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Critiques de Gilles Dowek (10)
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Informatique et sciences du numérique - Spécial..

ATTENTION CHEF D’ŒUVRE !!!!



C'est mon livre de chevet et je voudrais dédier cette critique à mon ministère.

Je voudrais les remercier d'avoir enfin institutionnaliser l'informatique (on fait tant de choses inutiles au lycée !!!) comme matière à part entière. Sincèrement ! Bien évidemment, le sus dit ministère n'était pas obligé de tout réformer d'un coup, il n'était pas obligé de nous envoyer en stage 5 semaines pour apprendre un programme de trois ans et éventuellement nous donner un diplôme que nous devons valider en rendant régulièrement des devoirs (et pas des trucs bienveillants comme au lycée !).

Ceci dit, avoir une carte étudiant à 48 ans , ce n'est pas donné à tout le monde !

Et donc , la rentrée approchant plus vite que le come back des Guns N' Roses, il faut , "from scratch" écrire des cours.

Et là, Gilles Dowek a pondu une bible il y a quelques années , sans doute trop élevée pour le public auquel elle s'adressait et pas assez pour les futurs forçats de la NSI, mais une bible quand même. Merci à @thedoc de l'avoir acheté avec les petits sous de la collectivité.

ça fait du bien de voir des ouvrages bien rédigés, didactiques , évolutifs, traitant l'informatique de façon superficielle certes mais suffisamment poussée pour que tout le monde y trouve son compte.

il y a de tout. Un peu de programmation. Du python surtout, c'est trendy (langage inventée par un fan des Monty Python ). Il y a de l'architecture, de l'algo, de la représentation , de la structure ... c'est beau ! c'est tellement clair qu'on peut mettre de la musique en même temps, enfin plutôt Johnny Cash que Sepultura.



Voilà, cette critique, écrite entre un cours sur les multiprocesseurs et une simulation de langage assembleur, m'a fait du bien et évité de bouffer des cacahuètes comme un con en cherchant à me distraire.



Il n'empêche , que dans son style, peu représenté ici il y vrai :), on a affaire à un must.

Je vous déconseille cependant cette lecture :)
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Quand la science a dit... c'est bizarre !

Mis à part le dernier chapitre qui tombe un peu là comme un cheveu sur la soupe, j'ai trouvé vraiment intéressant cet ouvrage qui fait le point sur nos connaissances actuelles dans divers domaines de la physique (et un peu de chimie). Nous réalisons le cheminement de pensée qui aboutit à une notion scientifique révolutionnaire et de quelle manière elle paraissait "bizarre" avant de devenir fondamentale.

Fascinant. L'ouvrage ne contient ni formules ni équations, et est presque accessible aux néophytes (il faut quelques notions de base pour bien suivre).
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Les métamorphoses du calcul

Trois jours de stage et six heures de train pendant lesquelles j'ai dévoré ce livre. Gilles Dowek a reçu le Grand Prix de Philosophie 2007 décerné par l'Académie Française. Je ne connais pas les autres lauréats mais pour ce qui est de ce livre je pense que la philosophie a vraiment trouvé du grain à moudre pour quelques années dans ces métamorphoses numériques.



Au début du livre, j'étais en territoire connu ....
Lien : http://beverycool.hautetfort..
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Les métamorphoses du calcul

Les métamorphoses du calcul nous rappellent d'abord la définition du calcul et de la calculabilité. En passant, nous apprenons que la constante de Planck est la surface d'un bit d'information.

L'auteur nous montre les conséquences de l'évolution de la notion de calcul. En particulier, leurs influences sur les démonstrations en mathématique.

Les mathématiques nous apparaissent un peu comme l'ultime métier d'art à subir une transformation numérique semi-industrielle. Cette transformation fait figure de révolution Kanto-cartésienne lors de laquelle l'ultime creuset de la raison pure perd son statut analytique du fait de la nécessité désormais avérée de s'alimenter des apports du monde. Après la transformation numérique, le mathématicien compose avec des pratiques industrielles qui lui font utiliser des ordinateurs ordinaires construit en grand nombre. En effet, à contrario de grands instruments ou d'autres outils construits spécifiquement par la physique pour ses besoins, le mathématicien a intérêt à utiliser des machines de calcul construites par d'autres puis à les adapter à ses activités.

Ce changement est analogue à ceux subit par les métiers d'art. Il aura-t-il ou pas une révolte des canuts des mathématiciens ?

En particulier, les mathématiques restaient un domaine d'activité ou tout avait la réputation d'être sous contrôle et vérifiable. Or l'apport du numérique, qui semble essentiel pour réaliser, en des temps compatibles avec une vie humaine, des démonstrations longues comme celle du théorème de quatre couleurs ou du théorème de Hales, introduit un risque, une incertitude. En effet, comment vérifier que les programmes qui calculent les démonstrations sont justes ?

