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Citations de Gena Showalter (181)


« Le temps efface tout. » Perdre un être aimé est comme perdre un membre : on reste à jamais conscient de ce qui nous manque, de ce qui a disparu à jamais.
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Ce que j’ai vu ma ébranlée jusqu’au tréfonds de mon âme. Je n’étais pas la seule a subir ce regard meurtrier aujourd’hui. Cole fixait Justin comme s’il avait la ferme intention de l’écorcher vif avant de danser le rock sur sa peau.
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"Non, non et non ! a crié Kat en tapant du pied.
Enfin, il a tourné la tête uniquement vers elle, me libérant de l’emprise quasi surnaturelle de son regard.
-On a cinq ans ou quoi ?
-Six, a répondu Kat du tac au tac."
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— Il vaut mieux en rester là.
Pardon ? Pourquoi ? Oh ! oui… d’accord.
[spoiler]— Quand tu seras prête à aller plus loin, nous le saurons tous les deux.
Il a roulé sur le côté et m’a attirée contre lui.
— Et… si je veux attendre le mariage ?
— Es-tu en train de me demander de t’épouser ? m’a-t-il demandé en riant.
— Non !
— Si c’est ce que tu décides, pas de problème. Ne laisse personne te faire changer d’avis, moi y compris. Et j’ai honte de te l’avouer, mais il est fort possible que j’essaie.
— Et il est fort possible que je sois aussi très vexée si tu n’essaies pas.[/spoiler]
Je me suis blottie contre lui, et il s’est mis à jouer avec les mèches de mes cheveux. Non sans une certaine satisfaction, j’ai remarqué que ses mains tremblaient autant que les miennes.

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Une nouvelle fois, j’ai tenté de libérer ma main, et une nouvelle fois sa poigne est restée aussi ferme qu’un étau.
-Essaie seulement de t’échapper maintenant, m’a-t-il soufflé. Tu vas voir.
-Je n’essayais pas de m’échapper, lui ai-je répondu sur le même ton. Je voulais juste avoir une main libre pour te frapper.
Il a fait de son mieux pour réprimer un sourire avant de remarquer :
-Mais tu as une main libre !
-Eh bien, mon envie de te battre a dû me passer avant que je m’en rende compte.
-J’ai bien de la chance.
-Tu ne sais pas à quel point.
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Une paire d’yeux violets me fixait intensément, et ils brûlaient d’une colère à peine dissimulée. Des mains puissantes se sont posées sur ma taille et m’ont attirée, attirée tout près, jusqu’à ce qu’un souffle à peine nous sépare.
L’envoyer paître ? L’idée s’était évanouie comme mes visions du matin.
— Dansons.
Dit d’un ton qui ne souffrait pas la discussion.
— Tu danses ? ai-je glapi.
Contrôle un peu ta voix, Bell !
Un flot d’adrénaline s’est répandu dans mes veines. Jamais aucun garçon ne m’avait fait autant d’effet.
Du coin de l’œil, j’ai vu que Frosty avait investi l’espace personnel de Kat. Ils discutaient. S’embrassaient. S’embrassaient et discutaient. Un garçon que je n’avais jamais vu dansait devant Reeve, et il ne la quittait des yeux que pour observer Bronx. Celui-ci était occupé à refouler les beaux mecs que nous avions utilisés comme leurres, et il donnait l’impression d’être prêt à massacrer ceux qui oseraient protester.
D’ailleurs, aucun n’a protesté.
D’autres membres de la bande de Cole s’étaient approchés et tentaient de danser avec Poppy et Wren, mais les filles ont préféré les ignorer.
Cole a cueilli mon menton dans sa main et m’a obligée à le regarder de nouveau.
— Et pourquoi ne danserais-je pas ?
Euh… parce qu’il avait une tête à croquer des chatons au petit déjeuner et des petits chiens à midi ? Et je ne parle même pas de ce qu’il devait manger le soir, ce serait trop horrible.
— Parce que tu trouves que c’est débile ? ai-je hasardé.
Les mots sonnaient comme une question, alors que j’avais voulu l’affirmer.
— Une activité où un garçon peut poser les mains sur une fille, ce n’est pas débile — c’est génial.


