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Critiques de Jean-Marc Rochette (565)
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Ailefroide : Altitude 3 954

Le dessinateur Jean-Marc Rochette signe une autobiographie dessinée dans laquelle il raconte son amour de jeunesse pour la haute montagne et l’alpinisme. Un récit intime mais aussi tragique qui rencontre un beau succès dans l’Oisans.
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Ailefroide : Altitude 3 954

Magnifique roman graphique ! Bel hommage à l'alpinisme et à la montagne. Permet aussi de découvrir l'enfance/adolescence de Jean-Marc Rochette (autobiographie). Les dessins sont magnifiques, l'histoire m'a accroché tout du long. A mettre entre les mains de tous les amoureux de la montagne.
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Ailefroide : Altitude 3 954

Sans être spécialement fan d'alpinisme je suis resté scotché par cet album que j'ai ouvert un peu par hasard. Le graphisme dessert parfaitement l'histoire qui est vraiment captivante et poignante !

Pour moi le meilleur album de BD 2018.
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Ailefroide : Altitude 3 954

On le sait dès le début, dans le préambule il nous dit qu’il a dû arrêter l’escalade à cause d’une chute de pierres. Et des chutes de pierres y’en a quelques-unes et des bien plus dangereuses. Celle qui l’a laissé sur le carreau est tombée de nulle part, pile sur lui. C’est la faute à pas d’chance.

Une vie de passion qui s’arrête pour laisser place à son autre passion, le dessin. Et ça c’est pas dommage

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Ailefroide : Altitude 3 954

L’enfance et la jeunesse de JM Rochette passionné de dessin, peinture et amoureux de la montagne.

Il se destine au métier de guide jusqu’au moment où….



C’est son histoire. Il réussit à nous entraîner en montagne, à nous faire partager la montagne, les courses.

La beauté, mais aussi sa dureté, son imprévisibilité mortelle.



J’ai adoré l’histoire, le graphisme.

J’ai reçu un coup de poing au creux de l’estomac, comme dans un film, au moment où il monte sur le massif de l’Ailefroide en solo : le dessin est somptueux et accompagne admirablement la dramaturgie.



Une magnifique réussite.

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Ailefroide : Altitude 3 954

Jean-Marc Rochette, fasciné depuis l'enfance par Le Boeuf écorché de Soutine au musée de Grenoble, tombe un jour amoureux de la montagne. Souffrant de sa relation tendue et peu affective avec sa mère obligée de l'élever seule, et de l'intransigeance aveugle de ses professeurs au lycée, il fuit l'internat les mercredis après-midis pour escalader des sommets avec son ami Sempé. A 16 ans, tous deux rêvent de devenir un jour guides de haute montagne, d'ouvrir de grandes voies, de remplir une liste de courses pour postuler à la formation d'aspirant guide. Mais au moindre faux pas, à la moindre mauvaise évaluation du temps, la montagne est sans pitié...



Puissant et sans concession, ce récit autobiographique révèle la première vocation du dessinateur Jean-Marc Rochette, l'auteur du Transperce-neige, qui a dû renoncer à son rêve de grimper un jour la face nord d'Ailefroide et d'en faire son métier, vaincu par la dangerosité de l'alpinisme.



Dans ce récit initiatique, Jean-Marc Rochette nous livre malgré tout un vibrant hymne à la beauté des sommets et de la montagne.
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Ailefroide : Altitude 3 954

Le Loup de Jean-Marc Rochette se trouvait dans mon pense-bête. Mon choix s’est porté sur ce livre car je m’intéresse aux loups et le nature writing est une thématique que j’aime suivre : Jack London, Nicolas Vanier, Clara Arnaud… Le livre m’ayant plu, j’ai voulu lire Ailefroide : Altitude 3954 du même auteur. Ce livre étant une autobiographie, j’ai appris qui est cet homme.



Jean-Marc habitait à Grenoble. Il aimait traîner dans les musées. Sa mère le secoue pour son bien et lui recommande de sortir au grand air. A l’occasion d’une promenade, il laisse en plan sa maman et gravit une montagne jusqu’à son sommet. C’est alors qu’il prend goût à l’alpinisme. Il aime grimper des versants abrupts. Pour grimper, lui dit Sampé, il faut du matos, du matériel. Sa mère qui a une pension de veuve, lui promet du matériel s’il a un quinze sur vingt en allemand. C’est chose faite, le voilà parti avec son ami.



Je suis ces deux braves avec intérêt me posant la question : Quelle est la différence entre alpinisme et escalade. L’alpinisme se pratique au-delà de 2500 mètres. L’alpiniste est confronté à la neige et à la glace. L’escalade se pratique en basse et moyenne montagne.



