Hiromu Arakawa

Le huitième tome de Fullmetal Alchemist Perfect Edition est une véritable pépite ! Entre action, révélations et rebondissements, il ne laisse aucun répit au lecteur.



L'exploration de l'âme d'Alphonse coincée dans son armure et les doutes d'Edward à Resembool ajoutent une profondeur émotionnelle saisissante.

Les personnages, qu'il s'agisse des frères Elric, de Winry, du colonel Mustang ou des redoutables homonculus, sont confrontés à leur destinée de manière poignante.



Le style graphique d'Hiromu Arakawa est toujours aussi captivant, donnant vie à chaque planche avec une maîtrise remarquable.



Ce tome est un véritable tour de force narratif et visuel, promettant des développements encore plus palpitants à venir dans la saga.

Un bon premier tome qui prend de poser les fondations de la série à venir, on n’y trouvera pas de réponses à tout et on se posera des questions encore plus e questions qu’au départ, c’est ce à quoi va servir ce volume et il le fait bien sans s’embarrasser de longueurs. On reconnaît le style du mangaka, que j’ai retrouvé avec grand plaisir, il me tarde de voir l’évolution de son dessin dans ce tout autre genre d’histoire. Quant au scénario, on sent venir les,complots, conquêtes et secrets de couloirs, j’espère que ce sera bien mené et me donnera envie de découvrir le récit original qui semble être une œuvre culte et incroyable de ce côté du globe.

Le tome 7 de Fullmetal Alchemist Perfect Edition offre une plongée captivante dans un monde où l'action et les rebondissements sont monnaie courante.



J'ai été séduit par la façon dont l'intrigue se développe, avec des scènes d'infiltration haletantes menées par le Colonel Mustang et son équipe, ainsi que par les péripéties auxquelles Edward se trouve confronté aux côtés du commandant Armstrong.



L'affrontement entre l'armée et les membres d'Ouroboros est particulièrement intense, offrant une dose supplémentaire d'adrénaline à ce récit déjà palpitant.



Ce tome allie habilement action, suspense et développement des personnages, laissant le lecteur avide de découvrir la suite des événements.

Le tome 6 de Fullmetal Alchemist édition perfect nous plonge encore plus profondément dans l'univers riche et captivant de la série.



De retour à Rush Valley, Edward et Alphonse retrouvent Winry, mais leur rencontre avec le prince de Xing, Lin Yao, tourne rapidement à la débâcle, ajoutant une nouvelle dimension à l'intrigue. L'introduction de nouveaux personnages, comme Lin et May, élargit encore l'univers déjà dense de l'histoire, tout en densifiant la géopolitique de cet univers.



Mais c'est surtout l'arrivée du mystérieux "Père" qui marque un tournant décisif dans la série, son charisme et son aura ajoutant une nouvelle couche d'intensité à l'ensemble.



Ce tome nous emmène véritablement aux choses sérieuses, offrant un mélange parfait d'action, d'émotion et de développement de l'intrigue.



Chaque page nous entraîne plus loin dans cet univers fascinant, et l'on ne peut qu'attendre avec impatience la suite des aventures d'Edward et d'Alphonse.

Ce cinquième tome de Fullmetal Alchemist plonge directement dans l'action, offrant des combats épiques et des révélations captivantes. Hiromu Arakawa maîtrise brillamment l'art du récit et du dessin, nous laissant accrochés à chaque page. Les mystères entourant des personnages clés comme le président Bradley promettent une intrigue encore plus palpitante à venir.

[AVIS GÉNÉRAL POUR LE MANGA]



Hé bien voilà, j'ai enfin fini ce manga. Suivre cette édition m'aura pris presque quatre ans et chaque tome a été un plaisir à lire.

Pour la sortie du dernier tome, j'avais décidé de ne pas lire le tome 17 et de tout relire afin d'avoir les détails bien en tête pour terminer cette saga. Ça a été un plaisir de replonger dans cet univers et de redécouvrir certains moments. C'est d'ailleurs difficile d'avoir un seul personnage préféré (même si Envy et Greed/Lin sont en tête) tellement ils sont tous géniaux et apportent quelque chose à l'histoire.

On pourrait croire que c'est assez enfantin car on suit deux enfants, mais ça reste très mature. Que ce soit au niveau des dialogues, de la quête d'Ed et Al, de certaines scènes et des combats.

