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Critiques de Henri Roorda (16)
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Mon suicide

Ce n’est pas le genre de livre qu’il faut lire lorsque l’on est soi-même au fond du gouffre. Mais c’est le genre de livre qu’il faut lire et méditer. Probablement reprendre, de ci, de là. Profiter de cet humour essentiel dont fait preuve Henri Roorda. Prendre le temps de digérer ses formules ciselées, véritables fulgurances. Et, surtout, prendre le temps de peser les réflexions qu’il nous livre sur cette société qui nous semble parfois tellement pesante.



Il y a une grande actualité dans ce que partage Henri Roorda dans Mon suicide.



Ainsi, il dit qu’il a été élevé par des personnes qui l’ont fait grandir dans l’idée que la morale est tout, qu’il faut défendre les opprimés. Et il l’affirme : « … je voudrais une société où le travail corvée serait réduit au minimum et où l’on aurait, chaque jour, beaucoup d’heures pour aimer, pour jouir de son corps et pour jouer avec son intelligence ». Mais il enchaîne aussitôt : « Mon rêve est absurde. Qu’on le conçoive d’une façon ou d’une autre, le bonheur durable est impossible ». Sa conclusion tombe alors, inéluctable : « Mais, alors, faut-il souhaiter que la vie continue ? ».



Élevé par des parents eux-mêmes humanistes et proches des milieux révolutionnaires – son père, fonctionnaire néerlandais en poste en Indonésie, est révoqué pour ses positions anticolonialistes -, il fréquente très jeunes certains de ceux qui feront les beaux du mouvement libertaire : Élisée Reclus, Pierre Kropotkine, Ferdinand Nieuwenhuis. Ce qui ne le prédestine pas à autre chose qu’à adopter les mêmes idées. Dans le chapitre intitulé Argent, il brocarde sa propre vision des choses, tout en soulignant, en creux, l’absurdité de cette course à l’argent. « L’argent fait le bonheur. Pendant la grande guerre de 191, des hommes riches ont sacrifié généreusement leurs enfants sur l’autel de la Patrie. Mais, plus tard, quand la Patrie a eu besoin d’argent, ces hommes vertueux ont mis leur fortune en lieu sûr. Leur conscience ne leur a pas commandé d’aller jusqu’au sacrifice suprême ». Je vous laisse méditer cette saillie…



Il est également remarquablement grinçant lorsqu’il compare les riches et les pauvres. « Le riche peut renouveler sa vie », dit-il, alors que « le pauvre ne peut pas attendre. Si le métier qu’il exerce depuis quelques années lui inspire maintenant de la répulsion, il doit continuer quand même », parce qu’il faut de l’argent pour bifurquer ! Dans le même ordre d’idée, « Le pauvre et le riche peuvent commettre les mêmes erreurs ; mais, pour le riche, ces erreurs auront des conséquences moins graves ». Avoir le choix, pouvoir partir, pouvoir changer de décor, dit-il, ce sont des privilèges réservés aux riches !



Henri Roorda a enseigné les mathématiques. Mais il a toujours été attiré par les pédagogies libertaires, ce que l’on retrouve dans sa formule qui mérite, elle aussi, d’être méditée : « ma cordialité aurait certainement été efficace si, au lieu d’être le maître de mes élèves, j’avais pu être leur entraîneur ».



Libertaire, anarchiste, il regarde et analyse le fonctionnement, l’ordre social. Mais il ne peut pas, il ne sait pas, s’y plier. Il a besoin de vivre « avec ivresse », parce que la créativité est à ce prix : « il faut que, de temps en temps, un désordre se produise dans le monde pour que les choses nouvelles puissent naître ». Et il conclut l’un des derniers chapitres d’un définitif « Je n’étais pas fait pour vivre dans un monde où l’on doit consacrer sa jeunesse à la préparation de sa vieillesse ».



Même rapide, cette lecture fournit matière à réflexion pour de bien plus longs moments… et c’est aussi cela que l’on attend d’un livre, non ?
Lien : https://ogrimoire.wordpress...
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Mon suicide

Livre qui m'a paradoxalement donné envie de vivre. L'auteur dit quelque chose comme : je n'ai plus peur de l'avenir depuis que j'ai caché sous mon matelas un revolver. C'est direct, court et vif. L'auteur écrit avec la liberté de celui qui n'a plus rien à perdre. Il passe de petites réflexions intimes à quelques claques existentielles. Toujours avec un humour parfois cynique, parfois grinçant et souvent noir.
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Intelligence à louer

Pendant plus d’une dizaine d’années, Henri Roorda (1870-1925) a publié plus de 650 chroniques dont une centaine, celles de ce livre, viennent d’être rééditées.



C’est l’occasion de découvrir ce professeur de mathématiques, écrivain, chroniqueur suisse dont l’esprit incisif demeure d’une contemporéanité bousculante.



