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Citations de Gwen Le Tallec (49)


Lo met finalement pied à terre et m’invite à en faire de même. Le chien sent qu’une nouvelle activité est prévue et remue la queue comme des essuie-glaces devenus fous. Nous laissons nos montures contre un mur en pierres cernant une belle maison inhabitée et longeons un petit chemin parsemé de roses trémières pour arriver à une charmante petit cale. Un spectacle extraordinaire s’offre à nous. La chaleur de l’été cumulée avec une marée basse a fait naître une brume qui masque partiellement une constellation de rochers, véritables mastodontes plantés dans le sable et la vase. Le spectacle est envoûtant.
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Le commissaire Taran Courteline m'a sauvée… Il nous a sauvées Anna et moi. Nous étions cachées dans mon "bocal" d'écriture sur l'île Besnard. c'est dans ce lieu que je me réfugie pour écrire mon prochain roman. il a risqué sa vie pour nous… Nous nous sommes embrassés ce jour-là… Je n'avais plus ressenti ça depuis Solal… j'ai décidé de changer, d'oublier mes malheurs pour me sauver moi-même.
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La nuit est sans lune. La forêt, telle une ombre monstrueuse, engloutit le véhicule roulant à vive allure sur cette petite route départementale. Des nappes de brouillard s’écrasent contre le pare-brise, surprenant et aveuglant le conducteur à chaque instant.
– Tu devrais ralentir Noé. On ne voit rien dans cette purée de pois !
– Ne t’inquiète pas ! Je connais cette forêt comme ma poche.
– Oui, mais je ne suis pas tranquille… Ça me fout la frousse ce coin. En plus, on ne capte pas.
Soudain ils aperçoivent des feux de détresse provenant d’une voiture garée sur le bas-côté.
– Je vais m’arrêter, ils ont peut-être besoin d’aide.
– Tu es sûr ? répond Sarah pas rassurée.
Noé ne répond pas et stoppe la berline sur une petite voie d’arrêt d’urgence. Ils font demi-tour et rejoignent le véhicule en panne.
Après avoir coupé le contact Noé sort et se dirige vers les naufragés de la route. Il se retourne en souriant à son amie.
C’est le début d’une histoire terrible orchestrée par une mystérieuse force du mal… Le Commissaire Taran plonge dans une enquête sombre, constellée de meurtres, où toutes les victimes portent une étrange marque sur le front. Il est aussi confronté à la disparition d’une jeune femme, qui n’est autre que la fille du maire de Saint-Malo, perdue dans une forêt où sont encore présentes des légendes d’un autre temps. Pour finir, sa vie personnelle est bouleversée par l’annonce d’un terrible secret de famille. Taran est sur tous les fronts et découvre que la vérité n’est pas toujours celle qu’on lui offre sur un plateau.
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On regarde tous un jour dans le rétroviseur, pourquoi ? Survivre, comprendre, trouver un sens pour ensuite accepter, prendre un chemin de traverse ou changer de vie. Ils ne se connaissent pas mais ils l’ont tous fait, c’est ce qui les lie. Quand Etienne observe les larmes de cette femme, que le cœur de Marc cesse de battre. Quand Cassandre regarde cette petite fille qui court dans la rue d’un quartier oublié, et que Fanny est effrayée par cette sorcière dans le métro parisien. Quand Martin lit la lettre de refus d’un éditeur, et que Noé lit celle de sa femme. Des destins parallèles, des vies qui commencent ou qui s’achèvent. Parce qu’ils se sont tous retournés un jour, voici leur histoire …
Six nouvelles... Six destins.
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J’ai froid… Il fait noir… Une douleur me perfore l’épaule… En la palpant, je constate qu’elle est poisseuse. Le sang s’échappe encore de ma plaie comme la lave d’un volcan effusif. Je suis assis sur le sable humide. Un bracelet de fer relié à une chaîne m’enserre le poignet droit. Je la tire pour vérifier sa longueur. Un mètre… Elle est scellée au mur. Je suis emprisonné dans un tube de béton. Une bouche cylindrique au-dessus de moi me permet de voir les étoiles cachées sporadiquement par les nuages noirs qui défilent dans le ciel sombre. Ce bruit… Ces vagues… Ce ressac que j’imagine être à quelques mètres de ma prison. Où suis-je ? Je me souviens… La pointe de la Varde à Saint-Malo.Le Commissaire Taran est la cible d’un tueur dans ce polar explosif. Avec son équipe et son nouvel adjoint le Capitaine Orianne Sorens, il s’engage dans une course-poursuite qui le mènera jusqu’à sa destinée.
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Dan a juste le temps de se coucher et de tirer quatre fois à travers la porte.
Je lui fais signe de me suivre vers la salle de bain. On entend les types cogner contre la porte pour la défoncer. J’ouvre la petite fenêtre de la pièce d’eau qui donne sur les toits de Paris. Nous nous faufilons à l’extérieur. Je prends la tête. Je connais par cœur les chemins des étoiles. C’est comme ça que nous les appelions avec Bruno au début de notre relation. Nous avions l’habitude de sortir en hauteur pour boire l’apéro, regarder le ciel étoilé et s’aventurer dans la nuit sur les dédales des cheminées, petites terrasses et passages étroits reliant les immeubles.
