Geronimo Stilton

"_Vous voyez, mon cher Shilton, je crois beaucoup, mais vraiment Beaucoup, en la culture, mais attention, la Culture avec un C majuscule, pas ces ordures qu'on lit dans les journaux, par exemple dans ce torchon, comment s'appelle-t-il, "l'Echo du rongeur", ah bon =, vraiment, c'est vous qui publiez ça ? Bravo, je me demande où vous trouvez le courage d'imprimer de pareilles inepties, comment se fait-il que vous n'ayez pas fait faillite, ha ha ha, mais de toute façon c'est ce que les gens demandent, des i-nesp-ties, pas la Culture avec un C majuscule, pas de risques, mais je vais vous expliquer, moi, ce qu'il faut que vous publiiez, par exemple, ce manuscrit dont je vous parlais..."

"Je traversai les pavillons bondés où éditeurs, auteurs, illustrateurs, agents littéraires et imprimeurs traitaient leurs affaires. Cependant, j'en profitai pour jeter un coup d'oeil sur les nouveautés exposées sur les étagères. Ah ! comme j'aime les livres ! J'aime les lire, les feuilleter, les sentir : j'adore l'odeur de l'encre, du papier tout frais imprimé.
Editeur : quel beau métier ! Je n'en changerai pour rien au monde !"

"_ME MARIER ??? Euh, non merci, par pitié, absolument pas merci quand même, il n'en est pas question, merci pour tout, mais moi vivant, jamais !"

"_Ah, Geronimo ! L'amour est une chose si importante, la seule qui donne un sens à la vie. L'amour est une fleur précieuse, mais rare, très rare ! J'ai eu beaucoup de chance, parce que, il y a vingt ans, j'ai rencontré ton oncle Epilon (ah, quelle souris merveilleuse !) que j'aime encore comme au premier jour.
Cher Geronimo, l'amour c'est comme le fromage : s'il est de qualité, il s'améliore avec le temps !!!"

Tous les grands changements commencent par de petits pas...

Il y a quelque chose en lui, quelque chose qu’aucune magie ne peut enseigner. C’est le pouvoir de distinguer au-delà des apparences. Car ce que l’on voit n’est pas toujours ce qui est vraiment.

Un type se lève le matin. Au moment où il va prendre ses chaussettes, l'ampoule grille et la pièce est plongée dans l'obscurité. Le type ouvre un tiroir où sont rangées des chaussettes noires et blanches, et fouille à tâtons... Quel est le nombre minimum de chaussettes qu'il doit emporter pour être certain d'avoir pris au moins une paire de la même couleur ?
- Hummm, euh, je ...ah, je ne sais pas !
- J'étais sûr que tu ne savais pas ! Na na na nanère, t'es bête comme un camembert ! La réponse, la voici...

"Un garçon s'approcha et me tendit un téléphone.
_Un appel pour vous monsieur Geronimo ! C'est votre grand-père ! Puis, chuchotant : Félicitations. C'est pour quand, les noces ?
Je le fixai, interdit.
_JAMAIS ! hurlai-je
Tout le monde s'arrêta pour me regarder.
Je balbutiai, essayant de me donner une contenance :
_Euh, jamais...mon grand-père ne me téléphone jamais à une heure décente...Il appelle toujours à l'heure des repas..."

" Geronimo ! Prenez le tramway numéro 17, place Redouble, et descendez au septième arrêt...
Marchez jusqu'au feu tricolore, prenez la deuxième rue à gauche, puis le troisième à droite et la première à gauche...
Traversez le pont, comptez vingt-trois pas et demi en direction de l'affiche publicitaire pour le gruyère Niquedouille. Comptez quatorze pas en direction de la cabine téléphonique. Vous vous retrouverez devant une horloge...
Tournez-lui le dos, comptez sept pas jusqu'à le pizzeria Pizzarate...
Entrez dans le restaurant, allez aux toilettes, ressortez par la petite fenêtre et enjambez le muret...
Marchez trente secondes exactement en direction du magasin Botterat.
Tournez au coin de la rue et allez jusqu'à une petite porte peinte en noir et portant le panneau DÉFENSE D'ENTRER.
Ouvrez avec le clef et entrez dans l’allée...
Prenez la première à droite, puis la deuxième à gauche, puis la troisième à droite, puis traversez la cour jusqu'à la poubelle, entrez-y et...

P.-S. Apprenez ces instructions par cœur ! Puis détruisez ce papier ! N'en parlez à personne ! C'est un secret confidentiel ! Top archiconfidentiel ! "

-A la maison,j'ai toujours été la petite,la soerette,la fillette délicate,patiente et raisonable,celle qui ne désobéissait jamais... Tu as été le seul a me traiter différament!Comme si tu avais su que j'étais capable de me débrouiller par moi-meme,dit Spica.