Jérémy Wulc

Bon, je me lance à contre-courant de l'appréciation favorable générale de ce roman me semblant sur-estimé avec une cote de 4 étoiles

.

Roman décevant, peu crédible car construit sur une trame bien trop alambiquée, cousue de fils blancs par trop faciles et visibles pour y adhérer. Beaucoup trop de passages invraisemblables même en étant bon public plombent l'ensemble.

[Par exemple narrons l'épisode avec le très sympathique ministre de l'intérieur que rencontre une fois l'enquêteur, et qui lui arrange spontanément la corruption d'une juge aux affaires familiales, au risque de sa carrière politique celà dit, et pour un lieutenant de police rencontré brièvement à une seule reprise, et parce qu'il trouve injuste le fait que son ex femme soit partie avec les e faits, et d'ailleurs elle sera bien punie par la justice influencée, na].



La piste satanisme, symbolisée par le titre aguicheur, est une bonne idée de dérivation mais qui déconnectée de l'enquête part en sucette, l'enquêteur en chef y déléguant l'inspectrice sans plus s'en préoccuper ; elle semble n'être présente que parce qu'il faut un peu d'ésoterisme pour être à la mode et se débarrasser d'un personnage dont on se demande ce qu'elle fait là à part justifier une présence féminine moderne.



Particulièrement prégnante, cette impression de sponsorising par le lobby de cette malbouffe, obsédant des enqueteurs ne pensant qu'à se nourrir de kebbabs devient assez vite lassante ; une ou deux fois cela peut faire sourire mais répétée tous les 2 chapitres...



L'on a finalement l'impression de lire un synopsis de téléfilm de deuxième partie de soirée et non pas un roman avec cette histoire et toutes ces remarques descriptives entre parenthèses.



Avec plus de simplicité et moins de digressions sans intérêts, canalisant ainsi son imagination, l'auteur pourrait faire plus attractif.

Un flic avec de la bouteille, aidé par un collègue plus jeune et une toute nouvelle recrue, vont devoir faire la lumière sur des meurtres qui ont lieu dans des lieux touristiques de Paris.

Les meurtres semblent viser des étrangers en vacances, il faut donc arrêter le coupable au plus tôt, sous peine de faire fuir les touristes.

L'enquête va nous emmener dans des milieux différents et très fermés : la franc-maçonnerie et le satanisme, mais nous allons aussi découvrir des endroits ayant des liens avec un personnage célèbre.

J'ai dévoré ce roman, dans lequel on est immergé dès les premières pages.

J'ai adoré découvrir la franc-maçonnerie ainsi que l'univers très sombre du satanisme, ces deux milieux ayant en commun d'être des mondes ésotériques très fermés pour les non-initiés.

Un polar sacrément haletant avec une fin réaliste.

Une bonne moyenne, un titre et un résumé qui donnent envie et de surcroît un héros policier émérite, tout y était pour le mettre sur ma liste !



Sauf que le policier n’est absolument pas émérite, limite looser, autodestructeur et toujours le petit garçon de ses parents, ce qui donne des dialogues ridicules !



La couverture et le titre suffisent pour qu’on devine l’intrigue mais ça aurait pu être bien mené ! Plus ça va, plus le “héros” est niais, aucune compréhension des situations, aucune connaissance de l’après-guerre alors que son grand-père est un rescapé des camps et alors niveau cœur, allons-y à la louche après 2 rendez-vous !



Des descriptions à mourir de rire quand pour la énième fois l’auteur nous dit qu’Arnaud s’endort comme un chat qui a etc... ou comme un bébé qui a etc... Et ça c’est pour toutes les descriptions !! L’auteur a oublié que ce n’est pas un scénario mais un thriller, dystopique de surcroit où il n’y a rien à découvrir parce que tout est dit dès les premières pages, à moins de fermer les yeux !



Après avoir levé les yeux au ciel et soupiré 3 ou 4 fois, je suis allée lire les critiques et les rares qui n’appréciaient pas décrivaient exactement mon ressenti ! Beaucoup de pages pour pas grand-chose et des dialogues navrants !



