Haruno Haru

On reprend dans ce quatrième tome l'action que le tome 3 avait laissé en suspend. Comme les trois premiers tomes, la mangaka arrive le subtil équilibre entre parler de sujets presque tabous et rarement représentés dans des mangas et les thèmes assez classique que l'on retrouve dans les shojo habituellement. C'est franchement magistrale. Ce n'est pourtant pas la série que j'aurais pensé suivre. Trop réaliste, un sujet qui me laissait assez froide. J'avais franchement peur de me retrouver face à une série de clichés pour donner des excuses aux infidèles. Mais que nenni et ce tome 4, malgré les éléments qu'il relate, reste toujours dans la justesse et loin, très loin, des sentiers battues. Et au vue de la fin du tome j'attends la suite avec impatience !

Le chapitre bonus à la fin du tome a été une bonne surprise car il permet de comprendre un peu mieux un personnage que je trouvais assez insipide jusque là. Même si je suis toujours en désaccord avec sa vision du monde, je comprend mieux ce qui le fait avancer.

Corps Solitaires est vraiment une série qui se bonifie avec le temps. Elle est une de mes bonnes découvertes de cette année et je remercie encore ma libraire de m'avoir convaincu de lui laisser sa chance.

Après un premier tome qui avait réussi à joliment me séduire par son personnage principal et son thème, j’ai continué avec plaisir ma lecture par cette suite qui se centre cette fois un peu plus sur le personnage de Makoto, qui lui aussi souffre de la distance que sa femme a pris avec lui.

Avec cette entrée dans ce couple, on rencontre là encore un modèle que l’on peut croiser au quotidien, même s’il est plus rare. Kaede a privilégié sa vie professionnelle et, même sans s’en rendre compte, elle l’a fait au dépend de Makoto qui a peur de finir par ressembler à sa mère.

Là, je n’ai pas vraiment été d’accord avec lui. Sa mère a vécu dans la solitude, n’étant là que pour garder le foyer familial sans réaliser aucun désir personnel. Lui, il a un travail et il peut avoir des collègues pour discuter et s’aérer un petit peu. Il n’empêche, il souffre de la situation et il se retrouve donc un peu dans Michi.



Michi, elle, continue à s’accrocher à son couple, parce qu’en parler avec Makoto lui a fait du bien. C’est assez regrettable parce que celui-ci lui cache un brin la vérité pour lui laisser de l’espoir et, à côté de ça, je commence à ne plus supporter du tout son mari.

Ce n’était déjà pas un personnage très agréable, mais là c’est encore pire et ça me désole parce que je ne le comprends plus du tout. Il avait certaines réflexions largement hors de ma zone de confort dans le premier tome, mais là ce sont ses actes qui dépassent ma compréhension et ça me pousse à vouloir que Michi et Makoto fassent des choses qu’ils pourraient regretter par la suite alors que jusque là ils n’ont absolument rien à se reprocher.



Au niveau graphique, on reste dans la lignée du premier tome, il n’y a rien de particulier à noter mais l’ensemble est très doux et expressif, ce qui correspond très bien au ton du récit.



Reste qu’il est bien compliqué de voir ce qui pourrait arriver par la suite tant la situation des deux couples semble dans une impasse. Si personne ne se décide à bouger, et si chacun continue à garder ses sentiments pour lui, rien ne pourra vraiment évoluer. Et ça rajoute encore de la pression à Michi qui est la seule à avoir vraiment exprimer ses besoins au sein de son couple.
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Dramatique et intense, Corps Solitaires n'en reste pas moins malin dans son approche, malgré un déroulement scénaristique désormais prévisible. Mais ce n'est pas là que se joue la prouesse du titre, mais bien dans ses questionnements et dans sa manière d'amorcer un cercle infernal qui pourrait difficilement se finir sur une note entièrement positive. Des nuances à chaque instant, donc, ce qui contribue à maintenir notre curiosité à l'égard du titre.
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Nouveau tome de cette saga de la collection Life, et je l’attendais avec grande impatience, parce que ce titre me touche énormément, et je me sens impliquée dans cette lecture. Sans forcément me reconnaître dans ces situations, mais nos deux protagonistes me touchent vraiment. On sent que ce sont vraiment des personnes qui sont en manque de relations charnelles, mais aussi en manque d’amour….