J'ai adoré suivre Alphonse et Edward dans leur quête pour retrouver leurs corps. Au final, on en apprend beaucoup sur leur histoire. Mais aussi sur la véritable nature de la pierre philosophale.

J'ai trouvé que ce manga était à la fois drôle et touchant. Les deux derniers tomes m'ont d'ailleurs fait lâcher quelques larmes.

Ce manga est vraiment l'un de mes préférés. Et je ne peux que le recommander. Ça a vraiment été un coup de cœur du début à la fin!

Dans ce quatrième tome de Fullmetal Alchemist, les frères Elric replongent dans leur passé, nous dévoilant leur jeunesse et leur parcours jusqu'à devenir des alchimistes d'État.

Les flashbacks offrent une belle profondeur à l'histoire, tandis que le dessin d'Arakawa et l'édition de Kurokawa restent impeccables comme toujours.

C'est un volume incontournable pour les fans de la série.

Extrait :

Ouvrage assez rapide à lire en soi, tant il y a peu de textes à l’intérieur, le plus souvent, il s’agit de l’origine de l’image, indiquée en dessous de celle-ci. Il faut dire que Fullmetal Alchemist a duré longtemps dans sa publication, de quoi fournir gracieusement en image plusieurs ouvrages, désormais regroupés en un seul, celui que je vous présente aujourd’hui. Surprise pour certaines illustrations, qui proviennent de goodies, j’ignore si on a eu droit à certains d’entre eux d’ailleurs… j’étais assez jeune lors de sa sortie.



Les différents chapitres représentent les illustrations sur une année, et cela va de 2001 à 2010, soit neuf années. Il y a des illustrations pour un peu tout, que ce soit des goodies, couvertures ou autres. J’avoue avoir un peu de mal à savoir comment parler de cet ouvrage, qu’est-ce qui pourrait être intéressant à évoquer ? Le papier ? Il me semble de bonne qualité, mais je ne suis pas experte, suffisamment épais, pour ne pas se déchirer, pas transparent, mais « glacé ». C’est en partie à cause de ça que le livre est lourd d’ailleurs. Les illustrations font parfois une double page, parfois il y en a plusieurs sur une même page. J’ignore si la mise en forme de celles-ci est différentes des artbooks précédemment sortis.



L’ouvrage contient assez peu de textes, les descriptions des différentes illustrations (tenant en une phrase) sont ce qui le compose en majorité. Ainsi, même si le livre se termine sur une interview, il est assez rapide à terminer. Etaler l’interview sur plusieurs pages aurait pu être intéressant et combler certains vides apparents. D’anciennes interviews auraient également pu être ajoutées par endroit. L’idée de faire des citations de certains personnages est également bonne et aurait aussi pu servir à combler certains espaces, sans réduire l’impact des illustrations. L’origine de certaines illustrations est assez originale, ça peut être pour le magazine, un calendrier ou bien un ticket de train. Je trouve ce genre de goodies tellement originaux, c’est dommage d’en avoir si peu en France, de ce type de collaboration. Je ne dis pas ça uniquement pour les mangas, mais aussi pour les BD par exemple, le seul truc qu’on a le plus souvent c’est des timbres ou la monnaie de paris… pas ouf quoi.



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Le troisième tome de l'édition perfect de Fullmetal Alchemist continue d'impressionner avec son magnifique univers et son intrigue captivante. Dans ce volet, Edward et Alphonse se retrouvent confrontés à une société secrète dans une prison, où les mystères s'épaississent et les émotions sont palpables. L'intrigue progresse à son propre rythme, révélant peu à peu les secrets d'un monde riche en détails. Les personnages continuent de nous captiver, tandis que de nouvelles questions émergent, laissant planer un suspense intense. La tension monte alors que les motivations des antagonistes restent encore floues, ajoutant une couche de mystère à cette saga déjà palpitante.

Dans le tome 2 de Fullmetal Alchemist, l'histoire prend une nouvelle dimension captivante. Les frères Elric, après avoir été vaincus par Scar, sont forcés de retourner à leur maison d'enfance.



Ce retour aux sources offre des moments riches en émotion, avec la présence réconfortante de mamie Pinako et de Winry. L'introduction du docteur Marcoh ajoute une intrigue supplémentaire, révélant des aspects sombres des recherches alchimiques.



L'enquête des frères Elric les conduit à une découverte bouleversante : la création de la pierre philosophale nécessite des sacrifices humains, jetant ainsi une ombre sinistre sur leur quête.