Challenge ABC 2021/2022

Challenge MAUVAIS GENRE 2021

Pioche dans ma PAL POLAR septembre 2021 : par Bbpoussy

Lecture THEMATIQUE septembre 2021 : Première rencontre !

En 2017, à Paris.



Arnaud Shimanski, inspecteur de police judiciaire au 36 quai des Orfèvres, se voit mis à pied suite à une bavure lors d'une interpellation. Soumis au repos forcé par sa hiérarchie durant quelques jours, il en profite pour déménager la maison de Simon, son grand-père tout juste décédé. Ce n'est pas une mince affaire. Arnaud aimait beaucoup son aïeul. Cette disparition lui a brisé le cœur. Simon Shimansky était juif, rescapé d'Auschwitz en 1945 et amateur d'art ensuite. Il a vécu plusieurs vies et sa maison regorge de souvenirs.



Alors qu'il se trouve dans le grenier, Arnaud découvre un coffre renforcé qu'il ne peut ouvrir qu'avec l'aide d'un serrurier. Il s'agit d'un coffre allemand datant de la guerre, muni de diverses cachettes. Il y trouve un uniforme et des carnets en cuir dans lesquels sont rédigés les mémoires d'un homme.



Ces mystérieuses trouvailles l'obligent à mener l'enquête afin de percer les secrets qui entourent son grand-père.





Je remercie les éditions Harper Collins France pour cette lecture.



Entre 2017, les années 1980 et surtout celles qui englobent 1942 à 1945, cette lecture nous fait découvrir un nouveau pan de l'histoire de la 2ème Guerre Mondiale. Les investigations que mène Arnaud nous conduisent sur les traces du IIIème Reich et sur l'Allemagne nazie, puis lors de la fuite des S.S à travers le monde après la guerre, dans le but de disparaître et de se faire oublier alors qu'une véritable chasse à l'homme est organisée.



Grâce à ce roman, mêlant Histoire et fiction, j'ai pu découvrir le monde de la Schutzstaffel et des Werwolf d'Hitler, sa garde rapprochée et ses loups-garous, entre Paris, Berlin, Buenos Aires et surtout San Carlos de Bariloche, fief des criminels nazis. De leur fuite d'Europe, jusqu'en Amérique du Sud, c'est leur vie, leur devenir et leur héritage qui nous sont racontés à travers l'histoire de la famille Shimanski.



Du côté de l'enquête, tout s'enchaîne à merveille. La lecture est fluide et rythmée, les pages se tournent toutes seules. C'est prenant et complétement immersif du début à la fin.



Un thriller sur le nazisme entre hier et aujourd'hui, complétement addictif que j'ai adoré. Coup de cœur absolu pour ce livre et cet auteur que je lis pour la première fois. Cette période historique me passionne, j'aime lire des romans qui y font référence. Jérémy Wulc mène avec brio cette intrigue historique.



Une belle surprise !


Lien : http://labibliothequedemarjo..

Arnaud, flic à la criminelle, en congé, apprend le décès de son grand-père, héros de la famille, rescapé d'Auschwitz. Alors qu'il aide ses parents à vider la maison du défunt, il fait une découverte dérangeante : un uniforme des membres de la section d'élite de la Schutzstaffel.



Arnaud est un perdant, qui gâche ses histoires sentimentales, se fait houspiller par son père. Il va passer en commission de discipline pour une bavure policière alors qu’il était alcoolisé.

Pourtant, on s’attache à ce personnage avec son faux air de Yvan Attal.

Ballotté par les révélations, il tombe de Charybde en Scylla lorsqu’il décide de se rendre à Buenos Aires puis à Bariloche dans une quête qui le confronte aux démons de la vie de ce grand-père.



Jérémy Wulc mêle son histoire avec l’Histoire par pans successifs, Bariloche en Argentine fut en effet un refuge de nazis en fuite où on découvrit Joseph Mengele.

L’auteur publie même un article du Monde daté du 11 octobre 2013 évoquant la mort d’Erich Priebke arrêté à Bariloche en 1995.



