Citations de Freida McFadden (155)
PL : Comment ? Comment cela pourra-t-il aller. docteur Hale ? L'homme que j'allais épouser est mort. Mes deux meilleures amies sont mortes. Ma mère disait toujours que s'il y avait un cinglé dans un rayon de quatre-vingts kilomètres, il me trouverait. Et cette nuit-là, il m'a trouvée. J'ai une cicatrice sur le ventre pour me le rappeler à jamais.
Après tout, ma mère dit toujours que la seule façon pour que deux personnes gardent un secret, c'est que l'une d'elles soit morte.
Il s'est passé quelque chose de terrible dans cette maison.
- Quoi ? De quoi vous parlez ?
Est-ce qu'elle a une autre arme ici ? Un pistolet ? Un nunchaku ? Qu'est ce que cette femme va me faire ?
Elle a sous-estimé une personne extrêmement dangereuse.
Moi.
J'ai commis une erreur de jugement incroyable. J'ai sous-estimé une personne extrêmement dangereuse.
[…] 𝑴𝒂𝒊𝒔 𝒄𝒆 𝒏’𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒖𝒏 𝒅𝒆́𝒍𝒊𝒓𝒆. 𝑪𝒆 𝒏’𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒖𝒏𝒆 𝒉𝒂𝒍𝒍𝒖𝒄𝒊𝒏𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏. 𝑪’𝒆𝒔𝒕 𝒗𝒓𝒂𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒆𝒏 𝒕𝒓𝒂𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝒎’𝒂𝒓𝒓𝒊𝒗𝒆𝒓. 𝑱𝒆 𝒅𝒐𝒊𝒔 𝒎𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒗𝒆𝒏𝒊𝒓 𝒅𝒆 𝒄̧𝒂.
My grandmother was my mother’s mother. She took me in when both my parents were arrested, and she kept me after my father was sentenced and my mother killed herself. They both abandoned me in their own ways, but my grandmother was there for me. But I always got the feeling she didn’t trust me entirely. Sometimes I would catch her looking at me like she was afraid of me. She wasn’t the only one. There was never any question about whether or not I would change my last name. I didn’t want to be Nora Nierling anymore. It was a relief to put that behind me.
If I leave this house, it will be in handcuffs. I should have run for it while I had the chance. Now my shot is gone. Now that the police officers are in the house and they’ve discovered what’s upstairs, there’s no turning back.
Difficile aussi de ne pas remarquer qu’il est largement plus séduisant que sa femme, même tirée à quatre épingles comme elle l’est, ce qui me semble quelque peu étrange. Le gars est richissime, après tout. Il pourrait avoir toutes les femmes qu’il veut. Je le respecte de n’avoir pas choisi une top-modèle de vingt ans comme compagne de vie.
Je ne sais pas quel genre de psychopathes appelle son enfant Wilhelmina, mais je ne parle plus à mes parents (qui ne me parlent plus non plus), donc c’est un peu tard pour leur poser la question. Quoi qu’il en soit, on m’a toujours appelée simplement Millie, et j’essaie de corriger les gens aussi vite que possible. Seulement j’ai l’impression que la personne qui m’appelle n’est pas quelqu’un avec qui je vais échanger nos prénoms de sitôt.
Si j’avais un problème et que j’essayais d’attirer l’attention de quelqu’un, personne ne pourrait me voir d’ici. Je pourrais crier et hurler autant que je voudrais, personne n’entendrait.
Si j’étais un personnage de dessin animé, des signes « dollar » seraient apparus dans chacun de mes globes oculaires lorsque j’ai lu cette annonce. Mais c’est aussi l’argent qui a failli m’empêcher de postuler : une personne offrant un tel salaire et vivant dans une maison comme celle-ci n’envisagerait jamais d’embaucher quelqu’un comme moi.
Je ne crois pas aux fantômes, mais s'ils existent, le sien doit être furax en ce moment.
De l’autre côté de la cour, je n’avais remarqué que sa taille -- il est grand, au moins une tête de plus que moi, avec des biceps de la taille de mes cuisses --, mais de près, je me rends compte qu’il est aussi plutôt sexy. Il a l’air d’avoir la trentaine, d’épais cheveux noir de jais, humides à cause de l’effort, la peau mate et un physique robuste, au bon sens du terme. Mais le plus frappant, ce sont ses yeux, très noirs -- si noirs que je ne peux pas distinguer la pupille de l’iris.
Son visage s’illumine -- enfin, si ça se trouve, c’est dû aux algues et aux épluchures de concombre ou allez savoir ce que les gens riches s’appliquent sur le visage.
Je ne sais pas à quand remontait la dernière fois où il avait fait l’amour, mais pour moi, ça faisait si longtemps que j’avais peur qu’il ne doive m’enlever les toiles d’araignée.
J'atterris dans le couloir, le souffle court. Je reste plantée là un moment, le temps que mon rythme cardiaque revienne à la normale. En fait, je n'ai jamais été enfermée dans la chambre. Nina n'a pas conçu le moindre plan dément pour me piéger là-dedans. La porte était juste coincée. Cependant, je n'arrive pas à me débarrasser de ce sentiment de malaise.
La porte était juste coincée.
Cependant, je n'arrive pas à me débarrasser de ce sentiment de malaise. Qui me souffle que je devrais partir d'ici tant qu'il en est encore temps.
Il la taquine mais aucune femme n'aime être comparée défavorablement à une autre. C'est un idiot s'il ne sait pas cela. Cela dit beaucoup d'hommes sont idiots.