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Critiques de Grzegorz Rosinski (691)
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Thorgal, tome 2 : L'île des mers gelées

Je crois bien que je n’avais jamais lu ce tome des aventures de Thorgal, d’ailleurs je ne me souviens plus de ceux que j’ai lus dans les années 80. Je découvre une chute assez surprenante, l’intervention de la science-fiction dans une série de Fantasy, c’est vraiment un trip très années 70, c’est daté, mais j’aime bien. Le graphisme de Rosinski est soigné, détaillé, assez élégant dans la représentation de la mer, de la montagne, des aigles… La colorisation est par contre très datée, les technique étaient alors plus sommaire, on n’avait pas d’ordinateur pour le faire et les cheveux jaunes, ce n’est franchement pas très heureux. L’histoire est bien prenante, Aaricia se fait enlever par des aigles, Thorgal part à son secours dans le grand nord et les mers gelées. C’est rythmé, avec des rebondissements, de l’action dans de grands espaces glacés, du suspense, et si on accepte l’intervention de la science-fiction dans un récit de Fantasy (moi, je kiffe, mais je sais qu’il y en a qui ne supportent pas), le plaisir est garanti.
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Thorgal, tome 17 : La gardienne des clés

C’est avec quelques appréhensions que je me suis attaquée à ce 17ème tome, celui venant après 2 volets excellentissimes. Si « la gardienne des clés » n’atteint pas les sommets du « maître des montagnes » et « Louve », cela reste un très bon tome qui se classe dans le haut du panier. L’histoire, pleine de magie, est très chouette. La construction est bonne même si tout ça est un peu rapide. Toutes ces péripéties, passages de dimension, usurpation de corps auraient pu donner lieu à un cycle de plusieurs tomes avec, pourquoi pas, tout un volume avec un méchant Thorgal.

Mais bon, c’est un très bon volet qui se lit avec grand plaisir.

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Thorgal, tome 25 : Le Mal bleu

A partir de maintenant, j'attaque les albums que je n'ai lus qu'une seule fois. C'est presque une redécouverte car je n'en ai plus beaucoup de souvenirs.



Et j'ai bien apprécié cet épisode, bien plus que le précédent. Rien à voir avec une quelconque résonance du mal bleu qui affecte nos héros avec notre détesté covid-19, je pense. C'est peut-être parce que, pour une fois, les crétins maléfiques qui cherchent habituellement des noises à Thorgal sont absents. La famille affronte un ennemi autrement plus vicieux que n'importe quel dieu ou monstre, une sorte de peste bleue, douloureuse à rendre fou.

Il y a bien un prince qui tente d'user de son charme sur Aaricia et qui mettra tout le monde en une quarantaine définitive quand il comprendra de quel mal ils sont atteints. Il y a aussi son jumeau, exilé dans les marais au sein d'une communauté de nains rejetés pour leur forme, et spolié de son héritage princier. Bref, le fond classique est là.

Mais pour une fois, la raison l'emporte globalement sur la brutalité, ce qui donne à cet album une tonalité optimiste envers le genre humain à laquelle Thorgal ne nous a pas habitués.



Une lecture divertissante, qui prône aussi le droit à être différent.

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Western

Pour faire un bon film il faut trois choses :



premièrement une bonne histoire

deuxièmement une bonne histoire

troisièmement une bonne histoire.



Voilà ce que répondait Jean Gabin à un journaliste qui lui demandait ce qu'était un bon film. Cela caractérise assez bien à mes yeux cette bd. Un Van Hamme au sommet de son art et un Rosinski au meilleur de sa forme, cette histoire aurait pu faire l'objet d'une adaptation cinématographique à moins qu'elle ne se suffise à elle-même... S'il fallait quand même émettre un reproche je pense que la fin aurait mérité d'être développée un peu plus (en 2 tomes peut être) mais je chipote, j'ai beaucoup aimé.
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Western

Je termine mon trail livresque par Western, je ne suis pas déçue.

Tous les bons ingrédients du bon far west pur jus sont là! Un héros beau gosse aux origines mystérieuses, un peu manchot certes mais loin d'être maladroit de la gachette, une fille au caractère bien trempé à la tête d'un ranch vaste comme le Luxembourg. L'ouest, je vous dis, avec ses mauvais garçons, ses shérifs véreux, ses attaques de banque. Du grand Van Hamme au scénar pour vous servir et les belles illustrations sépia façon grand maman de Rosinski pour emballer le tout.

