Gwendoline Raisson

Un très chouette livre pour découvrir les couleurs, en compagnie d'une petite famille attachante. Un livre-jeu tout carton, bien solide, avec lequel les petits passeront de longs moments à suivre les indices du bout du doigt.
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"Les petits ruisseaux font les grandes rivières"...
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Mélangeant les codes bien institués où les filles ne jouent pas au foot, ne courrent pas et les garçons n'apprécient pas les calins et sont bagarreurs parceque c'est ainsi, les auteurs font entrer dans le jeu un troisième camarade de jeu qui offre la possibilité à la petite fille et le petit garçon de jouer ensemble et d'entrer dans l'univers de l'autre en réinventant d'autres jeux fédérateurs. Et aussitôt, souffle un vent de folie et de fantaisie où l'imaginaire n'a plus de limites pour leur plus grand plaisir. Le petit Maël est un exemple de compromis qui démontre que tout en conservant son identité de jeune mâle aventurier, il est possible d'apprécier les petites musiques du coeur et de les partager. Les illustrations sont drôles et colorées, rappelant parfois un univers de Merveilles et de lapin blanc. C'est très agréable!

Gwendoline Raisson sait ainsi innover et émerveiller à chaque phrase et les illustrations de Magali Bardos contribuent à faire naître le rire efficacement.
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Voici un livre particulièrement intéressant, qui reprend tout ce qui fait un conte pour en créer d'autres: histoire accordéon, à tiroir, à volets, dont on est le héros... il fait fonctionner l'imaginaire à plein tubes et permet en plus de lancer l'imagination de nos enfants dans différentes direction.

excellentissime

Avec ces contes « chamboulés », place à l'imagination et à la jubilation ! Quel plaisir de réinventer des histoires très connues par le biais de rabats, de volets, de bandelettes et de roues. Chaque lecteur peut ainsi mettre son grain de sel et réécrire les contes à sa façon.



Trois illustrateurs ont participé à ce grand « bazar » offrant des ambiances très diverses . Et une fois toutes les ressources du livre épuisées, pourquoi ne pas continuer ?



Muriel PIOGGINI

L'histoire est sympathique, mais ce sont surtout les illustrations de Clotilde Perrin toujours aussi splendides qui allument l'étincelle dans nos yeux. De vraies oeuvres d'art, un festival de traits, d'élans et de couleurs qui jaillissent à chaque page. Très bon !

Princesse Chichi chipote sans cesse, pour ci ou ça. Lorsqu'elle cherche un mari, le prince d'Archi-Bidule s'en fiche, il a une bécasse à chasser.

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Il y a très peu de texte mais un véritable jeu entre les illustrations et celui-ci . Tyana s'est prêtée au jeu et a compté avec Marie-Poussin , puis a vécu l'histoire en voulant tourner les pages à toute vitesse pour savoir ce qui allait lui arriver.😱



On a envie de l'aider mais on ne peut rien faire, heureusement ses amis vont pouvoir l'aider et elle va bien leur rendre . On a donc un beau message sur l'amitié et l'importance de prendre soin des autres et qu'ensemble nous sommes plus forts.💪



Un bon moment de lecture assez drôle mais j'aurai aimé une petite présentation des personnages en début de lecture car quand on a tous les prénoms pas évident de savoir qui est la chèvre ou le lapin ?😅
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Cet album riche en humour propose une merveilleuse complémentarité entre le texte et les illustrations. Ici, le jeune lecteur s’amusera et frissonnera en découvrant que Marie-Poussin se trouve nez à bec avec un terrible et dangereux chasseur.
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Mères anonymes est un bande-dessinée prometteuse qui met l’accent sur un tabou de société : être mère n’est pas une sinécure. A travers de petites scénettes qui regroupent le plus souvent des mères de différents milieux et composition familiale, on voit se matérialiser de nombreux sujets qui posent problème : il y a ce la société voudrait nous faire croire (l’instinct maternel, la beauté de la grossesse et de l’accouchement…) et ce que ces mères vivent réellement. C’est une safe place où les femmes peuvent dire ce qu’elles pensent vraiment, s’entraider et se soutenir et surtout, ne pas se juger (cette dernière règle étant essentielle).

J’ai apprécié cette bande-dessinée mais je suis un peu déçue de ne pas avoir vu le sujet prendre plus d’ampleur, de profondeur, et surtout de ne pas avoir eu un genre de « débat » entre des mères pour qui la maternité est plutôt positive (tout en restant dans la bienveillance des ressentis de chacun). Celle qu’on nous présente dans ce cas est une mère célèbre qui va se retrouver prise à partie par ce groupe de femmes. On y découvre qu’elle ne vit effectivement pas si bien la maternité mais qu’elle donne cette image parce qu’on l’y oblige. La question se pose alors : est-il utile de lancer un combat contre cette femme qui souffre également, même si la souffrance est différente ? C’est peut-être principalement ce passage qui m’a ennuyée et me fait dire que ce récit est perfectible.

