Heather Morris

Passer d'Auschwitz-Birkenhau au goulag soviétique parce que les libérateurs sont Russes, parce qu'elle est issue d'un village de Pologne, et surtout parce que juive elle a survécu à l'insoutenable. Tel est le parcours de Cilka.

La vie en Sibérie entre les femmes et les hommes du camp est impitoyable, trouver une âme amie et sûre pour survivre et surtout pour conserver une ombre d'humanité, telle sont les préoccupations des prisonnieres. Le récit est ponctué par des retours à l'époque du camp d'extermination permettant ainsi de mettre en parallèle les horreurs que font vivre les dictatures occidentales du XXe siècle.

Le lecteur tremble au fil des pages, certes quelques bref moments de douceur, douloureuse cependant, rappelle les heures sombres le régime stalinien.

Le voyage de Cilka, que j'ai lu à la suite du Tatoueur d'Auschwitz, est un témoignage de la vie et de la survie de Cilka, prisonnière aussi à Auschwitz. Il est écrit, d'après le témoignage de Lalle (le tatoueur), par Heather Morris qui y ajoute d'autres témoignages de déportés.

Le roman passe rapidement sur sa vie dans le camp. Il commence en effet à la fin de sa captivité le 27 janvier 1945, jour de l'arrivée de l'armée Russe à Auschwitz. La liberté ? Mais elle est remarquée, comme étant la seule valide dans le camp. Les autres prisonniers ne sont que des squelettes ou des enfants. Interrogée par des agents du contre-espionnage. Il lui reproche d'être restée en vie en se prostituant, la rendant coupable d'avoir travaillé avec l'ennemi et espionne. Elle est condamnée à quinze ans de travaux forcés. Commence alors pour elle un nouveau voyage éprouvant vers le goulag de Vorkouta, situé en Sibérie où il règne un froid glacial et un nouveau baraquement l'attend. Encore des gens contre lesquels se battre pour obtenir le meilleur travail. Lors d'un passage à l'hôpital, grâce à sa connaissance des langues, elle obtient un poste à l'hôpital. Elle bénéficie alors d'une meilleure nourriture et de la chaleur des lieux. Avec la bonne volonté qui l'anime, elle gravit les échelons et parvient à être formée comme infirmière. Généreusement elle fait profiter son baraquement de la nourriture qu'elle récupère.

Elle rencontre aussi l'Amour d'Alexandr. Pourra-t-il survivre au camp et retrouver la liberté et vivre ensemble ?

Le récit de ce deuxième roman est moins réaliste que le tatoueur d'Auschwitz. Certains passages sont un peu excessifs, peine à être crédible. Mais le roman reste malgré tout agréable à lire.

Quelle déception. Olala mais quelle déception

Je suis dégoûtée de ne pas avoir accroché car l’histoire de cet homme est incroyable mais la façon dont l’autrice écrit est dénué d’émotions et de sentiments. Cet homme a vécu l’enfer et pourtant je n’ai rien ressenti pour lui ni pour sa relation amoureuse avec Gita.

Le sujet est tel, la période est telle, que j’avoue avoir eu un peu honte de ne rien ressentir pour eux..



Mais comment peut-on résumer la vie de cet homme en 300 pages ?

Ce livre aurait mérité TELLEMENT plus, et TELLEMENT mieux.



Lale sauve la vie d’un jeune homme, il arrive même à le faire évacuer du camp au nez et à la barde des nazis, et la scène est écrite en 5 lignes, et claquée entre le fromage et le dessert.. 😐

Il en va de même avec le passage ou il est arrêté et torturé, dans le roman il y’a 5 lignes, et en note l’autrice nous dit que ça a duré 1 mois..



Bref, mon but n’étant pas de spoiler le roman je vais m’arrêter là, mais vraiment, la vie de cet homme est tellement fascinante, pleine de chance dans son malheur, et captivante que j’aurais aimé un roman à la hauteur de sa vie, et pas 300 pages dénuées de sentiments 😞

Une histoire romancée d'un couple qui se découvre dans les horreurs des camps d'Auschwitz-Birkenau.

Trop romancée. Trop belle pour y croire dans cet enfer. Je n'ai pas trouvé dans ce roman l'intensité dramatique, la profondeur du désespoir chez Lale et Gita.

Le style n'y aide pas, je le trouve en effet neutre, distant.

En fait je m'attendais à être très ému, comme toujours par bien de ces récits, mais là cela ne fut pas le cas.

❤️ COUP DE CŒUR ! - pépite littéraire 🤍



🫧 un récit tellement poignant ++ ; Cilka m'a tellement touchée : une véritable héroine! elle m'a émue, brisée le cœur, m’a rendue admirative de son parcours, et de son folle envie de survivre, de vivre malgré les épreuves et les horreurs qui l’entourent.



