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Citations de Jean-Michel Beuriot (16)


Voltaire : "Le philosophe se doit d'agir sur le monde dans lequel il vit."
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- C'est vous qui avait téléphoné pour signaler des femmes de mauvaise vie ?
- Oui, commissaire.
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Le défi est immense, mais je me veux optimiste. Si l’Homme est capable du pire, comme le passé récent nous l’a douloureusement rappelé…
…il est aussi capable du meilleur.
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Nos prêtres ne sont point ce qu'un vain peuple pense; notre crédulité fait toute leur science...
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Ne jamais entreprendre une tâche sans l'ambition de la mener à bien : c'est un de mes crédos.
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Il vaut mieux tard que mal, et cela en tout genre.
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Voltaire : "Pourquoi une femme ne pourrait-elle pas s'instruire ? Pourquoi ne pourrait-elle pas se passer d'un homme ?"
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Lasalle : "Pourquoi avoir écrit ces... horreurs ?"
Voltaire : "Pour plaire à la duchesse. Et pour qu'on parle de moi. La célébrité s'acquiert aussi par le scandale."
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Voltaire : "N'est-il pas singulier que dans nos sociétés les morts soient traités avec plus d'égards que les vivants ? Le contraire ne serait-il pas plus convenable ?"
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Voltaire : "Voilà des propos bien dissonants dans la bouche d'un homme d'église !..."
Abbé Servien : "Mon jeune ami, je préfère la luxure de l'Enfer à l'ennui du Paradis ! ..."
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Voltaire : "Je n'avais absolument aucune attirance pour le droit, Ceux qui le pratiquent sont des esprits ergoteurs. Leur langue est contrefaite et bancale..."
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Voltaire : J'étais ému par le triste sort des paysans de la région. La terre étant inculte, ils vivaient dans le plus grand dénuement. En améliorant les rendements, je leur ai permis de vivre dignement de leur travail.
Lasalle : Remarquable !...
Voltaire : Le paysan est ignorant et dépourvu de capital à investir. Seul le seigneur peut agir pour améliorer son sort...
Lasalle : Sauf votre respect... Vous formulez là une vision très féodale de la société. Or, il me semble que vous étiez farouchement hostile à l'anarchie féodale et très favorable à la centralisation monarchique.
Voltaire : Vous avez raison. Mais je n'étais pas encore un gentilhomme de campagne. Depuis que je le suis, ma vision est plus nuancée. Un seigneur peut mener une action positive pour la collectivité, à condition de résider sur place, et non de parader à la cour. Je voudrais maintenant qu'on lui laisse plus d'indépendance sur ses terres... (p. 36)
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Lasalle : "Parlez-moi de l'Angleterre..."
Voltaire : "C'est un pays de liberté et de tolérance religieuse. Un Anglais va au Paradis par le chemin qui lui convient. Un Français y va par les chemins tortueux que la prêtraille lui impose..."
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J’ai connu des moments de bonheur, et j’en connais encore. Solidement ancré en moi, subsiste un fond de pessimisme quant à l’avenir. Celui de mes filles, celui des générations futures… la folie des hommes a gâché mes plus belles années. On ne se remet jamais vraiment d’une jeunesse abîmée.
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Le marquis de Châteauneuf : J'ai reçu une lettre d'une dame Dunoyer. Elle se plaint qu'un membre de l'ambassade ait corrompu sa fille...
Voltaire : Ce n'est pas moi, monsieur l'ambassadeur.
Le marquis de Châteauneuf : Elle parle d'un "jeune poète libertin". Pourquoi nier ?
Voltaire : À cause des jésuites...
Le marquis de Châteauneuf : Qu'est-ce que les jésuites viennent faire dans cette histoire ?
Voltaire : Ils m'ont appris à nier les faits qui pourraient m'être reprochés...
Le marquis de Châteauneuf : Vous m'aviez promis une conduite irréprochable !
Voltaire : Nous ne nous étions pas accordés sur le contenu précis du mot... (p. 20)
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Lasalle : Délicieux ! Quelle sorte de viande est-ce ?
Voltaire : Ce n'est pas du jésuite... Le jésuite n'est bon ni à rôtir, ni à bouillir...
Lasalle : Candide... Si ce n'est pas du jésuite, alors qu'est-ce ? Du porc de votre élevage ?
Voltaire : Non, jeune homme... Du cosaque.
Lasalle : Vous vous moquez de moi ?!
Voltaire : Je suis des plus sérieux. L'homme est le plus parfait des animaux. Par conséquent, sa viande est la meilleure à consommer... Vous semblez contrarié ? Je vous rassure : ce cosaque n'est pas mort d'une mauvaise maladie. Il a été tué dans les meilleures conditions... À la guerre. Cela heurte votre morale ? Pourquoi donc ? Vous trouvez normal qu'on tue dix mille malheureux au combat et vous vous offusqueriez qu'on soustraie l'une ou l'autre de leurs dépouilles aux corbeaux ?... N'est-il pas singulier que, dans nos sociétés, les morts soient traités avec plus d'égards que les vivants ? Le contraire ne serait-il pas plus convenable ?
Lasalle : Excusez-moi... Je ne me sens pas très bien...
Marie-Louise Denis [nièce de Voltaire] : Vous n'avez pas honte ? Vous amuser aux dépens de cet innocent jeune homme ! Vous ne serez donc jamais qu'un grand enfant ! (p. 76-77)
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