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Critiques de Gabriel Jan (33)
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Cacophonie du nouveau monde

Grandeur et servitude des déplacements professionnels, la journée terminée, la fournaise extérieure me fait regretter la fraicheur climatisée des bureaux.

Un diner de bon alois arrosé d'excellents crus locaux offre une parenthèse récréative avant le retour redouté à l'hôtel. Car, rationalisation des budgets oblige, depuis quelque temps nous sommes systématiquement assignés à résidences dans ces hôtels perdus au milieu de nulle part, dans ces ZAC qui défigurent la périphérie de nos villes.



Traversant le hall d'entrée, je jette un oeil dans la salle de restaurant où quelques dineurs individuels mâchonnent mornement leur pitance le regard rivé à leur smartphone, je songe à mon carré d'agneau et au Mercurey qui l'accompagnait et je me dis que j'ai échappé au pire.



Le distributeur de savon est évidemment à bout de souffle et la douche également, je fulmine et grogne comme un blaireau avant de revenir à la raison.

Tu faisais moins ta chochotte dans les bouges que tu fréquentais sous les tropiques me morigène-je avant d'extirper de ma valise cette "Cacophonie du nouveau monde"



Ah! quand même ! Nous y voilà entends-je gronder la foule. Mais qu'elle ne s'emballe pas trop vite la foule! Elle pourrait fort bien se sentir lésée car je ne serai guère disert à propos de ce livre.



En effet, rien de révolutionnaire dans ce post-apo mené au pas de charge par Gabriel Jan mais il a agréablement meublé cette soirée caniculaire.

Comme jamik je fuis généralement les clichés, ils me gênent moins dans ce type de récit et c'est heureux car l'ami Gabriel reprend allègrement bon nombre d'archétypes du genre sans toutefois sombrer dans le nanar.



Exceptionnellement je tenterai un pitch :

Un guerrier solitaire, mystérieusement chargé d'une mission, fait des rencontres plus ou moins amicales lors de pérégrinations à travers un monde dévasté jusqu'à l'inévitable révélation finale.





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Concentration 44

En l’an 7791, la Terre a depuis longtemps été ravagée par les guerres. Son atmosphère est polluée par des virus et la radioactivité. L’humanité vit dans des colonies, immenses hangars de 150 hectares, clos, hermétiques au monde hostile de l’extérieur. Concentration 44 est une de ces colonies, dirigée par le gouverneur et dictateur Ranko, le chef du courant politique des réalistes. Pour fonctionner, cette micro-société est alimentée par une centrale qui fonctionne à l’énergie Delta Enrichie. Le dernier bâton de cette E.D.E est sur le point de flancher, le gouverneur dépêche un membre de l’opposition, l’utopiste Ravel, pour aller en récupérer dans une autre concentration. Une quête périlleuse commence…

Editions Fleuve Noir Anticipation, 218 pages.

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Dingue de planète

Une fin de livre un peu précipitée. Dommage car cela créé un décalage entre le ton porté à la réflexion sur la recherche de loisirs à tous prix (même les plus inhumains) et le final du livre.
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Et le Vent se mit à souffler

Combien de fois avons-nous entendu cette antienne dans notre enfance et encore de nos jours, par nos parents, grands-parents et autres personnes âgées, sachant que nous-mêmes approchons de la porte de sortie.



Mais en 2048, cette affirmation prend toute son acception.



Le 12 novembre, lorsque Virgile quitte en compagnie de son chien Pirate, sa maison le thermomètre affiche déjà 23°. Mais le réel problème, c’est le vent qui souffle souvent en rafale. Comme la veille, il a plu d’abondance, Virgile pense récolter quelques champignons qui amélioreront l’ordinaire et qu’il pourra déguster avec son ami Horace, qui pourrait être son grand-père.



Virgile a trente-deux ans et il vit seul, un célibat qui lui convient très bien, dans l’Ardèche. Horace son plus proche voisin est à deux cents mètres de chez lui, et parfois il se rend à Aubenas, rebaptisé Obnas en langage jeune, pour effectuer quelques courses.



