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Citations de Fredric Gary Comeau (49)


Fredric Gary Comeau
- Je baise tous les jours.
- Avec le même homme ?
- Ils sont tous le même homme.
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Hormis cela, c'est un homme comme tous les autres, il n'a rien de particulièrement remarquable. Un salaud souvent, mais pas avec tout le monde. Personne n'est un salaud avec tout le monde. Même Staline a dû aimer quelqu'un.
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Tout le chemin parcouru depuis le jour de l'attentat, les improbables rencontres, les ivresses charnelles, l'amour presque fraternel, la crainte et l'espoir de trouver ce jeune poète, de le connaître, de le toucher, de savoir enfin si, oui ou non, la magie existe.
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En ce dimanche après-midi de fin d'automne, le ciel chante pour lui une chanson qui l'aide à oublier un peu cette belle jeune femme qui l'a remis au monde en lui montrant que l'esprit se manifeste quand le corps s'oublie juste assez.
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Les corps dérivent et ne s’attendent à rien. La nuit et les feuilles tombent.
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Fredric Gary Comeau
À chacun de sculpter ses propres illusions.
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A dix-neuf ans , on ne pense qu’à trois choses : la fin du monde, le bout du monde et le sexe .
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Le français, c'est une lumière de fin d'après-midi dans une cathédrale gothique pendant un récital de clavecin.
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Je m'engueule avec Célestine. Je veux que nous passions des tests de sang. Elle me lance des injures, me crie que jamais personne ne lui fait confiance. Ses larmes sont celles d'un enfant errant dans la plus dense forêt du monde, ayant abandonné tout espoir de trouver un seul des mille sentiers qui pourraient la mener jusqu'à la maison.
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sur le chemin
j’ai rêvé d’acacias
avant de chercher
le bleu de tes yeux
dans la courbe de l’horizon
brusquement le seuil
d’une vie autre est apparu
et j’ai cédé
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la saison s’amplifie et s’oublie
l’après-midi scintille sous le gel
une lettre n’a pas franchi la porte
de ta demeure au cœur de Minsk
le mot regard s’acharne et s’envenime
devenant mon unique tentation
la blancheur prend
mes mélodies mal apprises
tes lèvres entrouvertes
inondées d’incertitude
mais tu sais si bien
qu’il ne reste plus rien
sinon la froidure et l’amertume
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Elle voudrait vivre d’images et mourir de silence.
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dehors novembre avance
ici l’aveu tarde à venir
ma bouche connait des courbes
dont le tracé ne cessera jamais
d’enivrer ma langue réticente
la femme qui dort dans la pièce si proche
sillonne dans ses rêves
des géométries fluides
j’écouterai jusqu’au jour
les échos émanant
de son sommeil caverneux
j’écouterai jusq1u’au jour
en lui cherchant une autre chanson
digne de sa beauté
pleine de pulsions prenantes
des vers séchés au soleil
ne pourront jamais cerner
cet amour humide
talisman invincible
appel impossible
à ignorer
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glisser entre ville gelée
et ciel outrenoir
chercher vacarmes
secousses telluriques
sur ta peau chaude
quand tu dors
je lézarde entre tes songes
scrutant chaque éblouissement
effeuillant les abîmes
qui se creusent en toi
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quelques mots refont surface
pour parler d’un océan
qui a cessé de nous attendre
ses vagues comme des cœurs
ayant oublié leurs désirs
la nuit tourbillonne et tombe sur moi
les débris du monde flottent
la musique renaît
dans ma gorge vide
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l’hiver est ma langue maternelle
je ne fuis plus sa lumière
je jongle avec ses ombres
mes paupières se ferment
attendent vos transgressions
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Le hasard aime parfois nous faire entendre ses chorales expansives. Il y en a d'autres qui pensent que le hasard chante un peu faux et que s voix est toujours éraillée. Il y en a qui préfèrent la Callas à Tom Waits.
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Le destin n'existe pas, ce n'est qu'un leurre. tout le monde le sait. Malgré cela, tout le monde a l'intime conviction qu'il faut croire en quelque chose.
page 158.
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Il se soûlera seul sur les syllabes de son texte émergeant.
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Tout a commencé par une déception. Évelyne s'était fait une image de moi avant même de me connaître. J'étais condamné à ne jamais être à la hauteur de ses attentes.
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