Gabrielle Lord

Gabrielle Lord nous offre avec ce roman un réjouissant thriller. Si l'histoire est plutôt à destination des ados, les adultes peuvent y retrouver leurs comptes, tant l'histoire arrive à nous entrainer.

Suite à l'enlèvement de sa meilleure ami, une jeune lycéenne s'associe avec le geek de son école pour mener l'enquête. L'intrigue, pleine de suspense et de rebondissements, nous tient en haleine jusqu'au bout.

Si j'ai deviné avant la fin qui était le coupable, j'ai pris énormément de plaisir à me plonger dans ces aventures.

Merci à Netgalley et aux éditions Rageot pour cette lecture pleine de suspense.

« Je m’appelle Cal Ormond, j’ai quinze ans, je suis un fugitif… »



Les livres de la série Conspiration 365 proposent un concept original : une intrigue découpée en 12 tomes, un pour chaque mois de l’année…De quoi tenir en haleine le jeune lecteur ! Surtout que l’auteur, Gabrielle Lord, est une experte du polar, puisqu’elle en a écrit une quinzaine, très appréciés dans son pays d’origine, l’Australie. Conspiration 365 est sa première incursion dans l’univers de la littérature jeunesse et son mois de Janvier démarre sur les chapeaux de roue !



De mystérieux dessins ... synonymes de danger !



Les ennuis du jeune Cal débutent le soir de la saint Sylvestre : un inconnu l’alpague en pleine rue pour lui dire qu’il doit fuir pendant un an, s’il ne veut pas se faire tuer, comme son père. Il a juste le temps de lui parler de la « singularité Ormond » avant de se faire embarquer par une ambulance. Cal reste perplexe et rejoint son oncle sur un bateau de pêche, où il va devoir survivre à un naufrage et même à une attaque de requins ! Le ton est donné : cela va être une année très particulière pour Cal… Surtout qu’un mystère plane autour d’une découverte qu’aurait faite son père, avant de mourir des suites d’un étrange virus. Ce dernier lui a laissé de bien étrange dessins et une lettre parlant elle aussi d’une « singularité Ormond ». Il lui faudra rester attentif à chaque indice, surtout que son oncle a un comportement de plus en plus suspect… La situation devient encore plus dangereuse lorsqu’il se fait kidnapper… Cal fuit sa maison, et ne peut plus compter que sur Boris, son meilleur ami.



Action et suspense garantis



Le moins que l’on puisse dire c’est que cela démarre très fort, et que le rythme ne faiblit pas tout au long du roman ! Au cœur de ce mois de janvier, chaque chapitre concerne une journée précise, et chaque paragraphe est accompagné d’une indication d’heure. Cela ajoute une touche de réalisme à l’ensemble déjà bien crédible, car il y a des chapitres où Cal se retrouve bloqué face à un indice et nous livre ses réflexions. On a également des reproductions des lettres et autres indices que son père lui a laissés. Mais globalement, il y a énormément d’action et chaque rebondissement plonge Cal dans des situations de plus en plus périlleuses… Kidnapping, mais aussi attaques de ses proches… Notre héros se retrouve même recherché par la police ! Heureusement qu’il peut compter sur Boris, un ami particulièrement dévoué, qui l’aidera tout le temps où il devra se cacher…



Ce premier tome fonctionne donc très bien et laisse Cal dans une fâcheuse posture à la toute fin… Voilà du thriller parfaitement maîtrisé, avec du suspense, du danger, plein de péripéties et une touche de vraisemblance souvent absente des lectures pour ados. Le pari est gagné, on a hâte de lire la suite !


Lien : http://www.actusf.com/spip/a..

« Il a 334 jours pour survivre. »



Voici le second tome de Conspiration 365 où Cal, toujours accompagné du fidèle Boris, essaie d’interpréter les mystérieux dessins laissés par son père, tout en continuant à se cacher dans une maison abandonnée… ce qui s’avère sportif vu que son avis de recherche est diffusé un peu partout ! Enquête et poursuites en perspective...



