[...] " ma mère ne supportait pas le bruit, enfin je devrais dire, pour être plus précis, qu'elle ne me supportait pas. En tout cas, je devais me faire oublier et rester sur une chaise à lire, je n'avais pas le droit de jouer ni de faire du bruit, il fallait que je fasse oublier que j'existais." Dans "Les 400 coups", film largement autobiographique, Antoine Doinel allume une bougie et met le feu à un rideau en consacrant un autel à un auteur qu'il admire, qui est cet écrivain ?