En revanche, j’ai apprécié voir un père anonyme intégré à la seconde partie. Même s’ils sont très minoritaires, ils existent et les témoignages qu’il donne amène d’autres questions sur le rôle du père et ce que la société en attend. Un père qui s’occupe de ses enfants et prend un congé, laissant à sa femme la possibilité de retourner travailler : quoi ! qu’ouïe-je ! que diantre !

Finalement, se plonger dans cette bande-dessinée c’est traverser des petits moments de vie. Il faut je pense le voir comme un « récit tranche de vie » plutôt qu’une bande-dessinée/essai qui permettrait d’approfondir le sujet maternité/paternité à notre époque. Si certains choix sont discutables, les sujets lancés sont intéressants mais demandent au lecteur.ice de l’approfondir avec d’autre(s) ouvrage(s).

Cette BD imagine un groupe de mères partageant chacune leur tracas du quotidien. Le but est de dénoncer les injonctions faites aux femmes dont l'idéal de la mère parfaite. Néanmoins, c'est assez simple, les anecdotes ne sont pas très travaillées et du coup ce n'est pas très drôle, j'ai même trouvé ça un peu déprimant limite ennuyeux. Une déception donc, même si les dessins sont assez vivants.

C'est un roman drôle, et original, je trouve.

Mais je pense que ce n'est pas super que Capucine ait une relation avec un "stalker" qui fume des joints, et que cela soit vu comme une bonne chose

C'est un roman pour adolescents, et je ne trouve pas que ce soit vraiment approprié :/ je me trompe peut être

Je ne comprends pas pourquoi son père trouve judicieux de la laisser vivre seule à Paris, d'autant que ces mois en colocation ne lui ont pas réussi : elle fume des joints, boit de l'alcool, sèche les cours et ment à son père, et elle en souffre...Après j'imagine que c'est pour lui permettre d'apprendre l'autonomie...

J'ai trouvé aussi que c'était un peu long sur la fin

Cependant cela reste un assez bon livre qui m'a fait sourire.

L'histoire débute un matin d’août, sur l'autoraute A75, Ce jour-là, au volant de sa Kangoo Bleue, Thomas Demange, mon père à la tête de celui qui, au bord d'un danger imminent, voit toute sa vie défiler.



A côté de lui moi Capucine, sa fille de 16 ans, les yeux tournés vers le Nord, vers Paris où ma mère, la célèbre chanteuse Claire Bé et ma nouvelle vie m'attendent.



Dès le premier jour à Paris, Capucine va vite se rendre compte que sa mère n'est pas organisée du tout, le logement dans lequel elle devrait y déposer ses valises est encore dans l'attente d'y recevoir les clés.



Sa mère la Diva Bé lui annonce qu 'elle devra rester toute seule car elle part pour faire un tournage dans le Nord, où il fait très froid et aucun moyen de communication ne passe, rien pour pouvoir la joindre, mais une cousine lointaine viendra pour partager la location avec elle.



Mais bien sur rien ne se passera comme il le faudrait.



Un roman  young adult fort sympa, qui se lit avec légèreté et rapidité,  j'ai été captivée par cette histoire, l'auteure a une plume addictive et entraînante.



A découvrir pour passer un bon moment !!

J’ai passé un agréable moment de lecture en compagnie de Capucine, 16 ans et demi.

Les personnages sont vraiment sympathiques et attachants.

Les surprises positives ou négatives, les quiproquos et autres s’enchaînent. Bref, j’ai ri, j’ai parfois été attendrie également. Tout est bien équilibré. Ce roman se lit très rapidement, car nous voulons absolument comment Capucine va s’en sortir.

Même si cela s’adresse plutôt à un public jeunesse, j’ai été happée par cette histoire, moi qui rêvais de vivre à Paris étant plus jeune…

Léger, drôle … je n’ai qu’une chose à dire : à découvrir !



Livre reçu dans le cadre de la Masse Critique Babelio

Coup de cœur.



Capucine, seize ans et demi, la narratrice, part vivre à Paris chez sa mère. Le roman commence sur l'autoroute, dans la voiture avec son père et sa petite sœur, en direction de la capitale. Capucine a envie de découvrir la ville, d'entrer dans un nouveau lycée et de s'émanciper. En clair, elle veut changer de vie et laisser ses Cévennes natales derrière elle. En théorie, elle doit vivre chez sa mère, chanteuse et comédienne qui a connu son heure de gloire. Ca, c'est la théorie, parce que rien ne va se passer comme prévu.



Comme son titre l'indique si bien, ce roman Jeunesse est une comédie dramatico-romantique. Les surprises, plus ou moins réjouissantes (surtout moins), les quiproquos et les malentendus s'enchaînent pour Capucine, mais aussi pour son père, sa sœur, et d'autres protagonistes sur lesquels il ne faut pas trop en dire. Il y a du vaudeville, du Feydeau dans cette histoire et dans la façon de la mener. On rit, parfois on éclate de rire, tant certaines situations et certains dialogues sont drôles.