Les deux amis cherchent des voies tracées dans un topo guide. Ils échangent sur les difficultés. Ils dorment dans des refuges ou bivouaque. En cordée, il convient d’être solidaire, de s’entendre d’être prudent et de suivre certaines règles. Pas d’initiative à l’insu du guide de montagne ou du chef de cordée. Les deux amis ont évolués la nuit avec une lampe frontale. Parfois, ils se levaient tôt pour jouir du lever du soleil vu du sommet. Jean-Marc s’est fait des connaissances et s’est ainsi trouvé de nouveaux partenaires avec qui il a fait équipe. Sampé et lui, en tant que jeunes ont voulu faire des prouesses et épater les filles. Il est arrivé à Jean-Marc de monter en solo. Il y a eu des accidents, des blessés des morts par chutes. Quand Jean-Marc s’imaginait mourir, il disait : « Je ne serai jamais un grand dessinateur » et pas « … un grand alpiniste ».



A la suite d’une chute, il a été défiguré et à subit de nombreuses opérations. Dans ces circonstances, il relativisait. Lui sortira de l’hôpital, son voisin de chambre va y rester et mourir d’un cancer.



Il n’aura peut-être pas de deuxième chance de s’en sortir. Il substituera à l’alpinisme le dessin.



Il a eu raison Jean-Marc, Il est scénariste et dessinateur de bande dessinée. Le résultat est au rendez-vous. J’aime sa façon de représenter les personnages, ses ciels bleu, de tempêtes, ses levés de soleil.



Ces mordus de la montagne sont des gens déterminés qui risquent leur vie et doivent pouvoir prendre des décisions rapides pour eux et leurs coéquipiers. J’ai appréciés les vues en élévation, les vues plongeantes aussi où l’on voyait ce qui se trouvait au sol en miniature, des voitures dans un parking, par exemple, à vous donner le vertige.



A un moment de ma lecture j’en avais assez de voir toujours de la montagne. Lors d’une deuxième lecture certains points ont vu le jour, ont recadré les choses et accru mon intérêt pour l’ensemble



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Ailefroide : Altitude 3 954

Encore un titre lu dans le cadre du Prix Cezam BD de 2019 qui s'avère excellent. Pourtant au départ le trait épais du dessin ne me plaisait pas vraiment. Rochette raconte dans cet album sa jeunesse, son désir incessant de grimper et son attrait pour le dessin. Mais la montagne est dangereuse et blesse de plus en plus son entourage, jusqu'à le heurter lui à son tour violemment au visage. Le lecteur effectue avec l'auteur toutes les grimpes, explore toutes les voies, craint pour les grimpeurs qui prennent des risques ou chutent. Un récit qui est un hymne à la montagne, à l'alpinisme, mais pas que. Une belle leçon aussi de volonté et de persévérance.
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Ailefroide : Altitude 3 954

8 août 2018. Amoureux de la montagne, adeptes de la grimpe et curieux se sont réunis à l’Alpe d’Huez autour de Jean-Marc Rochette. Ici, à 1860 mètres d’altitude, en plein coeur de l’Oisans, entouré par Le Rochail, Belledonne, Grand Galbert, Le Taillefer, Ailefroide et l’histoire de l’alpiniste devenu dessinateur nous parlent à tous sans exception. Conscients de la dangerosité de ce milieu naturel qui nous entoure au quotidien, nous avons bu les paroles d’un homme expérimenté, chargé d’histoires, d’anecdotes, d’heureux hasards et de tristes épisodes à raconter.

Interview de Jean-Marc Rochette à lire sur : www.lesmotsdesautres.com
Lien : https://lesmotsdesautres.com..
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Ailefroide : Altitude 3 954

L'histoire vraie de Rochette, sa passion pour l'alpinisme, ses rêves abandonnés après la perte de beaucoup de proches, avalés par la montagne, et par un grave accident qui le défigurera. Les scènes en montagne sont superbes, la fascination et le danger de la montagne sont décrits dans toute leur splendeur.
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Ailefroide : Altitude 3 954

Les bleus du ciel.

Jeune homme courageux et déterminé, lucide et passionné mais aussi insoumis et entêté, Jean-Marc Rochette, parvenu à l’âge adulte, a su conserver ses aspirations et ses convictions forgées à l’adolescence. Il raconte son parcours d’apprenti alpiniste dans les Ecrins, avec ses envolées et ses chutes et il restitue avec finesse et justesse, sa trajectoire dans le contexte des années 1970. Bien que la montagne occupe la majeure partie du récit, l’autre passion de Jean-Marc Rochette pour le dessin est esquissée à la pointe forte.