Les instruments numériques, les machines de calcul y compris analogique (soufflerie ou protéine pour résoudre des équations différentielles ) apportent donc de nouveaux domaines de recherche aux mathématiques. De très beaux fruits sont promis à la mathématique physique - au sens de l'interprétation physique de la thèse de Church-Turing-(1, 2).

Ceci étant posé, les métamorphoses du calcul conduisent à réfléchir selon au moins deux voies : les apports des instruments, comme l'informatique quantique, aux mathématiques et les apports des instruments dans l'enseignement des mathématiques.

Pour la première voie, l'ouvrage de Gregory Chaitin intitulé : hasard et complexité en mathématiques est des plus enrichissant.

Pour la seconde, le cahier de l'Institut National des Métiers d'Art intitulé : métiers d'art et numérique conduit à des réflexions dignes d'intérêt.

En effet, pour reprendre la métaphore de Saint-Denis, tenant sa tête sous le bras, exprimée par le philosophe Michel Serres, les transformations nous conduisent à externaliser notre intellect après avoir longtemps externalisé ou prolongé nos mains par toute sorte d'outils. Avec l’avènement du numérique, de l'intelligence artificielle, des machines de calculs, les mathématiques vivent leur révolution industrielle. C'est la première fois. Les métiers d'art en ont vécu une myriade. Ils sont des pourvoyeurs de nombreuses méthodes d'apprentissage initial et tout au long de la vie. En bref, une véritable occasion de mettre la main à la pâte (3) et de contribuer à délivrer un socle de connaissance qui permettrait à tous de disposer, à la fin de la scolarité obligatoire, du nécessaire pour construire son projet de vie durable dans la société numérique comme ce fut le cas avec le certificat d'études dans une société agricole.

J'apprécie beaucoup les livres qui m'en font lire d'autres.

Bonne lecture !

(1) Maël Pégny. Les deux formes de la thèse de Church-Turing et l’épistémologie du calcul (en ligne). Disponible sur : http://journals.openedition.org/philosophiascientiae/769

(2) Olivier Bournez. La thèse de Church-Turing.Autres Modèles de Calculs (en ligne). Disponible sur : http://www.cnrs.fr/ins2i/IMG/pdf/Temoignage_Bournez.pdf

(3) Eduscol. Améliorer les compétences mathématiques dans le domaine des grandeurs et mesures.

FabLab en primaire (en ligne). Disponible sur : http://eduscol.education.fr/experitheque/fiches/fiche13605.pdf

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Les métamorphoses du calcul

Cette ouvrage dresse une histoire des mathématiques, et plus particulièrement du calcul, en partant du constat suivant : chez les grecs, que l'on considère comme les inventeurs des mathématiques (même si cela est faux), cette discipline était considérée comme étant principalement liées à la logique et peu aux calculs.

Depuis, la pratique des mathématique a évolué, laissant de plus en plus de place aux calculs.

Ce n'est pas une histoire des mathématiques que vous lisez là, mais plutôt de la façon dont les mathématiciens conçoivent cette science et la mettent en pratique.



Le cheminement de la pensée est clair, mais les démonstrations mathématiques parfois trop compliquées (en tout cas pour moi)
Lien : https://sites.google.com/sit..
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Le temps des algorithmes

Par les réflexions auxquelles il conduit ce livre nous imposent des changements de point de vue, nous entrons dans une nouvelle ère, un nouveau temps, l'âge de la multitude décrits par Nicolas Clin et Henri Verdier.

À l'instar de Saint-Denis tenant sa tête sous le bras, il nous faudra paradoxalement garder les nôtres sur nos épaules du fait de l'externalisation de nos capacités intellectuelles, de notre intelligence.

Le temps des algorithmes impose que "le cerveau de la bande" ne soit pas forcément placer comme auparavant dans la hiérarchie. Ces nouveaux outils effacent les frontières antédiluviennes, trop pratiques entre "manuel" et "intellectuel".

Salomon, dans le livre de l'Ecclésiaste, nous rafraîchît la mémoire : "la course n'est pas aux hommes rapides+, ni la bataille aux hommes forts+, et non plus la nourriture* aux sages+, et non plus la richesse aux intelligents+, ni même la faveur à ceux qui ont de la connaissance+, car temps et événement imprévu leur arrivent à tous"

Ainsi les algorithmes nous guident vers de nouvelles perspectives, vers un autre regard sur le monde.

D'une façon analogue, à la complainte du progrès, de Boris Vian, ils pourraient changer bien des choses et redistribuer les cartes dans nos rapports sociaux.

L'électroménager et ses robots ont poussé à une autre vision, une répartition originale, moderne des tâches ménagères et des rapports homme - femme dans un couple.

