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Chers voisins : Mots doux et petites querelles de voisinage. Tome 2 de J'ai lu
Cher voisin d'en face, j'ai bien vu que vous aviez de jolies fesses. Vous pouvez maintenant poser des rideaux.
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Chers voisins : Mots doux et petites querelles de voisinage. Tome 2 de J'ai lu
Cher voisin d'en face, j'ai bien vu que vous aviez de jolies fesses. Vous pouvez maintenant poser des rideaux.
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Chers voisins : Mots doux et petites querelles de voisinage. Tome 2 de J'ai lu
Missionnaires évangélistes, témoins de Jehovah, scientologues, scouts, homéopathes et autres colporteurs de foi, ici les sorcières, la sodomie, Satan, les chats et le rock n' roll se sont réunis pour chasser Dieu de cet immeuble. Vous passez cette porte à vos risques et périls. Bienvenue en enfer. 666 |
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Lettres à la jeunesse : Dix poètes parlent de l'espoir de J'ai lu
O jeune homme de soixante ans, Tombe amoureux si tu veux. En amour, l'âge ne compte pas. Une règle de l'amour dit-elle Qu'il faut avoir entre vingt et vingt-cinq ans? Qu'a l'âge à faire avec l'amour? A seize ans comme à soixante, Le fleuve souterrain de l'amour suit son cours. A soixante ans, le coeur peut encore saigner, Et les doigts saisis d'amour trembler Dans une étreinte. A soixante ans, l'esprit peut encore plonger Dans une mare de boue et en remonter un lotus L'âge est une barrière dérisoire Par-dessus laquelle on peut sauter à son gré. Au fur et à mesure que l'âge avance, La jeune plante de l'amour pousse avec luxuriance, Atteint le ciel et devient un arbre. Plus elle avance en âge, Plus une femme sait aimer. Taslima Nasreen |
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Une heure de lecture gourmande de J'ai lu
À ceux qui pensent que le papier n'a pas d'odeur, ne soyez pas dupes : la gourmandise littéraire est capable de vous faire saliver tout autant que le fumet qui s'échappe de la cuisine… L'expérience vous l'aura prouvé.
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Chers voisins de J'ai lu
Témoin de Jehovah si je te vois mettre un seul prospectus dans ma boîte j'espère que tu cours vite sans quoi je vais te proférer ma bonne parole à moi
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Ali Baba et les quarante voleurs - Histoire du cheval enchanté de J'ai lu
Le lendemain, la première chose que fit la princesse quand elle fut levée fut de se mettre à sa toilette. Jusqu'alors elle n'avait pas encore pris autant de peine qu'elle en prit ce jour-là pour se coiffer et s'ajuster, en consultant son miroir. Jamais ses femmes n'avaient eu besoin de plus de patience pour faire et défaire plusieurs fois la même chose, jusqu'à ce qu'elle fût contente. "Je n'ai pas déplu au prince de Perse ne déshabillé, je m'en suis bien aperçue, disait-elle en elle-même : il verra autre chose quand je serai dans mes atours." Elle s'orna la tête des diamants les plus gros et les plus brillants, avec un collier, des bracelets et une ceinture de pierreries semblables, le tout d'un prix inestimable ; et l'habit qu'elle prit était d'une étoffe la plus riche de toutes les Indes, qu'on ne travaillait que pur les rois, les princes et les princesses, et d'une couleur qui achevait de la parer avec tous ses avantages. Après qu'elle eut encore consulté on miroir plusieurs fois, et qu'elle eut demander à ses femmes, l'une après l'autre, s'il manquait quelque chose à son ajustement, elle envoya savoir si le prince de Perse était éveillé, et au cas qu'il le fût, et habillé, comme elle ne doutait pas qu'il ne demandât de venir se présenter devant elle, de lui marquer qu'elle allait venir elle-même et qu'elle avait se"s raisons pour en user de la sorte. + Lire la suite |
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Chers voisins - Intégrale de J'ai lu
Cher voisin d'en face, j'ai vu que vous aviez de jolies fesses. Vous pouvez maintenant poser des rideaux.
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Ali Baba et les quarante voleurs - Histoire du cheval enchanté de J'ai lu
Le roi de Perse, qui fut témoin avec non moins d'admiration que d'étonnement, du spectacle inouï que l'Indien venait de lui donner, conçut en même temps une forte envie de posséder le cheval ; et, comme il se persuadait qu'il ne trouverait pas de difficultés à en traiter avec l'Indien, quelque somme qu'il lui en demandât, résolu de la lui accorder, il le regardait déjà comme la pièce le plus précieuse qu'il aurait dans son trésor, dont il comptait de l'enrichir.
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Ali Baba et les quarante voleurs - Histoire du cheval enchanté de J'ai lu
Les choses ainsi disposées, quand les mulets furent chargés des trente-sept voleurs, sans y comprendre le capitaine, chacun caché dans un des vases, et du vase qui était plein d'huile, leur capitaine, comme conducteur, prit le chemin de la ville, dans le temps qu'il avait résolu, et y arriva à la brune, environ une heure après le coucher du soleil, comme il se l'était proposé. Il y entra, et il alla droit à la maison d'Ali Baba, dans le dessein de frapper à la porte et de demander à y passer la nuit avec ses mulets, sous le bon plaisir du maître. Il n'eut pas la peine de frapper : il trouva Ali Baba à la porte, qui prenait le frais après le souper. Il fit arrêter ses mulets, et, en s'adressant à Ali Baba : "Seigneur, dit-il, j'amène l'huile que vous voyez, de bien loin, pour la vendre demain au marché ; et, à l'heure qu'il est, je ne sais où aller loger. Si cela ne vous incommode pas, faites-moi le plaisir de me recevoir chez vous pour y passer la nuit : je vous en aurai obligation." Quoique Ali Baba eût vu dans le forêt celui qui lui parlait, et même entendu sa voix, comment eût-il pu le reconnaître pour le capitaine des quarante voleurs , sous le déguisement d'un marchand d'huile ? + Lire la suite |
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Ali Baba et les quarante voleurs - Histoire du cheval enchanté de J'ai lu
Ali Baba, qui connut la nouvelle obligation qu'il avait à Morgiane de lui avoir conservé la vie une seconde fois, l'embrassa. "Morgiane, dit-il, je t'ai donné la liberté, et alors je t'ai promis que ma reconnaissance n'en demeurerait pas là et que bientôt j'y mettrait le comble. Ce temps est venu, et je te fais ma belle-fille." Et, en s'adressant à son fils : "Mon fils, ajouta Ali Baba, je vous crois asse bon fils pour ne pas trouver étrange que je vous donne Morgiane pour femme sans vous consulter. Vous ne lui avez pas moins d'obligation que moi. Vous voyez que Cogia Houssain n'avait recherché votre amitié que dans le dessein de mieux réussir à m'arracher la vie par sa trahison ; et, s'il y eût réussi, vous ne devez pas douter qu'il vous eût sacrifié aussi à sa vengeance. Considérez de plus qu'en épousant Morgiane vous épousez le soutien de ma famille tant que je vivrais, et l'appui de la vôtre jusqu'à la fin de vos jours." Le fils, bien loin de témoigner aucun mécontentement marqua qu'il consentait à ce mariage, non seulement parce qu'il ne voulait pas désobéir à son père, mais même parce qu'il y était porté par sa propre inclination. + Lire la suite |
La boîte à ragoût de Pantruche :