L’Ailefroide, altière montagne des Ecrins, cristallise le désir de Rochette et Sempé, compagnons de cordée. Une fois aguerris, ils se font la promesse de réaliser l’ascension de l’Ailefroide.

Que dire de plus de ce chef-d’œuvre graphique et narratif ? Malgré la dureté d’un propos sans concession, esbroufe et pathos, le lecteur ne peut qu’être reconnaissant d’avoir été transporté, par un dessinateur inspirant, sur les cimes mystiques du dépassement de soi. Au travers d’une histoire portée et mûrie durant plus de quarante ans, Jean-Marc Rochette délivre un récit graphique possédant la fougue et la transparence d’un torrent tranchant des Ecrins. En passant par le trou de la lorgnette autobiographique, par la grâce d’un talent de peintre et d’auteur, Jean-Marc Rochette touche au cœur et atteint l’universel.
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Ailefroide : Altitude 3 954

Ce récit autobiographique de Jean-Marc Rochette est édifiant, captivant. Amateur d’art avant tout, fasciné par la peinture « Le bœuf écorché » de Soutine au musée de Grenoble, c’est presque par hasard qu’il tombe amoureux de la montagne au pied de laquelle il vit mais qu’il ignore. Sa mère, qui l’élève seule, lassée de le voir passer son temps au musée, le traine de force en randonnée en montagne, sous la pluie (il a au plus une dizaine d’années). Une fois dépassé le toit de nuages, il grimpe sur un pic rocheux, et a un véritable choc esthétique en découvrant le paysage grandiose des sommets face à lui. « C’était la beauté absolue. Je n’avais qu’une idée en tête : monter. Monter tout en haut. ». S’ensuit tout un apprentissage de la technique d’escalade avec son ami Sempé, d’abord sur les falaises de la banlieue de Grenoble, puis rapidement de plus grandes voies dans le massif des Ecrins. C’est la course aux courses de montagne, pour devenir à terme guide de haute montagne. Une passion, des capacités, une voie a priori tracée. Jusqu’à l’accident. Qui aurait pu lui être fatal. Mais qui l’a (heureusement pour nous, et probablement pour lui, car ses amis de cordée n’ont pas vécu vieux) réorienté vers son autre passion : le dessin.

Un récit empli de sincérité, qui ne fait pas l’impasse sur les risques pris avec l’inconscience de la jeunesse, et sur la conscience de sa chance chaque fois que le destin l’épargne. Un vrai destin. Et une postface qui éclaire sur ce qui motive les alpinistes à risquer leur vie.

Le dessin de Rochette est un peu sombre et chargé, mais il dessert bien l’histoire, les ambiances sont bien rendues. La mise en case reste assez classique.

Très intéressant.
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Ailefroide : Altitude 3 954

Une très belle BD autobiographique du dessinateur jean-Marc Rochette qui détaille son adolescence passionnée par l'alpinisme, spécifiquement dans le Massif des Ecrins. Les planches sont bien sûr très réussies et illustrent des lieux connus de ceux qui aiment la montagne et la pratiquent. Le simple promeneur reconnaîtra quelques refuges, comme Temple Ecrins, ou bien, plus bas, la chapelle de la Bérarde.

Diverses courses sont détaillées par le jeune Rochette et son ami Sempé avec des précisions techniques pour les spécialistes. La face nord d'Ailefroide est leur objectif pour lequel Rochette attend Sempé, mais finalement aucun des deux ne la gravira.

Egalement, de nombreuses références aux célèbres alpinistes qui ont ouvert de nombreuses voies et, à la fin, un court texte de Bernard Amy qui vous fera découvrir quel est le plus grand exploit de Reinhold Messner dit par lui-même et le meilleur alpiniste de son époque selon Georges Livanos.

Une superbe BD avec un texte très montagne, très prenant.
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Ailefroide : Altitude 3 954

Rochette me semblait être un incontournable dans l'univers de la littérature de montagne et je me suis plongée avec curiosité dans "Ailefroide". Je ne pensais pas y trouver l'autobiographie de l'auteur, et j'ai été impressionnée par la capacité de l'auteur à décrire lui-même sans concession sa propre vie.

