Etsuko Mizusawa

La couverture ne paye pas de mine, on est loin des couvertures travaillées avec force détails et couleurs. Et pourtant, elle m'a attirée. Yako est une mangaka et Poko est son assistant robot. Dans ce monde, chacun possède un robot qu'il programme comme il le souhaite : Mode brouillon ou mode optimal... chaque mode autorise plus ou moins de choses en contrepartie d'inconvénients. Poko, assistant-robot chat de Yako est en mode brouillon. Alors il lui arrive de se tromper parfois, il en est bien géné mais Yako semble compréhensive.

Un manga atypique et simple sur la vie d'une mangaka à la sauce futuriste. J'ai aimé la vie de Yako, qui a du mal à boucler ses fins de mois, qui parle des lettres de fans, des rencontres avec l'éditeur. Le travail d'assistants mangaka ne semble pas simple non plus... Entre deux chapitres, Poko raconte les différentes étapes du travail de mangaka avec humour et simplicité. Leur quête des stylos Yukko m'a rendu un peu nostalgique. Je lirai bien la suite de leurs chroniques, un manga plein de douceurs...

J'ai découvert Hana a la télévision et en visionnant le premier épisode, j'ai de suite eu envie de lire le manga.

Alors mon seul bémol (autant commencer par les critiques de suite) c'est que Hana fait vraiment petite fille au fil des pages. C'est un gros contraste avec l'actrice de la série (je ne veux pas dire par la que l'actrice est vieille) juste qu'elle fait beaucoup plus adulte que le personnage du livre.



A part cela, j'ai adoré ce manga. Je suis d'accord avec certaines critiques que j'ai pu lire, c'est vrai que la construction est un peu répétitive mais en même temps Hana est tellement drôle et attachante que l'on n'a pas le temps de s'ennuyer. Je pense aussi que je l'aime beaucoup car je peux facilement m'identifier a elle. Contrairement a elle, mon fiancé vit avec moi (et d'ailleurs on travaille au même endroit) mais il y a quelques mois, il s'est absenté de la maison pour deux semaines pour une formation et je peux vous dire que j’étais Hana pendant ces quinze jours. Pas de ménage, pas de rangement, manger sans arrêt et piocher dans le frigo pour dénicher je ne sais quoi et inventer des recettes.... Oui j'ai honte (enfin juste un peu car Hana m'a décomplexé ).



Les dessins sont vraiment splendides. Bon oui plus haut j'ai dit que je trouvais qu'Hana semblait très jeune mais malgré ça tout est très bien dessiné avec des traits très rond comme je les aime. On est loin du cliché du manga avec les visages tout en angle.



Coté recette, je suis conquise même si par chez moi il va être difficile de trouver les ingrédients pour les réaliser. Après la lecture, on a juste envie de s'envoler pour le Japon (j'espère pouvoir y aller bientôt faire un peu de tourisme) et de manger, de gouter a tout, de déguster de nouvelles saveurs. Bref, Hana m'a mis l'eau a la bouche.



Je pense vite investir dans le tome 2 et poursuivre les aventures d'Hana. J'espère aussi qu'un jour on découvrira le fameux Goro, son mari, je suis curieuse de la découvrir. Mais bon, je ne pense pas que ça arrivera, la série perdrait peut-être un peu de son charme.
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Un peu de continuité dans Yako (la mangaka) et Poko (son robot-assistant), on suit toujours leur quotidien, on apprend leur comment travaille les autres mangakas : ce sont souvent des femmes avec des techniques très l'une de l'autre. On est dans le futur mais ça donne une idée de comment travaillent les mangakas de nos jours. Les assistants sont des robots et ont des modes de travail différents selon leurs réglages.

Yako a toujours le visage aussi neutre alors que Poko a l'émerveillement d'un enfant. Il cherche toujours activement les stylos Yukko qui lui apportent le bonheur. Le trait est assez grossier mais c'est un style que la mangaka s'est imposée dans cette série, dans Mes petits plats faciles, il semble plus détaillé. Un quatrième est sorti au Japon mais rien d'annoncé en France. Un manga que je lis avec beaucoup de plaisir !

Ce deuxième est aussi agréable que le premier. La relation entre Yako et Poko est très douce, comme une mère à son enfant. Poko continue sa collection de stylos Yukko, les réponses que Yako donnent à Poko ont beaucoup d'importance pour lui, comme quand il faut absolument voir les carpes très tôt le matin... Des plaisirs simples et touchants. Les dessins au trait épais (yeux pleins, silhouettes épurées) donnent un style un peu enfantin mais très doux. Yako semble tout de même bien réservée... J'ai aimé aussi en savoir plus sur Rodin, un robot de Midori et cette dernière. L'ambiance parait plus stressante que chez Yako ! A suivre avec le tome 3.

