AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Enrico Marini (703)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Noir burlesque, tome 1

- Sans spoilers -



La combinaison de Marini, un de mes artistes préférés, et du Noir, un de mes genres préférés du Cinéma (moins à l'écrit), m'a séduit d'emblée.

Dans ce premier volume, l'intrigue respecte les classiques du Noir. La couverture confirme le duo du dur à cuire et de la femme fatale.

J'adore le style de dessin. Il m'a fallu quelques pages pour m'habituer aux couleurs.

Les personnages et l'histoire des Aigles de Rome m'avaient déçu et je n'avais lu cette série que pour apprécier le travail d'artiste de Marini. Ici, c'est plus agréable.

Si vous n'êtes pas un inconditionnel de Marini et que vous êtes rôdé au Noir, vous risquez de ne pas vous enflammer pour le scénario.

Ceci dit, je le recommande.
Commenter  J’apprécie          80
Noir burlesque, tome 2

Suspense, violence, ambiance, tout est là pour réussir cette deuxième partie et nous offrir un excellent moment de lecture. Marini, grâce à ce dessin noir, blanc, aux teintes grises et dont le rouge ressort, s'amuse avec les codes du polar. C'est vraiment bon. L'intrigue est réussie avec ses gueules de salopards, sa femme fatale canon, et des innocents en danger. Le final est à la hauteur de nos attentes. Marini frappe fort avec cette bande dessinée.


Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          10
Noir burlesque, tome 1

Je connaissais l'auteur de BD Marini pour sa série sur les vampires et les immortels, mais voilà deux chefs d'oeuvre avec les 2 tomes de NOIR BURLESQUE. Un univers sombre de voyous en quête de territoires et de vieilles rancoeurs, avec un gentil voyou à la gueule superbe qui flingue à tout va. Des dessins d'une qualité exceptionnelle, des courbes pour la pin-up d'exception, du gris et des teintes sombres juste surlignées parfois d'un rouge, d'une robe moulante rouge sur silhouette envoûtante. Scénario à rebondissements, gueules de méchants en costards, scènes torrides et une envie d'encore !
Commenter  J’apprécie          20
Noir burlesque, tome 2

Plus d’action dans ce second volet. Nous suivons le casse de Slick, contraint et forcé par Rex pour rembourser sa dette. Et ça dégomme. Le glamour et la sensualité sont toujours au rendez-vous, avec une magnifique déclaration d’amour chantée par Caprice, que l’on aimerait tellement entendre.

C’est toujours aussi beau, aussi classe. Une vraie réussite.
Commenter  J’apprécie          20
Noir burlesque, tome 1

Hmm…du glamour… de la sensualité… de la tension, de la nostalgie. Voilà ce qui domine dans ce premier volet d’un diptyque d’un pur classicisme hollywoodien des années 50.

L’accent y est surtout mis sur les rapports entre Slick, l’irrésistible gangster ténébreux, et Caprice, la fatale danseuse effeuilleuse, ainsi que Rex, le puissant parrain de mafia propriétaire de la belle et envers lequel Slick a une dette.

Uniquement 2 couleurs, le noir et ses déclinaisons, et quelques touches de rouge pour mettre en valeur Caprice. De la classe. Et Dieu, que c’est beau, que c’est bien dessiné ! Un pur régal pour les yeux.
Commenter  J’apprécie          40
Noir burlesque, tome 2

Suite de l'histoire de Slick, Caprice et Rex. Slick contraint de rembourser sa dette envers Rex sous peine de représailles envers sa famille, on y découvre ici un autre trait de caractère de notre protagoniste à savoir le sens de la famille.

Ce deuxième volet est du même acabit que le précédent, Marini montre encore une fois l'étendue de son talent.

