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Citations de J. R. Ward (612)


Si les vampires priaient la Vierge Scribe, les sympathes ne croyaient pas en une seconde vie. Pour eux, la mort n'était pas une sortie vers une autre autoroute mais un mur dans lequel on s'écrasait. Sans rien derrière.
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—Je veux que tu me révèles qui est la prochaine âme.
Intéressant.
—Dois-je comprendre que Nigel t'a rembarré quand tu lui as posé la question ?
—Je n'ai pas dit ça.
—Eh bien, j'ai du mal à croire que tu sois venu me voir en premier, maugréa-t-elle d'un ton amer. Et tu crois vraiment que je vais te le dire ?
— Ouais.
Elle éclata de rire.
—Tu devrais me connaître, depuis le temps.
— Oui. Et je sais que tu vas parler.
—Et pourquoi diable...
Il leva la main vers son torse puissant, puis la baissa lentement, très lentement, jusqu'à son entrejambe...
Divine déglutit avec difficulté, sa gorge se nouant lorsqu'il saisit son sexe.
—J'ai ce que tu veux, dit-il d'une voix rauque. Et vice versa.
Hum... Elle le voulait, oui, mais là, c'était encore mieux que s'il avait partagé son désir. Il allait se forcer à lui faire l'amour pour obtenir des informations... et tout ça à la vue de sa chère et tendre Sissy.
Scrutant son mur, Divine trouva l'âme dont il se souciait tant. Par la simple force de sa volonté, elle fit descendre la jeune femme, puis s'appuya contre la table.
—Qu'est-ce que tu proposes au juste ?
— Dis-moi de qui il s'agit et je te baise.
—Fais-moi l'amour.
— Ce sera juste de la baise. Crois-moi.
—Ça revient au même.
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La vie pouvait parfois basculer sur un rien. En l'espace d'une nanoseconde. Ou d'un coup frappé à la porte.
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Tu es dans une prison sans barreaux.
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- C'est parfait de t'avoir sur moi. A un détail près.
- Lequel ?
- Tu t'es arrêté. Et enlève ce short.
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- Je crois que c'est Justin Bieber.
Debout devant un rayon de chips, Vhif regardait le haut-parleur inséré dans les dalles du plafond au-dessus de sa tête.
- Ouais. C'est ça, et je déteste le fait de le savoir.
A côté de lui, John Matthew signa :
- Comment le sais-tu ?
- Ce petit merdeux est partout. (Pour étayer son affirmation, il pointa du doigt le présentoir des cartes de vœux sur lesquelles figurait Petit, Prétentieux et Mon-quart-d'heure-de-célébrité-touche-à-sa-fin.) Je te jure, ce gamin est la preuve de la venue de l'Antéchrist sur Terre.
- Il est peut-être déjà là.
- Ça expliquerait Miley Cyrus.
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Xcor venait d’apparaître, debout, les bottes plantées sur la route droit devant… un corps énorme vêtu de cuir sombre qui semblait absorber la lumière comme un trou noir.

— Non ! Cria-t-elle. Non !

Elle ignorait au juste à qui elle s’adressait – ou ce qu’elle niait –, mais elle était sûre d’une chose, surtout quand il se mit en marche, avançant, un pas après l’autre : elle sut que le soldat n’était pas né de son imagination ou de ses terribles désirs. Il était bien là.

Mets la voiture en route, se dit-elle. Mets-la en route. Appuie sur l’accélérateur et sauve-toi.

De la chair et des os, même aussi terrifiants et féroces que ceux de ce mâle, ne résisteraient pas à l’impact d’une telle masse métallique.

Il était de plus en plus proche.

— Non, feula-t-elle.

C’était bien le visage dont-elle se souvenait : symétrique, de hautes pommettes, des yeux étroits et un froncement permanent entre les deux sourcils très droits. La lèvre supérieure était déformée, au point que le guerrier paraissait toujours grogner. Et son corps… son corps se mouvait comme celui d’un animal sauvage ; ses épaules se gonflaient d’une puissance qu’il contenait à peine ; ses lourdes cuisses le portaient en avant avec la promesse d’une force brutale.

Et pourtant… elle n’avait pas peur.

— Non, gémit-elle.

Il s’arrêta quand il fut à quelques pas devant de la voiture, les pans de son long manteau de cuir flottaient de chaque côté de lui, ses armes brillaient de reflets. Il avait les bras ballants, mais ça ne durera pas. Il leva les mains, avec des gestes lents…

Pour enlever quelque chose dans son dos.

C’était une arme à ce qu’elle en vit – qu’il déposa sur le capot.


Ensuite, ses mains, si puissantes et protégées par des gants de cuir s’affairèrent à l’avant de son torse… Le mâle ôta deux revolvers de sous son manteau, puis les dagues qu’il portait dans des harnais en travers de la poitrine. Une longueur de chaîne. Et quelque chose qui renvoya de vifs éclats, mais Layla ne sut en déterminer la nature.