Yako écrit des mangas qu'elle livre régulièrement à sa maison d'édition. Dans sa vie quotidienne et dans son travail, Poko la seconde. C'est un chat robot qui a été activé en mode "brouillon".



Les deux personnages vivent dans une ville kawaii, où tout est customisé : ainsi les employés de la maison d'édition portent tous une queue d'animal.



Dans ce monde lorsqu'on active son assistant on peut choisir plusieurs profils : Optimal, Brouillon ou Bon à rien. Comme le lui fait remarqué Poko, si Yako a choisi le second c'est qu'elle même est certainement imparfaite.



De plus, à plusieurs reprises, il est souligné que les "Optimals" ont eux aussi des défauts même s'ils permettent à leur mangaka de rendre à temps les pages demandées et donc de moins subir la pression de l'éditeur.



Ce récit offre à chaque "chapitre" une entrée sur le monde du manga : Poko explique simplement les étapes de réalisation sur une planche : le rendez-vous chez l'éditeur, le story-board, le crayonné, l'encrage, le gommage, le remplissage, le blanc et le tramage. C'est donc en plus un livre instructif !



Dans le fil du récit il est principalement question de la relation entre les deux héros avec comme fil principal la recherche de stylos "yukko" qui demande à son utilisateur de deviner sa couleur à l'aide d'indices.



On découvre ainsi "la couleur de la soucoupe spatiale dans laquelle on m'a fait monter dans un rêve" ou encore "la couleur du toit de la maison du garçon que j'aimais". Cela évoque les souvenirs et les traces de notre histoire.



J'ai adoré cette dimension poétique et réflexive qui invite à nous rappeler des moments éphémères de l'existence et ce qu'ils ont laissé en nous.



Le dessin est lui aussi en même temps doux et simple : les traits sont ronds et les personnages expressifs. Ainsi le robot chat diffuse une sorte d'interrogation philosophique mélancolique digne d'un humain.



J'ai adoré ce manga différent, original qui m'a aidé à continuer à voir la vie autrement. A lire !
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Vous cherchez à faire un petit truc rapide pour le dîner de ce soir ? J’ai. Même avec des restes, il y a moyen de s’en sortir. Un exemple ? Que diriez-vous de miettes de saumon mayonnaise sur du pain de mie avec une salade de chou blanc rehaussée d’un peu de Tabasco ? Ou alors de riz aux algues nori et œufs lyophilisés en sachet accompagné d’une soupe instantanée parfumée aux champignons Matsuké. Bon ok, tous les ingrédients ne seront pas forcément faciles à trouver, mais avouez que cela sort de l’ordinaire. Il y 17 menus en tout dans ce manga, un par chapitre. Tous les plats sont réalisés par Hana, une trentenaire travaillant dans une librairie et dont le mari a été muté en province. Dans son mini appartement toujours en désordre, Hana fouille les placards et le frigidaire pour se concocter de petits en-cas ou des choses plus élaborées comme un pot-au-feu par exemple.



Masayuki Kusumi a signé le scénario du célèbre Gourmet solitaire de Taniguchi. Il a créé avec Hana une héroïne pétillante, drôle et pleine de fraîcheur. Cette cuisinière, loin d’être un cordon bleu, commente chacune de ses réalisations avec une bonne humeur et un ton décalé qui font mouche. Nul doute que beaucoup de japonaises se sont reconnues dans le portrait de cette jeune femme aussi paresseuse que gourmande puisque Mes petits plats faciles a été le manga le plus lu par le public féminin en 2012 et qu’il a déjà été adapté à la télévision.



Niveau dessin, on a déjà vu mieux, n’est pas Taniguchi qui veut… Disons que les plats mitonnés par Hana pourraient parfois être plus attrayants visuellement parlant. Mais l’ensemble reste tout de même correct.



J’ai passé un bon moment avec Hana et si, sur la durée, le principe plutôt répétitif qui régit le fonctionnement de la série pourra lasser, il n’en est absolument rien dans ce premier tome dont certaines recettes me tentent sacrément. Amis de la gastronomie japonaise, le couvert est mis…






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Mon manga préféré ! Et ce tome deux ne m'a pas déçu.



Le petit chat continue à se poser beaucoup de questions, et essaye de satisfaire au mieux sa maîtresse même s'il a été programmé en mode brouillon. Mais il apprend aussi que ceux en mode "bon à rien" peuvent aussi avoir des capacités spéciales.





On découvrira les nouvelles couleurs des stylos poétiques Yukko.



Dans ces nouvelles aventures on comprendra principalement que rien ne sert de travailler trop, on risque sinon de se retrouver en burn out.



Par contre les liens, les rencontres sont importantes même si cela peut créer quelques tensions entre humain et robot...