Dans ce troisième tome, on retrouve Michi qui avait enfin réussi après des mois d’abstinence, a avoir une relation intime avec son mari. Mais nous lecteur, on sait pourquoi son mari s’est décidé à partager cette intimité, et je ne pense pas que cela permette vraiment de se faire pardonner ou de se sentir en paix avec soi quand on commet l’infidélité….

Quant à Makoto, il est lui aussi en manque de relation sexuelle avec sa femme, cette dernière étant très prise par son travail, et n’accordant plus de temps à son mari. Cette charge de travail détériore leurs rapports, et leur soirée d’anniversaire de mariage a été un fiasco…



Nos deux protagonistes se sont mis à échanger leurs peines, leurs souffrances, je dirai même leurs désirs vis-à-vis de leur partenaire. Entre eux, naît une complicité intéressante, mais cette dernière va les mener plus loin que prévu, en effet, ils vont ressentir l’un pour l’autre du désir. Ils se sentent attirer, ils s’envient l’un, l’autre. Événement prévisible, deux personnes adultes, consentantes, se partageant leur peine, en manque d’amour, de relation, d’attention, ils ont eu envie de ressentir de nouvelles émotions, de retrouver cette sensation.

C’est quelque chose que je comprends, mais que je ne cautionne pas, pour moi l’infidélité est terrible. J’en ai voulu au mari de Michi de lui faire ça, mais pour Michi et Makoto, même si l’acte me dérange, je ne peux penser que ce soit mal. Je comprends totalement leur détresse, leur peine, leur souffrance, leur envie, et c’est ici que la mangaka est très douée ! Elle arrive presque à me faire cautionner cet acte tant ils sont attachants, tant ils souffrent, et tant ils en ont besoin.

C’est terrible à dire, mais j’ai beaucoup aimé les voir évoluer, les voir avancer de cette manière. Mais j’espère sincèrement qu’ils vont prendre une autre décision, s’ils décident de continuer.

On les retrouve aussi durant un voyage organisé par leur entreprise, qui va leur permettre de partager de nouveaux moments tous les deux. D’un autre point de vu, je trouve intéressant de mettre en avant les sociétés japonaises, qui semblent aussi organiser des sorties comme quand ils sont au lycée. Ou encore, Michi qui se cache de son mari parce qu’elle n’est pas maquillée, c’est vraiment la mentalité des femmes japonaises. Le maquillage c’est presque vital pour elles, elles ne s’imaginent pas se présenter et sortir sans maquillage. C’est une réalité dans la société japonaise et c’est encore une fois mis en avant dans ce titre. D’ailleurs Louis-San en parle dans une de ses vidéos Youtube. C’était une parenthèse et des réflexions que je m’étais faites.



Mais dans ce tome, la mangaka ne s’est pas contentée de mettre en avant ses deux protagonistes. On a droit aussi à avoir un peu plus le point de vu du mari de Michi, mais aussi le point de vu de la femme de Makoto. Et encore une fois, c’est très intéressant, de connaître un peu plus les pensées de ces deux personnages, et cela vient complexifier le récit. Les sentiments, les remords, les incompréhensions, les questionnements, tout est présent ce qui fait que ce titre est vraiment mature, complexe, difficile, mais terriblement prenant. La mangaka en rajoute avec des personnages très peu présents, qui viennent un peu appuyer sur les points qui font mal et qui viennent remettre en question beaucoup de choses dans notre société, comme le plaisir des hommes avant celui des femmes, le partage des tâches dans le foyer, mais heureusement que les mentalités changent !