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L’homme entre sans méfiance, l’effet de surprise est total. Il prend un coup de crosse sur le crâne. Je le soutiens et l’accompagne dans sa chute pour ne pas faire de bruit. Je vérifie qu’il est bien inconscient, sors de la pièce et me dirige rapidement vers le salon. L’homme à la cicatrice est de dos. Il est toujours au téléphone. Il sent ma présence et se retourne. J’ai le temps d’ajuster mon tir… La balle lui traverse la tête et le foudroie instantanément. En tombant, il s’écrase sur la petite table de salon en bois qui explose à l’impact. Je perçois trop tard le souffle de son complice qui me percute violemment par le côté. Je pousse un cri de douleur. Nous tombons tous les deux au sol. J’ai le réflexe de l’éjecter en poussant de toutes mes forces avec mes jambes.
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Ce jus de pomme a un effet laxatif. C’est un bon remède pour la constipation.
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Désordre est un euphémisme. Monsieur Bertolli est certainement atteint du syndrome de Diogène .Il a accumulé des tonnes de papiers, de livres, de documents de toutes sortes, de bibelots improbables, imprégnés de poussière. Il y a une forte odeur d’humidité qui me donne la nausée. Maud instinctivement porte la main à son nez. Cette montagne de paperasse monte jusqu’au plafond, c’est impressionnant. Il nous propose de s’installer dans les deux mètres carrés encore disponibles dans son salon. Deux chaises en osier et un vieux canapé font de la résistance.
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Il se venge… Ou plus précisément, on dirait qu’il assouvit une vengeance pour le compte d’une personne ayant vécu pendant la seconde guerre mondiale à Saint-Malo.
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Je tente à nouveau de me concentrer sur mon enquête et notamment sur le mobile du serial killer. Il laisse trop d’indices pour tuer au hasard. C’est un méticuleux, un rigoureux. Il se prend sans doute pour un artiste. Tous ces objets de la seconde guerre mondiale qu’il met en scène sont la clé de l’énigme. Il doit savoir que nous nous rapprochons mais n’est-ce pas ce qu’il veut ?
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L’accent guttural pouvant être allemand, je me suis dit qu’il s’agissait peut-être d’une arme allemande. Les pistolets étaient plutôt portés par les officiers. Après il suffit d’avoir un peu de connaissances. Le P38 était porté par les officiers allemands de la seconde guerre mondiale.
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Ce type accompli certainement une vengeance liée à un événement qui s’est passé pendant cette période, j’en suis sûr maintenant. Marc va t’envoyer la photo de la médaille. Je veux que tu me trouves l’histoire de cette médaille, on trouvera peut-être son propriétaire.
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Je l’embrasse sur tout le corps en commençant par les pieds. Arrivé entre ses cuisses, je fais délicatement glisser sa culotte que j’envoie rejoindre sa robe. Je m’attarde quelques instants, Maud se cabre de plaisir. Je poursuis mon chemin du plaisir vers son ventre… J’adore son ventre puis remonte jusqu’à ses seins ronds et fermes. Maud m’emprisonne avec ses jambes. Je réussis néanmoins à attraper sa bouche avant de la pénétrer doucement.
Nous faisons l’amour longuement en oubliant le meurtrier de l’île, une parenthèse de sensualité, un moment pour nous, rien que pour nous, loin de la violence de ce monde.
 
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L’auteur du crime aurait déposé une grenade dégoupillée sous le corps de la victime. Le fait de le soulever aurait déclenché l’explosion. La scientifique analyse les débris de la grenade pour déterminer son origine. En tout cas, Bertrand est persuadé que celui qui a fait ça, connaît bien les explosifs. C’est un travail de professionnel.
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Elle peut avoir un amant et être une femme respectable vous savez. Nous ne sommes pas là pour la juger mais pour comprendre pourquoi elle a disparu. Sa disparition pourrait être en lien avec l’enquête que nous menons sur la mort d’une femme.
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– C’est bien de lire.
– J’adore les histoires d’amour qui se finissent bien. C’est pas comme les miennes !
– Vous avez raison ! La lecture permet de s’évader un peu de la noirceur quotidienne.
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Robert était charpentier ! Tout le temps le nez dans le ciel quand il travaillait sur ses toits ! Un romantique, quoi ! Il adorait regarder les nuages et ne supportait pas d’être enfermé à la maison. Bon en même temps, Germaine, sa femme, était insupportable. Elle l’obligeait à prendre les patins pour qu’il n’abîme pas le parquet qu’elle cirait tous les jours.
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Si elle avait été tuée ici le corps serait maculé de sable et beaucoup plus enfoncé. C’est une mise en scène, assez esthétique que son auteur a minutieusement préparée. De plus,  je pense qu’elle n’est pas là depuis très longtemps car les crabes et goélands n’ont pas abimé le corps. Je pense plutôt que son assassin l’a tuée et déposée ensuite ici.
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Ce monde manque de panache ! J’aurais tellement aimé vivre au temps des Corsaires : Surcouf, Duguay Trouin, Jacques Cartier !!!
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