Le cheminement dans la vie l'auteur et l'évolution de sa vision de l'univers montagnard sont bien retranscrites et j'ai parcouru ce roman graphique avec plaisir, en s'attardant ça et là sur des planches retranscrivent particulièrement bien la beauté des paysages (souvent passée au second plan dans la quête effrénée de l'auteur pour faire un maximum de sommets)
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Ailefroide : Altitude 3 954

Natif de Grenoble, Jean-Marc Rochette, a dessiné les 280 planches d'Ailefroide, un formidable récit autobiographique de son adolescence montagnarde.
Lien : https://www.lexpress.fr/cult..
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Ailefroide : Altitude 3 954

Découverte de la montagne, le début d’une passion. Roman Autobiographique dans le massif des alpes.
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Ailefroide : Altitude 3 954

Poignant est le qualificatif qui approche le mieux le sentiment que m’a inspiré la lecture de ce récit autobiographique. Un sentiment qui pourrait paraître excessif, mais qui s’explique de la part d’un lecteur qui a vécu de belles ascensions, sans pour autant s’être frotté à des courses difficiles où l’on risque de mettre sa vie en péril. Heureux qu’en définitive Jean-Marc Rochette n’ait pas opté pour l’alpinisme professionnel, les chances eussent été grandes qu’il n’ait jamais vécu assez longtemps pour publier le récit de ses jeunes années, en 2018 passé ses 62 ans… La bande dessinée s’achève sur un beau texte de Bernard Amy qui résume à la perfection les splendeurs et vicissitudes de l’alpinisme. Côté de l’ubac : « … avec l’alpinisme, j’ai découvert les mille petites et grandes souffrances que suscite la fréquentation de la haute montagne, toutes ces épreuves qui font douter du bien-fondé de la haute montagne… ». Côté de l’adret : « Les difficultés qu’oppose l’altitude sont simplement le prix à payer pour découvrir et vivre les exceptionnels plaisirs procurés par la pratique sportive de la haute montagne. Ils sont nombreux ces plaisirs… »

Pour ma part, je hisse Aile froide altitude 3954, à un rang proche des sommets passionnants des grands montagnards : Montagnes d’une vie de Walter Bonatti, Conquérants de l’inutile de Lionel Terray, Eiger : dernière course de Joe Simpson, et tant d’autres qui vécurent assez pour raconter les défis vertigineux dans lesquels ils se sont engagés…

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Ailefroide : Altitude 3 954

dessins superbes, belle histoire vraie, un auteur qui ne lâche rien, on peut s'en inspirer !!!

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Ailefroide : Altitude 3 954

J'ai beaucoup aimé cette BD. Je n'ai jamais fait d'escalade, ni aucun "sport extrême", je me suis contentée de faire du parapente et de me baigner dans des conditions parfois limites. Je trouve que l'auteur restranscrit bien la complexité du rapport à la nature que l'on peut avoir quand on prend des risques. J'ai aimé suivre son évolution, partager des moments extatiques et difficiles... Le fait que ce soit basé sur la vie du scénariste rend les choses d'autant plus puissantes. Une de mes plus belles lectures BD de cette année.
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Ailefroide : Altitude 3 954

Un peu long à démarrer. Les premiers dialogues qui amorcent le récit sont trop artificiels. Ce récit initiatique ponctué de croix sur une liste de voies se met doucement en place. À la vitesse d'un grimpeur qui débute, tarde à dénicher la bonne prise, hésite à pousser sur ses jambes, s'interroge sur la qualité d'assurage de son partenaire.



Pour un grimpeur comme moi, cette chronique autobiographique avait tout pour plaire. Parfois, quand ses amis, Sempé ou Laroche-Joubert hurlaient "Jean-Marc" au pied d'une falaise, je tournais la tête. Nous portons le même prénom Rochette et moi. Partageons la même passion pour la grimpe et la montagne. Mais Jean-Marc Rochette dispose d'un talent que je n'aurai jamais. Celui de croquer, une tranche de vie, un univers, au moyen d'un crayon ou d'un pinceau. Les images de mon enfance ne s'animent que dans mon crâne et les mots pour la décrire me semblent si dérisoires face aux murailles de granit que Rochette esquisse au fil des pages d' "Ailefroide : Altitude 3954".



Étrangement, c'est lorsque Rochette prend la parole, s'empare du « je » que cette histoire tutoie les sommets. Les personnages s'affirment. Lui évidemment, mais aussi sa mère, ses amis et le rocher. Jean-Marc Rochette alterne avec beaucoup de finesse le récit des glorieux anciens avec ceux de ses propres aventures. Il nous entraîne dans sa cordée. On le suit sans appréhension tant sa compagnie, qui s'épaissit au fil des pages, nous fascine. Autant par ses silences que son obsession verticale. Certains passages, comme celui de l'hôpital, dégagent une émotion profonde et sincère. Au-delà des presque trois cents pages, ce que l'on retient, c'est le récit d'un homme. Un montagnard devenu artiste. À moins que, comme le suggèrent les premières planches au musée, ce ne fût le contraire…



Je viens de jeter une dizaine de dégaines dans mon sac à dos. Un pote m'attend au pied de chez moi. Ah ! je l'entends qui m'appelle : « Jean-Marc, tu viens ? "

Le rocher n'attend pas !



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