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Critiques de Fabrice Le Henanff (37)
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Wannsee

Un ouvrage d'une violence morale intense dont je suis sortie sonnée. La Seconde Guerre mondiale (ici appelée "Deuxième" dans la préface, c'était la première fois que je voyais ça) fait partie de notre héritage, on sait tous ce qu'il s'est passé, mais s'immiscer durant la conférence où sera décidée "la solution finale" est autre chose. Je suis presque sans mot devant la barbarie d'hommes pourtant supposés supérieurs et civils. Bienvenue à la guerre... Nous suivons donc le cours de la conférence avec les marchandages entre la SS et les ministères, pour arriver finalement à la conclusion qu'il "est temps de dire aux juifs qu'ils ne peuvent plus vivre". Sans commentaire.

La maîtrise graphique vient renforcer le malaise et les planches sont magnifiques.
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Wannsee

Le Henanff nous offre une bien belle oeuvre, dure, prenante, qui nous prend aux tripes et qui nous donne une leçon d'histoire.

Les illustrations sont superbes.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Wannsee

Tentative mi-graphique mi-historique, pour rendre compte d’un épisode méconnu mais ô combien important de la Seconde Guerre mondiale, pour trouver un sens impossible à l’abject, Wannsee recoupe les compte-rendus pour rappeler que la plupart des hommes présents n’ont même pas été jugés.




Lien : https://www.avoir-alire.com/..
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Wannsee

Huis-clos étouffant préparant le génocide des Juifs, la conférence de Wannsee de 1942 a marqué l'histoire du nazisme au pouvoir. Cette restitution glaçante met en lumière les mécanismes de l'horreur en jeu dans cette réunion aux allures de dîner mondain...


Lien : http://www.actuabd.com/Wanns..
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Wannsee

Déjà auteur de deux one-shots, Ostfront: Stalingrad et Westfront: Berlin, sur des thématiques proches, Fabrice le Hénanff revient aujourd'hui avec Wannsee, un album historique traitant de la Conférence de Wannsee.



Dans La villa Marlier, en quelques 85 minutes, le 20 janvier 1942, quinze dignitaires nazis mettent en place l'organisation administrative, technique et économique de la Shoah, autrement dit de la « solution finale de la question juive ». Parmi ces dignitaires nazis, les deux plus tristement célèbres sont Adolf Eichmann - à lire entre autres Nous, fils d'Eichmann de Günther Anders et Eichmann à Jérusalem. Rapport sur la banalité du mal de Hannah Arendt - et Reinhard Heydrich - c'est le dernier H du livre de Binet, HHhH.



À la date de la Conférence de Wannsee, la Shoah a déjà débuté : notamment les Einsatzgruppen pratiquent déjà la « Shoah par balles », mais elle « se traduit par une trop grosse consommation de munitions. Elle est donc très coûteuse et fort peu discrète, sans oublier la pénibilité pour nos hommes » (p. 59), et l'expérimentation d'une « nouvelle méthode : le monoxyde de carbone » (p. 59) dans le cadre de l'Aktion T4 a déjà été testée - cette méthode est une préfiguration des chambres à gaz déployées dans les camps d'extermination et à l'utilisation du tristement célèbre Zyklon B. le 20 janvier 1942, il s'agit de rendre plus efficace un processus qui a déjà commencé et d'augmenter le nombre de morts par jour.




Dans Wannsee, dont toute l'action se déroule dans la villa Marlier, Fabrice le Hénanff relate fidélement le déroulement - notamment les rôles de Eichmann et Heydrich et les précautions imposés par celui-ci aux participants qui ne devaient pas prendre de notes - de cette réunion* et les discussions entre haut dignitaires nazis (seuls les services de Goebbels n'y assistent pas) pour décider du sort des Juifs, de celui des « Mischling », les métis, de la nécessité d'aller au-delà des lois de Nuremberg - pour certains des présents, elle réglaient déjà la « question juive » - et traiter les protestations de certains des présents sur des questions diverses.



Graphiquement, l'album qui aura demandé plus de trois années de travail à Fabrice le Hénanff** est une réussite. Certaines pages - celle du portrait d'Hitler découpé en 9 cases (p. 20) ou celle sans paroles montrant le massacre de Babi Yar et dessinant une étoile de David (p. 41) - sont impressionnantes. L'utilisation du sépia et « un graphisme plus tableau, plus torturé avec du flou »** sont particulièrement idoines pour rendre l'atmosphère des discussions.