De champignons, il n’en trouve pas, juste un lapereau que Pirate vient de débusquer. Pour une fois sa gamelle sera plus consistante qu’à l’accoutumée. Il traverse à gué un ruisseau, et s’enfonçant sous la cépée, il se sent oppressé. Comme si quelque chose l’empêchait d’avancer. Pirate ressent lui aussi comme des manifestations étranges. La tempête se déchaîne et la forêt ressemble à un rideau mouvant. Soudain Virgile aperçoit ce qui les troublait, lui et son chien. Une jeune femme nue, mouillée, gît sous les frondaisons. Elle est encore vivante mais éprouve beaucoup de mal à respirer.



Virgile la prend dans ses bras et l’emporte de l’autre côté du ruisseau. Il la sèche avec un linge et à ce moment un homme surgit. Il se présente, Vigo, et se prétend le frère de la belle Sybille qui se remet doucement. Elle affirme avoir été surprise pas un Muzul et se rend compte qu’elle vient de laisser échapper une information capitale que ne comprend pas Virgile. Vigo se prétend climatologue mais quelques jours plus tard il avouera que tous deux sont des Eltys, et que les Muzuls, tout comme eux, viennent de planètes situées quelque part dans la galaxie.



Virgile a narré cette aventure à son ami Horace, mais il ne peut s’empêcher de songer à Sybille. Alors il décide revenir sur les lieux où il a découvert la jeune femme et il assiste à un nouveau phénomène. Il est entraîné, enchâssé dans une sorte de bulle qui l’emmène jusqu’à la cabane où vivent Sybille et Vigo. Il est au cœur du Pangéa, en un lieu nommé Reconquête 102.



Les Muzuls, qui comme eux possèdent un aspect humanoïde, sont leurs ennemis. Pire, ces extraterrestres ont décidé d’annexer la Terre. Les Eltys, quant à eux se sont implantés sur Terre également, formant des colonies, mais vivant dans un monde parallèle nommé Terre II.



Et c’est ainsi que Virgile, Horace, puis un journaliste travaillant en indépendant pour un magazine spécialisé dans les Mystères, un habitant d’Obnas, ancien professeur de philosophie surnommé Socrate, et une gamine dont les parents ont été assassinés par les Rats, des déchus de la société, vont se retrouver au cœur d’une histoire qui enregistre la lutte entre Muzuls, dont certains se disent des dissidents proches des Eltys, les Eltys et une compagnie dite BIIS, Brigade d’Intervention Internationale de Sécurité.

La suite ci-dessous...


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L'an 22.704 des Wans

Dans ce roman en 2 parties , la première nous décrit la vie sur la planète et les problèmes résultant d'une vie sous la coupole .

La seconde nous décrit le trajet au travers de l'espace et des problèmes survenues pendant le voyage ...

Du bon et du moins bon dans ce roman pas plus passionnant que ça ....
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L'Homme Alphoméga

une lecture complexe parfois, mais qui à d'autres moments m'a parue complètement d'actualité avec le conflit qui oppose aujourd'hui les matérialistes et ceux qui prônent une vie plus simple et plus respectueuse de notre mère nature
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La chair des Vohuz

Troisième lecture de cet auteur, et c'est le jour et la nuit.

Autant je n'avais que peu apprécié mes deux autres lectures de cet auteur, autant j'ai apprécié celle-ci



L'histoire est assez originale et bien construite, avec une bonne dose de réflexion et de critique sur la race humaine.



L'écriture est d'assez bonne qualité, ni riche en vocabulaire ni en style, mais fluide et avec quelques effets qui vont bien avec l'histoire.



Les personnages sont bien trouvés, chacun jouant bien son rôle., même si aucun ne sort vraiment du lot. Les extraterrestres (les vohuz), êtres immatériel, ne sont pas ce qui s'est fait de mieux dans le genre, mais ils tiennent bien la route, dommage qu'ils ne soient pas plus détaillés.