Un nouveau mois, une même quête



Tout d’abord, ceux qui auraient laissé s’écouler plusieurs mois avant de s’attaquer à ce deuxième tome auront la bonne surprise de trouver un récapitulatif détaillé des personnages et des grands événements du premier opus. Quant à Cal, nous l’avions laissé prisonnier d’une cuve de mazout à la fin du premier tome, nous ne le retrouvons logiquement dans cette dangereuse situation au tout début du livre. Heureusement, il va faire la connaissance de Winter Frey, une étrange jeune fille du côté des méchants puisqu’elle fait partie de la bande de Vulkan Sligo. Elle va pourtant s’avérer bien serviable lorsqu’il s’agit de le tirer d’un mauvais pas !



Hormis cette petite nouvelle, on retrouve les même personnages, notamment son meilleur ami, Boris, qui en plus de fournir Cal en argent et en nourriture, lui créé un blog pour tenter de prouver son innocence. Notre héros va également se retrouver face à un garçon lui ressemblant comme deux gouttes d’eau, sans que le lecteur en découvre plus : hallucination ou nouveau mystère ? En plus, Cal n’arrive toujours pas à donner un sens précis aux dessins d’anges qu’il a reçus en héritage… Jusqu’à ce que Winter lui fasse découvrir une statue qui va ajouter une touche historique à l’énigme…



On piétine !



Cal et Boris passent beaucoup de temps à essayer d’interpréter les indices à leur disposition (notamment par sms, avec des abréviations qui piquent les yeux !), mais malheureusement, leur enquête n’avance pas. Le seul changement dans ce tome concerne le comportement de Cal qui décide de passer à l’action en se rendant sur les lieux où il s’est fait kidnapper, pour espionner le truand Sligo où la mystérieuse femme rousse du début du premier tome.



Son avis de recherche ayant été largement diffusé par la police, il doit sans cesse se cacher, et lorsqu’il se trouve à court d’argent et qu’on lui pique son squat, il erre dans les rues la nuit et se réfugie dans un collecteur d’eaux pluviales. Des enfants le prennent même pour un clochard… Cal va devoir garder le moral et affronter la solitude.



Pas de découverte importante dans cette suite, qui se lit toujours agréablement avec son découpage en heures et en jours. La lecture est rythmée par plusieurs courses-poursuites et une bonne dose de suspense, mais on ne voit pas comment Cal va résoudre l’énigme d’Ormond… Il lui reste dix tomes pour se faire, et on se remotive en se disant que l’auteur nous a sûrement concocté des révélations et d’autres scènes palpitantes (comme lorsqu’il se retrouve face à un lion !) dans les prochains tomes. Espérons juste que le grand-oncle de Cal, déjà évoqué dans le premier tome, détienne quelques informations sur la singularité de sa famille…


Lien : http://www.actusf.com/spip/C..

Ce quatrième tome est un peu une transition. On avance dans l'intrigue amorcée mais sans faire de grands progrès sur le dénouement du mystère, malgré l'acquisition d'une pièce clé du puzzle...

On pensait aller voir le grand-père puis un revirement de situation nous ramène au lieu de départ, vers les personnages que nous connaissons déjà.

Étrangement, ce 4ème tome n'est pas pour autant ennuyant ou lent, mais bien construit de façon à ce que le temps passe naturellement.

Le 5ème tome s'annonce mouvementé, la promesse d'un voyage, de nouvelles rencontres, se fait désirer.

Nous voici arrivé au deuxième tome de cette série, qui correspond au mois de février, l'auteure ayant misé sur un tome, un mois, nous avons affaire à un découpage que j'apprécie plutôt bien, même si je sais que je connaîtrais pas la finalité de cette histoire avant le tome 12 correspondant au mois de décembre.

Nous avons terminé le mois de janvier avec un héros plutôt en mauvaise posture puisqu'il est enfermé dans une cuve qui se remplit de mazout à une vitesse grande V. On se doute bien évidemment qu'il va s'en sortir, car sinon que ce passerait-il dans les prochains tomes ?

Cal est donc sorti de la cuve, mais les aventures dangereuses ne sont pas terminées pour autant, il va continuer sa traque de la vérité, aidé par son ami de toujours, mais également par d'autres interlocuteurs, qui aux yeux de notre héros, restent des personnages susceptibles d'être dangereux, mais à qui peut-il se fier ?

J'aime beaucoup cette série, je regrette même qu'elle n'est pas eu plus de succès que cela, car les chapitres courts s'enchaînent, on tremble pour notre héros et surtout le suspense est toujours de plus en plus grandissant, rendant cette série est vraiment très addictive.

