à la scène d'introduction de la série. L'humour est bien présent également qui ajoute du charme à cet hommage.



J'ai quand même une interrogation et je suis preneur de la réponse.



Le dessin est bien entendu, somptueux, N&B et sépia aquarellés avec juste de légères touches de déclinaison de rouges : la chevelure de Caprice, celle de Butcher, le maquillage de guerre de Crazy Horse, un verre de vin, quelques geysers sanguins...

C'est du Marini classique (jusque dans ses scènes érotiques), de quoi patienter avant une prochaine livraison du Scorpion ou des Aigles de Rome.



Parfait.
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Noir burlesque, tome 1

Alors là, c'est le coup de foudre! Ambiance, dessin, scénario, tout y est!



Noir burlesque c'est avant tout un hommage complet et assumé aux histoires de gangsters et aux films noirs des années 50.

Il y a d'abord Slick, le truand de retour de la guerre, sombre et charismatique. Mais freelance et surtout encore complètement accro à Miss Caprice, la beauté fatale de cette histoire et accessoirement la promise du Boss local. On retrouve des gangsters à la punchline aussi fulgurante que leur crochet du droit. Et de sales affaires de vengeance et des dettes. Ajoutez à cela un policier coriace et revanchard et tout y est!



Le point fort absolu de cet opus reste son graphisme. Aucun doute là-dessus! Ce noir et blanc vaporeux correspond parfaitement aux bars enfumés des ces récits. Les rehauts de rouges viennent frappés la rétine pour achever de capter l'attention du lecteur. Pour autant les visages et les physiques sont expressifs et remarquables.



Alors oui, soyons honnête après toute cette emphase. Malgré la claque graphique et l'hommage extrêmement bien mené, les dialogues ne raviront pas tout le lectorat. Les punchlines sont un peu éculées, comme un vieux film d'époque. Elles ne correspondent donc plus tellement à ce qui devrait se faire aujourd'hui et paraitront un peu déplacées pour certains ou un peu pauvres pour d'autres. Oui mais il faut se rappeler qu'il s'agit d'un hommage pur et dur. Ce n'est pas une adaptation des affaires de mafieux aujourd'hui donc on retrouve les codes old school tels qu'ils étaient.



En tout cas la lecture n'est pas désagréable loin de là. Le graphisme atténue largement les potentiels point négatifs. Et je dois vous avouer que ce livre, lu à la médiathèque, va finir sur mes étagères sans aucunes discussions possibles.
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Batman, The Dark Prince Charming, tome 1/2

J'ai découvert Marini avec Noir Burlesque. J'aime son style de dessin. Si j'étais un peu moins fan des dialogues dans Noir burlesque, j'ai été agréablement surpris dans ce premier (son premier) Batman. L'histoire est intéressante, On retrouve l'univers sombre de Batman mais aussi le coté plus "coloré" du Joker/Harley Quinn. Joker qui est d'ailleurs excellent dans ce premier opus de Marini. Tant graphiquement que textuellement. Un très beau livre et très plaisant à lire... je vais de ce pas chercher le Tome 2
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Noir burlesque, tome 1

Cette bédé est comme un vieux film noir des années 50. Tous les ingrédients sont réunis : un bel homme style bad boys, une beauté fatale, des gangsters mafiosi (pléonasme), des armes à feu, des grandes gueules,…



Slick est le bad boy qu’on aimerait croiser dans sa vie. Cheveux blancs, belle gueule, sensuel, qui sait se battre… Et Caprice, la belle rousse, est tout aussi sensuelle que lui. Quel couple ils pourraient former !



Enrico Marini est un excellent dessinateur et si son Slick a des faux airs du Scorpion, il tient la route (jeu de mot foireux avec son prénom).



Les seules notes de couleurs, dans ces deux albums sépia, seront le rouge et le roux. Cela attire l’œil immédiatement. On a beau être dans une bande dessinée, on pense tout de suite à un vieux film, tant le découpage pourrait être cinématographique.



Le scénario est classique au possible, mais pourtant, il marche du tonnerre. Les personnages sont bien campés, réalistes. Les dialogues font mouches directement et les ambiances des années 50 sont fidèlement rendues.



Oui, ces deux tomes sont des odes aux romans noirs et aux films noirs américains, avec deux personnages qui se tournent autour, qui s’aiment, qui baisent, puis qui se séparent, toujours avec des mots violents.



On a beau se douter de la fin de ces deux tomes, on ne peut s’empêcher de tourner les pages, afin de voir si on a raison ou tort. Si le plat est composé d’ingrédients classiques, Marini a tout de même su en changer la présentation et le goût, parce qu’il n’est pas allé dans la direction que je pensais.



Et puis, le premier album commence presque par la fin… En tout cas, il commence par une scène hautement bourrée de suspense et on a hâte d’arriver au bout pour s’assurer que… Ben oui, on s’attache très vite à Slick et à sa belle petite gueule d’amour.



Une bédé qui fait mouche, autant par son scénario conventionnel qui ne l’est pas tout à fait, que pas ses magnifiques dessins et ses ambiances années 50 superbement rendues dans ces planches sobres, mais qui disent tout ce qu’elles doivent dire.



Un vrai roman noir hard-boiled.


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Noir burlesque, tome 2

Cette bédé est comme un vieux film noir des années 50. Tous les ingrédients sont réunis : un bel homme style bad boys, une beauté fatale, des gangsters mafiosi (pléonasme), des armes à feu, des grandes gueules,…



Slick est le bad boy qu’on aimerait croiser dans sa vie. Cheveux blancs, belle gueule, sensuel, qui sait se battre… Et Caprice, la belle rousse, est tout aussi sensuelle que lui. Quel couple ils pourraient former !