Il déposa le tout sur la Mercedes.

Puis il recula d’un pas. Il leva les bras, les écartant de lui. Et fit un tour complet sur lui-même, lentement.

Layla avait le souffle court.

Elle n’était pas de nature guerrière. Ne l’avait jamais été. Mais d’instinct, elle sut que dans le code d’un combattant, se désarmer entièrement face à autrui était une vulnérabilité rarement accordée. Le soldat demeurait létal, bien entendu – un mâle de sa corpulence, avec son entraînement, était capable de tuer même à mains nues.

Cependant, il s’offrait à elle.

Lui prouvant sans équivoque possible qu’il ne lui voulait aucun mal.

Les mains de Layla se déplacèrent toutes seules vers les boutons d’accès des portières, à côté d’elle. Elles se figèrent. Par contre, elle-même ne restait pas immobile : elle respirait lourdement, comme si elle était en pleine course, son cœur battait, la sueur perlait à sa lèvre supérieure…

Elle déverrouilla les portes.

Que la Vierge Scribe l’assiste… ! Elle déverrouilla les portes.


http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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Elle était irréelle, pensa-t-il. Si pure, si propre.
Il avait l'impression de devoir se laver les dents et se raser pour pouvoir lui dire un mot de plus.
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L'alarme incendie de l'escalier se déclencha, son cri strident donnant envie d'être sourd. Fhurie se mit à rire et roula sur le flanc, la serrant contre sa poitrine.
- Cinq... quatre... trois... deux...
- Déééésoooolééééeeee ! s'exclama Layla depuis le pied de l'escalier.
- Qu'avons-nous cette fois-ci, Élue ? cria-t-il.
- Des oeufs brouillés, répondit-elle.
Fhurie secoua la tête et murmura à Cormia :
- Tiens, j'aurais parié sur les toasts.
- Impossible. Elle a cassé le grille-pain hier.
- Ah bon ?
Cormia hocha la tête.
- Elle a essayé de mettre une part de pizza dedans. Le fromage.
- Partout ?
- Partout.
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Tout était bien mignon et étincelait comme un sous-neuf : bouquets de fleurs artificielles accrochés aux portes, paillassons ornés d'un cœur ou de lierre... Des cadres représentant des couchers de soleil aux tons roses et orangés alternaient avec des chiots ébouriffés ou d'innocents chatons.
-Putain, la déco immonde, marmonna Rhage. On se croirait dans un magasin de cartes de vœux...
-C'est encore pire que ça.
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Le prend pas mal, mais t'as l'air tout droit sorti du clip Thriller....
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J'étais mort avant que tu me trouves, même si je respirais. Je voyais rien, même si j'étais aveugle. Et puis t'es venue... et tu m'as réveillé. (p550)
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« Vishous était encore dans le couloir quand il entendit Butch crier. Il virevolta et revint en courant jusqu’à la salle de bain où il surgit en trombe.
— Quoi ? Qu’est-ce que….
— Je perds mes tifs !
Vishous ouvrit la douche et fronça les sourcils.
— Mais qu’est-ce que tu racontes ? Tu as encore tes cheveux….
— Pas sur la tête, sombre crétin. Regarde mon corps, je perds mes poils ! »
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-Bon j'espère que t'es prêt.
Fhurie s'essuya le visage avec les paumes.
-Prêt pour ?
-Parce... je crois que je vais essayer de te prendre dans mes bras.
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Le ton de sa voix avait quelque chose d'impuissant, en total décalage avec la dureté de ses traits. Et cette impuissance était terrifiante.
Tohr marmonna en portant les mains à sa poitrine, qu'il massa frénétiquement.
-Vous... pouvez pas être là. Pas tous ensemble.
Il tendit une main en avant, comme s'il cherchait à les repousser, puis recula. Mais il n'avait nulle part où aller. Il buta contre une armoire à dossiers.
-Kolher, non... mon roi, je t'en prie, non... oh, mon dieu. Dis rien. Me dis pas que...
-Je suis désolé.
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La bouche de Z. s'affaissa, aussi certainement que si elle lui avait assené un coup de pied aux fesses. Personne n'adoptait jamais ce ton pour s'adresser à lui. L'anomalie seule aurait suffi à attirer son attention, mais le fait que cela vienne d'elle le stupéfia.
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-Mon frère jumeau n'est pas cassé, il est détruit. Est-ce que tu comprends la différence ? Une chose cassée ? On peut la réparer. Détruite ? Tout ce que tu peux faire, c'est attendre de l'enterrer.
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-Qu'est-ce que c'est que ça ? murmura Butch, et il vérifia à tâtons que la portière était bien verrouillée.
-Rhage de très méchante humeur.
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Dans mon ancienne vie, j'aurais pu procéder à mon arrestation pour harcèlement.
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Il n'était plus qu'une déchirure qui respirait pourtant encore.
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