Le livre est découpé en plusieurs chapitres qui relatent les événements d’une même journée. En titre on a donc la date, mais aussi le décompte jusqu’à la fin de l’année. Cela nous plonge un peu plus dans l’intrigue. Pour le moment, on se dit qu’il reste plus de 300 jours, que rien n’est impossible. Mais je pense qu’au fur et à mesure cette info deviendra de plus en plus angoissante !



Pour l’histoire en elle-même j’ai trouvé qu’à certains moments elle stagne un peu… Cal met du temps avant de prendre le fou au sérieux. Ce qui est normal me direz-vous ! Mais une fois qu’il le croit, les événements s’enchainent assez rapidement, puis il y a de nouveau des pauses… le temps passe doucement. Cal réfléchis à la signification de dessins laissés par son père, mais il ne trouve rien…. Et puis PAF ! L’illumination !



Du coup, l’histoire repart et elle n’en ait que plus que réaliste ! Après tout c’est vrai, dans la plupart des romans les héros trouvent rapidement la solution à toutes les énigmes qui leur sont proposées… à croire qu’ils ont lu le scénario à l’avance et qu’ils connaissent leurs répliques par cœur ! Là au moins, le temps passe et on a le temps de se décourager avec le personnage principal. Et comme on a les mêmes indices que lui on ne peut pas lui en vouloir de ne pas trouver plus rapidement.



Les personnages sont assez travaillés. Même si certains ne sont pas encore très approfondi (et je doute qu’ils le soient par la suite) comme la mère et la sœur de Cal. D’autres le sont particulièrement et certains (comme son oncle Ralf) posent problème : sont-ils dans le camp de Cal ? Sont-ils contre lui ? Ou font ils cavalier seul ?

Et il semblerait que ce livre soit aussi une belle histoire d’amitié (et non.. pas du style Rintintin et Rusty !) entre Cal et son ami Boris qui l’aide du mieux qu’il peut !

J’aime beaucoup la façon dont l’auteur oblige son personnage à se réfugier dans la rue. Et tout n’y est pas rose, ce qui force Cal à s’adapter précipitamment à son nouveau mode de vie.



Ce premier tome m’a laissé sur ma faim. Beaucoup de questions sont posées et on a envie d’en connaître les réponses !





Seul point négatif… le langage sms ! Lorsque Cal et Boris échangent des sms, j’ai envie de me tirer une balle dans la tête ! je supporte pas ces abréviations, ni cette orthographe déformée à ce point ! que quelqu’un fasse des fautes d’orthographe parce qu’il a des difficultés ne me choque pas. Mais ce langage sms est tout bonnement affreux. Et jusqu’à présent, il me semblait que les livres étaient épargnés ! le monde des Bisounours dans lequel je vivais s’est subitement effondré ! Heureusement, il n’y en a pas toutes les pages…


Lien : http://plaisirsdelire.blogsp..

Dans sa catégorie teenage runaway action-packed drama ce troisième tome est plutôt réussi, ou en tout cas plus que le deuxième. On y retrouve tous les personnages des deux premiers tomes et on développe les dynamiques. On ajoute au lot ce curieux Dep qu'on apprécie bien pour son côté zinzin. Et on a de la bonne action bien palpitante et invraisemblable jusqu'à la fin, ou l'on nous laisse sur notre faim, désireux de découvrir le tome Avril.

Un deuxième tome moins entraînant que le premier... Les jours passent lentement et pourtant, parfois on en saute deux ou trois (pendant lesquels on ne sait pas ce qui se passe d'ailleurs). L'arrivée du personnage de Winter pourrait mettre un peu de rythme mais il est si mystérieux qu'on nous donne pas grand chose à nous mettre sous la dent.

A voir pour la suite qui promet de débloquer pas mal de pistes engagées.

Sympa cettesérie romanesque d'aventure pour ado. Bon le hasard a fait que je suis tombé sur le 5ème. faut se retrouver dans l'histoire mais c'est assez limpide et classique alors on s'y fait vite. Rien de très innovant mais on le lit avec plaisir. Asile psychiatrique, interrogatoires, manipulations, évasion,... Les alliés sont peux mais touchants. Je ne crois pas que je ferais l'intégrale mais pour des ados livro-philes ça le fait bien je trouve.