Ces deux personnages viennent chacun de leur côté apporter leur pierre à l’édifice, ils se questionnent, ils veulent faire des efforts, mais Michi et Makoto, sans vraiment le vouloir, sans vraiment faire attention, rejettent leur partenaires alors qu’ils essaient de changer, de se faire pardonner…



Ce titre est pour moi une vraie pépite de réflexion, d’humanité, et j’attends chaque tome avec grande impatience parce que je sais que cette lecture ne me laissera pas indifférente. Et comme vous vous en doutez, j’attends le prochain avec grande impatience !
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Je suis extrêmement embêtée par la lecture de ce premier tome, tout simplement parce qu’il m’a pas mal perturbée. Il parle pourtant d’un sujet relativement banal dans la vie courante, le fait que certains couples installés depuis quelques temps ensemble ne font plus l’amour. Par manque de temps, d’envie, de libido, ou pour toutes autres raisons, il s’agit d’un phénomène qui est sans doute bien plus fréquent que ce que les gens osent dire.

Et j’ai justement aimé que ce manga en parle. Michi est une jeune femme plutôt épanouie, mais son mari ne veut plus coucher avec elle, sans qu’il ait réellement une raison à fournir. Il n’y a rien à reprocher à Michi, elle n’est pas insistante, elle ne pousse jamais son mari à coucher, elle aimerait simplement comprendre ce qu’il se passe et si elle a fait quelque chose de mal pour qu’il n’ait plus envie d’elle. Et ça la rend malheureuse.



Pour autant, je ne vois pas trop comment sortir de cette situation, parce que son époux ne sait manifestement pas non plus pourquoi il n’a plus envie de coucher avec sa femme. Le problème c’est que Yô se complait dans cette situation et qu’il tente de rejeter la faute sur Michi et ça c’est extrêmement moche puisqu’il commence par l’accuser de ne plus être attirante, de ne plus faire d’effort, puis d’avoir trop de libido et j’ai trouvé ça odieux.

C’est en plus un personnage que je n’ai pas trouvé sympathique et qui n’en fiche pas une à la maison, laissant Michi gérer les repas pendant qu’il est affalé sur la canapé, ce qui m’a sans doute plus choquée que le fait qu’il n’ait plus envie de coucher avec elle en fait.

Il est en plus mis en opposition avec sa femme, qui est la personne qu’on suit majoritairement, ce qui fait qu’on se place forcément inconsciemment de son côté, et les quelques passages où l’on peut suivre ses pensées à lui montrent une personne qui ne comprend pas ce qui cloche et qui voudrait juste retrouver sa routine, celle où sa femme serait sa colocataire/cuisinière/femme de ménage/mère.



Le sujet n’est pas forcément très gai, pour autant on se trouve dans une espèce de petite bulle tranche de vie très agréable à suivre, Michi est lumineuse, sa collègue de travail qui virevolte dans ses relations est mignonette, et l’espèce de lien qu’elle tisse avec Niina, son collègue de travail qui se trouve dans la même situation qu’elle est intriguant.



J’espère juste qu’on ne tombera pas dans un bête triangle amoureux et je trouve assez surprenant que la notion d’asexualité ne soit jamais un seul instant évoquée. Pour autant, ce manga qui dénote vraiment de par son thème est vraiment à découvrir !
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Je remercie les Éditions Kana pour l’envoi des tomes 2 et 3. Alerte coup de cœur ! Ce titre m’a complètement bouleversé. Jusqu’à maintenant, je suis complètement fan des titres de la collection Life. Cigarette and Cherry était mon top 1, mais il vient d’être détrôné par corps solitaires.



On suit l’histoire de Michi, qui est âgé de 32 ans. Elle a une bonne relation avec son mari, mais il y a un problème : ils n’ont pas fait l’amour depuis plus de deux ans. D’ailleurs, elle est en manque tout simplement de bisou, de câlin, de petites attentions.