Ouvrage qui conclut en beauté cette aventure en laissant entrouvert la possibilité de revoir bientôt le héros et les mafiosi.
Commenter  J’apprécie          10
Noir burlesque, tome 2

Enrico Marini pastiche habilement les romans noirs des années 1950 dont il recycle tous les clichés : criminels tirés à quatre épingles, femmes fatales et une abondance de péripéties. Pour tout dire, la trame narrative demeure secondaire dans ce qui se veut avant tout un exercice de style, au demeurant fort bien exécuté.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
Commenter  J’apprécie          00
Le Scorpion, tome 11 : La neuvième famille

Ce tome marque le début d'un nouvel arc pour le scorpion lui qui a découvert sa famille, mais dans celui-ci elle sera mise à mal et se retrouvera à devoir faire alliance avec des personnes dont on ne l'aurai jamais soupçonné. Le début de l'intrigue est très bien ficelé et très intéressante et marque la fin avec l'arc précédent et une rupture avec la partie papal.
Commenter  J’apprécie          40
Le Scorpion, tome 1 : La Marque du Diable

Un premier tome qui sait se montrer intéressant et plein d'aventure. Les dessins sont très réussis et donne un bon dynamisme au livre.

Le premier tome donne l'intrigue et les personnages principaux qui sont plus ou moins charismatique et important, la période et le lieu choisi est très intéressant, Rome du 18ème siècle, et l'histoire qui en découler et prometteur, celle de neuf familles puissantes existants depuis la Rome antique qui se battent pour le contrôle mais une famille est une supérieure aux autres mais cela est sans compter sur le Scorpion.

Avec un premier tome tel que celui-ci l'a série s'annonce très très prometteuse et hâte de lire la suite et de découvrir ce que les autres tomes peuvent me proposer.
Commenter  J’apprécie          20
Noir burlesque, tome 2

Encore plus noir que le 1er tome.

Encore plus de traîtres.

Encore plus de morts.

Encore du noir et du rouge, la nuit et le sang.

Encore une dernière danse, une dernière chanson.



🎶

You Said

Babe , come play with me

Come burn with me

You played with Fire…

🎶



On meurt à la hache

On vole un tableau

On kidnappe un gros lot

On bastonne à gogo



On s’embrasse

On se quitte

Une dernière batte

Une dernière balle …



Plus juteux et rapide, le dessin est toujours aussi excellent, du vrai Marini.

C’est burlesque, sans concession et c’est bon.
Commenter  J’apprécie          120
Noir burlesque, tome 2

Après un premier tome avec une très belle ambiance, j'ai vraiment eu l'impression que l'histoire démarrait réellement ici et qu'elle histoire !



Ce beau polar à l'ancienne coche vraiment toutes les cases du genre et c'est pour ça que j'ai passé un bon moment en sa compagnie malgré son cadre très classique et son scénario archi prévisible. On lit ce genre de titre pour cela : une histoire efficace, des personnages connus bien plantés et des dessins à tomber. Pari réussi.



Bien sûr, je n'aurais pas été contre un peu de surprises et d'originalité mais je me suis aussi plu à suivre notre héros missionné et menacé par un homme qu'il déteste pour récupérer un tableau chez un rival et le faire chanter. On est dans un grand classique des histoires de crapules et ça fonctionne très bien. Les méchants font très méchants, les séducteurs et séductrices réussissent à merveille dans leur art et les guéguerres de clans mafieux avec vengeances à tout va tiennent leurs promesses. C'est très bien fait.



J'ai adoré l'ambiance crapuleuse à l'ancienne du titre grâce au trait très pin-up de Marini et ses choix colorimétrique avec ce rouge entêtant, procédé qu'on connaît bien désormais mais qui a du chien ici. Ses planches sont vraiment superbes et il se dégage définitivement quelque chose des pauses prises par les héros ou plutôt anti-héros de cette histoire. C'est la classe !



Pas forcément un titre qui restera longtemps dans les mémoires mais une histoire classique très bien racontée et mise en scène pour les fans du genre et les amateurs de beaux dessins grâce au trait très polar à l'ancienne de Marini, donc un bon divertissement qui ne demande qu'à séduire ses lecteurs.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Commenter  J’apprécie          80
Noir burlesque, tome 2

Slick est entre de mauvaises mains. Rex ne lui laisse pas le choix : soit il commet un vol chez Don Zizzi, un rival, soit ses hommes vont rendre visite à sa sœur et son neveu. Ne pouvant refuser, Slick accepte à contre cœur d'aller voler le portrait de la mère du capo. Quand on sait que pour les ritals il n'y a qu'une femme dans leur vie cela en fait tout de suite une pièce de valeur qui pourrait être utile. De plus, ce serait une sorte de porte-bonheur en affaire. Voilà qui pourrait déclencher une guerre des clans en d'échec !