La fin est assez moyen, mais pas désagréable non plus. Personnellement, j'aurais bien aimé qu'elle vienne après les retrouvailles des deux hibernés, mais bon, c'est pas trop gênant non plus.



En conclusion, un petit roman pas désagréable du tout, au contraire même. Une petite pépite dans l'univers FNA, mais vraiment petite hein. Un roman que je conseille donc.
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La Forêt hurlante

On retrouve le thème de la planète avec sa nature en harmonie avec le peuple qui l’habite, envahie par une mission d’exploitation sans scrupules, ça vous rappelle quelque chose j’imagine, au moins le film “Avatar” sorti en 2009, mais certains auront pensé aussi à “Le nom du monde est Forêt” d’ Ursula K. Le Guin, sorti en 1972.

Dans “La forêt hurlante”, écrit en 1978, les Alkans vivent dans le bonheur intégral, à coup d’amour et d’eau fraîche, ils communiquent avec les animaux, les plantes, c'est paradisiaque. Les Zohrmiens quant à eux détruisent cette nature et violent sans retenue les pauvres Alkanes prisonnières.

Le style d’écriture est assez élégant, le récit est bien rythmé, bien construit, l’intrigue se découvre avec plaisir, c’est une lecture agréable. On peut cependant reprocher une certaine naïveté, les personnages sont très caricaturaux, sans nuances, surtout le capitaine des Zohrmiens, en face, les Alkans sombrent souvent dans un ésotérisme niais et un esprit new-age un peu ridicule. C’est la fin des années 70 et on sent l’esprit hippie ou baba-cool au paroxysme, le lecteur ne peut-être que d’accord avec les gentils de l’histoire, respect de la nature, amour avec consentement, bonheur dans la simplicité, mais on n'est jamais très loin de la guimauve.

C’est une histoire plaisante à lire, distrayante, mais trop naïve pour vraiment marquer les esprits.



Conclusion musicale :

J'aime les fleurs et la fumée

Je ne suis plus un révolté

Les Beatniks c'est dépassé

Maintenant le monde il faut l'aimer

Je suis hippie, je suis hippie

C'est ma nouvelle philosophie

Hippie hippie hourrah

Vive le moucoutera

Ceux qui me cassent la figure

Ceux qui me marchent sur les pieds

Ceux qui me cognent en voiture

Ceux qui me cognent sur le nez

Papa, Maman, toute la famille

L'Église, l'Armée et la Patrie

Je les aime

Je les aime

Je les aime



(Je suis un hippie, Jacques Lanzmann / Jacques Dutronc / Anne Segalen 1968)
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La Forêt hurlante

Voici un bon petit bouquin de SF, dans la collection historique « Anticipation » de Fleuve Noir.

Sans révolutionner le genre Gabriel Jan nous offre un très agréable moment, où les sauvages ne sont pas ceux que l’on croit, où les préceptes hippies du retour à la nature sont légions, où l’imaginaire n’a que peu de limite.

Un petit roman de gare vite lu mais qui reste en memoire, que demander de plus?
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La planète aux deux soleils

Pour un roman de gare c'est pas mal, mais sans plus.

J'ai trouvé que la narration à la 1ere personne est bien maitrisée, par contre je n'ai pas compris pourquoi la dernière partie passe à la 3ème, à quelques passages près elle aurait pu rester à la 1ère.

Le personnage principal et narrateur est agréable à suivre sans être vraiment attachant.

L'histoire est intéressante sans être passionnante, voir même un peu lourde sur sa deuxième partie. Il n'y a que la dernière où on apprend que le monde de rêve est en fait un monde rêvé, mais qui existe vraiment dans un certain sens à réussit à me captiver ne serait ce qu'un peu.