Un des charmes de ce roman est qu’il est conçu comme un scénario, il alterne les périodes et les lieux.

L’auteur prend le parti pris de ne rien faire raconter mais de mettre en scène les souvenirs évoqués par chacun des personnages comme des flash-back cinématographiques.

Partant d'une légende urbaine ou dystopique (au choix) l'auteur nous raconte le parcours de vie familiale d'Arnaud Shimansky. Lieutenant de police au 36, sous le coup d'une procédure disciplinaire car le gars....il a complètement déraillé lors d'un contrôle. Il perd son grand-père, Simon, galeriste, rescapé des camps. Après l'enterrement, il se rend dans la maison de Marne La Coquette de son aïeul pour la vider avec son père, Maxime.

Il trouve des éléments plus que troublants qui l'alerte mais il veut se rassurer sur la vie du grand-père. Donc direction le Mémorial de la Shoah où il rencontre Ambre, totalement engagée dans la traque d'anciens nazis, même si en ces années 2010-2020 ile ne doit plus en rester beaucoup.

Arnaud entre dans une enquête qui le mène en Argentine.....



Alors expliquer comme cela, l'intrigue peut attirer. Et c'est comme cela qu'on me l'a vendue et que j'ai été attirée. Sauf que....bah ! je n'ai pas trop kiffé la lecture de ce roman policier. Car la théorie qui est développée est tellement "je n'y crois pas" que je n'y ai pas cru. Et finalement, j'ai trouvé l'ensemble un brin grotesque même si la toute fin redresse un peu les choses.



A voir si envie de lire ou pas.

Les Loups-garous d’Argentine raconte l’histoire d’Arnaud, flic à Paris, et mis sur la touche dû à une bourde monumentale, va perdre en plus de ça son grand-père (rescapé d’Auschwitz). C’est en vidant la maison de celui-ci qu’il découvre d’anciennes choses lui appartenant, piqué au vif dans sa curiosité il va finalement partir à la recherche du passé de son grand-père ainsi que de sa famille.



Ce livre fût une belle découverte, sachant que je ne connaissais pas du tout l’auteur ni le résumé. J’ai pu le découvrir grâce à un concours gagné par les éditions Pygmalion, que je remercie encore une fois.

J’ai passé un très bon moment avec ce livre ainsi qu’avec le personnage principal. Je ne peux pas dire que j’ai été fort attaché par le personnage d’Arnaud, mais son histoire m’a quand même intrigué et je voulais, même si j’avais deviné avant certaines choses, savoir le fin mot de cette histoire.

Avec ces chapitres courts, son rythme soutenu, ce livre se lit assez rapidement. J’ai beaucoup aimé la touche d’humour de l’auteur ainsi que certaines descriptions très visuelles !



En conclusion, un bon livre, avec une couverture d’enfer, qui se lit facilement et qui grâce à une touche d’humour par ci par là m’aura paru moins pesant, surtout quand on sait que le sujet n’est pas des plus facile !

C’est ce que j’avais besoin après le livre ‘Betty’!

Les loups-garous d'Argentine (2021) est un thriller de Jérémy Wulc. Arnaud Shimansky, lieutenant de police sur la sellette après une bavure, enquête sur sa famille après la mort de son grand-père. Il découvre des incohérences dans le parcours de ce rescapé d'Auschwitz. Un roman plaisant à l'intrigue classique. Dommage que le héros soit aussi peu perspicace pour un policier.

Un livre sur un fantasme de la seconde guerre mondiale mêlant fiction et vérités historiques non romancées, dont la plume de l’auteur est fluide et très agréable..

Voici comment je pourrais parler de ce bouquin. Je l’ai dévoré en peu de temps car l’écriture de Jeremy Wulck est très agréable à lire. C’est une très jolie découverte.

Le livre se base sur un mythe qui a été bien présent dans beaucoup d’esprits, dont le FBI, et qui se retrouve parfois encore dans les journaux. L’énigme en soi, découvrir des secrets de familles, ce n’est pas vraiment ma tasse de thé. Mais mêlée à ce mythe, bien que certains passages de l’Histoire ont été réécrits, cela en fait un très bon roman prenant et attrayant.