A lire absolument et sans réserve de 7 à 77 ans

Une douceur et un sentiment d'étrangeté ce dégage de ce manga. C'est à part et unique.

Je vais lire le tome 2 avec plaisir !

Où l’on retrouve Hana aux prises avec un quotidien qu’elle tente d’affronter avec un maximum de bonne humeur et une curiosité gastronomique inépuisable. Hana la trentenaire, employée dans une librairie et dont le mari Goro est toujours aux abonnés absents. Hana qui bricole ses menus avec ce qui lui tombe sous la main et se laisse tenter par les copines ou par une recette entendue dans le bus. Hana toujours aussi bordélique et gamine dans l’âme…



Pour tout dire, j’avais trouvé le premier tome sympa, sans plus. Surtout, je m’étais fait la réflexion que si la mécanique de la série restait la même (un chapitre = une recette), le coté répétitif pourrait vite lasser. Et bien pas manqué, je me suis ennuyé comme c’est pas permis avec ce second volume (heureusement que je l’ai emprunté à la médiathèque). Petite nouveauté, on nous propose une histoire en couleurs mais les teintes choisies, verdâtres et délavées, ont de quoi vous donner la nausée, le comble pour un manga culinaire. Autre problème, il n’y a pas d’intrigue, chaque historiette est indépendante et sans intérêt. En fait, aucune recette ne m’a mis l’eau à la bouche. Au niveau de notre héroïne, rien de nouveau. Hana a trente ans mais on lui en donnerait douze. Tout ce qu’elle goute est forcément délicieux alors qu’elle est le plus souvent dans l’improvisation totale et que les ingrédients qu’elle utilise n’ont à la base rien de transcendant. Des nouilles chinoises froides, du riz nature saupoudré de flocon de thon séché et assaisonné de sauce soja et de mayonnaise la font grimper aux rideaux. Sérieux ? Perso, quand je teste une nouvelle recette à la maison, je me fais plus souvent incendier que féliciter. Bref, résumons : c’est répétitif, sans intérêt, le dessin est très moyen et ça ne vous ouvrira pas l’appétit. Et dire que le scénariste est celui du Gourmet solitaire, mon Taniguchi préféré. Franchement, je n’arrive pas à le croire.



J’ai lu en début de semaine que le manga connaît une crise sans précédent (moins 50% de chiffre d'affaire entre 2007 et 2011 aux États-Unis, moins 20% entre 2008 et 2013 en France). Le premier accusé est le piratage et le scantrad (une pratique qui consiste à scanner et traduire les mangas dès leur publication puis de les proposer illégalement sur le net). Soit. Mais il faudrait aussi que les éditeurs se posent des questions sur la médiocrité des titres qu’ils proposent. En dehors des blockbusters archi-vendeurs, beaucoup de séries ont une qualité bien insuffisante et ne donnent tout simplement pas envie de passer à la caisse. Mes Petits plats faciles est un exemple parmi tant d’autres.


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La couverture de ce manga m'a attirée et quand j'ai remarqué que le scénariste était le même que dans Le gourmet solitaire de Jiro Taniguchi, je n'ai pas hésité un instant à l'acheter et je ne regrette pas.







Hana se retrouve souvent seule car son mari est souvent en voyage pour son travail. De ce fait, elle va cuisiner pour elle-même. Chaque chapitre nous donne une recette mais de manière attractive en suivant le quotidien d'Hana. On apprend qu'elle travaille dans une librairie de la gare qui se situe près de son domicile. Elle en profite souvent pour passer dans une superrette sur le chemin de retour chez elle.







Un manga très sympathique avec un personnage attachant très bordelique, nature, très amoureuse de son mari Goro, qu'on ne voit jamais, plutôt gourmande. Une lecture qui donne faim... vivement la suite !!!
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Nous continuons à suivre les relations entre la mangaka et son petit robot-chat humanisé, mis en service en mode brouillon.



Ce volume explique le peu de relations de Yako, toute dévouée à son métier et qui a peur de se lier dans ce milieu où la compétition est dure entre dessinateur.



On trouve aussi la raison du choix du chat-robot.



Une série à nulle autre pareille que j'adore !

Toujours aussi sympathique que le premier tome, Hana nous fait découvrir de jolies recettes avec un appétit insatiable et un humour bien agréable.



Elle nous fait partager ses émotions avec tellement de spontanéité, bref, cette saga est un véritable bonheur et est fort rafraîchissant.

J'ai sans doute trop mangé de ces mangas culinaires qui pullulent actuellement sur le marché. Oui, je suis en période d'indigestion. En l'occurrence, nous avons droit à une succession de petits plats japonais mitonnée par Hana se définissant elle-même comme une truie heureuse (je n'invente rien).