En conclusion, un petit roman qui se lit facilement et s'oublie tout aussi facilement. Qui ne demande pas trop de réflexion, ni de concentration, sauf peut-être sur sa fin, mais qui entre deux lectures plus lourdes passe assez bien.
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La planète aux deux soleils

Voilà un sympathique roman de 1975 , qui débute par la découverte d'une planète de rêve , mais nous entraine ensuite dans le monde des rêves ...Rêvons nos vies ou vivons nos rêves , c'est surement les questions qu'a dû se poser Joss Kiral . Et si l'on pouvait avoir le choix ?

Une agréable lecture .
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Le feu du Vahad'har

Très bon livre d'un auteur de fantasy trop peu connu malheureusement...
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Le Printemps des Magiciens

Conteur et poète, Nosiel entreprend la rédaction des tribulations qu'il a effectuées en compagnie de son ami Darion, durant leur jeunesse. Ces Chroniques du Grand Pays sont destinées à entretenir la mémoire du passé pour la plus grande édification de Thébor, le fils de Darion âgé de presque dix ans.



Darion, fils d'Ysorne qui fut en son temps preux chevalier puis cabaretier, parcourt le pays depuis cinq ans en compagnie de Nosiel et de Golsaf, le Méditeur, son maitre et père spirituel. Aujourd'hui, Darion est âgé de vingt-deux ans tandis que Nosiel en a trois de plus. Golsaf, qui semblait éternel, sent sa fin venir. Il lègue à Darion, lequel est promit à un bel avenir, une bague sertie d'une pierre parfaitement sphérique, pure comme le diamant, l'Œil d'Astrée. Et cette bague peut devenir une arme redoutable, à condition de s'en servir avec prudence, car son utilisation demande une grande dépense d'énergie, et cela pourrait être préjudiciable à Darion voire même le priver durant un laps de temps plus ou moins long du Don qu'il porte.



Golsaf est un Magicien, et Darion, même s'il n'est pas encore en possession de tout son art, doit continuer et réussir dans l'entreprise qui animait le mourant. D'abord Darion doit retrouver un autre magicien, Sholon, qui lui expliquera comment repousser les assauts des Ailes Sombres, les Mange-Lumière, les lambeaux de nuit qui effraient les gens simples, et qui pour l'heure ne représentent pas une grande menace. Mais si ces lambeaux de nuit parviennent à s'organiser, ce serait la ruine sur le Grand Pays.



Mais une autre mission attend Darion. Il doit venger son père qui a été la victime des soldats de Mohav cinq ans auparavant. Depuis Mohav règne en dictateur sur son royaume, méfiant envers les étrangers, dénonçant les magiciens, imposant le culte des trois dieux, Luctabal, Nictabal et Gothoor, fanatisant son armée et ses sujets.



En chemin Darion et Nosiel rencontrent un homme qui erre, à la recherche de la méditation, et espère qu'un jour le Printemps des Magiciens secouera le joug infligé par Mohav. Un Printemps des Magiciens pour lequel œuvre aussi Darion. Mais Lothar, tel est le nom de ce magicien en errance, avoue qu'il est dominé par Phem, un Magicien qui utilise son Don à des fins maléfiques.



C'est donc, qu'investit de trois missions, juguler les méfaits de Mohav d'un côté, de Phem de l'autre, et annihiler le regroupement des lambeaux de nuit, des Ailes sombres, que Darion va pérégriner, en compagnie de Nosiel ou seul, d'un bout à l'autre du Grand Pays. Il va connaitre de nombreuses aventures, souvent périlleuses, obligé de se servir de son Don, faire alliance avec des rebelles, connaître l'amour et les trahisons, la gloire et les revers, commettant des erreurs. Mais il sera également confronté à la dualité, son esprit étant envahi par le Mal.



C'est ce parcours que Nosiel narre, soit à la première personne lorsqu'il est directement impliqué en compagnie de Darion, ou à la troisième personne lorsqu'il rédige sa chronique d'après des témoignages de Darion ou d'autres interlocuteurs.



La suite ci-dessous :
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Le Réveil des menhirs

J'ai dévoré ce livre !