💫 Cilka est une femme de caractère, courageuse. On ne sort pas indemne d’une telle histoire de vie.



🌈 l’autrice a su écrire et raconter le parcours de cette femme avec une justesse incroyable.



🌧️ Aucun mot, aucune chronique ne serait décrire la puissance de ce roman.. il rentre dans le palmarès de mes meilleures lectures de romans historiques; je ne peux que vous dire : lisez-le.
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⏳️ Le Voyage de Cilka ⌛️



Un livre poignant et bouleversant.



Le voyage de Cilka est tellement choquant, triste et surtout révoltant. Comment l'être humain peut-il être aussi inhumain ?



Cette histoire inspirée de faits réels m'a chamboulée, le destin exemplaire d'une femme qui, comme des milliers d'autres, a dû affronter le pire de l'humanité.



J'ai pu, grâce ce livre, en apprendre davantage sur les conditions d'Auschwits, mais surtout sur les goulags qui m'étaient un sujet presque inconnu.



Je remercie sincèrement l'auteur de nous avoir retranscrit ces événements passés et de nous permettre de ne pas les oublier, aussi sombre et cruel soient-ils.



Pour son importance culturelle et la portée de son histoire, ce livre mérite d'être lu et reconnu.

J'ai dévoré ce livre! Un récit plein d'intensité. Une jeune fille qui découvre les camps de concentration et déportée ensuite dans un goulag alors qu'elle croit être libérée m'a émue aux larmes. Vivant dans des conditions extrêmes, elle va tout faire pour survivre.

Un récit déchirant, bouleversant, dur , intense, fort, riche en émotions, je conseille a tous de lire ce livre.

Un livre que je n'oublierai pas de si tôt!

L’histoire est prenante, touchante et très dur à lire. Ce livre m’a fait verser beaucoup de larmes. Issu d’un témoignage, c’est une histoire vraie. Une magnifique histoire d’amour entre Lale et Gita.



Il fait parti d’une trilogie et j’ai vraiment aimé découvrir ces trois romans

Ce livre est bouleversant, je n’ai même pas de mots assez forts pour décrire l’angoisse et l’horreur constante dans ce livre…C’est une histoire vraie, l’histoire de Cécilia Klein. Heather Morris a recueilli toutes ces informations, ces témoignages à propos de son enfer sur terre en partie grâce à Lale, le tatoueur d’Auschwitz, qui n’a fait que son éloge, marquer son courage et sa force extraordinaire à avoir surmonté tout cela…

J’ai mis plus de temps que prévu pour le lire, ce livre m’a vraiment chamboulé, c’est clairement l’horreur après l’horreur et ça ne s’arrêtera pas là pour Cilka. Il fait partie d’une trilogie et se place en second mais je l’ai lu en dernier ce qui n’est pas plus mal car pour moi c’est vraiment le plus dur des trois…Malgré tout on voit que Cécilia s’est battue jusqu’au bout pour survivre, elle a fait preuve d’une grande générosité avec toutes ses amies quitte à se sacrifier 💔

Je vous conseille de le lire vous ne serez pas déçu(e)s. J’ai quand même aimé découvrir son histoire et il faut que son histoire soit reconnue…

Un nième roman sur les camps et leur horreur maintes fois décrite. Le réel intérêt de celui-ci est qu'il est tiré d'une histoire vraie, racontée par le protagoniste lui-même à l'auteure. Magnifique histoire, je me suis attachée davantage au fond qu'à la forme que j'ai personnellement trouvée un peu simpliste. Impression peut-être liée à l'usage du présent comme temps narratif. Belle gageure tout de même que d'avoir réussi à faire un roman qui se tient à partir de moments racontés plus de cinquante ans après et probablement dans un tout autre ordre.

Bouleversant !

300 pages de douleurs, de tortures, de déshumanisation mais aussi d’amour, de résilience et d’espoir… Je n’ai compris qu’aux dernières pages que ce livre n’étaient pas une « fiction » mais un témoignage, ce qui rend la lecture encore plus poignante !

Au vus du sujet il est compliqué de dire que j’ai « adoré » ce livre et pourtant je n’ai pas pus décrocher avant le dernier mot de la dernière page…

Le sujet est une leçon pour tous ceux qui abandonnent à la première embûche.

Gita et Lale sont plus qu’attachants, ce dont héros sans capes qui ont toujours gardé espoir, qui ont faim de vivre et surtout de liberté.

La plume est simple, elle vise le sujet de la déportation en son coeur sans fioritures superflus, ce qui rend la lecture complètement addictive !

