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Citations de J. R. Ward (612)


- Oui Torh, murmura Wellsie. Et après deux siècles, je t'épouserai encore. Même si tu ronfles et que tu laisses traîner tes armes partout dans la chambre.
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Il regarda autour de lui avec l’envie soudaine de mettre le feu à la ferme, de tout réduire en cendres pour que personne d’autre ne puisse l’avoir.
Ce serait plus facile que de ne jamais revenir ici.
L’ennui était que détruire cet endroit était en quelque sorte lui nuire à elle.
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Fils de pute.
Il voyait rouge, littéralement, tant il était remonté.
Qu'un autre mâle embrasse ces lèvres, caresse ce corps de ses mains...
Un grondement sourd monta de sa poitrine jusqu'à ses lèvres.
Elle est à moi.
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- Tohr, tout va bien. Je suis une femelle. Je pleure aux mariages . C'est dans la description du poste.
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"Détruit. Pas cassé."
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" Alors comme ça, tu veux t’unir à ma sœur, maintenant que tu l’as mise en cloque ? Ou tu passes juste dire bonjour ?"
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Zadiste à Bella !

Je respirais mais j’étais comme mort jusqu’à ce que tu me trouves. Je voyais mais j’étais aveugle jusqu’à ce que je te voie. Grâce à toi, je suis ressuscité.
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— Vos désirs sont des ordres, monseigneur.
— Ne m’appelle pas comme ça.
Tout en se dirigeant vers la sortie, John envoya un message à Blay, en espérant qu’il finirait par se pointer. Peut-être qu’il céderait si on l’emmerdait assez.
— Alors comment devrai-je t’appeler ? demanda Vhif qui bondit devant lui pour lui ouvrir la porte avec une courbette. Préférerais-tu « mon suzerain » ?
— Arrête ça, tu veux ?
— Pourquoi pas un bon vieux « maître » ? (Quand John le foudroya du regard par-dessus son épaule, Vhif haussa les épaules.) Très bien. Je me contenterai de « tête de con », alors. Mais c’est ta faute, je t’ai donné le choix. 
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On a accouru en entendant ton crâne cogner par terre. Tape m'en cinq, papounet. Est-ce que je pourrai lui apprendre à se battre, au petit monstre ?
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Seigneur, quand elle était petite, avant sa transition, il avait été tellement sûr de pouvoir la protéger et prendre soin d'elle. Quand elle avait faim, il s'assurait qu'elle avait à manger. Quand elle avait besoin de vêtements, il lui en achetait. Quand elle n'arrivait pas à dormir, il restait avec elle jusqu'à ce qu'elle ferme les yeux. A présent qu'elle était adulte, il avait l'impression que son répertoire se cantonnait aux consolations. Même si c'était peut-être la manière dont les choses fonctionnaient. Quand on était enfant, une bonne berceuse était tout ce qu'il fallait pour apaiser l'angoisse de la journée et avoir le sentiment d'être en sécurité.
En la tenant dans ses bras en cet instant, il souhaita qu'il existe de tels remèdes pour les adultes.
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"Bella mit une main devant sa bouche. Une longue balafre marquait le visage du mâle. On aurait dit que quelqu'un avait essayé de le couper en deux avec un couteau. La ligne épaisse de la cicatrice partait du front, descendait le longe de l'arête du nez et s'incurvait sur la joue. Elle finissait à la commissure des lèvres, déformant la lèvre supérieure.
Des yeux étrécis, aussi noirs et froids que les ténèbres, l'examinèrent, puis s'élargirent très légèrement. Il ne semblait pas troublé, son corps massif restait immobile ; seule sa respiration rapide révélait un mouvement.
Il me veut, pensa-t-elle. Et il ne sait pas comment réagir.
Sauf que les hésitations et l'étrange perplexité qu'il laissait paraître s'évanouirent. A leur place surgit une colère froide qui épouvanta Bella. Sans le quitter des yeux, elle recula jusqu'à la porte et appuya sur la barre qui permettait de l'ouvrir. Lorsqu'elle se rendit compte qu'elle n'arrivait à rien, elle eut le sentiment d'être piégée.
Le mâle l'observa tandis qu'elle se débattait avec la porte un moment, puis il se dirigea vers elle. Il lançait sa dague en l'air, la rattrapant par la poignée, tout en franchissant l'espace qui le séparait d'elle et qui était recouvert de tapis. [...]
- Je ne sais pas ce que vous faites ici, dit-il d'une voix sourde. A part déranger mon entraînement.
Son hostilité était palpable tandis qu'il l'examinait des pieds à la tête, mais il émanait aussi de lui une chaleur animale, une espèce de menace sexuelle qui n'aurait vraiment pas dû la captiver.
- Je suis désolée, je ne savais pas...
- Tu ne savais pas quoi, femelle ?
Mon Dieu, il était désormais si prêt ! Et il était tellement plus grand qu'elle !
- Je suis désolée, dit-elle en se plaquant contre la porte.
Le mâle frappa le métal de chaque côté de sa tête. Bella posa les yeux sur la dague qu'il tenait, mais elle oublia l'arme lorsqu'il se pencha sur elle. Il s'arrêta juste avant que leurs corps se touchent.
Bella inspira profondément et le sentit. L'odeur qu'il dégageait était davantage un feu dans ses narines que quelque chose de précis. Et elle y répondit, le chaleur, le désir montant.
- Tu es désolée, dit-il en tournant la tête et en posant les yeux sur son cou. (Lorsqu'il sourit, elle vit que ses canines étaient longues et très blanches.) Oui je suis sûr que tu l'es."
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Mon Dieu, il connaissait même leurs noms. Rhage, Fhurie. Et ce Zadiste, à vous foutre les jetons de votre vie.
Ouais, pas de Tom, Dick et Harry chez les vampires.
Mais, sérieusement, imaginez un suceur de sang répondant au nom de Howard. Ou d'Egène.
"Oh, non, Tom, je t'en prie, me mords pas."
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-Ecoutez, vous êtes pas vraiment en état d'affronter le capitaine. (La voix de José était égale et pragmatique). Vous devez dessaouler. Reprendre vos esprits. Venez plus tard, je vous couvre.
-Merci.
-J'ai laissé de l'aspirine à côté du téléphone avec un grand verre d'eau. J'ai pensé que vous seriez pas en état d'aller jusqu'à la cafetière. Prenez-en trois, décrochez votre téléphone et dormez. S'il arrive quelque chose d'intéressant, je passe vous prendre.
-Je t'aime, chérie.
-Alors achète-moi un vison et des boucles d'oreille en diamant pour notre anniversaire.
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Il est aussi tendre qu'un fusil à canon scié
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Bienvenue dans le merveilleux monde de jalousie, pensait-il. Pour le prix d'admission, vous obtenez un mal de tête, une envie presque irrésistible à commettre un meurtre, et un complexe d'infériorité. hourra!!!