Un jour, lors d’une soirée entre collègues, elle ne sait pourquoi, elle va parler de sa souffrance à Makoto. Elle se dit que de toute façon, personne au monde ne ressens la même peine qu’elle. Bien au contraire, elle apprend que Makoto a le même problème avec sa femme. Leurs discussions lui donnent de l’espoir, alors, elle est prête à tout pour reconquérir son mari.



L’histoire est d’une beauté sans nom. L’émotion est retranscrite avec une grande précision et délicatesse. Au bout de seulement quelques pages, j’avais déjà les larmes au bord des yeux et le cœur remplies de sentiment tous plus fort les uns des autres.



Ce que j’adore, c’est qu’ici, nous abordons un sujet dont on parle rarement. Les gens qui souffrent d’une absence de rapport sexuelle dans leur relation ont souvent honte ou même peur d’en parler. Ils ne veulent pas être perçus comme obsédés, comme des personnes qui mettent la pression, même si dans leur cœur ils souffrent énormément.



Ce qui est appréciable, c’est qu’à partir du deuxième volume, nous découvrons également des passages, où nous pouvons voir le point de vue du mari de Michi. De même dans le troisième tome, avec le point de vue de la femme de Makoto. Ce qui nous permet de comprendre les raisons de chacun des personnages présents dans cette histoire.



En bref, l’histoire est sublime. Comme d’habitude, Kana nous offre des titres qui nous touchent avec sa collection Life. Il s’agit de l’un des plus beaux titres de la collection à l’heure actuelle. Le récit m’a énormément touché et je suis déjà impatiente de pouvoir lire les prochains tomes !
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Premier manga que je lis dans la collection LIFE de chez Kana, et vraiment aucune déception !  Ce qui me donne envie de lire leurs autres titres.

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Une belle lecture riche en émotions. Un thème que je trouve important d'aborder car pas si rare que ça.

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On s'attache très facilement aux personnages, surtout à Michi pour ma part ou j'ai pu me retrouver. Une trentenaire avec un corps de trentenaire... qui essai de raviver la flamme auprès de son mari qui ne la désire plus. On voit une grande souffrance que ce soit du côté de Michi ou de son mari.

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Un sujet vraiment mâture, je ne regrette pas un seul instant ma lecture ! Le trait est fin, le charadesign est beau. Un titre que je recommande fortement!

Dès le premier tome, j’ai beaucoup aimé Corps solitaires. Le thème du désir dans le couple est très intéressant et j’ai apprécié la manière dont Haruno Haru le traitre: à travers un jeux de non-dits, de frustrations physiques et psychologiques, le désir et l’amour, s’entremêlent, ils y sont interrogés. Le sentiment amoureux peut-il résister à l’absence de désir? Bon nombre d’interrogations sont mises en avant et selon les choix de la mangaka, la lecture de ces deux tomes a titillé ma curiosité et j’ai hâte de voir comment elle va faire évoluer son histoire.



Les dessins et les traits des personnages sont doux et concordent parfaitement avec le ton intimiste de la série. J’ai adoré le coup de crayon de Haruno Haru qui met l’accent sur les émotions et donc l’expressivité des visages de ses personnages. Les deux héros sont d’ailleurs très attachants: Michi, fait taire son désir pour ne pas froisser son compagnon et ce n’est qu’en discutant avec Mokoto, qu’elle ose enfin remettre en question son couple. Mokoto est encore plus gentil qu’elle, il n’ose même pas parler de son désir à sa femme qui se plaint d’avoir un travail très fatiguant. Que ces deux-là évoluent en couple ou ensemble, j’ai trouvé que leur amitié naissante apportait un plus au récit. Je suis curieuse de voir si l’un comme l’autre choisiront leurs compagnons ou un nouveau départ ailleurs.



