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Citations de Glyn Dillon (20)


J’avais toujours de mauvaises habitudes et des peurs irrationnelles. Je me sentais toujours très en deçà de ce que je pouvais être ou de ce que je pensais que j’aurais dû être. (…) Pour la première fois de ma vie, je savais quelque chose sur quoi je n’avais aucun doute. Je savais après cet instant froid et lucide, que cette vérité ne changerait jamais. Je suis mon enfer, ça vient de moi, c’est ma responsabilité et c’est entièrement ma faute. Mais c’est bien. Mes problèmes n’étaient pas du tout des problèmes, mais venaient du lien que j’avais avec eux
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L'égo est le prix à payer pour la poésie.
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L'expérience n'est pas le problème, c'est l'attachement qu'on y apporte.
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Oui, Hello Kitty semble ne pas avoir de bouche, mais Winnie l’ourson n’a pas de pantalon et Action Joe n’a pas… eh bien, il est peu probable qu’il « conclue ». Quoiqu’il en soit, selon Sanrio, elle a bien une bouche… elle est simplement cachée sous sa fourrure. Elle n’est donc jamais dessinée… mais elle existe… en théorie. Et ce que tu n’as pris en compte, c’est que l’équivalent masculin d’Hello Kitty, « Dear Daniel », n’a pas de bouche non plus… ce qui réfute ton affirmation selon laquelle Hello Kitty représenterait l’archétype de la femme japonaise et son absence de voix.
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Les filles ont-elles un genre de sixième sens, un radar spécial, qui leur indique quand vous avez renoncé ?
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Cette photo représente pour moi lourdeur et... tristesse. Comme eux, je peux voir la petite fille rigolote qui porte les lunettes de soleil de sa mère... mais ce qui se passait derrière ces lunettes est une autre histoire.
Les lunettes n'étaient qu'un façade.
Cette photo encadrée est le premier élément de « preuve » que je leur permets de voir. C'est un Rubicon qu'ils traversent sans le savoir.
Je suis sûre que pour eux, je suis cette mignonne métisse anglo-japonaise, un peu « bohème »... je suis la « copine exotique. »
Ils ne se doutent pas que je suis une putain de malade mentale.
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Une obsession en chasse une autre.
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Mon esprit était à l’arrêt, j’étais à l’écoute de la mécanique de mon corps, de ma respiration profonde, de mes poumons roses et humides, et de mon cœur chaud et glissant. J’avais oublié (même si je commençais à m’en rappeler) quelle étrange chose je suis, un gros sac de liquide, une agglomération miraculeuse, un nombre indéfini de cellules grouillant de concert.
En réalité, j’avais une attaque.
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En grandissant, comme je l’ai fait, avec un père absent, j’ai souvent cherché des professeurs masculins ou des tuteurs… même dans les pubs, je tournais autour du vieux bonhomme dans le coin, dans l’espoir d’apprendre quelque chose d’insaisissable et de magique, quelque chose qu’on ne pouvait pas glaner dans les livres. J’avais une soif de savoir insatiable et rien ne me réjouissait plus que de découvrir la nouveauté.
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- Tu as chié dans ton pantalon ?! A l’instant ?
- Non pas à l’instant… la nuit dernière.
- Oh, mon Dieu… Il m’est arrivé la même chose la semaine dernière ! Tu étais bourré ?
- Un peu… mais c’était plutôt une question de mauvais timing.
- Mais c’était bon, n’est-ce pas ? Ha ! ha !
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J’étais chaud comme la braise et, l’espace d’un instant, je me suis même senti…beau. Elle me regardait… Je me suis dit que ce serait bien de me glisser sous la couette et de remonter jusqu’à elle. Du genre marrant, mais toujours un peu sexy… J’ai soulevé la couette avec classe et j’ai plongé dessous. Seulement, je ne m’étais pas glissé sous la couette, je m’étais glissé dans la housse de couette. Ça m’a pris une bonne minute pour me rendre compte de ce qu’il se passait… C’est long une minute, quand tu es coincé dans une couette. Bien sûr, Deborah ne pouvait pas s’arrêter de rire, ce qui a quelque peu ruiné l’ambiance… puis elle s’est endormie.
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Il a été assassiné et je m’inquiète pour un alibi ? Qu’est-ce que… Pourquoi ne suis-je pas préoccupée par le fait qu’il a été assassiné ? Plus bouleversée par le fait qu’il soit mort ? Suis-je si froide ?
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Je suis la Vénus qui vit dans ta machine. Ne les considère pas avec négligence… Ne critique pas les machines alors que tu les répares. Remercie-les pour les tâches qu’elles accomplissent, car les divinités vivent dans des lieux ordinaires.
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Dignaga, par contre, c’est une autre histoire. Un truc émane de lui, il ressemble à un vieux punk ou à un ancien drogué. C’est peut-être son sourire à la Shane MacGowan… et cet air de « je ne supporte pas imbéciles »… Quand il me regarde, je me sens stupide… Je suis sûre qu’il sait que je suis stupide… donc, naturellement, je ne l’aime pas… et en même temps, je ressens un besoin désespéré de lui plaire, plus qu’à quiconque.
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C'est impossible d'écraser une mouche. Je crois...qu'elles doivent vivre dans le futur.
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-... Tu n'as jamais souffert d'un amour non partagé ?
- Non...de beaucoup d'attentions non désirées.
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- Hé ! Tu n'es pas si petite que ça ! De plus, tout ce aui est petit est mignon et les bonnes choses arrivent dans des petits paquets.
- Ouais, c'est ça, comme les bombes.
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J'ai un souci avec les étiquettes, même si c'est moi qui les colle...
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Après l’opération, j’ai dû réapprendre tous ces traits de l’hémisphère gauche, j’ai dû me construire un nouvel égo. Par bonheur, notre société est faite pour de telles choses… nous sommes très bons pour enseigner le langage, les chiffres, les jugements et les peurs, toutes ces choses dont nous avons besoin, pas seulement pour survivre, mais pour communiquer… pour raconter et comprendre des histoires. Les gens parlent souvent de tuer l’égo, mais ce qui est bien plus important c’est de comprendre quelle est sa véritable fonction, parce qu’il est impossible de s’en débarrasser complètement.
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« Les mots traduisent mal le sens secret, tout est toujours un peu différent, un peu faussé, un peu insensé… »
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