Je vous parie mon dernier chicot que vous aussi vous vous laisserez embarquer tout comme moi dans ce Wild wild west! Un dollar de Hong Kong à celui qui n'aimera pas!

I'm a poor lonesome girl, a long long way from home...
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Thorgal, tome 6 : la chute de Brek Zarith

Et voilà la fin de l’arc de Brek Zarith, l’un de mes préférés. Ça se passe mal pour son matricule vu que c’est sa chute (en même temps quand on s’appelle « Brek » on s’attend à ce que ça casse à un moment).



L’action se concentre autour de… la cité de Brek Zarith (incroyable non ?) où le tyran Shardar le Puissant voit fondre sur lui les furieux Vikings venus piller ses trésors et le Prince Galathorn récupérer son trône. Il observe aussi (grâce à un système de caméras magiques très sophistiqué ;-) un gars tout seul qui s’avance, arc à l’épaule. Nous, on reconnait Thorgal.

Tout ça n’a pas l’air d’inquiéter notre tyran outre mesure. Il détient Aaricia, la femme de Thorgal, et Jolan leur fils déjà talentueux à 2 ans (c’est lui le système de caméras) et a déjà un plan qui l’espère-t-il va se dérouler sans accroc. Car la chute en question ne sera pas provoquée par ses adversaires, mais par lui-même. Du passé faisons table rase. L’accroc, cependant, s’appelle Thorgal.



Cet album est magique à plus d’un titre. L’ambiance décadente de Brek Zarith est tangible : atmosphère enfumée, corps peinturlurés et dénudés, masques d’animaux, complots des barons. C’est à faire vomir. Je ne sais pas pourquoi mais ça m’a rappelé l’orgie romaine d’Astérix chez les Helvètes, en plus puant. Le retour de Jorund le Taureau à la tête de ses vikings est un plaisir, son incontrôlable avidité explose. Aaricia prend beaucoup de consistance. Et c’est la première apparition de Jolan, ce petit garçon fils de deux mondes qui réserve des surprises à ses parents.



Mais c’est le personnage de Shardar-le-Puissant qui constitue le principal attrait de l’album. Son cynisme intelligent, cruel et serein dégouline dans chacun de ses mots. Il constitue un bon modèle pour Hitler ou Staline. On en vient à apprécier le charisme venimeux du bonhomme tout en espérant ne jamais rencontrer un type pareil dans la vie réelle.



Le seul élément qui m’a gêné est le comportement de Thorgal retrouvant sa famille. Là où Aaricia cède à l’émotion normale d’une épouse et d’une mère, il reste froid et calculateur au point de vouloir laisser leur fils aux mains de Shardar le temps de mettre Aaricia à l’abri, alors qu’il était devenu une loque dans le tome 5 quand il croyait sa femme morte. Cache ta joie, mon gars !



Mais tout le reste est absolument excellent.

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Thorgal, tome 22 : Géants

Un tome plutôt positif, sympathique et léger.



L’arc de la perte de mémoire touche à sa fin. C’est pas plus mal : j’ai toujours eu un peu de mal à accepter ce personnage de Shaïgan qui se veut cruel et sans merci mais a gardé toute la compassion de Thorgal. Ça colle pas. Finalement c’est un paumé qui sert de couverture à Kriss pour la domination de ses pirates et trafiquants d’esclaves.



Toujours est-il que ce tome nous ramène à la mythologie avec un Thorgal chargé d’une mission sur le territoire des Géants. On y retrouve l’atmosphère de conte de fée de L’enfant des étoiles et de Aaricia. Les géants un peu neuneus et un Thorgal aussi rusé que Renart rendent le tome plutôt comique.

Enfin, on retrouve avec plaisir un Guest star venu des premiers épisodes de la série.



Sympathique et léger, je répète.

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Thorgal, tome 14 : Aaricia

Un sympathique album de transition qui permet de se reposer après les événements du pays Qâ.