Je n’ai pas trop compris l’utilité de l’histoire d’amour : le pauvre, rien ne va bien, il tombe sur cette fille aux longues jambes et paf c’est l’amour fou qui dure deux minutes. Mais j’ai tellement été embarquée dans le récit que j’en ai oublié de me concentrer sur les stéréotypes décrits.

J’aurai aimé plus de détails sur la fin avec Arnaud, j’en redemandais encore et c’est certainement parce que ce roman m’a beaucoup plu !

Voici typiquement le genre de roman qui se lit facilement (trop ?) mais qui ne m’emballe pas.



On suit l’itinéraire d’Arnaud, un flic qui risque la suspension, qui n’est donc pas dans la meilleure période de sa vie, qui boit, et qui, malgré le soutien d’un copain, accumule les bourdes.



Au milieu de ce marasme, son grand-père Simon, rescapé des camps, meurt. Profitant d’une mise à pied, Arnaud et son père décident de vider la maison familiale pour la vendre.

Là, Arnaud, resté seul, découvre un uniforme de la SS et des carnets rédigés en allemand. Soudain, il se rappelle que lors des obsèques, des hommes parlaient allemand, puis enfant, aussi, il a entendu son grand-père parler allemand, etc.



Il doute beaucoup, veut savoir, se rend au Mémorial de la Shoah à Paris, enquête, lui le flic. Là, il rencontre la sublime Ambre qui poursuit le devoir de mémoire d’un « oncle » déporté également. De fil en aiguille, il décide devant l’ampleur supposée de la découverte (son grand-père pourrait être un nazi) de partir en Argentine, là où son grand-père faisait des affaires en tant que marchand d’art.



En fait, le livre est supposé être « le premier roman policier » de l’auteur… j’aurais plutôt exprimé cela en une dystopie policière…



Comme je l’ai dit… la lecture est facile, le style de l’auteur est très visuel (il travaille pour le cinéma et ça se sent !) et on tourne les pages facilement…



L’histoire en elle-même, même si c’est du déjà-vu/lu, est sympathique et on suit les pas d’Arnaud dans sa quête de savoir qui il est vraiment, qui était son grand-père, et comment tout a été caché, effacé, édulcoré.



Mais voilà, entre la scène d’ouverture du roman (sans parler de la couverture qui spoile parfaitement le roman !), et des indices dans les premières pages (merci au chien du grand-père appelé Borman… oui, comme Martin… pas Boormann, John, le réalisateur !), on sait ce qui va se passer.



Enfin, moi, je n’ai été surprise à aucun moment… tout ce que l’auteur a écrit était joué d’avance.



Alors, oui, ce thème du nazi qui s’est fait passer pour un déporté (et cachait son passé) est un thème assez courant quand un auteur imagine ce genre d’histoire…

Quand Arnaud part en Argentine, c’est gros comme une maison qu’il va tomber sur le nid de nazis, et qu’il va trouver des réponses à ses questions (qu’il aurait dû s’abstenir de formuler !), et oui, son grand-père a aidé des dignitaires nazis à s’échapper…. Dont celui de la première page fait écho !



Alors, oui, si vous n’êtes pas trop pointu sur la période, ni sur les dates, vous allez lire cela comme une aventure sur ses origines et vous allez, peut-être être surpris(e)…



La dystopie est vraisemblable (et fait partie des idées complotistes sur la survie du ""Chef" !) et cela ferait un petit téléfilm visuellement prenant… mais cela ne fait pas tout.



Alors, je ne me suis pas ennuyée mais je n’ai pas été surprise, ni étonnée par quoi que ce soit… en sus, les stéréotypes des personnages sont bien ancrés… le flic grande gueule, le flic désabusé, la sublime fille aux « longues jambes fines » dont le héros tombe éperdument amoureux (et vice-versa), les parents qui cachent des secrets, le gros nazi méchant, vicieux et pervers, etc.