Les deux premiers tomes de Corps solitaires ont été pour moi une excellente découverte. Une série mature qui décortique le désir dans le couple, son absence et ses rapports avec l’amour. Un joli coup de crayon, une histoire touchante et des personnages attachants. J’ai beaucoup aimé ce manga.
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Dès le premier tome, j’ai beaucoup aimé Corps solitaires. Le thème du désir dans le couple est très intéressant et j’ai apprécié la manière dont Haruno Haru le traitre: à travers un jeux de non-dits, de frustrations physiques et psychologiques, le désir et l’amour, s’entremêlent, ils y sont interrogés. Le sentiment amoureux peut-il résister à l’absence de désir? Bon nombre d’interrogations sont mises en avant et selon les choix de la mangaka, la lecture de ces deux tomes a titillé ma curiosité et j’ai hâte de voir comment elle va faire évoluer son histoire.



Les dessins et les traits des personnages sont doux et concordent parfaitement avec le ton intimiste de la série. J’ai adoré le coup de crayon de Haruno Haru qui met l’accent sur les émotions et donc l’expressivité des visages de ses personnages. Les deux héros sont d’ailleurs très attachants: Michi, fait taire son désir pour ne pas froisser son compagnon et ce n’est qu’en discutant avec Mokoto, qu’elle ose enfin remettre en question son couple. Mokoto est encore plus gentil qu’elle, il n’ose même pas parler de son désir à sa femme qui se plaint d’avoir un travail très fatiguant. Que ces deux-là évoluent en couple ou ensemble, j’ai trouvé que leur amitié naissante apportait un plus au récit. Je suis curieuse de voir si l’un comme l’autre choisiront leurs compagnons ou un nouveau départ ailleurs.



Les deux premiers tomes de Corps solitaires ont été pour moi une excellente découverte. Une série mature qui décortique le désir dans le couple, son absence et ses rapports avec l’amour. Un joli coup de crayon, une histoire touchante et des personnages attachants. J’ai beaucoup aimé ce manga.
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"Corps solitaires" décrit l'absence de désirs charnels, voire de discussion et de compréhension, au sein d'un couple, et c'est une situation que je n'ai jamais connue. J'ai lue dans plusieurs chronique que c'est un manga réaliste. J'avoue qu'en lisant le dernier volume de "Blue Flag" hier, j'ai repensé à ma propre adolescence, mais quand je lis "Corps solitaires", je me demande s'il y a vraiment des gens qui parviennent à vivre ensemble au quotidien en s'ignorant autant ? C'est triste. Que ce soit l'épouse qui dort dans le canapé chaque soir (!) ou celle qui sacrifie tout à sa carrière, "noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir", mais je n'arrive pas vraiment à me projeter dans cette série. J'ai l'impression de regarder des poissons dans un aquarium en comprenant qu'a priori il s'agisse d'une représentation fidèle de ce que peuvent vivre des couples au quotidien, mais je n'arrive même pas à comprendre ce qui les unit. Je ne sens pas la moindre passion, le moindre élan : rien. J'ai de la peine pour eux.
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Ce tome est tout aussi touchant que le premier. Mais il m’a aussi fortement énervé pour une raison. Ceux qui l’ont lus je pense que vous savez de quoi je parle.. Je sens que ce manga va fortement jouer avec mes émotions!



Dans ce tome-, on va explorer plus en profondeur la vie de Makoto. On voit sa femme, on découvre son quotidien. Même si on savait plus ou moins comment ça se passait, on ne le voyait pas clairement, c’était toujours les paroles de Makoto. Alors que là on rentre dans son quotidien et on voit du coup comment est sa relation avec sa femme. On voit également le quotidien de YoChan le mari de Michi. On voit ce qu’il ressent, son travail etc. Et je dois avouer que ce personnage m’a grandement énervée. J’aurais pu lui mettre une claque je l’aurais fait. Je ne vais pas m’étaler là dessus parce qu’au final ça serait du spoil mais vraiment j’ai été énervé mais également hyper triste. Mais je vous laisse découvrir pourquoi..