Il s’agit du pendant du tome 7 avec la seconde moitié du couple fusionnel en vedette. La petite Aaricia est amenée à mettre son grain de sel dans de courtes histoires. Elle est maline la gamine. On n’imagine pas à quel point elle a pu sauver la peau de Thorgal à plusieurs reprises. Elle constitue un tampon ultra efficace entre son bien aimé de toujours et ses « adorables » père et frère qui aimerait bien trucider l’enfant des étoiles.



Mon histoire préférée reste cette histoire écrite probablement dans une annexe égarée de la mythologie viking, et dans laquelle Aaricia va filer un sacré coup de main à un improbable petit dieu nommé Vigrid parti à l’aventure. Rosinski et Van Hamme insistent toujours sur le « destin » de Thorgal, mais visiblement Asgard a l’œil sur Aaricia également.



Je m’étonne que cette brave gamine devenue adulte n’ait pas eu droit à sa série dérivée. Il y avait moyen.

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Thorgal, tome 12 : La cité du dieu perdu

Décidément un arc de Thorgal satellisé.



Thorgal et sa fine équipe entrent enfin dans la cité du Dieu perdu, une cité qui ne peut que faire penser à celles des Aztèques. Mais quand Thorgal comprend qu’il n’est pas seulement là pour voler un banal casque magique, il refuse tout net, entrainant une série de complications pour lui et Aaricia. Kriss de Valnor, elle, sait louvoyer en ne perdant pas la target « trésor » de vue. Mais on peut quand même dire qu’elle va en baver des ronds de chapeau.

Trahisons, sacrifices héroïques, sacrifices abjects aux dieux tout court, emprunt dérivé au « Je suis ton père » de Star Wars, au final tout est affaire de famille.



Et finalement le lecteur est mis devant le fait accompli. Thorgal n’est pas le héros défenseur de la justice et protecteur du faible que l’on souhaiterait. Il veut simplement qu’on lui fiche la paix lui et sa famille, mettez-vous ça dans le crâne une bonne fois pour toutes, nom de nom ! Et il n’agira pour rien au monde à l’encontre de sa morale. Pas question qu’il tue le méchant tyran, ce serait mal. Et qu’importe si ce type veut conquérir le continent entier, mettre le monde en esclavage et sacrifier en son nom propre homme, femme et enfant. L’argument n’a aucun poids à ses yeux. Ce n’est pas son problème.

Il réagit exactement comme Balian d’Ibelin dans Kingdom of Heaven lorsque ce dernier refuse de renverser Guy de Lusignan. Fidèle à sa morale, il conserve le respect de lui-même quelles que soient les conséquences.

Mais comme d’habitude les événements ou les dieux décideront pour lui, le contraindront là où lui refusait d’agir de son propre chef.



L’arc est terminé ? Pas tout à fait. Il reste quelques questions dans le sillage.

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Thorgal, tome 2 : L'île des mers gelées

Thorgal c'est avant tout de l'aventure à l'état pur, dans un univers fortement inspiré de l'imaginaire collectif "viking", avec une touche assez marquée de fantasy, voire de SF pour ce tome.



Ce tome, suite directe du premier volume, est extrêmement réussi par son côté épique, aventure, mais aussi par le fait que son dénouement assez inattendu accroche le lecteur, qui a focément envie de poursuivre la série maintenant qu'il sait qui est vraiment Thorgal, cet homme manifestement différent des autres, plus humain, plus raisonné que les brutes qui l'entourent. Les personnages masculins sont en général cruels, impitoyables, assoiffés de conquête, de domination. Thorgal lui, semble animé par la justice, l'honneur, et aussi l'amour.



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Thorgal, tome 2 : L'île des mers gelées

Autant le premier tome était sympathique mais n’avait rien d’hyper emballant immédiatement, autant ce second tome démarre tambours battant. Mais cela ne s’arrête pas là, car il ne privilégie pas l’action au détriment du scénario, bien au contraire.



Dans ce tome on va vraiment en apprendre plus sur les origines de Thorgal, et il faut dire qu’il y a de l’idée ! Quelle surprise ! Moi qui m’attendait a une série de qualité sur les peuplades scandinaves, notamment vikings, cela va bien plus loin et ce n’est pas pour me déplaire, bien au contraire !



Cette série est une très bonne surprise et j’ai hâte de pouvoir me procurer les volumes suivants !
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Complainte des Landes perdues - Cycle 1, to..

