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3.7/5 (sur 161 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Winter Haven, Floride , le 17/12/1954
Biographie :

Sous le pseudonyme Jeanne M. Dillard, elle a écrit de nombreux romans dans l'univers Star Trek.

Jeanne M. Kalogridis étudia dans un premier temps la microbiologie, puis finit par décrocher un BA (équivalent de la maîtrise) en Russe.

Elle travailla ensuite pendant quelques années comme secrétaire dans un cabinet de juriste. Elle retourna pour quelque temps à l’université, et finit par décrocher un Master en Linguistique.

Elle et son compagnon déménagèrent alors pour Washington, ou Jeanne Kalogridis enseigna pendant huit ans l’anglais à l’American University.

Ses premières œuvres littéraires sont des novélisations dans l’univers de Star Trek, univers pour lequel elle écrivit pas moins d’une quinzaine de roman sous le pseudonyme J. M. Dillard.

Son œuvre vampirique se compose essentiellement de la série des Journaux de la famille Dracul, dans lequel elle raconte sa vision du personnage de Dracula (et donc du récit de Bram Stoker).

Jeanne Kalogridis a également écrit des ouvrages historiques, notamment sur Mona Lisa et la famille Borgia.

Twitter: https://twitter.com/jkalogridis
son site: http://www.jeannekalogridis.com/
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Source : http://www.vampirisme.com/auteur/jeanne-kalogridis/
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Deux grands D entrelacés dos à dos pour former un H. Ce monogramme de Diane et Henri allait devenir son emblème, et jusqu'à la fin de mes jours je le verrais fleurir sur les murs, tapisseries, et peintures de tous les châteaux. J'eus beau me dire que j'avais obtenu ce que je désirais le plus au monde : la vie d'Henri, et la chance de pouvoir lui donner des enfants, j'étais profondément blessée.
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Mes propres yeux se sont remplis de larmes , non point de chagrin , mais de joie devant l'exquise expression d'amour et de reconnaissance que j'ai lue sur son visage.
Il m'avait vue , il m'avait reconnue
Cette certitude a suffi à étancher toutes mes peurs , tous mes doutes.Toujours à genoux , j'ai pressé la paume contre sa blessure.Trop fort , car la fente était large et profonde.Elle s'est ouverte et mes mains se sont glissées un instant à l'intérieur de sa poitrine , plus loin que sa clavicule et ses côtes.
j'ai touché son coeur
Son coeur qui battait encore.
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Je ne sacrifierai pas l’Enterprise. Nous avons fait trop de compromis dans le passé, trop battu en retraite. Ils envahissent notre espace... et nous nous replions. Ils assimilent des dizaines de mondes... et nous nous replions. Alors assez ! Ils n’iront pas plus loin. Je le jure ! Cette fois-ci ils n’avanceront plus ! Et là, ils vont payer le prix pour tout ce qu’on a subi.
– Capitaine Jean-Luc Picard
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"- jusqu'où il faudra, répondis-je. Mais pas jusqu'à me faire engrosser par un autre.
Il hocha lentement la tête.
- Dans ce cas, madame la dauphine, vous allez devoir verser le sang pour le sang."
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Et sur la bosse de la baleine blanche il avait amassé la somme de toutes les rages, de toutes les haines ressenties par tous les siens. Sa poitrine aurait été un canon, son cœur serait devenu un obus. [...] Achab a passé des années à chasser la baleine blanche qui lui avait pris sa jambe. Une soif de vengeance. Seulement, cette quête insensée l’a conduit à sa perte et à celle de son navire.
– Capitaine Jean-Luc Picard, citant "Moby Dick"
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Il connaissait le regard d'un tueur : le ressentiment borné, la lueur d'amusement un peu folle, l'arrogance et, parfois, pire que tout : l'indifférence.
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Il ne pouvait pas retourner en prison, à une vie dénuée de sens, à une souffrance éternelle. En prison, il n'avait aucune chance de retrouver le tueur d'Helen. Le seul espoir résidait dans la liberté. Il résisterait, quoi qu'il lui en coûtait, et n'hésiterait pas à exposer sa vie aux pires dangers pour une chance, si petite fut-elle, de passer entre les mailles du filet
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Les paysans ont raison ; Vlad est un monstre. Ils ignorent simplement l'espèce à laquelle il appartient.
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A défaut de preuve, mieux valait continuer à fuir jusqu'à la mort. D'une manière ou d'une autre, il devait aller voir Charles Nichols, lui faire cracher la vérité. Kimble voulait avoir la satisfaction de l'affronter en face. Il n'avait vraiment rien à perdre.
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Ce matin-là - le vingtième jour du mois de mai -, la sensation qui me transperça, alors que j'étais assise son mon coussin de velours à côté du pape et que je toisai l'homme qui se tenait près de mon mari, fut rapide, violente, pareille à un coup de poignard dans le cœur. Je tremblai. Je la refusai. Je ne l'avais pas recherchée, et pourtant, elle était là et me réduisait à sa merci. En outre, j'ignorais tout de l'homme qui venait de me subtiliser mon âme.
J'étais entrée dans la maisonnée du pape Alexandre animée du désir de faire bonne impression, d'être une bonne épouse pour son fils, Jofré, et j'étais à présent complètement égarée.
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