Le texte de Fabrice le Hénanff est introduit par une préface instructive de Didier Pasamonik, l'un des deux commissaires scientifiques de l'exposition « Shoah et bande dessinée », dans laquelle il s'interroge sur la possibilité de faire de l'histoire et de transmettre avec une bande dessinée comme Maus de Spiegelman, Yossel de Joe Kubert, Deuxième génération de Michek Kichka, et ce Wannsee. Ici, Fabrice le Hénanff a voulu « mettre tout le texte [de la Conférence de Wansee] dans l'album, suivre le déroulement des débats »** - le texte, connu également comme le « protocole de Wannsee », disponible sur le site de « La maison de la conférence de Wannsee » ne fait que 15 pages et constitue l'un des seuls documents sur cette rencontre pour laquelle aucune photo n'existe.



Comme Hannah Arendt qui avait montré la banalité du mal dans le cas de Eichmann, Fabrice le Hénanff montre ici la banalité du mal dont ces dignitaires nazis plaisantant, mangeant et buvant du cognac, se querellant, se jalousant,… vont se rendre coupables. Seul l'un d'eux, Kritzinger se déclarera, lors d'un des procès de Nuremberg, honteux des atrocités commises par le Troisième Reich et sera acquitté - les autres*** ne montreront aucune forme de repentance.



Même si Fabrice le Hénanff n'apporte rien de nouveau sur ce qui se passa le 20 janvier 1942, Wannsee est une bande dessinée de qualité s'adressant à tous les lecteurs, pas uniquement aux seuls passionnés d'histoire.



* Au format bande dessinée, cette conférence est également en partie le sujet de Wannsee, 1942, le second tome1 du cycle I de Sir Arthur Benton.

** À lire un interview ici : https://www.ligneclaire.info/le-henanff-wannsee-72463.html

*** À la fin de l'album, une courte biographie de l'après conférence pour les différents protagonistes est présentée.
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Wannsee

Très documenté et relu par une historienne du Mémorial de la Shoah, l’album nécessitera trois années de réalisation et d’investissement psychologique…
Lien : http://bdzoom.com/131324/lar..
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Elvis

J'adore et j'adorerai toujours le King. Pou son style, son visage et sa musique. Ce roman graphique fait un résumé de toute son existence et j'ai plongé dedans sans hésitation.

Des dessins presque flous qui en deviennent vivants sont l'essence de ce livre qui retrace l'histoire de la vie d'Elvis, de ses hauts et de ses bas, de ses albums et de ses films, de ses amours et de ses déceptions.

Mais ce n'est pas uniquement d'Elvis dont il est question ici, même si ce livre lui est clairement consacré, il concerne également les autres chanteurs, plus ou moins connus, qui lui ont été contemporains.

Tous les titres, des films comme des albums ou des chansons produits lors de la vie courte mais très créative du King sont cités ici. Cela donne un style un peu liste ou résumé un peu trop professionnel à mon goût, mais les images compensent largement ce défaut.
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Ostfront : Stalingrad

Le graphisme de Fabrice Le Hénanff porte cette histoire martiale à bout de bras, réaliste, fortement réaliste. De ce fait, du bel ouvrage dont la lecture est à recommander.
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H.H.Holmes, tome 2 : White City

Chicago, avril 1891,



Des preuves ! Il manque des preuves pour pouvoir accuser le docteur Holmes des crimes qu’il commet. De la célèbre Agence Pinkerton, deux détectives sont à l’affut du moindre petit indice. Siringo et Miss Martinelli ne sont pas dupes mais le docteur Holmes est quelqu’un de minutieux qui n’abandonne pas facilement ses lambeaux de chair.

Des femmes disparaissent et lorsqu’on découvre un cadavre, tout mène à penser que le Ripper de Londres a traversé l’océan.

L’Exposition universelle de 1893 génère une ambiance brouillonne très active. L’hôtel de Holmes se concrétise. Une femme rentre dans sa vie, Julia Connor, une autre en sort, son épouse. Il multiplie les conquêtes et les répudie d’une manière très catégorique.



Si rien ne peut incriminer Holmes, il faut le brusquer et aller le trouver dans sa tanière. Miss Martinelli devient alors "une véritable plaie" pour lui, n’hésitant pas à afficher sa carte de détective. Mais le jeu est horrible. Fournisseur en squelettes et organes à la Faculté de Médecine, Holmes tisse tout un réseau pour ses diaboliques affaires.



Le château de Holmes s’érige et les hauts-fourneaux vont cracher bientôt autre chose que de la fumée de charbon.



Nous pénétrons avec ce deuxième volume un peu plus dans l’enfer d’un serial killer du XIXème siècle. Le rapprochement avec Jack l’éventreur se fait naturellement et la question est posée. Est-ce lui ou un disciple ?

L’atmosphère est sombre, étouffée, pour le titre de cet album, "White city". Elle provoque une appréhension, une sensation de claustrophobie et de froid. Les teintes sont obscures, le texte est écrit en petits caractères, parfois les personnages peuvent se confondre et on est alors obligé d’accorder toute notre attention à l’histoire, faire corps avec elle.