« Je suis Sioban, descendante des rois de Sudenne et fille du Loup Blanc »



C'est Erik_ qui, grâce à sa critique, m'a donné envie de découvrir cette BD, qualifiée par lui d'héroic-fantasy, genre que j'affectionne particulièrement.

La couverture, que je trouve belle, m'a de suite mise dans l'ambiance. J'ai tout aimé, l'histoire, les dessins, les couleurs.

Les personnages sont bien typés donc facilement reconnaissables.

* Lord Blackmore a une sale tête. Je ne lui demanderais pas l'heure, même s'il avait une pendule sur le dos.

* Seamus, un guerrier-du-pardon, a l'air si triste...

* Sioban est une belle petite damoiselle qui n'a pas l'épée dans sa poche.

* Zog est un Ouki, petit animal de compagnie, très zoli ( ce n'est pas une faute de frappe ) mais très gourmand. Peut-être que sa gourmandise le perdra...

Je vais bien sûr lire la suite sans trop tarder.
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Thorgal, tome 15 : Le Maître des Montagnes

Nom de Zeus ! Quel bon tome ! « Le maître des montagnes » se classe instantanément parmi mes préférés de la série. Le récit a un rythme trépidant, ce tome ne se lâche pas et se dévore d’une traite. Il faut dire qu’il vaut mieux ne pas interrompre sa lecture si on ne veut pas perdre le fil de cette histoire de voyages dans le temps. Les allées et venues temporelles sont nombreuses et menées de façon effrénées. Alors oui, il y a sans doute des incohérences mais ce n’est pas moi qui dénoncerai Van Hamme et Rosinski à la patrouille du temps, j’ai pris trop de plaisir à la lecture de ce tome qui est un sommet de divertissement.
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Thorgal, tome 19 : La Forteresse invisible

Et voilà, c’est la fin des aventures de Thorgal.



Du moins tout le récit y mène. Enfin, une déesse daigne informer notre héros vikingo-spatial que son nom a été écrit sur la tablette des dieux d’Asgard en gros, gras, taille de police 24. Par-dessus le marché, elle daigne lui montrer comment lui, Thorgal, pourrait effacer son nom de la tablette, et ainsi ne plus être embêté par un destin aventureux, douloureux, qui l’éloigne de la vie tranquille à laquelle il rêve.

Va-t-il y aller ?

Déjà il a commis ce que j’estime être la pire erreur de sa vie : abandonner sa famille en espérant ainsi leur épargner les effets collatéraux de son périlleux destin. Je ne vois pas en quoi rendre tout le monde malheureux, y compris lui-même, était un choix intéressant. Aaricia, Jolan et Louve pouvaient espérer vivre quelques années de plus oui, mais rien n’était bien certain dans ce monde.

Bon, la déesse, mine de rien, ne va pas lui laisser beaucoup de choix. Thorgal va se retrouver, encore, en butte à des types violeurs, menteurs et tortureurs et, ceci amenant cela, il sera amené à tenter l’effacement. C’était ça ou crever en fait.



Le cheminement est bien fait. L’effacement s’apparente à la disparition de ses souvenirs, l’oubli des gens qu’il a côtoyés, combattus ou aimés, petit à petit.

Donc, logiquement, les aventures de Thorgal, c’est fini.



Mais devinez qui est là pour récupérer les restes et les faire fructifier ? Cette chère Kriss de Valnor toujours aussi indispensable. Cette guerrière impitoyable disant toujours qu’elle souhaite transformer Thorgal en quelqu’un d’aussi impitoyable qu’elle mais dont je suis certain qu’elle est attirée par le côté honorable et honnête du héros.

Et en fin de compte, les dieux d’Asgard ont peut-être oublié le héros. Mais quid des puissances cosmiques qui les dirigent ? Quid de Rosinski et Van Hamme ?

Et quid des lecteurs ? Vont-ils accepter de voir Thorgal disparaître comme ça ?

Peu de chances…

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Thorgal, tome 15 : Le Maître des Montagnes

Recette pour une super BD :

Prenez un héros charismatique, foudroyant à l’épée et qui fait craquer toutes les filles, même les déesses : Thorgal.

Ajoutez une bombe rouquine qui vit seule dans la montagne – Vlana – et un jeune esclave évadé prêt à tout, Torric.