Ce second tome de "Noir burlesque" est digne des plus grands films d'action hollywoodiens à l'ancienne avec des équipes de mafieux un peu cliché dans leur composition (la brute, le cinglé, un incompétent et le "héros"). Cela tire dans tous les sens ! C'est plaisant à suivre de bout en bout. Le premier tome était centré sur la belle Caprice. Alors qu'ici on est dans l'action pure mais avec quelques surprises tout de même. Le tout est illustré de mains de maître par Marini.

Commenter  J’apprécie          80
Noir burlesque, tome 1

Dans le résumé tout est dit, cette période des années 50 est magique, les décors, bar, hôtel, salle de spectacle, show burlesque nous mettent en appétit. C’est très noir, même celui du dessin. Caprice la danseuse est majestueuse et ressort de la Bd par sa silhouette bien marquée, une chevelure rousse et rouge, la seule note colorée de ce polar languissant.

Marini joue sur les mots, le grand boxeur voleur, doit de l’argent à Rex, il est toujours amoureux de son ex. Poursuite, fourberie, tromperie … c’est une première partie, mais toute cette « ripaillerie » se terminera -t’elle

mal ? Le dessin est magnifique, de grandes cases, des vues sur la ville le tout imprimé sur un papier épais recyclé. On termine sur les 10 commandements du patron.









A suivre …

Commenter  J’apprécie          120
Noir burlesque, tome 2

Une superbe histoire de mauvais garçons dans l'univers un peu surané des années 50 : Slick, un voleur, doit de l'argent à son commanditaire, Rex, qui le temps de l'éclipse de Slick, a débauche sa fiancée, Caprice, devenue effeuilleuse pour le compte de celui ci. Les relations entre Slick et Caprice sont compliquées, du genre "je t'aime, moi non plus". Pour tenter de sauver sa peau, Caprice n'hésite pas et trahit son ex. Rex va obliger celui ci de commettre un casse dans la maison d'un chef de la mafia...mais dés le début les dés sont pipés...normal nous sommes dans un polar sombre. Le graphisme de Marini est particulièrement bien adapté à ce noir et blanc et rouge, dans lequel Caprice resplendit.

Bon sinon, l'histoire est classique mais c'est quand même très chouette à regarder.

Commenter  J’apprécie          30
Noir burlesque, tome 2

Marini s’empare des codes et des schémas mentaux que nous évoque ce genre pour en jouer avec virtuosité. Ses teintes de gris soulignées de rouge-sang, de rouge-passion, de rouge-amour nous font vivre l’American Way of Life à condition de dégainer plus vite que son ombre...
Lien : https://www.actuabd.com/Noir..
Commenter  J’apprécie          00
Noir burlesque, tome 1

Un roman graphique style années 50 tout en noir et blanc avec quelques touches de rouge.

Rien de nouveau mais plutôt une lecture nostalgique d’un temps révolu et qui peut nous manquer.

Que les féministes passent leur chemin, tous les clichés sont réunis pour les destabiliser; les hommes gonflés à la testostérone, les femmes fatales et des "bourre-pif" comme l’aurait écrit Audiard font de cette histoire un bon moment de lecture, en attendant la suite qui, je l’espère sera aussi réussie.
Commenter  J’apprécie          161
Noir burlesque, tome 2

On retrouve Slick entre le marteau et l’enclume puisque notre dur à cuire est mis au pied du mur par Rex qui lui impose comme ultime job, pour éponger sa dette, de dérober à Don Zizzi, le boss de l’autre famille de mafieux, un tableau auquel il tient comme à la prunelle de ses yeux.







En compagnie d’une poignée d’hommes de main imposés par Rex, Slick, qui sent bien qu’il va se faire piéger quoiqu’il arrive, s’introduit dans la propriété de Don Zizzi mais rapidement rien ne se passe comme prévu, avec notamment l’entrée en jeu de la fille du Don, et bientôt les balles pleuvent et les cadavres s’amoncellent.