Avant d’être une leçon de survie, ce livre est tout simplement une ode à la vie que chacun devrait lire pour ne jamais oublier..

Le tatoueur d'Auschwitz est présenté par l'éditeur comme l'histoire vraie de Lale Tätowierer à Auschwitz. Très rapidement dans le récit, je suis dubitative. Exemple ils sont simplement deux pour tatouer les nouveaux arrivés. Quand on sait que se sont des trains bondés de prisonniers qui arrivent chaque jour.

À mon avis, il s'agit d'une mise en forme des souvenirs de Lale Tätowierer et de sa vie dans le camp de concentration ainsi que celle de ses codétenus. Et surtout sa découverte de l'Amour. C'est le coup de foudre dès le premier regard. Gita l'amour de toute une vie. Pour survivre, il va trouver des stratagèmes lui permettant d'obtenir de la nourriture n'hésitant pas à se mettre en danger.

J'ai apprécié le récit de Heather Morris. L'ambiance du camp d'Auschwitz est bien décrite. Les sentiments de peurs, la lutte pour survivre à la faim et aux sévices est écrit avec des mots simples qui renforcent la réalité de l'inimaginable.

C'est un roman à lire pour ne pas oublier ; un passé, témoignage d'un endoctrinement conduisant au fanatisme et à la folie de l'Homme.

Coup de cœur ! J'ai dévoré ce roman. Ce roman est basé sur un témoignage. ll raconte l'histoire d'amour entre Lale et Gita, qui se sont rencontrés dans les camps. Au travers de ce livre nous suivons leur histoire d'amour, leurs amitiés, les atrocités qu'ils vivent dans le camps. Ce livre est d'une beauté saisissante, je ne sais même pas comment décrire toutes les émotions que j'ai ressenti en le lisant. Pour tous ceux qui aiment les livres sur la seconde guerre mondiale, je recommande beaucoup ce livre.

Assez surprenant, vous allez découvrir une belle histoire d’amour entre Lale et Gita dans le pire contexte qu’on puisse imaginer, celui des camps de concentration et en particulier celui d’Auschwitz.



Le sujet est délicat, mais l’approche est vraiment intéressante, un très bel ouvrage qui s’appuie sur une histoire vraie, c’est émouvant, prenant, si vous ne l’avez pas déjà lu, foncez l’acheter. A mon sens, indispensable de l’avoir lu. A titre personnel, dévoré en une nuit.

En résumé : Contemporain. Une histoire d’amour qui fleurit en plein camp de concentration.



En détail :



Dans ce récit recueilli par l’autrice auprès de Ludwig Eisenberg, nous intégrons le camp de concentration et d’extermination d’Auscwhitz-Birkenau en avril 1942. Lale est juif et originaire de Slovaquie. Mais il est surtout un jeune homme charismatique, doux, intelligent et d’un romantisme profondément ancré dans son caractère. Il va rapidement devenir le Tätowierer (tatoueur), fonction au sein du camp qui consiste à tatouer les numéros de matricule sur les avant-bras des nouveaux détenus.



Si l’horreur est présente tout le long du récit, la narration n’est pas axée sur la découverte détaillée du camp. Tous les mécanismes n’en sont pas décrits, les connaissances du lecteur viennent combler les non-dits. La cruauté et l'inhumanité font régulièrement surface (exécutions sommaires, pluie de cendre des crématoriums, malnutrition, torture…) mais Lale reste le personnage principal et son histoire est centrale.



Le récit est avant tout celui d’une rencontre entre Lale et Gita. Dans un contexte où les détenus luttent pour survivre et où l’espoir est un pass direct pour l’enfer, leur regard se croisent et leur âme se reconnaissent. Dans cet environnement plus qu’hostile ils vont tenter de se rapprocher et de cultiver cet amour qui va les maintenir. Les trois ans qu’ils vont passer dans le camp et les privilèges, tous relatifs, de Lale en tant que tatoueur, vont permettre le développement de leur relation en pointillés.



Le personnage de Lale reste lumineux. Caractérisé par un calme et une douceur en décalage avec le décor, il va exploiter le moindre avantage qui lui est accordé pour le redistribuer aux autres détenus. Réseau de rations supplémentaires, médicaments, transfert vers un autre site, conseils avisés et parfois simple réconfort dans cet univers incompréhensible.



La culpabilité du survivant et la frontière souvent trouble entre la nécessité et la collaboration sont des thèmes marquants.



De la même autrice : Le voyage de Cilka

Dans le même genre : La mort est mon métier, de Robert Merle

Ce roman historique est très bien documenté, d'ailleurs les annexes à la fin sont très intéressantes et très appréciées.