En parallèle des tragédies, il y a les deux détectives de Pinkerton qui se liguent pour piéger Holmes. Personnages torturés, solitaires, dissemblables, durs, les auteurs ont voulu les associer plus intimement…

Holmes se fera arrêter en 1894. Il nous reste encore deux tomes à découvrir.



Une série bien construite… à recommander, mais pas pour tout le monde.
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H.H.Holmes, tome 1 : Englewood

En prenant cet album, je me suis bel et bien fourvoyée… Je croyais prendre une histoire avec Sherlock Holmes et j’ai pris "l’histoire vraie du premier serial killer américain".



Londres 1888,

Mary Jane Kelly, une jeune prostituée, a été retrouvée assassinée, éviscérée. Ce meurtre horrible perpétué à Whitechapel, un quartier de l’East End de Londres, est le cinquième d’une série. Un nom circule… Jack l’Éventreur.

Alors que les enquêteurs cherchent désespérément le moindre indice, l’assassin rejoint un autre continent ; quinze jours de traversée à bord d’un paquebot, arrivée à Ellis Island, New-York puis Chicago.

Soupçonnant ce fait, Scotland Yard prévient l’agence Pinkerton de Chicago du danger et leur demande une investigation.



Chicago 1886, 1889…

Jack l’éventreur serait le machiavélique Docteur Henry Howard Holmes, un vulgaire apothicaire qui élabore d’atroces scénarios pour parvenir à ses fins et qui assouvit ses folles pulsions par le poison et le scalpel.

Assistant à la pharmacie de M. Holden, puis propriétaire à la mort de celui-ci, Holmes s’enrichit de façon malhonnête et achète un terrain à Englewood. Il y fait construire un grand immeuble qui regroupe une pharmacie, des boutiques et un hôtel, tout cela pour l’Exposition Universelle de 1893. Seul le diable sait ce qui se trame dans les profondeurs du bâtiment, véritable atelier des enfers. Son ascension sociale le mène à reconsidérer sa vie familiale car il voudrait se libérer de sa femme et de son fils qui sont dans le New Hampshire. Plus rien ne l’arrête.



Chez les Pinkerton, Charles Angelo Siringo est mandaté pour retrouver le dangereux criminel. Avec l’aide de la secrétaire de l’agence, Hélène, il se lance dans l’enquête…



Comme je vous le disais précédemment, j’ai pris cet album par hasard. Ma déception passée, j’ai vite été intéressée par le graphisme et l’histoire, même si l’intrigue est scénarisée de manière surprenante. La chronologie des vignettes change fréquemment et nous passons du présent au passé sans annonce préalable, ce qui donne un rythme embrouillé à la lecture. J’avoue que cette anarchie m’a beaucoup dérangée.

H.H. Holmes est un "tueur en série américain" qui assassina près de deux cents personnes. Ce premier tome, d’une série qui en prévoit quatre, le montre sans âme et prêt à tout dans ses projets. En parallèle, les agents de la Pinkerton commencent leurs recherches et nous rencontrons le célèbre justicier Angelo Siringo qui sera assisté d’Hélène Martinelli, une secrétaire audacieuse.

En ce qui concerne les dessins, je les ai trouvés superbes. Une atmosphère sombre, épaisse, sécrète une angoisse qui trouve son apogée dans la dernière page, une fin en suspension.

J’ai hâte de lire le second tome.
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H.H.Holmes, tome 2 : White City

Dans ce tome-ci, l'ordre chronologique est respecté (l'histoire débute ici au mois d'avril 1891) et le lieu est uniquement celui de Chicago. En revanche, l'histoire se complique et les meurtres se multiplient. Il y a un hic avec notre soit-disant éventreur puisqu'il serait aussi désosseur mais se plairait également à faire des "farces" (qui ne sont pas de très bon goût d'ailleurs) puisqu'il s'amuserait (je me demande bien comment l'on peut s'amuser à un tel jeu macabre mais sait-on réellement ce qui se passe dans la tête des serial-killer ou tout simplement des assassins ?) à recomposer certains squelettes en intervertissant certains os.



Oui, je vous préviens, il faut avoir l'estomac solide pour lire ce deuxième volet!



Henry Holmes, docteur comme je vous le disais dans ma première critique, a l'air d'être trempé jusqu'au cou dans cette affaire puisque une partie de son métier consiste à livrer des squelettes de personnes qui n'ont jamais été identifiées pour l'étude et la science. La science aurait-elle parfois bon dos ?

Comme je viens de vous le dire, étant donné que les pratiques de meurtres diffèrent et qu'il ne s'agisse pas toujours de prostituées (mais toujours de femmes cependant) dont la compagne et l'amie de ce fameux Holmes, pourrai-il y avoir deux tueurs dont l'un ne serait qu'une pâle copie de l'éventreur de Londres ? S'agit-il du même ? Le mystère reste entier.



