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Citations de James A. Levine (31)


Dog aimait la violence comme une femme aime les bracelets.
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Moi, je m'y connais en politique, j'ai apporté de la poudre à une centaine de politiciens. Ils sont comme des putes, simplement ils se font payer plus. Les unes font la prostitution, les autres, la constitution.
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La parabole des cinq pains nous enseigne comment le Christ, en investissant l'amour de Dieu, a augmenté le capital et la richesse. Voilà comment Jésus a utilisé les cinq pains pour nourrir cinq mille personnes, grâce à un portefeuille d'investissements avisés. Vois-tu, Bingo, la volonté de Dieu était que la richesse croisse dans son temple et que Jésus, son élu, devienne son unique marchand ; car tel est l'amour d'un père pour son fils. (p. 73)
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[Défenestration par la police, du chef de gang Wolf, ancien « patron » de Bingo et assassin de la mère de ce dernier]

Les loups ne sont pas censés s’envoler, et Wolf n’a même pas essayé. Il s’est posé dans le chantier de Taifa Road. Son corps a écrasé les planches sur lesquelles il avait atterri. J’ai contemplé Wolf et j’ai compris laquelle des peurs de Vieux Père était fausse : la peur du bâton de son maître, chez le chien. Les chiens n’ont pas peur des bâtons ; le chien se soumet simplement devant le bâton que son maître utilise pour le battre. La vérité, c’est que le maître est l’esclave du bâton ; sans le bâton, le maître ne peut pas faire de mal à son chien. Sans le bâton, le maître ne peut pas régner. J’ai contemplé Wolf, un homme cassé sur des planches cassées. Bientôt, il serait mangé par les chiens. C’était Wolf sans sa drogue, sans son fric, sans son flingue : rien que de la bouffe pour les chiens. Il y avait un goût amer dans ma bouche. J’ai contemplé Wolf et j’ai craché sur lui.
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À Kibera, un flingue gratuit, c ‘est plus utile qu’un bus rempli de capotes.
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Cousine Sheila était chez moi. Sheila était jolie et avait environ un an de moins que moi. C’était une feignasse qui occupait de la place pour rien. Sheila passait le plus clair de son temps à traîner dans Kibera , à montrer ses jambes ou son cul et souvent à les donner pour rien, ou pour une bière ou une cigarette. Je l’avais déjà labouré deux fois. Ce soir -là ça a été la troisième.
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Le Mal du Manque et le Mal de la Perte se sont vidés de nous ensemble… Mrs Steele a vu en moi ce que voulais en elle. Je voulais une mère, elle voulait un fils.
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La vie n’est qu’un manteau très mince jeté sur la mort.
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Mais là où il y a de la lumière, il y a aussi de l’ombre. C’est cette obscurité dont je ne pouvais me détacher, parce que nous l’avions en commun, Mrs Steele et moi.
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Quand j’ai vu Mrs Steele, j’ai su que c’était le début de ma plus belle course.
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Le passé est un poids qu’on a sur les épaules : trop de passé et on ne peut plus avancer.
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La plupart des gens à Kibera ne savent pas écrire, parce qu'ils n'ont pas le temps d'apprendre. Quand quelqu'un avait besoin d'une lettre, le Kepha l'écrivait. Quand quelqu'un avait un grief, le Kepha rédigeait la plainte.Quand un amant passionné voulait une lettre d'amour, ou pire, un contrat de mariage, il allait voir le Kepha. Le Kepha était la vérité ; tout le monde le savait.
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Dans tous les hommes, l'amour de soi et la haine de soi sont en équilibre sur une poutre. Un petit coup d'un côté et le destin n°1 tombe ; un coup de l'autre côté et c'est le destin numéro 2.
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Je n'étais plus au Livingstone. Je n'étais même pas à Nairobi, ni au Kenya, ni sur terre. J'étais en Charity. C'était le meilleur endroit où aller. Ca a duré l'éternité, comme durent les instants.
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Le passé est un poids qu'on a sur les épaules : trop de passé et on ne peut plus marcher.
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Aujourd'hui je suis experte dans le regret des hommes. Celui-ci n'obéit pas aux règles des classes ou de l'argent. Le mari, le prêtre, le père, le professeur, le médecin, l'homme d'affaires, le fils, le banquier, le voleur, le politicien sont tous capables de regret.
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Je ne sais pas trop dans quel but j’écris, mais je frissonne à l’idée qu’un jour je puisse regarder en arrière et lire de quelle façon je me suis liquéfiée dans mon encre jusqu’à n’être plus rien – juste lui appartenir. On ne peut jamais redresser complètement le métal tordu, on peut juste le détordre un peu.
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Le monde peut changer en un jour, ou même en une seconde.
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sensible s'abstenir..
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Je viens de lire ce livre ,c est trés émouvant et trés triste .Je ne pensais pas que ça éxistait encore .Je pense qu'il devrait y avoir des sanctions contre ces gens qui mettent des enfants dans le monde de la prostitution .
Je conseille à beaucoup de gens de lire ce livre ,ça remet les idées en place .
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