Gageons alors que nous rendre compte que la collaboration efficace de machine à machine des véhicules autonomes, nous inspirera. Peut-être, ne confondrons nous plus, une course à l'échalote pour être premier aux feux rouges avec la mise en oeuvre du struggle for life. Il se pourrait que ne plus être obligé d'imposer des ralentisseurs à la sortie d'une école nous détermine à reconsidérer la mise en oeuvre d'une règle par son bien fondée et non par les dégâts qu'elle peut causer à mon véhicule.

Comme le souligne le philosophe Michel Serres, le temps des algorithmes, nous impose dorénavant d'agir avec intelligence.

Il nous imposerait aussi d'être des visionnaires et marquerait la valeur à accorder à la sagesse, à la philosophie comme le soulignait Albert Einstein dans son essai politique et philosophique intitulé : comment je vois le monde.

Bonne lecture !
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Ce dont on ne peut parler, il faut l'écrire

C’est un lieu commun que de dire que tout ce qui demeure sur notre planète (humain ou non), voit de plus en plus fortement sa condition affectée par les évolutions des sciences et des techniques qui sont d’origines bien humaines quant à elles. Chacun d’entre nous désormais identifie fort bien la façon dont nos connaissances et nos machines affectent la vie quotidienne et la vie collective. Autrement dit, la science et la technique sont au cœur de nos modes d’existence et de la façon dont nous formons communauté. Or, c’est un autre lieu commun que de dire que c’est par la "faculté du langage" (nous soulignons à dessein) que les humains forment (avec plus ou moins d’élégance) communauté et ceci en dépit du fait que cette faculté de langage a abouti à une diversité de langues humaines.

Cet ouvrage est un avant tout un essai. Et comme tout essai, il s’agit d’éclaircir les zones d’ombres de concepts et de notions partagées par le plus grand nombre mais que les évolutions sociales, culturelles, politiques, philosophique et scientifiques remettent en question. Le présent essai a ceci de remarquable que cet effort d’éclaircissement est si abouti qu’il fait de lui est très bon ouvrage de vulgarisation scientifique. Les concepts qui sont l’objet de cet essai sont les notions de langue et de langage éclairés par l’histoire des sciences et des techniques.

L’auteur qui est informaticien est très impliqué dans la réflexion et l’action pédagogique dans le domaine des technologies de l’information et de la communication. Il a dirigé un manuel qui fait aujourd’hui référence dans l’enseignement de l’information dans les établissements secondaire.



Le présent livre est le fruit d’un travail de réflexion philosophique sur des notions que notre époque invite à repréciser : à savoir les notions de langues et de langages. Si nous avons souligné le mot langage dans le premier paragraphe c’est pour alerter sur le fait que l’auteur traite du mot "langage" dans un autre sens que celui de "faculté humaine de s’exprimer par la parole". Le langage dont il est question dans cet essai est définit ainsi : contrairement à une langue qui est un héritage sans inventeur identifié un langage est une création intentionnelle qui vise à décrire ou à maîtriser des raisonnements (logiques) ou des processus (techniques) ; ainsi les mathématiciens ont élaboré des langages (géométriques, algébriques…), les informaticiens les langages de programmation (FORTRAN, C, Python…). Un langage a une visée opérationnelle dans un champ précis tandis qu’une langue est susceptible de vous permettre de communiquer sur toutes sortes de sujet (même imaginaires) avec une personne qui maîtrise la langue que vous employez (si ce n’est pas le cas, vous devez avoir recours au laborieux travail de la traduction). L’auteur montre que de même qu’il existe de nombreuses langues, il existe aussi de nombreux langages. Il montre aussi que le concept de langage s’est longtemps confondu avec le concept de langue. C’est l’essor des langages des machines avec l’informatique ainsi que les recherches des logiciens mathématiciens qui ont permis d’affiner et de distinguer ce concept. Vaucanson en créant ses automates ou Jacquard en inventant le principe de la carte perforée pour commander des machines à tisser n’avaient pas conscience d’avoir créé des langages ; en leur temps, ils n’avaient pas besoin du concept mais ils utilisaient bel et bien la chose désignée par le concept : c’est ce que cet essai tente de démontrer de façon convaincante. Il est en de même pour les concepteurs d’algorithmes que furent les premiers algébristes arabes ou les grecs anciens qui ont conçu l’idée de démonstration ou encore Aristote en formalisant sa théorie des syllogismes (Tous les hommes sont mortels etc.).