Toujours dans cette ambiance lugubre, je me suis fais petit à petit à l'écriture mais il est vrai que l'on se perd parfois un peu car les phylactères sont parfois entremêlés mais bon, cela n'empêche en rien la compréhension de l'histoire. A découvrir !
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H.H.Holmes, tome 1 : Englewood

J'avoue que j'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire au début mais une fois que j'étais lancée, je ne pouvais plus m'arrêter. Ce qui m'a le plus gênée en réalité n'est pas tant le fait que le scénariste se plaît à nous emmener tantôt à Londres et tantôt à Chicago, en 1888 puis en 1871, non cela ne m'a pas dérangé outre mesure. En revanche, l'écriture (trop petite à mon goût) m'a mis assez mal à l'aise, étant obligée de froncer les sourcils par moments pour pouvoir décrypter ce qui y était inscrit. En ce qui concerne le graphisme, je l'ai trouvé très travaillé et cette ambiance très sombre digne de circonstances puisque, pour vous mettre au parfum, nous revenons sur les traces de Jack l’Éventreur affaire sur laquelle enquête une agence de détectives de Chicago puisque les meurtres se perpétrant outre atlantique, l'on en vient à se demander si l'éventreur ne se serait pas déplacer afin non seulement d'effrayer tout Londres mais aussi Chicago. Comment être sûr qu'il s'agit de lui ? Ses meurtres sont signés...De quelle manière ? Cela, je ne vous le révélerai pas ! Un peu de suspense tout de même !



Holmes, quant à lui, n'est pas du tout le célèbre détective que nous connaissons tous mais d'un pratiquant en pharmacie et médecin. Cela déconcerte certes puisque beaucoup s'imaginent à retrouver leur bon vieil ami Sherlock mais bon, il faut savoir changer ses habitudes. A découvrir !
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H.H.Holmes, tome 1 : Englewood

Aucun plaisir à la lecture pénible de cette BD : je n'ai pas compris grand-chose à l'histoire, me suis perdue dans les retours en arrière, le scénario m'a semblé confus à l'extrême. Et surtout, au niveau du dessin, j'ai trouvé très désagréable cette tonalité sombre qui m'obligeait à mettre le nez sur le dessin pour y distinguer les détails. Quelques pages de cette tonalité auraient suffi, mais les deux albums sont entièrement au diapason d'une ambiance glauque et morbide. Je manque sans doute d'habitude de lectrice de BD, mais j'ai eu des difficultés à distinguer les personnages, hormis les trois principaux. Par ailleurs ce trio de héros n'a en rien éveillé ma curiosité. Les mouvements sont statiques, les sentiments animant les protagonistes alambiqués... bon, j'avoue, j'étais un peu fatiguée, mais je ne suis pas certaine que cela soit la seule cause de mon désintérêt pour cette histoire de serial-killer.
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Westfront : Berlin

Il en ressort un sentiment mitigé : d’un côté, nous avons une petite pépite graphique que l’on prend plaisir à feuilleter, comme un carnet de croquis, après la lecture, de l’autre, nous avons une histoire, certes réaliste, mais confuse et difficilement compréhensible. C’est dommage, car le talent de l’auteur est indéniable.
Lien : http://www.actuabd.com/Westf..
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Ostfront : Stalingrad

Album intéressant pour son graphisme qui rend bien compte de l'horreur de cette bataille de Stalingrad. Nous suivons l'histoire de 3 soldats allemands. Un jeune officier allemand qui prend son premier commandement refusant la possibilité de rester à l'abri à l'arrière ou en France grâce à son nom et son père général, un vieux soldat ayant participé à l'invasion de la Pologne et la campagne de France et un soldat envoyé dans un bataillon disciplinaire. La conclusion de l'album est intéressante par la mise en parallèle de la bataille de Stalingrad et la bataille de Grosny, pendant l'invasion de la tchétchénie par les blindés russe. Malheureusement malgré un dessin magnifique l'histoire reste un peu faible et sans grand intérêt.
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Ostfront : Stalingrad

[..] pas de romance, mais des faits crus, terribles, angoissants. Ici pas d'effets spéciaux mais le quotidien d'hommes analysés en profondeur depuis les massacres des commandos SS à la survie sur le front. [..] Un album témoignage à méditer.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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Ostfront : Stalingrad

Graphiquement très réussi, Ostfront dresse une fresque plutôt appréciable de la bataille de Stalingrad. Du moins, si on dépasse l'impression de déjà-vu due aux sources d'inspiration, parfois reprises telles quelles. À découvrir surtout pour le dessin, en attendant le volet sur la bataille de Berlin, prévu pour 2012.
Lien : http://www.bdgest.com/critiq..
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