Bref, j’ai lu sans me prendre la tête mais je suis déçue car je pensais avoir une quête plus subtile sur les origines d’un secret qui peut effectivement détruire une famille… perso, avec moi, c’est les Loup-garous qui ont gagné !

Stanislas Diamick a tout vu dans sa carrière de flic, expérimenté il va vite tomber en enfer après la découverte d’un crime sur le parvis du Louvre, les symboles étranges que l’assassin a laissé l’intrigue et moi aussi, l’absence totale d’indice en revanche va compliquer l’affaire. Tout s’imbrique très bien dans ce roman survolté, dès le début j’ai été pris par l’intrigue et rapidement elle avance tout en gardant quelques secrets, les rebondissements vont bon train. Le personnage de Stanislas est bon, pas non plus très original mais suffisamment bien écrit pour donner de la profondeur au récit.

J’adore l’ésotérisme et dans ce roman, il y en a à la pelle, autant vous dire que j’ai tout de suite adoré mais ce qui fait sa grande force, selon moi, c’est de toucher un public plus large que les ermites comme moi. L’ambiance est parfois pesante, tendue mais jamais trop, l’auteur a su trouver le juste milieu entre suspens et chaos. Jérémy Wulc est clairement un bon scénariste, le déroulé de l’intrigue se prête très bien à une adaptation télé.



Il y a juste le petit côté Dan Brown qui ne m’a pas trop plu, j’entends par là la fin abrupte, parfois l’intrigue va trop vite et je n’ai pas le temps de profiter de l’action mais il y a quand même un bon travail de recherche derrière pour happer le lecteur dans l’enquête.

Les personnages sont bons également, en dehors de notre flic, ses collègues et le tueur sont facilement identifiables, avec un peu de profondeur aussi même si je les trouve un peu moins puissants que Diamick. Toutefois la psychologie des personnages est travaillée et j’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman qui mêle à merveille le réel et la fiction. Pour finir, les chapitres courts sont toujours appréciés, je trouve que cela donne un bon rythme au livre et il se dévore plus facilement. Belle découverte.

Un bon polar bien ficelé, une idée originale, une plongée intéressante dans les monuments de Paris construits sous François Mitterrand et le domaine des francs-maçons.

Beaucoup de passages assez horribles mais on peut emporter cette lecture, addictive, en vacances.

Waouw....waouw...waouw... J'avoue que j'avais un peu peur d'entamer "666" tant j'avais adoré "Les loups-garou d'Argentine". L'auteur m'a, une nouvelle fois cueillie, j'ai à nouveau été bluffée ! Quelle histoire... j'y suis entrée à petit pas, puis, de plus en plus vite. J'ai accompagné cette lecture de photos des différents sites qui jalonnent cette histoire et les ai redécouverts (je les regarderai différemment maintenant :-) ) . En tous cas, allez-y, plongez-vous dans cette nouvelle aventure addictive en tous points! Ah oui, merci Jérémy Wulc.....pendant toute ma lecture j'ai eu envie de manger un kebab ;-)

Les loups-garous d'Argentine de Jeremy Wulc



Mon avis :

Quand un flic mis sur la sellette fait une découverte dans la maison de son grand-père, rescapé d'Auschwitz, fraîchement décédé...

Voici comment je pourrais commencer mon retour mais non je vais plutôt vous dire: "wowww" j'ai frôlé le coup de cœur mais vraiment de très peu. Arnaud, le flic de cette histoire, est vraiment attachant et son portrait est bien dressé par l'auteur, au point que je l'imaginais, là, sous mes yeux j'avais l'impression de lire cette histoire comme je pourrais visionner un film. J'ai beaucoup beaucoup aimé fouiner avec lui dans les secrets de son grand-père. Le rythme du roman est bien mené. Pas de descriptions inutiles, pas de temps morts. Un élément de la fin m'a mis en colère... j'ai relu le passage plusieurs fois pour être sûre d'avoir bien compris . Je me disais "non mais non" et...c'est là qu'on se dit que le pari de l'auteur est réussi. Que le décor est planté!