48 heures - Disparition de Gabrielle Lord est un excellent roman pour adolescents découvert grâce à Rageot Editeur et net galley.

Pour moi, même si la cible est les adolescents, ce thriller n'a rien mais alors vraiment rien à égaler aux romans pour adultes !

Anika, une jeune adolescente, est blogueuse. Elle publie un feuilleton sur son blog, d'après un journal intime trouvé par hasard.

Jasmine (surnommée Jazz) rêve d'être enquêtrice, tout comme sa meilleure amie.

Quand Anika est enlevée dans sa maison, Jazz enquête, bien évidemment. Et elle a seulement 48 heures pour faire la lumière sur cette affaire...

Les personnages sont très bien décrits, avec une psychologie très intéressante. On ne peut pas être perdus car il y en a peu.

L' histoire de cette disparition est bien ficelée.

Il y a beaucoup de rythme, on ne s'ennuie pas une seconde.

Et l'ensemble donne un très très bon roman pour les adolescents ayant envie de découvrir le genre, ou pour les adultes car même si je ne suis pas la cible j'ai adorée ma lecture :)

Je ne vais pas en dévoiler plus, à par vous dire que c'est une très bonne idée de lecture, et de cadeau :)

je mets un gros cinq étoiles.

Pauvre Cal…

Le 1er janvier de la nouvelle année, il doit affronter : 1/ une terrible tempête maritime, 2/ le naufrage de son bateau, 3/ la férocité de deux requins et, 4/ le cambriolage de la maison familiale…

Au cas où il n’ait pas véritablement compris la terrible prophétie de la veille… Au cas où nous n’aurions pas véritablement compris la terrible prophétie de la veille…

Quand je lis en fin d’ouvrage que l’auteure se fait un point d’honneur à donner une place de choix à la crédibilité de l’intrigue, il est vrai que j’en reste coite…



L’écriture est bien trop simpliste.



Le rythme est rapide : chaque chapitre représente une journée, elle-même divisée en heures et lieux. La lecture est ainsi très facile d‘accès.



Les personnages ne sont pas aboutis, tout juste vaguement esquissés.

Cal est un simple vecteur d’enquête. Il n’est guère un personnage à qui l’on s’attache. Son manque de caractéristiques facilite cependant l’identification. Il est un héros « tout prêt », un corps narratif dans lequel on se glisse sans difficultés.

Seul l’oncle est accompagné d’un certain mystère - on ne connait guère ses intentions, s’il est là pour protéger ou pour blesser sa famille.



Une des faiblesses de l’ensemble réside dans le fait que, comme nous vivons l’aventure exclusivement à travers Cal, nous ne pouvons nous empêcher de juger ses actes et réactions. Sa mollesse m’a ainsi particulièrement agacée, tout comme sa passivité et ses actes un peu couillons.

D’autant plus que peu de suspense se trouve dans ce roman malgré les dangers qui rôdent autour du jeune héros. Le principal intérêt de l’intrigue réside dans la découverte du lourd secret familial, de la Singularité Ormond.



L’ensemble a toutefois le mérite d’être efficace : l’action emporte la lecture, l’intrigue pousse à tourner les pages et donne envie de lire le deuxième tome.

Alors, de simple victime dans ce premier tome, j’espère que Cal prendra peu à peu les rennes de l’histoire dans les suivants.
Lien : http://delaplumeaucoeur.blog..

Conspiration 365, de Gabrielle Lord, 2011





Que feriez-vous si quelqu'un avait saboté votre bateau dans l'intention de le faire couler en pleine mer, au milieu des requins ? Que penseriez-vous, si un fou vous accostait dans la rue pour vous annoncer que vous allez bientôt mourir ? Call Ormond a choisi la fuite.



Il découvre rapidement que sa famille cache un secret très important. Dès lors, il se met en quette de ce secret de famille, enfouit depuis des générations. Recherché aussi par ses ennemis, ces derniers n'hésitent pas à le mettre dans des situations délicates, afin de mettre la main sur ce secret avant lui.



Durant ces 365 jours de course poursuite, notre héros apprend à se méfier, à se défendre, et à survivre. Il rencontre des personnes qui lui sont d'une grande aide, et sur qui il peut compter. Elles vont l'aider dans ses recherches sur sa famille, mais aussi le cacher lors de ses courses poursuites régulières, et même lui sauver la vie.