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J'ai de nouveau regarder le lapin. L'objet qu'il tenait semblait lui aussi avoir des oreilles...non, c'étaient des aiguilles, plutôt, les aiguilles d'un réveil qui égrenaient les secondes, tic-tac,tic-tac.
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A notre droite se tenait un groupe de huit garçons. Si jamais j'avais besoin d'une illustration visuelle des mots "criminels en série", j'en tenais une (ou plutôt huit). Ils étaient tous très grands et bardés de muscles. La plupart arboraient des tatouages sur les bras et des piercings au visage. Quelques-uns portaient des chaînes autour de la taille en guise de ceinture, mais sur des types comme eux cela ressemblait plutôt à des armes.
La preuve ? Deux d'entre eux portaient un bracelet électronique par-dessus leurs bottes maculées de terre.
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Par où commencer ?
Par le déguisement ? Par mes peines de coeur ?
Non. Je n'ai pas envie de commencer par là où j'en suis maintenant.
Pas envie de terminer comme ça non plus.
Commençons par une vérité, alors : tout ce qui nous entoure est soumis au changement. Aujourd'hui il fait froid. Demain, la chaleur sera là. Les fleurs s'épanouissent puis se fanent. Ceux que nous aimons, nous pouvons finir par les haïr. Et la vie... eh bien, la vie peut être parfaite un instant et devenir un vrai désastre l'instant suivant. J'ai appris cela à la dure quand mes parents et ma petite soeur adorée ont péri tous les trois dans un accident de voiture, et mon coeur s'est brisé.
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J'aurais voulu crier "Arrêt sur image" à ce moment précis, pour changer le paysage, les joueurs.Mais la vie n'est pas un jeu, n'est-ce pas?
ON DANSE!
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"J’ai eu, euh…un problème.
-Quelle belle excuse! Cela fait plaisir de voir que tu es aussi créative. Je te félicite."
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Si quelqu'un m'avait dit que toute ma vie basculerait en un battement de cœur, j'aurais ri. Passer du bonheur au désespoir, de l'innocence à l'effondrement ? Impossible...
Pourtant, c'est tout ce qu'il a fallu. Un battement de cœur. Un clin d’œil, un souffle, une seconde, et tout ce que j'avais connu et aimé avait disparu.
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Alors, je vais parler sans m'arrêter jusqu'à ce que tes oreilles tentent de se detacher pour fuir. Et c'est tout à fait possible - mes propes oreilles ont essayés une fois.
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Tout change. Le monde. Les saisons. Le temps. Les gens. Rien ni personne ne reste identique.
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-Je t'ai parlé des règles, mais je ne t'ai pas détaillé les exceptions. Parfois, quand tu formules un ordre particulier, et qu'il s'agit de te défendre, cet ordre est plus puissant que la liberté des autres. Aussi, il s'accomplit.
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- nous sommes-nous déjà rencontrés? lui demanda-t-elle
William en resta complètement abasourdi pendant quelques instants, puis il se ressaisit et offrit un sourire mielleux à Sienna.
- Je suis profondément blessé que tu m'aies oublié, mais ce ne me dérange pas de me souvenir de toi. Laisse moi te dépeindre la scène: nous étions au Texas, et tu étais agrippée à la jambe de Paris comme une sangsue.
- Fais attention à ce que tu dis, grommela Paris.
Même si Sienna lui avait fait du tort, il ne laisserait personne lui manquer de respect.
Sienna haussa les épaules avec indifférence.
- Excuse-moi de ne pas t'avoir remarqué. A côté de Paris, tu es assez quelconque.
William s'en étrangla.
Pour la première fois depuis une éternité, Paris sourit avec un amusement sincère.
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Paris but ses trois doigts de Glenlivet d’un trait, puis il fit signe au barman pour qu’il le resserve. C’était une main entière qu’il voulait et il allait l’avoir ! Malheureusement, dès que son verre fut de nouveau plein, il comprit que cela ne lui suffirait pas. Malgré la bataille qu’il venait de livrer, sa rage et sa frustration, qui étaient à présent comme des entités vivantes en lui, menaçaient de l’engloutir.

— Laisse la bouteille ! ordonna-t-il au barman, qui s’apprêtait à servir quelqu’un d’autre.

Il commençait à se rendre compte que l’alcool ne parviendrait pas à le calmer, même s’il avalait tout ce qui se trouvait dans ce bar. Mais les situations désespérées appelaient des mesures désespérées…

— Bien sûr ! Comme vous voudrez…, répondit le bellâtre torse nu avant de battre en retraite.