C’est dur de ne pas en parler parce que j’ai tant de choses à dire dessus mais le problème c’est que si j’en dis trop je vais raconter THE événement de ce second opus et il ne faut pas ce n’est pas bien! Mais bref, sachez que ça m’a passablement énervée et surtout fait de la peine parce qu’à cause de cette chose tout change mais nous lecteurs savons que ce n’est pas forcément pour une bonne raison. Enfin je ne sais pas si c’est clair ce que je dis mais bon.



Le personnage de Makoto m’a beaucoup touchée surtout à la fin. J’ai vraiment de la peine pour lui ainsi que Michi. Je vous jure ce manga joue clairement avec mes émotions c’est terrible. J’ai vraiment vraiment hâte de lire le troisième tome, il n’y a plus qu’a attendre la sortie maintenant. De plus au vue de la fin de ce deuxième opus, j’ai vraiment hâte de savoir ce qu’il va se passer maintenant!
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Alors wow, quel coup de coeur pour ce premier tome. Ce manga est clairement une merveilleuse petite pépite. C’est hyper touchant mais en même temps hyper mignon. Vraiment, je crois que c’est mon plus gros coup de coeur de l’année pour le moment. D’ailleurs j’écris vite la chronique pour pouvoir me jeter sur le second tome directement. Je veux trop savoir la suite. Par contre attendre la sortie du troisième va être affreusement cruel!



Dans ce manga, on va suivre le personnage de Michi, une jeune femme de 32 ans. Elle a un travail, une situation et elle est marié. Son mariage n’est pas mauvais mais le problème c’est que ça fait deux ans qu’elle n’a pas eu de relations sexuelles avec son mari.. Makoto, un de ces collègues l’invite à boire un verre un soir et sous l’emprise de l’alcool, Michi lui confie que le sexe ne fait plus partie de son mariage.. Et pour sa plus grande surprise, Makoto lui annonce que lui aussi est dans le même cas qu’elle.



L’histoire est vraiment hyper touchante, Michi m’a vraiment fait énormément de peine. Sa situation est tout de même hyper triste, surtout qu’elle ne sait pas pourquoi son mari réagit comme il le fait. Elle aimerait des explications mais son mari n’est pas enclin à les partager.. Elle m’a vraiment énormément touché durant ma lecture. J’ai adoré le personnage de Makoto. Il est dans la même situation que Michi et « grâce » à ça ils vont très vite noué une belle amitié. Michi a rencontrer quelqu’un qui l’a comprend puisqu’il vit la même chose qu’elle. L’amitié qu’ils commencent à créer est hyper bienveillante et hyper touchante. J’ai vraiment hâte d’en voir un peu plus, que ce soit sur leur amitié ou sur le personnage de Makoto.



Ce premier tome donne vraiment envie d’avoir la série entière sous la main et s’enfermer dans une bulle pour la dévorer entière. C’est touchant, émouvant, parfois drôle, juste ce qu’il faut. Une pure merveille et une incroyable découverte pour ma part! D’ailleurs ce thème touche plus de personne que l’on pense mais avant tout il faut communiquer. C’est vraiment important la communication dans un couple, sans ça on n’avance pas. Et dans cette histoire on s’en rend compte. Il y a des non dits, des pensées que l’on garde et le problème ne fait que s’empire malheureusement..
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C’est un manga qui m’a tenté par son sujet. Un couple marié qui ne connaît plus l’amour charnel depuis des années. C’est quelque chose qui m’intrigue pas mal en temps normal, pour diverses raisons que je ne citerais pas. Et je l’ai beaucoup aimé bien qu’il manquait un peu d’actions et de tensions aussi. J’attendais qu’il se passe certaines choses qui ne sont pas arrivées dans les deux tomes. Peut-être dans la suite qui sort bientôt ! J’ai bien aimé les graphismes même s’ils ne ressemblent pas ou ne sont pas comme ceux que j’adore habituellement. J’ai trouvé qu’ils correspondaient parfaitement bien au sujet. Cela faisait très adulte. J’ai trouvé les planches, les bulles de dialogue assez touchantes, très puissantes par moment parce que j’ai parfaitement bien senti toutes les émotions qui s’en dégageaient.