Enrico Marini est un excellent dessinateur et si son Slick a des faux airs du Scorpion, il tient la route (jeu de mot foireux avec son prénom).



Les seules notes de couleurs, dans ces deux albums sépia, seront le rouge et le roux. Cela attire l’œil immédiatement. On a beau être dans une bande dessinée, on pense tout de suite à un vieux film, tant le découpage pourrait être cinématographique.



Le scénario est classique au possible, mais pourtant, il marche du tonnerre. Les personnages sont bien campés, réalistes. Les dialogues font mouches directement et les ambiances des années 50 sont fidèlement rendues.



Oui, ces deux tomes sont des odes aux romans noirs et aux films noirs américains, avec deux personnages qui se tournent autour, qui s’aiment, qui baisent, puis qui se séparent, toujours avec des mots violents.



On a beau se douter de la fin de ces deux tomes, on ne peut s’empêcher de tourner les pages, afin de voir si on a raison ou tort. Si le plat est composé d’ingrédients classiques, Marini a tout de même su en changer la présentation et le goût, parce qu’il n’est pas allé dans la direction que je pensais.



Et puis, le premier album commence presque par la fin… En tout cas, il commence par une scène hautement bourrée de suspense et on a hâte d’arriver au bout pour s’assurer que… Ben oui, on s’attache très vite à Slick et à sa belle petite gueule d’amour.



Une bédé qui fait mouche, autant par son scénario conventionnel qui ne l’est pas tout à fait, que pas ses magnifiques dessins et ses ambiances années 50 superbement rendues dans ces planches sobres, mais qui disent tout ce qu’elles doivent dire.



Un vrai roman noir hard-boiled.


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Noir burlesque, tome 2

Si vous me connaissez un peu, vous savez que j'ai en premier lieu été attirée par le titre qui compose ces deux BD.



Une véritable hommage aux films noirs américain des années 50. En ouvrant ces pages, on entre directemenr dans le vieil hollywood, avec ses gangsters, ses clans et ses magouilles.

L'histoire est assez simple en somme, je n'ai pas grand chose à dire sur elle. Je l'ai lue avec plaisir.



J'ai surtout été subjuguée par la beauté des dessins. Tout en noir et blanc, sauf les éléments rouges, qui gardent leur couleur d'origine. Cela m'a un peu fait penser aux films "SinCity".

Un bel univers, à la fois noir et très sensuel.



Pas grand chose de plus à vous dire, si ce n'ai que j'ai passé un très bon moment !
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Noir burlesque, tome 1

Si vous me connaissez un peu, vous savez que j'ai en premier lieu été attirée par le titre qui compose ces deux BD.



Une véritable hommage aux films noirs américain des années 50. En ouvrant ces pages, on entre directemenr dans le vieil hollywood, avec ses gangsters, ses clans et ses magouilles.

L'histoire est assez simple en somme, je n'ai pas grand chose à dire sur elle. Je l'ai lue avec plaisir.



J'ai surtout été subjuguée par la beauté des dessins. Tout en noir et blanc, sauf les éléments rouges, qui gardent leur couleur d'origine. Cela m'a un peu fait penser aux films "SinCity".

Un bel univers, à la fois noir et très sensuel.



Pas grand chose de plus à vous dire, si ce n'ai que j'ai passé un très bon moment !
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Noir burlesque, tome 2

Suite et fin de ce récit en deux tomes qui nous plonge dans l’Amérique des années 50.

Ce second tome nous raconte la suite de Slick qui doit récupérer un bien chez un mafieux italien.



Gardant l'esprit de l’excellent précédent tome, le lecteur se laisse entrainer dans cette bataille style film de gangsters avec tout les codes qui le compose tel que le roman noir, enquête, mafia, femmes fatale.



Le style graphique de Enrico Marini rends le tout avec beaucoup de charme où le noir et gris dominent mais est agrémenté par une touche de rouge plus ou moins écarlate selon les situations pour mettre en avant certains détails, notamment avec les belles femmes où ces dernières jouent un rôle fort tel que Caprice, danseuse de cabaret toujours autant femme fatale mais aussi Pearl qui arrive à se jouer des crapules.



Les péripéties s'enchaine au fil de l'histoire et on se lasse porter par le feu de l'action. On aime le côté ténébreux de Slick, le charme envoutant de Caprice, l’audace de Pearl, et les gangsters avec leurs sale têtes.



Un final gagnant rendu par l'auteur pour une belle BD de part son contenu mais aussi pour son esthétique.

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Noir burlesque, tome 1

Quelle atmosphère ! Les années 50 aux States, de somptueuses voitures, une femme fatale, quelques gangsters bien sapés... le décor est planté, sublimé par un dessin en noir et blanc parfaitement maîtrisé, dans lequel la seule touche de couleur est le rouge vif, que ce soit celui de la chevelure de Caprice, magnifique effeuilleuse, ou du sang des protagonistes...



Ce premier album d'un récit qui compte deux tomes est une vraie réussite, tant sur le plan visuel qu'en matière d'ambiance. Vite, la suite !
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Noir burlesque, tome 2

Slick est obligé d'accepter le marché de Rex : il doit aller voler un bien précieux chez un concurrent mafieux italien. Mais très vite, cela va mal se passer.



Un deuxième tome dynamique dans les Etats Unis des années 50. Il y a beaucoup de gros bras, de mafieux, de coups bas et d'échanges de coups de feu. Dans ce monde de violence et de testostérone, Caprice essaie de tirer son épingle du jeu.

L'ambiance mais non dénuée d'un tantinet de... burlesque! Le tout parfaitement mis en lumière par le don de dessinateur de Marini. Avec cette colorisation en nuances de gris, seulement rehaussé de quelques touches rouge, il y a du caractère dans cette bande dessinée.
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