Pensez au fameux méchant dont on ne connaît guère que le nom : Saxegaard, le maître des montagnes.

Touillez le tout suffisamment fort pour que le temps lui-même soit sens dessus dessous, au point qu’on ne sait pas si on est en hiver ou en été. Cramez le plat à 600°C puis gelez-le à -20°C.



Vous obtenez une histoire qui s’emberlificote avec les fils du temps, au point que même Manse Everard y perdrait son norrois. Rosinksi et Van Hamme ont dû s’amuser pour faire tenir à peu près debout cette histoire où l’avenir change sans arrêt à chaque retour dans le passé. Je dis « à peu près debout » parce qu’il y a à mon avis des incohérences. La plus importante étant le fait que les « voyageurs du temps » peuvent atteindre non seulement un point quelconque du temps mais aussi, pour que le scénario avance, un point situé dans leur propre passé personnel mais qui a été effacé par les manipulations du passé (je suis sûr que c’est pas clair, là… bah on s’en fiche).

Mais cela reste une histoire grandiose et palpitante dont la fin restera dans les annales de la série.



Un des meilleurs Thorgal selon moi.

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Thorgal, tome 21 : la couronne d'Ogotaï

Les voyages dans le temps vont bien à Thorgal. Même si sur ce thème des voyages dans le temps j’ai tout de même préféré « le maître des montagnes » qui était plus trépidant, « la couronne d’Ogotaï » permet de passer un très bon moment de lecture. Il y a de très bonnes idées comme la rencontre entre Jolan enfant avec lui-même plus âgé ou les Veilleurs qui rappellent furieusement « la patrouille du temps » de Poul Anderson. Il y a des petites incohérences, des maladresses, la construction du récit est un peu brinquebalante mais on ne s’ennuie pas une seconde et ce 21ème tome est très divertissant.
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Thorgal, tome 11 : Les Yeux de Tanatloc

Ce 11ème tome poursuit avec bonheur ce qui est, pour l’instant, un excellent cycle. Très bien mené, le récit fait la part belle à l’aventure, Thorgal et ses acolytes devant survivre en milieu hostile. Les développements autour des origines de Thorgal sont bien amenés et concourent à la réussite du récit. La relation entre Jolan et Tanatloc apporte une touche d’émotion. Seul petit bémol : le personnage d’Aaricia que je ne supporte pas. Qu’est-ce qu’elle m’énerve avec sa mièvrerie ! Entre elle et Kriss de Valnor, j’ai choisi mon camp.
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Thorgal, tome 7 : L'Enfant des étoiles

« L’enfant des étoiles » me laisse une drôle d’impression. Les 3 histoires qui composent ce 7ème tome sont très bonnes, les récits sont captivants et éclairent le lecteur sur les origines de Thorgal. Mais un détail est venu gâcher un peu ma lecture en fin d’album, , j’ai trouvé ce procédé un peu artificiel et je n’ai pu m’empêcher de me dire « tout ça pour ça ». Mais ça n’enlève pas le plaisir de lecture procuré par ces 3 aventures de haute volée et surtout cela n’amoindrit en rien l’envie de poursuivre la série.
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Thorgal, tome 7 : L'Enfant des étoiles

L'enfant des étoiles est l'un des albums fondateurs de la série Thorgal et ce n'est pas par hasard que je commence par celui ci pour me replonger dans cette saga que j'adore.

Dans cet album, on y apprend les origines de Thorgal.

Thorgal Aegirsson n'est pas juste un viking courageux et valeureux combattant, il est l'enfant des étoiles.

Un album riche et essentiel qui me donne envie de relire toute la série et de découvrir les séries parallèles que j'avais volontairement négligées.

Thorgal, à nous deux, me revoici !
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Thorgal, tome 2 : L'île des mers gelées

Je poursuis ma redécouverte de Thorgal. Ce 2ème tome est complètement réjouissant. « L’île des mers gelées » démarre sur les chapeaux de roue et entraîne le lecteur dans une aventure riche en péripéties. Le récit mélange avec bonheur aventure, fantasy et même SF. Et puis, dans ce tome on apprend les origines du héros, origines dont je ne me souvenais absolument pas. Il faut dire que mes lectures Thorgaliennes remontent à bien longtemps.



C’est avec enthousiasme que je vais poursuivre la série.

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