Quant aux personnages, ils étaient profonds…Touchants, et terriblement réalistes. Ce qui leur arrivait…Peut toucher n’importe quel couple. Ce qui était beau, c’est que chaque personne de ce couple ne savait pas quoi faire, ne voulait pas blesser l’autre et en même temps ils se faisaient beaucoup de mal. Michi ne se laisse pas tenter par une autre personne, elle reste sage tandis que son mari fonce plus ou moins dans le tas. Elle m’a fait énormément de peine tout comme son collègue de travail. Toujours là pour leurs partenaires mais ces derniers étaient particulièrement froids avec eux.



J’aurais aimé que tous se lâchent…Surtout lorsque qu’on sent l’alchimie entre les deux personnages principaux. L’envie qu’ils ont de se fourrer dans les bras de l’autre mais qu’ils ne le font pas par retenue, par loyauté envers leur mari-femme.



En réalité, ce manga est vraiment top, il est très bien construit, bien rythmé même s’il a manqué d’un peu de tensions, un peu plus d’enjeux. C’était…Trop calme mais je ne doute pas que ça bouge par la suite !
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C’est un manga qui m’a tenté par son sujet. Un couple marié qui ne connaît plus l’amour charnel depuis des années. C’est quelque chose qui m’intrigue pas mal en temps normal, pour diverses raisons que je ne citerais pas. Et je l’ai beaucoup aimé bien qu’il manquait un peu d’actions et de tensions aussi. J’attendais qu’il se passe certaines choses qui ne sont pas arrivées dans les deux tomes. Peut-être dans la suite qui sort bientôt ! J’ai bien aimé les graphismes même s’ils ne ressemblent pas ou ne sont pas comme ceux que j’adore habituellement. J’ai trouvé qu’ils correspondaient parfaitement bien au sujet. Cela faisait très adulte. J’ai trouvé les planches, les bulles de dialogue assez touchantes, très puissantes par moment parce que j’ai parfaitement bien senti toutes les émotions qui s’en dégageaient.
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Corps solitaires met le doigt dans une faille de la société japonaise, mais aussi dans celle des couples qui ne se comprennent plus. Une plongée dans des sentiments dont on a du mal à parler.
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J'ai finalement lu le premier tome de "Corps solitaires" après avoir vu passer beaucoup d'avis positifs sur le deuxième tome. Les personnages sont très bien dessinés, mais j'ai eu beaucoup de mal à comprendre pourquoi l'héroïne ne divorce pas : elle est mariée à un mufle qui ne l'a pas touchée depuis deux ans alors qu'ils sont ensemble depuis seulement cinq ans, qui lui reproche de ne pas être sexy (elle va alors faire des efforts au lieu de prendre la poudre d'escampette...), qui n'est pas content parce qu'elle lui cuisine trop souvent de la fondue de légumes... non, vraiment, je ne comprends pas. 🤔 Le type est un boulet, donc la femme se soumet à ce boulet au lieu de lui dire qu'il est rasoir et mal rasé. Elle envisage même de se lier à lui définitivement en ayant un enfant 😢 au lieu de se sauver tant qu'il en est encore temps. J'ai du mal à comprendre ce qu'il lui apporte au juste. Je pense que ce manga peut plaire car la tristesse qui émane de Michi et de son collègue masculin qui souffre du même problème qu'elle est palpable. En outre, l'intrigue rappellera peut-être à certains lecteurs des situations vécues (?), mais tout de même... se soumettre ainsi au lieu de se révolter et éplucher les légumes en pleurant parce que l'amour s'en est allé mais que le boulet s'est installé, j'espère que ce n'est pas si courant. 🤔
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Un «coup de cœur» qui se confirme !