Voilà, Zip, Chut, je ne dis plus rien. Vous avez compris que j'ai vraiment adoré ce livre que j'ai lu en 24 heures. Si vous aimez les histoires qui abordent la thématique 39-45 vous pouvez foncer et pour celles et ceux qui ont peur de retrouver des passages horribles à lire n'ayez pas peur il n'y a rien de tout cela, foncez vous aussi!

En clair, je vous recommande vraiment cette lecture...



Résumé :

Flic émérite, Arnaud Shimansky connaît pourtant une mauvaise passe. Sur la sellette depuis plusieurs mois, il tente de sortir la tête de l'eau. Mais le sort s'acharne puisqu'il apprend le décès de son grand-père, héros de la famille, rescapé d'Auschwitz. Alors qu'il aide ses parents à vider la maison du défunt, il fait une découverte surprenante... et plus que dérangeante. Finalement, sa suspension tombe à pic. Arnaud peut partir à la recherche de la vérité.

Coup de coeur pour ce polar historique qui nous ramène au cour de la Seconde Guerre Mondiale.

Une quête de vérité, à n'importe quel prix. Connaître ses origines, percer les secrets. C'est dans cela que va se lancer Arnaud Shimansky, à la mort de son grand-père.

L'auteur n'a rien laissé au hasard, et il nous entraîne jusqu'en Argentine, sur les traces des criminels de guerre nazis.

Un roman addictif, prenant, et surtout dérangeant car on le referme en se disant "et si...?"

Je le conseille vivement à tous les amateurs de cette période.

Une belle surprise.

Voici l'histoire du leader de "The Cure", groupe phare des années 80, Robert Smith.

Alors que l'on fête son anniversaire, robert Smith, seul dans sa chambre alors qu'on attend qu'il descendre rejoindre ses invités, il va se remémorer en regardant un cadre numérique offert par sa sœur. En effet, ce cadre comporte une centaines de photos de lui, de son groupe et de Mary, la femme qu'il aime.

Jérémy Wulc, auteur et fan inconditionnel de The cure, nous plonge à travers ce roman dans la destinée incroyable de robert Smith.

De l'enfance ou il rencontra les membre fondateurs du groupe, Lol (Lawrence) et Michael, jusqu'à la gloire du groupe, l'auteur nous narre une histoire sur l'amitié où tensions, drogues, alcools, l'amour d'une femme et les problèmes d’ego fera de leur rêve un cauchemar.

Que l'on connaisse ou pas la carrière de ce groupe, ce roman est un enchantement placé entre la réalité et la fiction.

A lire, et aussi à écouter, sans modération !

Arnaud Shimanski est un flic sur la selette , suite à une bavure commise après avoir consommé trop d’alcool. Il est mis de son coté par son patron et ses collègues, a l’exception de son meilleur ami . Il attend de connaître son sort . Si côté professionnel, rien ne va, côté vie personnel, ce n’est guère mieux . Les relations avec son père sont compliquées et il vient tout juste de perdre son grand-père , rescapé d’Auschwitz , qu’il ne connaissait pas beaucoup . A son enterrement , il va intercepter une conversation qui va l’intriguer . Et puis en vidant la maison du défunt, il va faire une découverte qui va le chambouler et l’amener à s’interroger sur la vie de son aïeul . C’est le début d’une quête pour chercher la vérité , qui va l’emmener jusqu’en Argentine ,au risque de se brûler les ailes La page de couverture parle d’elle-même pour ne pas avoir à préciser quelle thématique va être évoquée ...

*CA DONNE QUOI ?

Malgré que la thématique soit peu originale ( bien que toujours intéressante ) , ce livre est une belle surprise . J’ai beaucoup apprécié la plume de cet auteur , qui est prometteur c’est certain , L’histoire est un mélange de fiction et de réalité historique . Je suis passée par un florilège d’émotions tout au cours de ma lecture : de la peine, de la colère , de l’incompréhension, de la révolte, de la haine , du dégôut …. Oui il y a des moments durs et cruels qui sont inhérents à l thématique . L’écrivain a pris le parti de réecrire une partie de l’histoire (dans le cadre de la fiction ) , et j’ai trouvé ça plutôt intéressant … mais stupéfiant : je préfère nettement la version que l’on m’a apprise dans mes cours d’histoire.. .

