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Citations de Jean-Christophe Grangé (1625)


La destruction, quand elle est effectuée avec conscience, est un boulot accaparent.
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La science de la violence et de l'humiliation. Du mot qui frappe et du coup qui porte. Chaque syllabe était un coup de boutoir dans les fondations de la dignité humaine.
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A la Gestapo, on n'était pas assis sur un siège éjectable, mais plutôt sur sa propre tombe.
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C'était un coup à se retrouver promu, ou au fond d'un trou. Tout dépendait de comment on gérait l'information.
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"Il vaut mieux tuer un innocent que manquer un coupable "
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Quand on a connu cette terre rouge, ces paysages qui vous fracassent le cœur et vous brûlent la rétine, ces hommes et ces femmes hilares , brutaux et naïfs, qui peuvent déployer des trésors de finesse , de sensibilité artistique, de superstitions hallucinantes ,on ne s'en remet jamais vraiment . L'Afrique, c'est comme ce paludisme chronique dont on se croit guéri parce que les parasites ont apparemment disparu mais qui reste enfoui , au fond du foie ,ne demandant qu'à resurgir.
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Il y avait en Bretagne une puissance qui inquiétait et épuisait à la fois. Au loin , la mer se gonflait comme le dos d'un animal fantastique. Ses écailles venaient se frotter à la lumière du ciel. Il songea à une respiration puissante, régulière. Une force au repos qui ne demandait qu'à se réveiller.
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Ces flics n'avaient pas choisi la police par devoir civique ni peur du chômage. Ils ne gagnaient pas un rond et leur avenir se résumait à quelques grades à obtenir jusqu'à la retraite. Ils étaient là pour la prime d'adrénaline. Eprouver le terrible frisson du gouffre , des ténèbres , du Mal .
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La houle les avait aussitôt happés pour les faire plonger dans le ventre noire de la mer . Un ventre plein , gonflé , qui semblait porter dans ses flancs une vie furieuse. Une force à la fois maternelle et maléfique, rageuse ,destructrice. Une Médée qui allait les dévorer...
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Chez les flics comme partout ailleurs, moins on en dit , plus on a l'air malin .
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La mer était basse et quelques bateaux étaient échoués. C'était un spectacle triste ,désolé ,mais qui révélait une autre clé du pays : ces bateaux ne se contentaient pas de naviguer sur la mer ,ces hommes de marcher sur le sable , un lien intime les unissait . Une sorte de fusion ,de soudure ancestrale avec la terre bretonne .
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Des joncs et des roseaux bordaient des flaques noires aux reflets d'anxiété mauve ,dans un paysage de toundra monochrome et triste .
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Un nouveau dément dans le paysage, pas de quoi casser une patte à un aigle SS.
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Jadis, les méchants étaient derrière les barreaux et les gentils les surveillaient. Aujourd'hui, c'est le contraire.
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L’autopsie c’était le temps de la vérité crue. Plus de vêtements, plus de sang, plus de feuilles mortes pour dissimuler les mutilations insoutenables et les béances figées. Du net, du blanc, du noir. La froide brutalité de l’abattoir.
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Parfois, elle se souvenait de ses illusions lorsqu’elle était en fac. La folie est une fenêtre ouverte sur l’art, l’intelligence, l’imagination. Quand elle pensait démence, elle pensait Robert Schumann, Guy de Maupassant, Vincent Van Gogh, Friedrich Nietzsche… Elle sauverait les génies (et les autres) et libérerait la parole de la folie…
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A ses pieds, les ombres des feuillages frémissaient et c’était comme une secousse légère du temps même. Un éblouissement.
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On s’habitue à tout, même à la réalisation de ses rêves.
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Le danger pour un flic était d'extrapoler .Le cerveau avançait toujours plus vite que l'enquête.
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« Un verrou se moque de ce qu'il y a derrière la porte. »
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