Un fugitif est recherché par sa famille, mais aussi par ses ennemis, et surtout par la police, ce qui ne lui facilite pas la tache. Il est obligé des changer de cachette régulièrement, afin de ne pas être découvert. En plus de sa recherche de la vérité sur son secret de famille, il doit surveiller ses arrières et rester discret, afin de ne pas éveiller les soupçons.



L'auteur a fait de cette série une sorte de journal, mais sous forme de narration. Call ne parle pas à un journal, mais chaque tome correspond à un mois, et chaque chapitre à une journée, ce qui peut faire penser à un journal. Cela contraste avec le fait que Cal perde la notion du temps, dû à sa fugue, alors que nous, nous connaissons exactement le jour où se déroule l'action, et même parfois l'heure. Parfois, il lit la date sur un journal, dans un bureau de tabac, en passant dans la rue, mais reste la plupart du temps sans cadre spatio-temporel précis, ne s'autorisant que peu de sorties. Pour cette série sortie en 2011, l'auteur a choisi de sortir un tome par mois, sur le courant de l'année 2011 (par exemple le tome mars au début du mois de mars, le tome avril au début du mois d'avril, etc...) . Je trouve le concept très original ! Ainsi, nous suivons les aventures de Call, environ au même rythme qu'il les vit.



Je conseille cette série à des jeunes adolescents et à des jeunes adultes, pour la tranche d'âge environ de 10 à 20 ans, aimant la lecture, mais n'étant pas forcément bon lecteur. Chaque roman, contenant environ 150 pages, se lit très facilement et très rapidement.



En conclusion, cette série de 12 romans ( un par mois ), reste un de mes coups de cœur. C'est la première série de livres du genre « Thriller » que j'ai lu. J'étais un peu septique au départ, mais dès le premier tome j'ai adhéré ! Je donnerai à cette série la note de 19/20, car elle manque légèrement de réalisme à mon goût.



Bonne lecture.
Lien : http://zouzouk-pop.skyrock.c..

je suis enseignante et j'ai découvert cette série, je l'ai proposé aux garçcons en difficulté ou encore qui ne lisait pas. Ils lisent la série au complet. Je n'entends plus de commentaire: je n'aime pas lire



.

Carl Ormond, un adolescent de 15 ans et vivant en Australie se voit dire "Ils ont tué son père. Ils te tueront! Tu dois te cacher pendant un an!"



J'ai aimé ce livre dont l'intrigue se passe en Australie car il y a du suspense, des rebondissements. On découvre des choses sur les personnages et l'énigme au fur et à mesure de l'histoire.

Chaque personnage a sa part de mystère et son importance au coeur du roman et même une sorte de maffia intervient.

J'ai aimé aussi que le roman soit construit comme un journal de bord car cela colle bien à la vie de Carl où toutes les secondes sont importantes. Comme le personnage principal est le narrateur de l'histoire, on voit l'histoire progresser d'un point de vue subjectif. L'auteur se sert du vocabulaire d'un adolescent de 15 ans.



C'est un livre d'aventure que je vous conseille et si vous le lisez, vous lirez les tomes suivants car il se finit par un suspense.

Dans ce dernier tome, on va de rebondissements en rebondissements, tout s'enchaîne très vite. Je ne m'attendais pas du tout aux révélations finales, je suis agréablement surprise.

L'épilogue est, pour moi, un peu court par contre. Deux pages, c'est un peu short quand on vient de passer 1 an et plus de 2500 pages à suivre les différents protagonistes.



Une série qui se lit bien,à conseiller pour tous publics, ado ou adultes.

Cal a 16 ans et est encore vivant, un miracle. Mais la police l'a retrouvé et l'accuse du kidnapping de sa petite soeur Gaby. Sa famille ne croit pas en son innocence. Question d'ADN.

Cal s'en sortira, aidé d'un ancien inspecteur de police, mis à la retraite anticipée. Ce qui lui permettra de tenter de sauver sa soeur. Mais, va-t-il y arriver ? Dénouement en Septembre...

Un chalutier, une chambre froide, des inscriptions sur le Joyau, une visite à une grande tante et le notaire de famille.

Tout est réuni pour passer un mois de plus à courir dans tous les sens, échappant à la fois à la police, au mafieux, à l'avocate.