Ce tome réussit à approfondir l'univers complexe de Fullmetal Alchemist tout en maintenant un rythme palpitant, promettant des rebondissements passionnants à venir.

Quelle aventure fascinante que celle de plonger dans les pages de Fullmetal Alchemist ! Je suis ravi d'avoir découvert cette édition sublime, sans aucun doute l'une des plus belles que j'ai jamais vues dans ma mangathèque. C'est une honte que je n'aie jamais pris le temps de m'immerger dans cet univers auparavant.



Dès le premier volume, j'ai été happé par un récit palpitant mêlant humour, action et suspense. L'univers créé par l'auteur m'a captivé dès les premières pages, et j'ai rapidement développé un attachement pour les protagonistes, Edward et Alphonse Elric. Leur quête pour retrouver leurs corps perdus après une tentative de transmutation humaine interdite est à la fois poignante et intrigante.



L'humour décalé d'Edward ajoute une touche de légèreté à cette histoire riche en rebondissements, tandis qu'Alphonse apporte une profondeur émotionnelle à l'ensemble. Les méchants sont dotés d'un charisme indéniable, et l'action est omniprésente, maintenant un rythme soutenu tout au long du récit.



Je suis particulièrement intrigué par le mystérieux Scar, dont le passé semble cacher de nombreux secrets.



Je suis impatient de découvrir ce que l'avenir réserve à nos héros alors qu'ils poursuivent leur quête, et je suis sûr que cette aventure promet encore de nombreuses surprises et émotions fortes.

Les volumes et les arcs se suivent et se ressemblent dans cette série avec une écriture en creux de l’héroïsme qu’on attend habituellement de ce genre d’histoire qui surprend et prend à contre-poil. Soit on adore, soit on s’ennuie un peu.



Je suis malheureusement dans la deuxième catégorie. Je trouve encore et toujours que la série a énormément de potentiel mais que celui-ci n’est pas exploité, soit à cause de la narration d’Arakawa, soit à cause de l’autrice d’origine, je ne saurais dire, même si je penche pour la première explication connaissant la dame. Elle a un peu le chic pour résumer trop son action, couper quand ça devient épique, tel un pied de nez. Parfois c’est génial, c’est le cas avec Hilmes et la salle du trésor dans ce tome. Parfois ça rend la série plate, c’est le cas avec la bataille qu’engage Arslan dans la seconde moitié. Du coup, je n’arrive pas à ressentir le souffle qu’il devrait y avoir dans ces guerres de reconquête.



Alors ça reste une lecture très agréable et appréciable car Arakawa sait y faire pour conter une histoire. Celle de vengeance qu’elle développe ici est fort plaisante à suivre. J’ai aimé son découpage entre les différents acteurs et l’articulation qu’elle fait entre les deux rivaux de la nouvelle génération : Hilmes et Arslan. J’ai beaucoup aimé suivre le premier quand il a repris la ville plein d’espoir. Ça m’a encore plus plu lors de la chute qui a suivi qui a tout fait retomber et m’a permis de mieux cerner ses ambitions dues à ses traumas. Je trouve l’autrice fine et maligne de ne pas nous conter un long fleuve tranquille où la violence et la conquête résoudrait tout. C’est plus complexe et le rapport au peuple est intéressant, soulevant bien des loups. C’est un versant politique et psychologique fort intéressant avec un classique schéma de revanche mais un personnage, Hilmes, complexes et des personnalités autour encore plus dans leurs ambitions.



En revanche vers Arslan, le classicisme devient un peu trop fort à mon goût. Ce héros n’en est toujours pas un la plupart du temps. Il est trop fade, trop fragile dans sa gentillesse qui frôle parfois la stupidité. Ainsi, alors qu’il part en guerre, qu’il se prépare à affronter l’autre armée, en plus d’Hilmes, qui menace son royaume, quelque chose manque. Il ne fait pas peur. Il n’est pas craint. Il n’y a pas non plus de vivacité politique foudroyante et à la limite se sont plus les hommes et femmes qui l’accompagnent qui font l’histoire que lui. Cela déstabilise. On peut adorer le pas de côté de l’autrice, j’avoue trouver ça assez malin et original, ou bien détester parce que le héros ne brille pas, j’avoue que ça me frustre.



Il y a pourtant du plaisir à voir l’échiquier avancer. Quel plaisir de voir Hilmes se révéler et faire avancer son plan. Quelle sensation aussi de voir les armées en branle se préparer à attaquer et tout ravager, puis se faire surprendre et attaquer. C’est chouette que les lignes bougent et que tout le monde fasse quelque chose. C’est juste la façon dont c’est raconté qui ne me convient pas.