Une aventure extraordinaire dans le passé du duc de Bretagne et son peuple.

Cette écriture limpide nous transporte aux temps jadis !
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Le Surmonde des Gofans, tome 1 : Sheena

Vite la suiiite !
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Le Surmonde des Gofans, tome 2 : Nadar

Ce lire part sur une idée de base formidable : un individu d'une espèce androgyne (les Gofans) se retrouve condamné à être "dissocié" en deux êtres, l'un homme l'autre femme, délaissés en deux endroits éloignés de la planète Kouros. le problème est que chacun souffre de l'absence de l'autre. D'où une longue quête dans un monde resté à "l'âge de l'épée".

Ce tome ne clos pas l'histoire. On y suit le Bor (c'est à dire l'homme) qui, durant sa quête, fait une découverte qui pourrait bouleverser l'avenir de la planète (suite au prochain tome).

Le roman commence avec un carte, ce que je trouve très agréable pour suivre le périple des protagonistes, et pour se repérer parmi les différentes entités politiques de cet univers. Dans ce tome, le personnage principal ne voyage pas bien loin, mais on sent bien (en si peu de page) un univers riche en fond.

C'est un petit peu entre la Belgariade et le livre de Mars.
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Les Élus de Tôh

Sous couvert de l'adoration d'un dieu, un dictateur assimile un peuple pour reconquérir sa planète. Une lecture agréable.
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Les maîtres verts

J'avais espéré un peu mieux de ces maîtres verts... Dommage. Un roman partagé entre science-fiction et anticipation, dans la mesure où nous nous trouvons sur Terre, après que les humains ont détruit à peu près tout leur environnement à force de cupidité, au détriment des générations qui ont suivi et qui ont malgré tout réussi à survivre, confinés sous des bulles sécurisées, l'air extérieur étant devenu pour eux irrespirable.
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Les Zwüls de Réhan

Le " Rigel ", astronef des plus modernes , transporte des animaux inconnus trouvés sur différentes planètes , qui sont vendu au zoo de la Confédération.

Sur Réhan sont capturés une espèce de pingouins bleus les " Zwuls "; les soutes sont pleines , le départ pour la terre est imminent..

Une fois dans l espace les problèmes commencent , les lumières diminuent , une espèce de nuage entoure le vaisseaux , certains hommes d équipage ont des problèmes auditifs...

Ils font escale sur une planète qui ressemble à la Terre , les habitants ont des réactions étranges , restent muet aux questions posées , les bâtiments semblent se dissoudre....

Les hommes sont t ils victimes d hallucinations , qui est derrière tout ça ?

Un Zwul à l étrange comportement leur donnera la réponse....



Un bon petit roman comme j aimais lire étant ado , ça ressemble un peu à du B. R. Bruss , l histoire est bien trouvée , la lecture rapide , je n ai pas été déçu..

Moralité de l histoire : ne rapportez pas d animaux de planètes inconnues...
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Maloa

Une expédition transportant une précieuse cargaison échoue sur une planète inconnue, les trois survivant se retrouvent mis en esclavage par les Kawars qui vouent un culte à leur Dieu Maloa. Une seconde expédition part à leur recherche. Parmi une civilisation assez primitive, les humains semblent détecter une intelligence bien plus développée et la cargaison à disparue.

J’ai déjà remarqué chez Gabriel Jan de bonnes idées de science-fiction dans la veine des séries télé des années 70, un scénario bien ficelé, et des personnages un peu trop stéréotypés qui manquent de profondeur. Maloa est très représentatif, c’est une lecture distrayante, une écriture efficace, avec du suspense, un synopsis qui tient la route, mais les personnages restent en superficie, en ne voulant pas centrer l’intrigue sur un seul personnage, on se disperse et les émotions se diluent dans l’intrigue.

C’est globalement un bon tome de la collection Fleuve Noir Anticipation, mais le manque d’attrait des personnages fait que cette lecture ne restera pas inoubliable.

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