Tu as écrit sur la nuit, sur les étoiles éloignées, sur le grand piédestal sans statue qui se trouvait au milieu de la place, sur les banderoles, sur le remuement des milliers de personnes qui ressemblait à un monstre fantastique et dont le corps unique recouvrit les pelouses, l'asphalte et les larges trottoirs, éloignés les uns des autres, des rues Al-Bustân, Qasr-el-'Eni, Slemân, Qasr-en-Nîl et Et-Tahrîr.
Cela tu l'as écrit, mais tu n'as pas dit que tu avais essayé de te joindre aux autres pour chanter, que tu n'avais pas réussi à élever la voix, et que tu t'étais demandé ce qui t'en empêchait.
Par karahibe le 02/09/2015
Il est extrêmement inhabituel que j'abandonne la lecture d'un roman, et pourtant je me suis accrochée jusqu'à la page 73 avant de décider d'arrêter là. Je m'étais pourtant réjouie de découvrir cet auteur que je connais pas et de me retremper dans cette société égyptienne que je connais bien. La multitude de personnages , principaux ou secondaires, fait que l'on ne sait plus où on en est. J'ai plus d'une fois relu plusieurs pages en prenant quelques notes quand j'avais perdu le fil. Mais rien qui ait pu m'accrocher. Peut-être ais-je eu tort de ne pas le terminer?? Et vous chers amis lecteurs?
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