Nombre de textes nous parlent à travers les années.

Causticité, vision lucide de la société et de l’homme, humour absurde transmettent une analyse des lieux communs, des idées générales qui parcourent les conversations, les façons d’être.



Derrière le rire, la réalité fuse et appelle à penser surtout par soi-même.

Les enseignements reçus sont mis en exergue, la répétition est fait commun et Henri Roorda appelle à une pédagogie donnant du sens aux choses apprises.



La première guerre mondiale vient de se terminer et dans « L’Ange et le Ministre », nous pouvons lire des passages qui ne sont que le miroir de la situation actuelle.



Le livre est bienfaisant, remuant, dénonçant, amenant un rire qui en dit long sur les défauts éternels des hommes.

Ces chroniques le montrent et le démontrent, elles sont pour la plupart « intemporelles ».



Cet auteur est un esprit, a un esprit qui perdure et perdurera à travers les temps.

La majorité des textes entraîne l’esprit à jongler.

Certains demandent une recherche (auteurs, époque) et c’est tant mieux.



Merci à Babelio pour cette proposition de lecture.

Merci aux Éditions La Baconnière pour ce livre et pour le plaisir de sa manipulation (couverture, papier utilisé).
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Le Pédagogue n'aime pas les enfants

Je ne fais pas partie du corps enseignant mais je suis souvent amenée à travailler avec des professeurs d'écoles primaires, et je suis souvent désolée pour les enfants que l'on force à se taire et à rester immobile alors que justement, j'attends d'eux de se sentir confortable et de parler ouvertement. Je pense que tous les profs devraient lire Roorda pour au moins se poser la question de savoir s'ils s'épanouissent vraiment dans leur emploi et si les enfants sont enthousiastes et sortent de l'école contents d'avoir appris, heureux de se connaître mieux
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Le Pédagogue n'aime pas les enfants

Vaste sujet de discussions que les programmes scolaires ! Combien d'heures par semaine ? Combien de jours ? Le contenu ?

Sur le ton de l'ironie souvent, l'indignation et la consternation parfois, ce texte pointe les errements du système scolaire helvétique de 1917 : trop d'heures de cours, trop de connaissances superficielles (le "vernis de culture générale"), trop de par cœur. Résultat : trop de docilité, pas assez de réflexion dans la tête des enfants, puis des adultes (balancer ça en pleine Première Guerre Mondiale, il fallait oser.)

Il accuse, mais il propose aussi des solutions plus respectueuses de l'enfant, mais aussi pour l'enseignant (le Pédagogue doit être une sorte de haut fonctionnaire, peut-être un ministre, d'après ce que j'ai compris.) Des cours où l'on observe, touche, expérimente pour ensuite en faire des leçons. Certes, le "vernis" ne sera pas aussi étendu, mais il sera plus épais, et si tout se passe bien, l'enfant sera plus épanoui. Il se sentira responsabilisé.

L'école ne doit pas aider à préserver l'ordre ancien à tout prix, mais donner à chaque individu les ressources pour faire ses propres choix, en toute connaissance de cause. Elle doit entretenir la curiosité et l'audace de l'enfant, pas des carcans (qui viendront bien assez tôt.)

Roorda n'était pas le seul à penser ainsi. En France furent fondées quelques écoles qui prônaient la même approche et se démarquaient ainsi de l'école officielle ; dans de nombreux pays où se trouvait une mouvance anarchiste et/ou libertaire se créaient des écoles "alternatives". Certaines existent encore, d'autres furent interdites. quelques unes passèrent dans le grand public, comme la pédagogie Montessori. Toutes ont en commun un plus grand respect de l'enfant, qui n'est pas un être à dresser, mais à former, à ouvrir sur le monde, à éduquer à la différence, à la tolérance, à l'esprit critique. A ouvrir à la curiosité et l'envie d'apprendre, quelque soit l'âge. Utopique ? Peut-être. Mais c'est mieux que d'être un troupeau de moutons.
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Mon suicide

J'ai acheté ce livre de manière totalement impulsive dans une librairie. Je ne sais pas pourquoi. Ma copine immédiatement a voulu le lire, je l'ai lu après elle. Je ne comprends pas vraiment en quoi c'est du "pessimisme joyeux" mais je comprends sa détresse face à la société ; à croire que depuis l'époque de l'auteur elle n'a pas vraiment changé.
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Mon suicide

Un petit livre qui ma directement tapé dans l'oeil notamment avec son titre mais surtout la 4 ème de couverture! Un humour grinçant et qui au combien est juste. Des réflexions interessante sur le pouvoir de l'argent et la bienséance que l'on doit avoir en société! livre écrit dans les années 20! C'est une régale. Une très belle réflexion autour de l'amitié et de l'autre également.
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Le roseau pensotant: Humour de tous les jours

Dans ces chroniques publiées pour la première fois en 1925 en Suisse, Henri Roorda écrit dans un sryle qui fait penser aux chroniques de la montagne d'Alexandre Viallatte, c'est parfois un peu désuet, mais toujours inteligent et drôle.