Les personnages sont bien campés : le père, prof un peu psychorigide ; la petite sœur retorse ; la mère à la fois irresponsable et aimante ; la poupée Barbie de service et le pois chiche qui lui tient lieu de cerveau ; le beau gosse un peu à côté de la plaque mais craquant. Se glisse aussi dans le roman une critique des Parisiens fils et filles de, blasés et méprisants (ça sent vraiment le vécu) ; également une critique sur la façon dont on traite les vieux dans nos sociétés. Ces critiques n'ont rien de lourd ni de moralisant, à l'inverse de ce qu'on voit trop souvent dans les romans ado où les auteurs ne se gênent pas en général pour forcer le trait (au cas où leurs lecteurs seraient un peu bêtes). Ici, ce sont des messages, qui sont passés très directement et surtout très naturellement au fil du récit.



Après moult quiproquos, surprises et mensonges qui auront tous pris une dimension extrême, tout est bien qui finit bien dans ce vaudeville moderne. Le thème des parents séparés, qui se détestent après s'être aimés, est certes présent, mais l'histoire est avant tout celle d'une adolescente qui veut s'émanciper, vivre sa vie, et qui y réussit. Bravo à l'auteure pour ce grand plaisir de lecture.

Nous suivons Capucine, une ado d’une quinzaine d’années qui part vivre chez sa mère en région parisienne, au gram dam de son père Thomas et sa sœur Zoé. Mais la mère de Capucine n’est pas n’importe qui, il s’agit de Claire Bé, une chanteuse de variété qui mène une vie un peu fantasque. A peine Capucine débarquée, Claire lui annonce qu’elle part pour six mois en Antarctique ! Le moins que l’on puisse dire, c’est que ça s’annonce rock’n’roll. Entre sa coloc peu portée sur le ménage, sa mère injoignable, son père et sa sœur à qui elle doit mentir, Capucine ne sait plus où donner de la tête !

J’ai passé un agréable moment de lecture. Les personnages sont sympas et attachants. L’autrice créée un bon équilibre entre moments drôles, romance et sujets plus profonds. Ca se lit évidemment très vite et j’avais vraiment envie de savoir comment Capucine allait se tirer de ce (ces) mauvais pas ! On sent tout de même que c’est un roman jeunesse et il m’a manqué peut être un peu de « crédibilité » dans certains passages, mais je pense qu’il y a dix ans, j’aurais pu avoir un coup de coeur pour ce livre ! Mention spéciale pour la couverture que je trouve très sympa, colorée et en même temps pas trop chargée.

Vivre à Paris, c’est le paradis ! Enfin, c’est ce que croit Capucine qui va s’installer chez sa mère, comédienne un brin bohème, laissant son père, très cartésien, et sa séjour cadette, dans leur village de province. Mais sa mère a d’autres plans que de s’occuper de son ado : elle part en tournage au Groenland, laissant sa progéniture avec une vague cousine d’une vingtaine d’années comme colocataire ! Si Capucine en informe son père, elle rentrera immédiatement dans sa campagne, alors elle décide de faire comme si sa mère était là et que tout allait bien. Autant dire qu’elle va apprendre en accéléré les joies de la vie d’adulte et d’une colocation !



C’est drôle, léger et on rit des histoires loufoques dans lesquelles la jeune héroïne se retrouve !
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J’ai eu la chance de pouvoir découvrir ce roman lors d’une masse critique Babelio !

C’est une petite histoire jeunesse où l’on va suivre Capucine à travers ses petites mésaventures ! Découverte de Paris, colocations, responsabilité d’adultes, premier amour, tant d’émotions à vivre dans ce roman !

Drôle et écrit dans une plume agréable et légère, lisez ce roman qui vous procurera un réel moment de détente !



(A partir de 15 ans je dirai)
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Le résumé de ce roman m’attirait énormément tout comme son titre. La couverture un peu moins même si, finalement elle annonce assez bien la couleur du roman. Résultat, je ressors légèrement mitigée de ma lecture.



Capucine, 16 ans, pense qu’elle va enfin vivre une vie de rêve à Paris avec sa mère qui est une célèbre chanteuse. Mais rien ne va se passer comme elle l’avait imaginé. Sa mère va l’abandonner avec sa cousine qui est loin d’être facile à vivre.



Beaucoup de thèmes vont être abordés au fil de cette histoire comme le mensonge ou encore la difficulté de vivre en colocation. L’autrice emploie un ton humoristique et assez léger et ça marche assez bien mais par moments, j’ai trouvé les personnages un peu trop cliché surtout la cousine en question. Qu’est-ce qu’elle a pu m’agacer par moments ! Je suis généralement assez bon public pour ce genre de roman mais là, ça l’a fait moyen avec moi.



Par contre, le personnage que j’ai préféré, c’est l’auto-stoppeur et tout le mystère qui tourne autour de ce jeune garçon, il m’a conquise.



La voisine est elle aussi très touchante et j’ai adoré son amour pour les animaux même si j’avoue que je n’aimerais pas en posséder autant chez moi, car c’est une vraie ménagerie qu’on a là.



La fin tombe un peu trop vite et j’ai trouvé ça dommage, mais peut-être que je n’étais pas dans le bon mood et qu’un public plus jeune saura l’apprécier.
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