Arrivé au 17ème plat de manière tout à fait linéaire (un plat par chapitre), on n'aura plus très faim. C'est destiné avant tout à un public japonais aimant cette cuisine vite faite en fouillant les restes des placards. Certes, on pourra s'attacher à Hana au fil des recettes.



Cependant, le quotidien des situations va finir par nous lasser. Hana parle beaucoup toute seule et se jette des fleurs sur la qualité de sa cuisine. Vous saurez à quelle sauce vous allez être mangé et vous allez déguster !

Je suis définitivement amoureux de ce manga unique aux personnages ultra-attachants et à l'univers tendre, poétique et étrange.

J'ai trouvé ce tome moins lourd en jeux de mots que le premier. On s'attarde un peu plus sur l'histoire de Hana hors cuisine ce qui est plutôt bien sympa. Les recettes ont toujours l'air orgasmique dans sa bouche bien que je n'en ai pas vu tant que ça que j'avais envie d'adapter. Ce tome se termine sur une sorte de plotwist (relativement énorme vu le niveau moyen d'intrigue dans ce manga mais honnêtement pas de quoi vous empêcher de dormir en attendant la suite).

Du coup j'espère qu'un tome 3 est en préparation, sinon c'était vraiment pas la peine d'amener ça à dix pages de la fin.

Encore une fois je pense que ce manga est à conseiller essentiellement aux gens qui cherchent des idées de recettes parce que l'histoire en elle même, bah, il n'y en a pas vraiment en fait.

Donc ça ce laisse lire mais je n'irais pas jusqu'à le classer parmi mes coups de cœur.

Yako et Poko semble être un manga très peu connu, mais que nous pouvons prendre plaisir à lire. Nous suivons surtout la vie d’une mangaka avec son chat robot et les pistes de réflexion sont nombreuses, croquées par du tranche de vie, de la bienveillance, du partage.



Le dessin est très particulier.



Nous revenons et surtout dans le dernier chapitre sur la révolution, sur ce qui s’est passé. Dans leur monde, ils ont des assistants robots plus ou moins efficaces selon le mode choisi, par contre les ordinateurs sont d’un autre temps, internet aussi, les recherches potentielles sont très longues. Beaucoup de gens actuellement n’imaginent pas ce que cela a été avant.



Poko est un chat assistant robot mode brouillon mais très attachant.

Yako tient à donner le meilleur d’elle-même, a fait le choix d’un mode brouillon pour son robot, assure ses arrières plans elle-même.



Sur la route, le 100 km c’est fini.

Drôle de piscine, mais quelle idée !



Poko nous explique aussi dans certaines pages des choses sur Yako.



Dans ce tome, nous abordons les relations compliquées entre collègue, les lettres positives comme négatives qu’un auteur(e) peut recevoir, etc. La réflexion sur ce qu’on fait soi-même, donne aux robots, mais également la difficulté de devoir produire quand c’est pour un éditeur. La différence entre loisir et monde professionnel, où nous ne faisons pas toujours ce que vous voulons, et comme nous voulons.



Ainsi Yako et Poko sont adorables et intéressants à suivre, nous avons des moments tranches de vie tout doux, d’autres plus sérieux, mais également des pistes de réflexion qui se dégagent, notamment avec la révolution qui a bouleversé le monde tout entier.



En avez-vous déjà entendu parlé ? Seriez-vous prêt à le lire ?
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..

J'ai lu le manga Yako et Poko de Estuko Mizusawa. C'est l'histoire d'une fille, Yako et d'un robot chat, Poko qui vivent au Japon. Ils sont écrivains de manga jeunesse. Ils veulent collectionner des stylos rare venants du passé. Je le recommande car il est émouvant mais il faut bien savoir lire les mangas et ne pas avoir du mal à lire tout court sinon on ne peut pas comprendre l'histoire.

Sakura

Les personnages sont Yako et Poko qui sont en quête des stylos Yukko. Ces stylos sont spéciaux car il y a une énigme dessus, par exemple "la couleur du chat de mon voisin". L'histoire se passe dans le futur (chats robots). Il y a une chose de dommage, le suspense est absent. Mais l'histoire reste bien malgré quelques petites erreurs.

Mathys

C'est l'histoire d'une fille qui s'appelle Poko , elle habite dans une ville où les habitants ont des robots comme assistant elle a pris un modèle chat, il s'appelle Yako . Poko écrit et dessine des mangas et Yako l'aide, parfois il fait des fautes mais Poko le corrige …..



J'ai aimé ce livre parce qu'il est marrant et il y a du suspense.



Super Girl 62440

Gros coup de cœur pour ce manga à l'ambiance unique, mêlant nostalgie, onirisme et douceur de vivre !