Quoi ? Avait-il l’air si dangereux ? Allons ! Il avait pris une douche après la bataille, non ? Pris d’un doute, il baissa les yeux et jura intérieurement. Merde ! Il était couvert de sang.
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Je… je n’ai rien trouvé à lui répondre. Nous avons continué à nous balancer en rythme. Sa main a glissé dans mon dos et s’est arrêté tout en bas, mais il ne m’est pas venu à l’esprit de la chasser comme je l’avais fait pour l’autre garçon.
- Eh bien ? a-t-il insisté.
J’ai décidé d’opter pour la franchise.
- Oui, j’y ai pensé.
- Moi aussi, a-t-il murmuré.
Mes genoux flageolaient.
- Tu veux dire…
- Que je veux savoir si la réalité vaut l’imagination ?
Oui
Ici ? Maintenant ? En public ? Ma première réaction a été la panique. Ma deuxième… encore plus de panique.
- Mais ce n’est pas obligé, a-t-il ajouté sèchement.
J’ai senti son étreinte se relâcher, comme s’il avait l’intention de me lâcher.
- J’ai l’habitude d’effrayer les gens, mais pas dans ce domaine !
Ça a été à mon tour de resserrer mon étreinte pour le forcer à rester contre moi.
- C’est juste que … eh bien, je n’aie jamais …
Il m’a considérée, à la fois confus et incrédule :
- Tu n’es pas en train de me dire que personne ne t’a jamais embrassée ?
J’ai serré les mâchoires. La perplexité dans sa vois étais presque insultante.
- Si, et alors ?
Il a fait un geste des épaules.
- Alors rien. Je suis surpris, c’est tout. Vu que tu es…que tu es toi.
Insultant, exactement.
- Que je suis moi ?ai-je demandé avec aigreur.
- Oui. Sexy.
Minute. Moi, « sexy » ?
Il s’est mis à rire.
- Attend un peu : personne ne te l’a dit jamais dit non plus ?
Je me suis contentée de secouer la tête.
- Alors de toute évidence, tu as passé tout ton temps avec des idiots.
De nouveau, il a posé les yeux sur la bouche.
- Je vais t’embrasser, Ali.
De nouveau, j’ai pensées : ici ? maintenant ? Et, de nouveau, j’ai paniqué et mes pensées se sont emmêlées.
- Mais… peut-être que je ne saurai pas m’y prendre, et nous ne nous connaissons pas très bien, et ne… et je ne… nous ne devons pas…
Les mots se précipitaient hors de ma bouche, mais rien de cohérent n’en sortait.
- Je crois que je. Et que tu. Et que nous pouvons.
Là-dessus, il a incliné la tête et a posé ses lèvres sur les miennes. J’en ai eu le souffle coupé.
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Je me suis précipitée sur lui pour me jeter à son cou ; je l’ai serré dans mes bras et lui ai planté un petit baiser sur la joue.
- Toi…, ai-je commencé.
Sans savoir pourquoi, je n’ai pas pu aller plus loin.
Il savait ce que je voulais dire ; à son tour, il m’a serré dans ses bras et m’a rendu mon baiser.
- Avec plaisir, belle blonde.
Puis j’ai retrouvé mes esprits pour lui lancer :
- Tu vaux mieux que je ne le croyais.
J’ai froncé les sourcils, perplexe, car ces mots me paraissaient étrangement familiers.
- Je sais, m’a-t-il répondu
- Et tu es tellement modeste, avec ça…
Il a ri doucement.
Soudain, Cole s’est interposé entre nous.
- Tu t’es dirigée vers lui en premier ? m’a-t-il dit, avec une voix étrange.
Avec un grand sourire, je me suis jetée à son cou.
- Tu es là toi aussi !
- Tu t’es dirigeé vers lui en premier…, a-t-il répété.
J’ai reculé et cligné des yeux, un peu indécis.
- Je ne t’avais pas vu.
- J’étais juste derrière lui.
- Cole ? l’ai-je interrogé, de moins en moins sure de moi.
- La vision… m’a-t-il
C’est à ce moment que j’ai remarqué ses nouvelles blessures.
Comme moi Gavin a cligné des yeux
- Oui, c’était ça. La vision que nous avons eue toi et moi. En parti en tout cas.
Et il n’y avait rien de romantique dans ce qui venait de se passer.
- Il m’a sauvais la vie. Je lui dois une fière chandelle. Je le remerciais, tout simplement.
- J’ai compris. Maintenant.
Cole s’est massé la nuque avant de souffler :
- Donc… j’ai rompu avec toi pour rien.
- Ce n’était pas la seule raison. Tu avais peur que je…
- Ne me cherche pas d’excuses. Je suis désolé. Tellement désolé.
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- On t’a déjà dit que les coups et blessures étaient passibles de prison
- Vraiment ? Alors, arrête-moi.
Il s’est rapproché encore de moi. Soudain j’ai senti son souffle sur ma peau, son odeur de bois et de santal, ma chaleur de son corps.
- Et si je te prenais plutôt sur mes genoux pour te coller une bonne fessée ?
- Et si je te faisais remonter tes bijoux de famille dans la gorge d’un bon coup de genoux ?
- Si tu dois vraiment t’occuper de cet endroit précis de mon anatomie, je préfèrerais que tu le fasses avec tes mains.
- Tu peux toujours rêver. Hors de questions que mes mains aillent faire quoi que ce soit dans ce secteur.
Un silence. Puis :
- Je parie que je peux te faire changer d’avis, m’a-t-il murmuré d’une voix éraillée.
- Je parie que je peux te faire changer de dentier, lui ai-je rétorqué.
Et, sens réfléchir, j’ai de nouveaux lancé mon poing. Mais Cole y étais préparé cette fois, et il a intercepté mon coup en milieu de trajectoire. Ses pupilles étaient dilatées – un signe d’excitation chez lui. Autre signe : il haletait presque. On aurait vraiment dit qu’à la place de chercher à lui casser la figure, j’étais en train de déboutonner son jeans.
- Frappe-moi de nouveau, m’a-t-il murmuré du même ton rocailleux, et je verrai ça comme une invitation.
Je n’étais pas loin de me retrouver dans le même état que lui. Je tremblais d’une ardeur incontrôlable et luttais pour reprendre mon souffle.
- Une invitation à faire quoi ?
Il a desserré la main qui retenait mon poing, mais ses doigts sont restés en contact avec ma peau. C’était désormais une caresse bien plus qu’une menace.
- Je suppose qu’on pourrait chercher à le savoir ensemble.
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