Gilles Dowek nous explique que nous avons certainement tort de nous représenter un langage comme une simplification de la langue. L’idée maîtresse du livre (qui lui donne son titre) est la suivante ; l’écriture des langues pourrait bien être dans ses origines la matérialisation d’un langage : celui des premiers outils de dénombrement dans l’antiquité sumérienne. Tous les historiens de l’écriture vous le diront : les premières lettres n’étaient pas des lettres mais des chiffres ; elles servaient à compter le bétail des cheptels. L’écriture a d’abord servit à compter avant de raconter. L’esprit de calcul a trouvé dans l’écriture un allié puissant dont l’esprit fabulateur ne s’est emparé que bien plus tard. La complexité des calculs est bien souvent presque impossible à dire clairement par la parole orale : seule l’écriture permet de remonter un raisonnement pour le corriger ou l’amender. D’où, ce que l’on ne peut dire, il faut l’écrire. Cette formule est inspirée de la phrase de conclusion d’un des ouvrages plus illisibles de la philosophie du vingtième siècle ; le Tractatus Logico Philosophicus de Ludwig Wittgenstein. La connaissance de ce dernier n’est pas utile pour lire Gilles Dowek, dont le style clair vous permet d’affronter la réflexion exigeante à laquelle il vous invite.
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Le temps des algorithmes

Les langages formels ne font pas l'objet d'étude d'une science unifiée, à l'instar de la linguistique pour les langues naturelles. Une lacune regrettable, tant ils ont pris une place centrale dans nos vies. Un essai de l'informaticien Gilles Dowek pose les premiers jalons et lance le débat.
Lien : https://www.lesechos.fr/idee..
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Ces préjugés qui nous encombrent

Je ne force pas beaucoup l'esprit de ce texte en disant que le projet de l'auteur est de mettre en perspective les préjugés technophobes qui blessent sans aucun doute le polytechnicien qu'il est.

Cette mise en perspective voit loin dans le passé; il cherche jusque dans les idées de Dumézil sur la structure tripartite des sociétés indo-européennes pour établir comment se perpétuent à travers les siècles les préjugés de classes; comment se trouvent valorisées ou méprisées les grandes fonctions sociales que sont la cléricature, la puissance armée et le travail incarnées respectivement dans le prêtre, le soldat et le laboureur. Il cherche et trouve dans l'ordre économique actuel les nouvelles niches où se sont réfugiées les valeurs associées à l'esprit, la force ou l'ingéniosité. Ainsi de nos jours les artistes sont-ils devenus bien plus clercs que les prêtres catholiques, les financiers bien plus belliqueux que les généraux et les scientifiques oscillent entre vocation mystique et vocation pratique; il semble que chacun fuit toute représentation de sa fonction qui la rapproche du travail et de la technique.

C'est bien là ce que regrette l'auteur; les préjugés confortent une vision péjorative de la technique et du travail mis en bas de l'échelle des valeurs. Son intuition lui fait rapprocher cette tendance millénaire de l'apparition de l'écriture (il rappelle l'opposition de Socrate à l'écriture, le tournant grec de l'histoire des mathématiques par lequel celles-ci passent d'une technique de calcul ( en Égypte, en Mésopotamie où la finalité du calcul est pratique - mesurer, compter) à une technique de démonstration (dont l'enjeu est l'idée toute cléricale de vérité).

Cet essai est sans doute un pamphlet qui s'avance masqué (il est publié dans une collection qui s'appelle "Manifestes Le Pommier!) aussi n'éprouve t'il pas le besoin d'approfondir l'intuition qui en constitue pourtant l'argument fort; le rôle de l'écriture dans les sociétés, comment celle-ci modifie les systèmes de valeurs et les rapports de forces sociaux. Je n'ai cessé de penser au livre de Leonard Shlain The Alphabet versus the Goddess qui est une enquête quasi-obsessionnelle sur ce sujet. Il est probable de Gilles Dowek ne connaisse pas ce livre non traduit en français. Il m'a semblé que leurs idées convergent même si le présent essai paraîtra très superficiel au regard du travail quelque peu démesuré de Leonard Shlain.

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Le temps des algorithmes

Après avoir clairement défini ce qu'est un algorithme, ce qu'il est capable de faire et ses limites, cet essai propose une réflexion sur les profonds bouleversements que leur utilisation a entraînés dans nos société. Les chapitres abordent différentes thématiques (travail, gouvernement, responsabilité, vie privée, équité et transparence, écologie, etc). S. Abiteboul et G. Dowek nous invitent à prendre la mesure de l'influence des algorithmes dans notre société, à nous emparer de ces outils et à les comprendre afin d'en garder la maîtrise. Accessible, ponctué de petites biographies de pionniers de l'informatique, puisant ses exemples dans l'actualité récente mais n'hésitant pas à faire des parallèles avec l'histoire de l'humanité au service de son propos, étonnant, à plusieurs reprises, par le déplacement de perspective qu'il propose, cet ouvrage est éclairant pour tout citoyen.
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