Fred Van Lente

Bliss Comics propose un one shot trépidant autour du thème du voyage dans le temps.
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En plus d'offrir une histoire complète à prix raisonnable, permet d'entrer de plein pied dans une famille importante de l'univers Valiant en suivant les aventures trépidantes du « Marcheur Temporel », l'aîné de la fratrie.
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Un véritable plaisir de découvrir ces deux personnages dans cette intégrale qui est juste un superbe objet !



Deux hommes aux caractères différents mais qui vont apprendre à s'apprivoiser au fur et à mesure de leur combat contre une terrible secte (tremblez!). Humour, combats et voyages sont au rendez-vous.



Je suis totalement tombée amoureuse de l'univers Valiant.

j'ai presque tout aimé sauf que je n'ai pas trop aimés les méchants.

Fred Van Lente se régale dans cette aventure fourre-tout souvent hilarante qui frôle la folie et l’absurde.
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Cette transposition de l’univers marvel dans le monde du polar n’est pas une réussite. Les dessins semblent figés dans une trame sombre et pesante, ce manque de dynamisme nuit à la compréhension d’une histoire déjà bien confuse.

Une série amusante, qui prouve une fois de plus, après X-O Manowar, Harbringer et Bloodshot, toute la qualité du catalogue méconnu Valiant Comics.
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Dans Point One qui met en scène divers héros de l'univers Marvel, nous voyons ce qui risque de nous arriver dans les mois à venir. Il y a de bonnes et moins bonnes choses semble t-il.
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Le roi du chaos tente de détruire le multivers en commençant par exécuter un maximum de dieux.

En détruisant les enfers, il ressuscite les morts dont les Vengeurs décédés qui vont essayer de protéger la Terre. On verra ensuite la conclusion de Chaos War avec notamment le rôle prépondérant d'Hercule.



Chaos War, de toutes les sagas présentées dans Marvel Universe, est de loin celle qui m'a le plus déplu. Brouillon, bien trop catastrophiste et pseudo-mystique, de la "science" toutes les pages mais version ennuyante, un scénario qui ne sert qu'à ressusciter certains personnages. Bref, une lecture lourde et finalement assez déplaisante. Une saga que j'aurai oublié demain matin.



Le magazine s'achève sur une histoire tirée de Age of Heroes. Certaines sont sympathiques mais celle-ci fait particulièrement figure de bouche-trou insipide. Espérons que la prochaine saga, avec Thanos, sera plus en adéquation avec l'habituel standard de Marvel Universe.

Ce Hors-Série a la particularité de réunir quatre one-shots autour de Fear Itself aux qualités variables.



Les deux premières histoires sont certainement les meilleures, contées toutes deux par Cullen Bunn que je découvre ici. Dans le premier épisode, nous partons avec la Veuve Noire à Marseille où elle tente de déjouer un attentat terroriste planifiant de surpasser la terreur créée par la Gargouille Grise à Paris. Une histoire d'espionnage qui, sans réinventer le genre, se laisse lire agréablement et qui nous fait le plaisir de mettre en guest-star le Faucon Pélerin, super-héros français. Dans l'épisode suivant, nous allons au plus près de l'action à la rencontre de la Fondation du Futur qui subit une perte immense: la Chose transformée en Digne. Red et Jane arriveront-ils à faire résister Ben Grimm? Ou au moins le retarder? Pour ce faire, nulle autre qu'une certaine Alicia entre en jeu. Un épisode également fort agréable où l'on voit que Ben Grimm tente de résister à la possession effrayante de ce démon nordique. Entre compassion et folie, peut-être sera-t-il le premier à vaincre la Bête qui lui corrompt l'âme?



Le troisième épisode concerne le Roi Singe, scénarisé par Joshua Hale Fialkov, et j'en conviens, c'est médiocre. Sans être totalement mauvaise, cette histoire et en général l'implication de ce personnage tombe comme un cheveu sur la soupe. Et reconnaissons que ce n'est pas plaisant d'y goûter.

Enfin le dernier épisode concerne une équipe de jeunes gens dont la plupart sont des seconds couteaux et qui se retrouvent téléportés sur une sorte de bateau volant datant de la Seconde Guerre Mondiale. Ce n'est ni bon, ni mauvais, ça n'a ni goût ni odeur et le dessinateur, Alessandro "Secret Warriors" Vitti n'est pas en grande forme.



Un magazine en demi-teinte mais qui se laisse lire. De là à dire qu'il est indispensable à la compréhension de Fear Itself ou qu'il vaut ses 5.5€, il n'y a qu'un pas que le bon sens et le bon goût n'oseront tout de même pas me faire franchir.

Voilà donc pour les fans de baston sismiques : Rulk aux prises avec des êtres particulièrement coriaces (des cyborgs, des monstres marins, des dinosaures survitaminés) et allié à des héros qui ne le portent pas dans leur cœur, et le lui font savoir à coup de répliques bien senties, ou de coups en traître (Iron Man et Namor en tête). Notre Rulk oscille du coup entre obéissance forcée (envers la Nation, représentée par Captain America) et rébellion fugace : être aux ordres de Banner n’est pas particulièrement agréable quant on s’appelle Ross.
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