Le personnage principal m’a bien plu , bien que je l’ai trouvé parfois trop naïf .

Quant aux « méchants » et bien ils sont forcément très très antipathiques …des beaux salopards.. mais ça ce n’est pas une surprise . l’auteur a joué avec mes nerfs .

J’ai pour ma part trouvé l’histoire d’amour pas très utile .

Comme je le disais, on devine vite vers quoi l’histoire va partir, mais je me suis tout de même laissé transportée , et les pages se sont tournées facilement .

La construction de ce roman est un de ses atouts , avec des alternances présent/passé , procédé que j’affectionne particulièrement, et des chapitres courts qui amènent un bon rythme .

La fin n’est pas convenue, et elle même surprise . Il y a pas mal de rebondissements .

Au final , malgré un thème classique et déjà vu, c’est un roman que je conseille , qui apporte quelques surprises . Laissez vous donc immerger dans un des moments les plus sombre de l’histoire en compagnie d’Arnaud , à la découverte de secrets de familles inavouables.

Quelle serait votre réaction si vous appreniez qu'une personne que vous aimez et admirez n'est pas celle que vous croyiez?

C'est ce qui arrive à Arnaud, flic mal dans sa peau, mis à pied pour une bavure...à vous de lire la suite !

Ce livre est une petite bombe. Une histoire palpitante et sans longueurs écrite de main de maître. J'ai lu la seconde partie du livre quasi en apnée, sans m'arrêter.

Jérémy Wulc nous conte cette histoire dans l'Histoire avec une maestria digne des grands noms.

Il est des retours plus difficiles à faire que d'autres . Difficile et délicat, car j'aurai tellement aimé dire que j'ai aimé ce roman . J'ai hésité , mais comme je suis la première à dire qu'il faut faire des retours même quand ils ne sont pas positifs...je vais donc donner le mien mais je vais faire court .

J'ai adoré le premier roman de cet auteur, les loups garous d'argentine . Mais la lecture de son deuxième roman a été compliquée, et ce malgré un résumé qui me tentait bien à la base.

Une intrigue dans laquelle je ne suis jamais entré dedans, qui manque d'originalité , et qui part un peu dans tous les sens, et qui a perdu en crédibilité .

La fin n'est guère surprenante , et surtout je n'ai pas eu d'attache au personnage principal, qui passe son temps à manger - presque plus qu'enquêter ( oui la vie est injuste : il mange de la malbouffe tous les jours et à toutes les heures mais il n'est pas obèse..) et que j'ai trouvé désagréable, et plus d'avoir des comportements assez immoraux ( notamment à la fin ) . Il m'a vraiment agacé , il manquait d'épaisseur ( ça c'est pas grâce à son régime alimentaire) . Et j'avoue que ça a gâché la suite de la

Mais je suis sure que le prochain roman meilleur -il y avait vraiment du potentiel dans les loups garous d'Argentine - notamment si le personnage change .

666 le terrifique chiffre emblématique qui fait froid au dos

LE symbole absolu effarant personnifiant le Mal

Biblique ou ésotérisme affiché très bien illustré avec force détails serait représentatif du chiffre de L'HOMME

et ses funestes retombées



Sans trop développer et jouer les CASSANDRE funèbres en parler suffirait il à le faire s'annoncer !



Un titre accrocheur et prometteur ici des découvertes intéressantes qui ne decevront nullement

Une valse incessante trépidante à l'extrême entraînant de rebondissements en rebondissements avec ésotérisme au RV et de rigueur suffisamment pour aiguiser la curiosité

Et aller jusqu'au dénouement

Très vite

Un roman comme un film policier campé avec intensité presque à visionner sur un écran

666

Horrifique

Au final un mal qui peut nous FAIRE DU BIEN à le lire !...