Henri Roorda a du talent et de l'originalité à revendre.

Il y a là une alliance de "bienveillance et de rigueur, de subtilité et de sagesse, de hardiesse et de bizarrerie,d'observation et de prospective" - postface de Eric Dussert.

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Intelligence à louer

J'ai découvert cette maison d'édition suisse en début d'année et j'ai envie de continuer leur catalogue lorsque l'occasion s'en présente. J'ai saisie l'opportunité que m'offrait le Masse critique Babelio. Petite précision cette maison d'édition est diffusée en France alors on n'a pas de soucis pour ce procurer leurs ouvrages.

Le titre et la couverture on joué un rôle important dans mon envie de découvrir ces chroniques car je ne connaissais pas cet écrivain /humoriste suisse. le fait qu'il s'agisse de chroniques est intéressant car on n'a pas forcément accès à de vieux journaux sauf si on est étudiant. Cette forme brève permet de lire par petites touches.

J'étais intriguée aussi par la période, en effet les chroniques ont été publiées de 1915 à 1925 comme indiqué dans le titre. Que ce soient des textes écrits et publiés à cette époque là permettent de se faire une image de ce que se disait et de ce qu'on pensait.

D'entrée, j'ai adoré la façon d'aborder les sujets. Sujets qui d'ailleurs m'ont surprise par leur « actualité » en transposant certains éléments on croirait qu'il parle de notre époque. Rien de nouveau sous le soleil ! A-t-on appris quelque chose du passé ? Ce que certains pensaient à l'époque est toujours valable aujourd'hui. Juste un exemple : on dit aujourd'hui que pour être caissière ou femme de ménage on nous demande d'avoir le bac, et bien déjà à l'époque pour être cantonnier on demandait un brevet…

J'ai beaucoup apprécié la diversité des sujets abordés. Il y a des faits de société, des sujets politique, scientifiques, la famille. Il y a un côté informatif sur cette époque.

Il est parfois sarcastique et ironique, pas tendre envers lui et ses contemporains. Il a un certain humour qui me plait bien. Il semble se moquer de tout. Il traite de sujets sérieux de manière réfléchie et logique.

Je voulais aussi lires les chroniques pour voir leur construction. Elles sont généralement pas trop longues alors les sujets ne pas trop développés. Finalement je me suis laissée emportée par les sujets et j'ai oublié d'étudier la construction.

Un vrai régal, je les ai lues dans l'ordre chronologique pour être sûre de les avoir toutes lues et voire la progression des sujets dans le temps mais on peu aussi piocher de ci-delà de temps d'un café comme si on lisait le journal..

Cette maison d'édition me correspond bien…

Je remercie Babelio et les Éditions de la Baconnière de m'avoir permis de découvrir cette plume.


Lien : https://latelierderamettes.w..
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Intelligence à louer

Cette succession de billets plus ou moins courts dont les thèmes sont étonnements toujours d'actualité bien qu'écrits il y a un siècle, est très agréable à lire, attention cependant à ne pas en débiter trop d'un coup !

Édifiant par le sens, moderne par la tournure, drôle par le style parfois, ces réflexions sur des thèmes aussi variés que connus de notre quotidien nous montrent que ce dernier n'a pas tant changé.

On peut rapprocher beaucoup de choses de ce que l'on peut connaître, nous, vivants au siècle d'après, existants par les mêmes peurs, rires et actualités... le ton employé, qui ne diffère pas de ce que l'on peut lire actuellement bien que très élégant, nous en rapproche encore plus.

C'est assez étonnant et en même temps pas tant que ça, la vie en société n'est-elle pas un éternel recommencement?

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Mon suicide

Réflexion intéressante sur le but de la Vie. A lire et relire pour bien comprendre le sens de certains messages passés par l auteur
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Le Rire et les rieurs: Suivi de Mon suicide