Une fin de livre tout à fait stressante pour le lecteur. On a envie de se plonger directement dans le tome suivant, Juillet se lit tout seul.

Cal, notre héros vient de perdre son père, en effet, celui-ci est revenu d'Irlande atteint d'un terrible virus que les médecins australiens n'ont pas réussi à éradiquer. Cal vit maintenant avec sa mère et sa petite soeur, son oncle, frère jumeau de son père vient régulièrement leur rendre visite, mais Cal ne l'apprécie pas plus que cela. La veille du 1er janvier, Cal est accosté par un SDF, qui lui dit de se cacher pendant un an si il ne veut pas finir tuer comme son père, Cal n'y prête pas plus attention que cela, mais une série d'évènements tragiques va remettre en doute son interprétation de la prophétie de cet homme dérangé, et si Cal était réellement en danger ?

J'ai beaucoup aimé l'écriture de l'auteure, le style, les personnages, les évènements... Une écriture simple qui donne envie au lecteur de connaître vite la suite des aventures de Cal. Je pense que le découpage de cette série en 12 tomes, avec un livre dédié à chaque mois de l'année, donne au lecteur l'envie de passer rapidement l'année auprès de notre héros, lui souhaitant une fin heureuse évidemment.

J’ai vraiment été soufflée par ce roman très maîtrisé que j’ai quasiment lu d’une traite.

Les personnages sont peu nombreux, finement campés, contemporains sans excès. Jazz (diminutif de Jasmine) se rêve enquêtrice avec sa meilleure amie – et il est bon d’avoir une jeune fille qui a des rêves, même s’ils sont hors-normes ou biberonnés aux séries télévisées. Du coup, elle s’entend moins bien avec Anika, qui est blogueuse et publie un feuilleton sur son blog, d’après un journal intime qu’elle a trouvé par hasard chez elle. Et là, boum ! L’incident survient : elle est enlevée dans sa propre chambre – les maisons recèlent bien des secrets.

Le roman entrelace le point de vue de Jazz et celui de Phoenix, le geek qu’elle appelle à son aide, nous laissant ainsi dans l’ignorance et donc dans l’angoisse de ce qui est survenu à Anika. Elle et ses amies ont des parents « dingues de boulot », mais aimant, faisant vivre leurs enfants dans un univers feutré et protégé. Cela n’empêche pas la mère de Phoenix de l’associer à ses recherches, tout en lui faisant respecter les règles de vie de tout lycéen, même très doué.

Les extraits du journal sont intelligemment insérés dans l’intrigue – voire résumer, pour ne pas alourdir le récit. Nous replonger vingt ans en arrière nous rappelle que certaines techniques scientifiques en étaient encore à leur balbutiements. Cela nous rappelle aussi qu’en vingt ans, les mobiles n’ont pas changé non plus – et l’union fait la force.

48 heures -disparition, un roman policier pour ado qui devrait plaire aussi aux adultes. J’espère en tout cas que d’autres lecteurs l’apprécieront autant que moi.

J'ai longtemps hésité avant de débuter cette série car les commentaires étaient mitigés. J'ai finalement dévoré le tome 1 hier, et je vais enchainer avec le tome 2.



Sans être la série du siècle, le tome 1 est très addictif, très "action" et impossible à poser avant la fin. Ce qui n'est pas très difficile puisque le livre compte seulement 200 pages, un format parfait pour les lecteurs ados qui ont parfois des réticences à attaquer un gros livre.



Dès les premières pages, le lecteur est plongé dans l'action aux côtés de Cal, 15 ans, un jeune garçon qui vient de perdre son père et qui est entraîné dans un engrenage infernal avec un seul but : survivre.



La spécificité du livre est que chaque tome correspond à un mois car Cal doit survivre 365 jours, même s'il ignore pourquoi. Il y a donc 12 tomes assez courts, et le tome 1 se termine sur une situation critique qui donne forcément envie de lire le tome 2.



Dans ce tome 1, pas de "scène violente" même si on retient souvent son souffle, ce thriller jeunesse peut donc être lu à partir de 10-11 ans. Il plaira aux amateurs d'Alex Rider et de Bodyguard et remplit parfaitement son rôle de lecture pour ado.
Lien : http://abrrracadabra.canalbl..