Wrath
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Beth fixait une sorte de néant vaporeux qui s'étendait devant elle. Elle se trouvait dans un paysage onirique, aux contours nébuleux qui suggéraient que ce qu'elle avait devant les yeux était infini.
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- Je ne suis vraiment pas convaincu par ce cuir.
Viszs leva les yeux de sa rangée d'ordinateurs. Butch se tenait debout au centre de la salle, vêtu d'un pantalon en cuir, une expression sur le visage qui disait haut et fort "non, mais je rêve!"
- Il ne te va pas? demanda V. à son ami.
- Ce n'est pas le problème. Sans vouloir vexer personne, ces trucs, ça fait franchement Village People. Sans blague, faut pas déconner.
- Ils sont faits pour combattre, pas pour un défilé sur un podium.
- Oui, les kilts aussi, mais tu ne me vois pas me balader les mollets à l'air.
- Heureusement. Tu as les jambes trop arquées pour pouvoir te le permettre.
Butch afficha une expression exaspérée, feinte.
- Mords-moi, je rêve!
Si seulement, se dit V.
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Phury alluma un joint et regarda d’un air sidéré les seize vaporisateurs d’AquaNet alignés sur la table basse du salon de Vishous et Butch.
- Mais qu’est-ce que vous foutez avec toute cette laque, les mecs? Vous comptez vous reconvertir en drag-queens ?
Butch lui tendit une longueur de tuyau PVC au bout duquel il avait creusé un trou.
- C’est du lancer de patates, mon petit vieux. Un jeu très rigolo.
- Pardon?
- Mais enfin, n’as-tu jamais été en colonie de vacances?
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Il poussa un rugissement d'extase.
Le paradis. Il savait désormais ce qu'était le paradis.
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Les ténèbres ne m'emporteront jamais car tu es là, la lumière de ma vie. Marissa, voilà ce que tu es.
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