Roorda Henri (Balthasar) – Le rire et les rieurs, Mon suicide

Publié le 1 janvier 2013 | Par Association Bourlapapey



Le rire et les rieurs Mon suicide - Henri Roorda - Les Bourlapapey Bibliothèque numérique romandeRoorda Henri (Balthasar) – Le rire et les rieurs, Mon suicide : Prof de math. au collège, le lausannois Henri Roorda (1870-1925) est aussi un humoriste, pamphlétaire et anarchiste, connu sous le pseudonyme de Balthasar. Il écrit, à cinquante-cinq ans, « Le rire et les rieurs » que Bruno Maillé commente ainsi : « ce qui m’a le plus touché dans Le rire et les rieurs, ce n’est pas tant l’efficacité de l’humour d’Henri Roorda que le charme de son humour et l’authentique singularité de sa pensée. Ses réfutations des différentes définitions du rire révèlent une étonnante habileté philosophique et une pensée d’une grande agilité. » La même année, ce pessimiste joyeux, lassé de sa « sereine solitude » (comme l’écrivait Edmond Gilliard écrivain et fondateur des Cahier vaudois qui l’a soutenu toute sa vie), mettait fin à ses jours, peut-être parce que la vie se répète terriblement. « Mon suicide » sera édité l’année suivante. Comme il le disait : « La bonne mine de nos cochons devrait nous faire réfléchir »…



Téléchargements : ePub – PDF – PDF (liseuse) – Kindle-Mobipocket – Sony Reader – word


Lien : http://www.ebooks-bnr.com/ta..
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Le Rire et les rieurs: Suivi de Mon suicide

Deux textes très différents se trouvent dans ce livre :

1 - Le rieur et les rieurs. H. Roorda se livre avec légèreté et élégance à un tour d'horizon des études sur le rire faites par des philosophes, qui, chacun privilégiant un seul aspect (le mécanique plaqué sur du vivant pour Bergson ou la mémoire du plaisir de la têtée de nourrisson pour James Sully), ne remporte pas son adhésion qui va plutôt aux rieurs dont il fait manifestement partie.

2 - dans" Mon suicide", à la fois très léger et très grave il fait le bilan de vie, son auto-critique, aussitot suivie de la crtique d'une société rigide qui ne respecte pas l'individu.

La lecture de ces deux courts textes procure un grand plaisir intellectuel ( Roorda est un authentique philosophe) et une émotion très forte (Roorda est d'une sincérité désarmante).

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Intelligence à louer

Ce livre se distingue par son texte, mais aussi par la forme même qui le constitue : c'est un bel ouvrage, où l'humour est présent y compris à la fin avec quelques petits dessins qui nous font sourire (mention particulière au JARS DAIM :-)

Je craignais, pour être complètement honnête, et allez savoir pourquoi, une écriture un peu ampoulée, un peu désuette, et au final, ce texte est très contemporain. Par contre, je dois avouer que j'ai préféré certains textes à d'autres, comme par exemple Statique et humilité;

Je vous laisse donc le découvrir
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Les Saisons Indisciplinées

Un (gros) volume sur les étagères de la médiathèque, en quatrième de couverture une citation "Puisque la vie est courte, les livres devraient être minces." Comment résister? Surtout que ce (gros) volume contient en fait des chroniques (courtes, deux pages en majorité), parues dans la Tribune de Genève ou la Gazette de Lausanne entre 1917 et 1925.



Quid de l'auteur? Né à Bruxelles en 1870, mort à Lausanne en 1925, écrivain et professeur de mathématiques (il fallait bien vivre), il est connu comme pédagogue libertaire, humoriste non dénué de pessimisme, un poil anarchiste - bref, à découvrir!



Il y a du Vialatte dans ces textes, et donc de l'ironie, de l'humour pince sans rire et du second degré, et des thèmes de réflexion. L'homme savait observer et réfléchir. Vu l'époque, il n'épargne pas ses flèches contre la guerre et ceux qui la décident. Parfois son côté matheux prend le dessus, lorsqu'il demande si les nombres entiers sont plus nombreux que les nombres pairs.



"Quelques-uns de nos contemporains comptent sûrement parmi leurs ancêtres des hommes qui vivaient au début du seizième siècle. C'est même le cas de la plupart d'entre eux."



"Dans bien des cas, le bruit que provoque l'apparition des livres médiocres fait oublier les bons."



"Les premières vagues authentiques furent des vagues de froid, signalées par les météorologistes. Les Anciens, s'il faut en croire Aristote, distinguaient déjà le froid du chaud. Mais, vivant à une époque où la Science balbutiait ses premiers mots, ils avaient froid sans savoir qu'une vague passait sur eux. (je remarque, en passant, que nos spécialistes se sont occupés des vagues de froid bien avant de s'intéresser aux vagues de chaleur. Il serait utile, à ce propos, de rechercher par qui ils sont payés. Ce sera le sujet d'une autre causerie.

(...) Je n'ai pas besoin de rappeler les deux grandes vagues d'héroïsme qui, quatre ans de suite, s'affrontèrent violemment, en reformant sans cesse une longue crête d'écume sanglante."



... et j'ai noté quelques 'remonte à la plus haute Antiquité' de bon aloi.


Lien : https://enlisantenvoyageant...
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Le Pédagogue n'aime pas les enfants

Ecrit en 1917, voici un texte audacieux et clairvoyant.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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