Dans ce tome Arakawa nous fait donc miroiter de belles batailles qui au final ne prennent pas l’ampleur voulue. Génie pour déstabiliser son lectorat et imposer une lecture différente des récits épiques ? Ou narration qui manque de vivacité et de profondeur, voire d’audace dans le feu de l’action ? Mon coeur est partagé. J’aime l’univers, j’aime les personnages, j’aime les intentions, mais je reste frustrée.
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Ce deuxième tome est dans la continuité parfaite du premier ! On quitte peu à peu l'introduction de la série et on découvre de nouvelles facettes et histoires de chaque personnage.



Voir la vie du héros se développer au travers de chaque évènement est très intéressant, et nous donne envie de lire la suite !

L'humour est toujours present, mais sans oublier les difficultés que le monde rural peut apporter, ce qui permet d'avoir un regarde plus critique sur l'œuvre !

Très bon manga ! Comme souvent avec Himoru Arakawa !

Les notes d'humour sont toujours bien faites, et le style graphique se prête parfaitement au thème abordé.

Ce manga nous permet de nous faire passer un très bon moment tout en nous apprenant énormément de choses sur le monde agricole.

J’ai beaucoup hésité à sortir cette chronique parce qu’au final je ne sais pas trop quoi dire sur Tsugai pour le moment. Commençons par le début : Tsugai c’est le nouveau manga de la grande Hiromu Arakawa, la mangaka à l’origine de Fullmetal Alchemist. Je n’ai découvert que très tardivement cette œuvre culte via son adaptation animé mais j’ai adoré cette histoire bien plus complexe qu’elle n’y parait de prime abord. Bref on n’est pas ici pour parler de FMA mais bien de Tsugai. Ça donne quoi alors ?



Difficile de parler de ce manga sans spoiler car les retournements de situations s’enchainent dès les premières pages du manga. Mais pour faire simple, on a affaire à une histoire de jumeaux liés à une mystérieuse prophétie qui vont voir leur destin basculer du jour au lendemain. Au début on ne comprend rien, on est plongés dans l’action et le chaos aux côtés de Yuru, qui va être forcé de remettre en question tout ce qu’on lui a apprit jusqu’à présent sur lui et le monde extérieur au village dans lequel il a grandi.



Même s’il est encore beaucoup trop tôt pour se faire un avis, j’ai un bon pressentiment pour ce manga. On retrouve bien la patte d’Arakawa dans l’humour et les chara-design proches de ceux de FMA. J’ai également adoré qu’au même titre que les protagonistes, on ne sache pas vraiment à quel personnage se fier (les motivations de chacun étant encore bien mystérieuses). En bref, c’était une bonne lecture et je suis impatiente d’en savoir plus sur cet univers. Un manga à ne surtout pas manquer si vous êtes fan de FMA.


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La mise en scène est de nouveau remarquable, Arakawa préférant s'intéresser aux faits d'armes des personnages importants plutôt que de nous abreuver de mouvements de troupes, pour autant la bataille est claire et lisible! On assiste à des glorieux et à des moments symboliques...un grand moment ainsi qu'un tournant dans la série!
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J'attendais la sortie du dernier tome pour tous les relire, et maintenant que c'est fait, je retourne dans cet univers.

FMA c'est vraiment un manga que j'adore et je ne regrette pas d'avoir suivi cette perfect édition. Elle est vraiment belle et de bonne qualité. Elle m'a permis de sauter le pas et d'avoir enfin ce manga.

Côté histoire, on découvre les frères Elric, Edward l'aîné et Alphonse son cadet. Tous deux sont alchimistes, mais Edward, lui, fait partie des Alchimistes d'État qui lui donne un certain grade et pouvoir. On suit leur quête pour découvrir la pierre philosophale et retrouver leurs corps (perdus lors d'un essai de synthétisation humain afin de redonner vie à leur mère).



Je trouve l'univers vraiment travaillé ainsi que les différents personnages. J'avais oublié que certains apparaissent assez rapidement : le Colonel Armstrong, Scar, Nina (pardon).

Je n'ai vu que le premier animé (pas Brotherhood) et j'avoue que je note déjà quelques différences. Alors que je l'ai vu il y a assez longtemps.



En tout cas, je suis heureuse de repartir dans cet univers.

