Citations de Guillaume Musso (6276)
...elle savait bien que, dans une relation, les quelques secondes qui allaient suivre étaient souvent les plus belles, celles que l'on n'oubliait jamais : le moment magique juste avant le premier baiser. (82)
L'homme ne résiste pas à la tentation, c'est pourquoi il doit l'éviter. (80)
On ne se sent jamais aussi vivant qu'au seuil de la mort. (40)
Pourquoi fallait-il attendre d'être aux portes de la mort pour apprécier les petites choses qui faisaient la saveur de l'existence ? (377)
...si vous avez déjà aimé sincèrement une fois dans votre vie, vous avez toutes les chances d'aimer de nouveau; (39)
Il est des questions qui restent sans réponse et il fallait qu'il accepte. (25)
Certaines blessures ne sont ni réversibles ni réparables. (25)
C'était il y a dix-sept ans.
Un 24 décembre.
A New York.
A quelques heures de Noël...
A quoi tient que deux amours se ratent ? Une poignée de secondes, une hésitation, une chance, un fil...(305)
-Tu devrais faire comme moi : te marier, avoir des gosses...
-Je ne crois pas. Lorsqu'on aime, on devient vulnérable.
-Non, assure Mark, on devient plus fort.
Mais Connor n'est pas convaincu :
-Lorsque tu as peur de perdre ceux que tu aimes, tu deviens vulnérable. Tu es fragile : on peut te blesser facilement, rien qu'en s'en prenant à tes proches. Et je ne peux pas me permettre de devenir vulnérable.(227)
Nous devons nous habituer : aux plus importantes croisées des chemins de notre vie, il n'y a pas de signalisation.(9) Ernest HEMINGWAY
Nous ne sommes jamais aussi protégés contre la souffrance que lorsque nous aimons.(19) FREUD
Quand tu regardes dans le miroir et que tu as envie de le casser, ce n'est pas le miroir qu'il faut briser, mais toi qu'il faut changer.(45) ANONYME
Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit.(49) Khalil GIBRAN
Aimer, c'est prendre soin de la solitude de l'autre sans jamais la combler, ni même la connaître.(53) Christian BOBIN
Tandis que j'avais peur, il vint
Et, venant, ma peur diminua.(61) Emily DICKINSON
Nous sommes comme les noix,
Nous devons être brisés pour être découverts.(189) Khalil GIBRAN
La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant.(197) Michael CONNELLY
Si tu ne sais pas où tu vas, souviens-toi d'où tu viens.(257) PROVERBE AFRICAIN
Pour trouver le bonheur, il faut risquer le malheur.
Si vous voulez être heureux, il ne faut pas chercher à fuir le malheur à tout prix. Il faut plutôt chercher comment - et grâce à qui - l'on pourra le surmonter.(281) Boris CYRULNIK
Je brûlerai en enfer pour te protéger.
...Chacun protégeant l'autre du reste de la terre , chacun représentant pour l'autre le reste de la terre.
C le meilleur roman que j'ai lu surtout la fin
Parfois ce n'est qu'en quittant la scène que l'on peut savoir quel rôle on a joué.
Entre le fatalisme stoïcien et l’impermanence bouddhiste, il prenait désormais l’existence pour ce qu’elle était : quelque chose d’éminemment précaire et instable, un processus en perpétuelle évolution. Rien n’était immuable, surtout pas le bonheur. Fragile comme le verre, il ne devait pas être considéré comme un acquis, lui qui pouvait ne durer qu’un instant.
Le temps passe et on passe avec lui, faisant le plus souvent ce qu'on peut plutôt que ce que l'on veut. Le destin fait le reste et la chance vient mettre son grain de sel dans tout ça. C'est tout.
"Chaque homme a dans le cœur un vide, une entaille, un sentiment d'abandon et de solitude."P.85
L'épicerie est vide, il n'y a pas de caméra. Je n'ai qu'à appuyer sur la détente. Je ne veux rien lui dire, même pas "crève, sale pourriture". Je ne suis pas là pour rendre la justice, pas là pour faire appliquer la loi. Pas là non plus pour écouter ses explications. Il n'y a dans mon geste aucune gloire, aucun héroïsme, aucun courage. Je veux juste que la souffrance de Carole s'arrête et c'est le seul moyen que j'ai trouvé.
Je ne sais pas où est le bien, je ne sais pas où est le mal. Je ne crois pas en Dieu, je ne crois pas non plus au destin. Je crois seulement que ma place est ici, derrière ce flingue, et que je dois appuyer sur la détente.
L"adversité telle un vent furieux, nous empêche d'aller où nous voulons, nous dépouille et nous laisse face à nous même tels que nous sommes et non tels que nous pensons être.
Qui pourrait ne pas frémir en songeant aux malheurs que pourrait causer une seule liaison dangereuse ?