Suite et fin du récit noir signé Marini, où l’auteur, qui assure scénario et dessin, rend un bel hommage au genre en y employant certes tout les ingrédients du genre mais sans pour autant proposer un récit trop passe partout, rajoutant même une pointe d’humour…noir forcément.







Sa partie graphique est encore plus réussie que sur le premier tome, que ce soit dans le rendu des décors urbains ou sa galerie de personnages, menaçants pour les hommes, mortellement séduisantes pour les femmes, le tout dans un dégradé de noirs blancs et gris, rehaussés de pointes de couleur bienvenues.







Un polar qui, s’il ne révolutionne pas le genre, lui fait honneur et se lit bien, avec un bon scotch et la B.O qui va bien.



Pour le whisky il faudra vous débrouiller, pour la musique, c’est ici que ça se passe:

http://bobd.over-blog.com/2022/11/fondu-au-noir/noir-burlesque-2-vs.the-big-heat.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..
Commenter  J’apprécie          30
Noir burlesque, tome 2

Suite et fin de Noir burlesque avec ce tome 2. On retrouve Slick là où on l'avait laissé, entre les mains de Rex, tenu de réaliser pour lui une mission périlleuse: atteindre Don Zizzi, l'ennemi de Rex, au plus intime en lui subtilisant le portrait de sa mère réalisé avec ses propres cendres.



La claque "Noir burlesque" est avant tout esthétique. L'ambiance films noirs américains des années 50 est parfaite. Les cadrages, les malfrats, la mafia, le cabaret et la chanteuse de jazz fatale, tout est fait pour nous immerger dans un univers cinématographique qui nous rappelle forcément des souvenirs.



Une esthétique soignée servie par le dessin de Marini. Tout a déjà été dit mais oui, c'est vraiment somptueux. Le trait fin, le fond gris teinté de carmin flamboyant (Les cheveux de Caprice, le sang...), les personnages, les décors...c'est incontestablement très beau !



Et puis il y a le couple Slick-Caprice, un couple défait dont se dégage une sensualité irradiante superbement rendue par Marini.



Le récit est classique, sous forme d'hommage au hard-boiled us, ça nous donne un album qui s'admire plus qu'il ne se lit. Ça suffira à certains, pas à d'autres. Pour ma part, j'y reviendrai sûrement de temps en temps, par pur désir contemplatif !
Commenter  J’apprécie          90
Noir burlesque, tome 2

Dessin au top évidemment, scénario carré bien qu’un peu téléphoné parfois.
Lien : https://www.ligneclaire.info..
Commenter  J’apprécie          00
Batman, The Dark Prince Charming, tome 2/2

Si nombre d'auteurs ont déjà travaillé sur Batman, c'est la première fois qu'un européen se voit prêter le jouet favoris de DC pour en faire ce qu'il veut dans un format BD franco-belge.



Le Batman de Marini... j'en ai beaucoup entendu parler, et si je ne savais rien de ce qu'il s'y passe, j'avais souvent entendu que c'était beau mais que le scénario était très classique.



Je me lance donc dans cette lecture en m'attendant à penser la même chose que la majorité.

Et du coup ? Je suis plutôt d'accord, mais... !

Tout d'abord le dessin, c'est vrai c'est beau, le trait de Marini change des standards du comics mais ça marche bien.

Ensuite le scénario, c'est vrai c'est très classique mais ça marche très bien.

Est-ce que j'ai été surpris ? Non clairement pas, même le twist final on le voit venir de loin.

Mais est-ce que j'ai passé un bon moment de lecture ? Assurément.
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Enrico Marini Voir plus

Quiz Voir plus

Comment te dire Adieu ?

Tous les garçons et les filles de mon âge Se promènent dans la rue deux par deux Tous les garçons et les filles de mon âge Savent bien ce que c'est d'être ...?...

deux
affreux
heureux
vieux

10 questions
149 lecteurs ont répondu
Thème : Françoise HardyCréer un quiz sur cet auteur

{* *}