• Tsugai, Tome 3

• Hiromu Arakawa (Scénario & Dessin)

• Kurokawa



Après un premier tome nous présentant l’univers qui m’avait plus mais pas totalement convaincu, et un deuxième volume plein d’action qui nous en dévoilait un peu plus qui m’avait un peu plus convaincu sur ce que la série avait à offrir, me voilà sur le troisième tome.

Un tome qui tranche totalement avec le précédent. En effet, là où le tome 2 était bourré d’action et se passait à cent à l’heure, ce tome 3 est un tome très calme. Un tome où la pression redescend et où il n’y a que de la parlote. Et si cela peut s’avérer nécessaire, il faut avouer que cela tranche un peu trop avec le tome précédent et que par conséquent, je l’ai trouvé un peu en deçà.

Pour autant, ce n’était pas mauvais et j’irais bien entendu sur la suite.

Lorsque l'on brave un interdit, il y a toujours un prix à payer.

C'est ce que les frères Elric vont découvrir en

S'essayant à une technique interdite en alchimie en voulant ressusciter leur mère.

Tout tourne mal,

Edward perd un bras et une jambe, et Alphonse son corps, son esprit se retrouvant prisonnier d'une armure. Devenu alchimiste d'Etat, Edward, surnommé " Fullmetal Alchemist ", se lance, avec l'aide de son frère, à la recherche de la pierre philosophale



Dernier tome de la collection Perfect,

La saga se termine sans déception. J'ai adoré suivre les aventures des 2 frères . La fin répond à toute nos questions.

Un vrai plaisir.

Extrait :

Troisième volume pour la dernière série en date 100% Arakawa ! À chaque fois que je lis la suite de cette série, je me dis qu’il faudrait aussi que je continue Arslan (et que je lise les autres à savoir Silver Spoon et Hero tales surtout). Je me suis d’ailleurs fait un petit coin Arakawa dans ma petite mangathèque, bon c’est toujours ranger de manière à optimiser, donc pas de place pour les goodies, et c’est sur deux rangées, donc on ne voit pas derrière… Mais depuis le temps que je voulais faire ce petit coin, il commence à prendre forme ! J’espère maintenant avoir plus de place pour vraiment ranger comme il faut toute ma collection, parce que ça devient vraiment chiant de ne pas pouvoir vous la montrer de manière décente…



L’intrigue reprend sur un flashback où Yuru était parti à la chasse avec son père. Ils sont malencontreusement tombés sur des brigands, que son père a été obligé d’éliminer. Pour une raison inconnu pour Yuru, mais évidente pour les lecteurs que nous sommes, son père lui indique de ne rien dire aux villageois sur cette histoire. Visiblement, son père avait déjà des doutes sur l’honnêteté du village et de ses habitants (ou du moins, de leur chef). On apprend également qu’Asa était déjà enfermée derrière la barrière que l’on a vue dans le tome 1. C’est sans doute pour cela que Yuru n’y avait vu que du feu lorsqu’elle a été remplacée par une « marionnette ». Asa le réconfortera également sur le fait qu’il n’a pas été abandonné, mais qu’il y a eu un problème… Pour le village, ce fût là aussi une occasion en or, séparé de ses parents, il serait plus facile d’endoctriner Yuru à leurs fins. Preuve, que même si on ignore s’ils ont tous un mauvais fond, certains ne sont clairement pas net.



Ce tome n’a pas spécialement d’action, à part un peu sur la fin, qui est surtout bien menée et bien pensée je trouve. Yuru finira par quitter Asa de nouveau, mais il semblerait que ça ne soit pas définitif. C’est juste qu’il souhaite également chercher ses parents, et que le mieux soit donc, peut-être, de se séparer. Peut-être qu’il veut également mieux cerner les personnes qui l’entoure afin de savoir à qui il peut faire pleinement confiance. En tout cas, Arakawa profite du passif de reclus dans un temps passé de Yuru, pour poser ses parties comédie que j’adore. Elles sont toujours très simples et c’est pour cela que c’est efficace. On ne se rend pas toujours compte puisque nous sommes habitués. J’espère que l’on pourra suivre l’aventure des jumeaux un peu en parallèle, et non pas se contenter du point de vu de Yuru. Asa semble assez naïve, surtout quand ça concerne son frère, mais je demande si elle l’est vraiment ? Après tout, des deux, c’est elle qui a eu la vie la plus pénible jusqu’à présent. Est-ce un rôle qu’elle joue afin de ne pas éveiller les soupçons ?



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