Ce récit est bouleversant, car basé sur des faits très réels.

Je n'ai pas encore vraiment lu sur les goulags russes, malgré beaucoup de lecture sur des faits historiques. Le récit est bien détaillé, j'ai ressentie le froid du goulag de Vorkouta !

On trouve beaucoup d'écrits sur les camps de concentrations, beaucoup moins sur les goulags russe. D'ailleurs, si vous avez des ouvrages à me recommander, je suis preneuse.



Il se dégage de cette héroïne, une force de résilience incroyable. Survivre était son objectif, mais à quel prix.

Je recommande cette lecture avec plaisir, l'histoire de Cilka Klein est vraiment extraordinaire, et mérite d'être connue.

Cibi, Magda et Livi grandissent en Slovaquie lorsque les déportations sévissent. Leur père, il y a des années de cela avant de mourir, leur a fait promettre que quoi qu'il arrive, rien ne devait les séparer. Alors lorsque Livi est convoquée par les nazis, Cibi décide de l'accompagner à Auschwitz. Et dans cette cruauté inhumaine, Magda les rejoindra bientôt.



J'ai lu Le tatoueur d'Auschwitz en avril et je l'ai dévoré en un rien de temps. Je l'avais trouvé très bien raconté et profond. Concernant Les sœurs d'Auschwitz j'ai été un peu déçue. Le livre se découpe en deux parties: leur histoire des camps et comment elles se sont reconstruites en partant en Israël.

J'ai adoré la première partie mais j'ai moins apprécié la deuxième. J'aurais imaginé qu'elle évoquerait les guerres mais ça a plutôt tourné en mariage pour tout le monde et petite maison en ville ou à la ferme pour toutes les sœurs.

En soi, je suis contente qu'elle ait mis en avant qu'on pouvait survivre à tout ça, en être marqué à vie et s'en remettre, continuer à avancer. Mais la moitié du livre c'était peut-être trop et un peu redondant.



Par contre, j'aime toujours autant la plume de l'autrice et sa manière de nous transmettre les émotions de ces personnes. Sa mission de rendre visible aux yeux de tous ce qui est arrivé dans les camps est remarquable et cela doit parfois être dur à porter.



Et puis ce qui n'est pas négligeable, mon cœur a continué de se briser un peu plus. Je m'énervais seule pour toute cette cruauté dont l'être humain a été capable. Ça donne vraiment la nausée...

1942, en Slovaquie. Chaque famille doit sacrifier un de ses membres pour que tous ne soient pas déportés. Lale, jeune homme juif, décide de se sacrifier. Il arrive à Auschwitz et se promet une chose : qu'il survivra.

Il devient le tatoueur du camp et croise le regard de Gita, dont il tombe immédiatement amoureux.



Wow, j'ai immédiatement été transporté par l'écriture d'Heather Morris. Dès les premières lignes j'ai senti l'angoisse du personnage monter, et chacune de ses émotions je les ai vécues avec lui.



Ce livre va me marquer pour longtemps, je crois. J'en suis ressortie bouleversée et tremblante, les larmes aux yeux. Je pense que jusqu'à maintenant je voyais ça de loin, je laissais tout ce qui c'était passé pendant la seconde guerre mondiale ne pas m'atteindre, comme si ça n'avait pas pu véritablement exister. Que des hommes ne pouvaient pas être si mauvais. J'ai vraiment été assaillie par ces horreurs, par ce sentiment d'injustice.



Mais j'ai aimé vivre tout ça à travers le positivisme de Lale, qui a vraiment existé. J'ai entendu parler de la polémique comme quoi tout n'était pas historiquement vrai dans ce livre mais Heather Morris n'a jamais voulu coller parfaitement à l'histoire alors ça ne m'a pas dérangé.



Je le recommande fortement!

Lecture fluide mais pour moi il y a trop de pathos.

J ai beaucoup aimé le premier ouvrage et beaucoup moins celui ci.

Je reconnais avoir lu peut-être trop de livre dur concernant Auschwitz et que la magie n à as opéré avec celui ci.

Je le conseille néanmoins car il s agit d une belle leçon d humilité, de courage et d espoir quelques soient les difficultés.

Bonne lecture

Un roman qui met en lumière une jeune femme pleine de ressource. A travers son destin on se questionne sur ce qu'on est prêt à faire pour survivre tout en gardant son humanité ou non.

Tous les personnages du roman sont intéressants car ils donnent des dimensions différentes à la condition d'être humain.

Je pense n'avoir jamais lu de roman traitant des goulags. Je ne comprends pas comment "les alliés" ont pu cautionner une telle chose.