Citations de Freida McFadden (130)
Des études psychologiques ont démontré que les hommes éprouvent plus de sentiments amoureux pour les femmes portant du rouge de préférence à toute autre couleur. Ils sont plus enclins à exprimer le désir de sortir avec une femme portant du rouge et sont également prêts à dépenser plus d'argent lors de rendez-vous. De plus, les hommes interrogés dans le cadre de ces études n'ont pas su identifier l'origine de ces sentiments. Ils préféraient simplement la fille en rouge.
« Comment allez-vous ? » Les trois mots les plus inutiles de l’univers de la communication. Celui qui pose cette question ne veut jamais connaître la réponse. Et celui qui répond ne dit jamais la vérité.
La panique [...] remonte en flèche. La porte est fermée à clé. [...] Nina m'a enfermée dans la pièce. Mais pourquoi ? Est-ce une sorte de jeu tordu ? [...] Mes doigts effleurent les marques de griffures sur la porte, et je me prends à me demander qui a été la dernière pauvre femme piégée ici.
- La meilleure réponse est toujours facile à deviner, […] C'est plus difficile de trouver les réponses moins évidentes.
J'atterris dans le couloir, le souffle court. Je reste plantée là un moment, le temps que mon rythme cardiaque revienne à la normale. En fait, je n'ai jamais été enfermée dans la chambre. Nina n'a pas conçu le moindre plan dément pour me piéger là-dedans. La porte était juste coincée. Cependant, je n'arrive pas à me débarrasser de ce sentiment de malaise.
Je ne sais pas à quand remontait la dernière fois où il avait fait l’amour, mais pour moi, ça faisait si longtemps que j’avais peur qu’il ne doive m’enlever les toiles d’araignée. Donc pas moyen de m’arrêter.
Si je quitte cette maison, ce sera menottes aux poignets. J'aurais dû m'enfuir quand j'en ai eu l'occasion. À présent, ma chance est passée. Maintenant que les policiers sont dans la maison et qu'ils ont découvert ce qu'il y a en haut, il n'y a plus de retour en arrière possible. [...]
- Eh, Connors !
C'est la voix d'un autre policier. Le contact visuel est rompu, je lève les yeux vers le sommet de l'escalier. L'autre flic, beaucoup plus jeune, se tient là-haut, ses longues mains agrippés à la rampe. Son visage lisse est blême.
- Connors, répète le plus jeune. Faut que tu montes ici... maintenant. Faut que tu vois ça. (Même d'en bas, je vois bouger sa pomme d'Adam.) Tu ne vas pas le croire.
À tout moment au cours d'une séance, mes patients pourraient se lever, saisir le coupe-papier qui se trouve sur mon bureau et me le planter dans l'œil. Le risque est relativement faible, cependant. Même si je reçois des patients à mon domicile, ce contre quoi les gens ne cessent de me mettre en garde, je me sens en sécurité.
Par ailleurs, je n'ai pas de coupe-papier sur mon bureau.
Ce serait tenter le sort.
Il la taquine, mais aucune femme n'aime être comparée défavorablement à une autre. C'est un idiot s'il ne le sait pas. Cela dit, beaucoup d'hommes sont idiots.
Le pédiatre dit que Cecelia va devoir recevoir une série de vaccins le mois prochain (pour des maladies qu'elle n'a même pas !).
Il semble quelque peu contradictoire qu’une personne utilisant huit types de crème hydratante différents possède également un déshydrateur, mais qui suis-je pour
juger ?
Si je quitte cette maison, ce sera menottes aux poignets.
Son visage s’illumine - enfin, si ça se trouve, c’est dû aux algues et aux épluchures de concombre ou allez savoir ce que les gens riches s’appliquent sur le visage.
« J ai vendu certains de mes bijoux, peu à peu. J en ai beaucoup : chaque fois qu il me frappe, il m en achète un nouveau, toujours cher. » (…) « Je déteste les cadeaux qu il me fait, crache-t-elle d une voix pleine de venin. Je supporte tout juste de poser les yeux dessus, mais il attend de moi que je les porte.
Amber y entre, élégance impeccable dans l'une de ses très, très nombreuses robes de créateur. Celle-ci est imprimée de motifs zébrés, avec un décolleté en V plongeant et des manches qui s'effilent jusqu'à ses poignets menus. Elle l'a associée à des bottes zébrées assorties et, bien qu'elle soit aussi douloureusement belle qu'à son habitude, je ne sais trop si je dois la complimenter sur sa tenue ou partir la chasser en safari.
J'estime au moins à vingt-cing pour cent les chances qu'elle me tue dans mon sommeil si j'obtiens ce job. Et je le veux quand même.
Mme Winchester embrasse sa fille sur le haut de sa tête blonde, puis la petite détale dans sa chambre. Elle a sans doute une maison de poupées bien cauchemardesque là-dedans, où les poupées s'animent la nuit. C'est peut-être l'une d'elles qui me tuera. OK, je suis ridicule. Cette petite fille est probablement extrêmement gentille. Ce n'est pas sa faute si on l'habille en fantôme d'enfant victorien qui fait flipper.
Comment allez-vous ? Les trois mots les plus inutiles de l'univers de la communication. Celui qui pose cette question ne veut jamais connaître la réponse. Et celui qui répond ne dit jamais la vérité.
Cependant, je n'arrive pas à me débarrasser de ce sentiment de malaise. Qui me souffle que je devrais partir d'ici tant qu'il en est encore temps.
Comme je l'ai dis, tout le monde ment.
Il existe de nombreux signes facilement identifiables pour repérer une personne qui ment, en particulier si elle n'est pas douée pour le mensonge. En tant que psychiatre de formation, je connais intimement ces signes, des sortes de tics. Ils sont presque trop faciles à repérer.
Les menteurs s'agitent.
Le ton de leur voix ou leur façon de parler change.
Ils donnent trop d'informations, partent dans des récits trop détaillés pour se convaincre ou convaincre les autres de ce qu'ils disent.
Un autre livre extraordinaire de Freida McFadden. Celui-ci m'a époustouflée. Je l'ai lu en moins d'une journée et je n'ai pas pu l'arrêter. Des rebondissements sans répit, des personnages sournois, dérangés, menteurs ou passionnés - qui croire ? Chacun a sa version de la vérité et vous ne verrez pas la fin arriver. Ce livre surpasse de loin le premier !