Même si j'ai trouvé un peu plus de longueurs dans ce tome que le premier, l'histoire bien que terriblement «normale» continue de m'emporter et j'ai vraiment hâte de pouvoir lire la suite.

J'étais impatiente d'en savoir un peu plus sur le mari de Michi, il va encore falloir que je fasse preuve de patience. Point fort de ce tome, on rencontre la femme de Niina et on apprend un peu mieux à comprendre de ce fait Niina et ce qu'il traverse.



Vite, le prochain tome !

Oui, Corps Solitaires honore le label Life des éditions Kana, la présente tranche-de-vie nourrissant sans cesse des réflexions pertinentes sur ce qu'est le couple, l'importance des rapports sexuels, et tout simplement l'attachement. Un titre véritablement prometteur donc, à condition qu'il ne finisse pas par tourner en rond.
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Un manga qui nous parle des relations de couples, et ça fait du bien de lire de temps en temps ce genre de mangas que je qualifierai de plus adultes. Il est question ici d'amour, de respect l'un envers l'autre, d'attention, de sexe (ou plutôt d'absence)... On ne peut qu'être du côté de notre héroïne, elle m'a fait de la peine même parfois, la voyant faire plein d'effort pour essayer de plaire à son homme, essayant de lui redonner un peu de désir pour elle, mais sans succès... D'ailleurs on ne sait pas trop quel est son problème, il ne doit visiblement plus être amoureux et se contente d'une relation amicale et bien pratique, puisque madame fait tout à la maison ! Qu'est ce que ça m'agace, cette image de la femme japonaise ! J'espère qu'elle va réussir à trouver quelqu'un qui la respectera ^^

C'est le deuxième titre que je lis de la collection "Life" de Kana et je dois dire que j'apprécie bien cette collection.

On est dans du manga plus adulte, du josei, et ici on explore plus en détail la vie d'un couple qui n'a plus beaucoup d'interactions (surtout au niveau sexuel, mais parfois c'est pas top non plus niveau relationnel...). Michi, notre héroïne, fait de son mieux pour gérer sa vie professionnelle et sa vie de couple, mais pour ce dernier point ça n'est pas évident. Son mari n'a plus aucune relation sexuelle avec elle depuis 2 ans, et elle fait tout ce qu'elle peut pour que ça change, mais rien n'y fait, "Yô-chan" préfère rester dans sa bulle... Il a même des remarques blessantes envers elle, la trouvant trop insistante ; alors qu'en réalité elle veut simplement se rassurer sur l'amour qu'il y a entre eux. Elle va s'épancher sur ses problèmes auprès d'un collègue après avoir bu quelques verres et va découvrir qu'elle n'est pas la seule pour qui la vie de couple est compliquée... Son collègue Niina est dans le même bateau.

J'ai trouvé l'héroïne Michi assez touchante, j'ai eu souvent de la peine pour elle et j'espère qu'elle trouvera le bonheur qu'elle mérite, avec quelqu'un qui la mérite surtout... Je ne sais pas vraiment où la mangaka va nous amener, ce qu'il va advenir des personnages (je suis pour le couple Michi x Niina) mais j'espère juste que ce satané "Yô-chan" va être remis à sa place, je l'ai trouvé insupportable (et j'imagine que c'était le but de la mangaka).

Les dessins sont agréables, et le manga se lit très bien. On aborde des thèmes délicats qu'on aborde peu dans les mangas, le manque de désir dans un couple, les doutes ressenties par les personnes dans cette situation... le sujet est bien traité, tout en douceur et avec justesse, on s'attache bien aux personnages.

Une belle découverte, merci aux éditions Kana et à Babelio.