Jérôme Pélissier

"Un seul oiseau en cage et la liberté est en deuil." Jacques Prévert.

Voulez vous entendre des chants d'oiseaux au petit matin?



Djamila contemple les oiseaux qui volent dans le ciel, à tire d'aile.

- J'aimerais tellement devenir leur amie... Comment pourrais-je leur parler?

Soupire la petite fille heureuse et gaie comme un...pinson!

Ce sera grâce à une clarinette, mais...



Djamila a couru si vite et si loin qu'elle est perdue dans les bois. le coucou, l'alouette et l'hirondelle se sont tellement disputés, que la petite s'est enfuie, "les yeux pleins de larmes"...



Les oiseaux se volent...dans les plumes. "Ils se donnent des coups de bec, battent des ailes. L'arbre retentit de mille cris." Chacun veut être élu le meilleur chanteur! Ça pinaille, ça piaille, ça se chamaille. Trop de vacarme! Ils voulaient que Djamila les départage...



La petite fille est recroquevillée, à terre, et sanglote.

-"Ne t'en fais pas, je vais te jouer une sonate que Brahms, le grand compositeur a écrite pour moi. La musique apaise et guérit tout."

Chuchote la clarinette.



La clarinette se met à jouer les notes cristallines de l'allogreto et comme par enchantement, les bruits effrayants de la forêt se taisent.



Et Djamila entend, alors:

-Cou-cou, Pirlouit, Pilipi, Pilipi!

-Nous sommes désolés, nous avons été stupides et prétentieux. Nous aussi, nous voulons être tes amis..."

Font les 3 oiseaux, de ... concert!



Mais, d'où vient cette clarinette?

"Elle parlait aux oiseaux

Aux forêts et aux ruisseaux

Quand il ne fait pas trop froid." Gérard Lenorman.

Bande dessinée jeunesse fort sympathique qui ravira également des plus vieux (je fais gaffe depuis ma dernière critique sur Jules Verne, je me sens épié).

Graphiquement, c'est très agréable, on croirait du pastel et tout est fabriqué avec soin. Certaines planches pleine page sont très belles et confèrent à l'ensemble une impression de qualité ensorcelante.

Le scénario est finalement assez simple mais traité de manière subtile, avec de petites touches d'humour jeunesse.

Une très jolie formule... magique.

Les dessins sont doux, un peu dans l’air du temps, sans cernes, tout en chevauchement de couleurs, en nuances de couleurs lumineuses, éclatantes et douce à la fois, avec un gamme délicatement choisie, le trait expressif, la mise en page dynamique avec un enchaînement de grandes illustrations pleine pages qui donne du rythme. Brume est une petite fille qui se prend pour une sorcière, elle est un peu agaçante, de qui tient-elle son arrogance et son insolence, sûrement pas de son père adoptif, plutôt débonnaire. C’est un récit de fantasy pour jeune public, l’humour est particulièrement bien adapté à ce jeune public, avec du burlesque, du potache mais aussi une pointe de second degré facile à repérer. L’histoire est plaisante, amusante, pleine d’action, avec une bonne dose d’espièglerie, des personnages bien campés, un peu décalés, Brume n’est pas parfaite, et le cochon Herbert vient rattraper en douce quelques bêtises de Brume, agissant comme une bonne conscience, mais il n’est pas dupe. C’est le premier tome d’une trilogie prévue, mais il raconte une histoire entière, on ne ferme pas le livre avec la frustration de n’avoir qu’un échantillon d’histoire, et pourtant certains mystères restent en suspens, ce qui donne envie de se précipiter sur la suite. Bref, c’est beau, vivant et drôle, et intrigant, cette bande dessinée dégage un air de fraîcheur et de vigueur, une belle réussite.

Ce que j’apprécie le plus dans cette collection est le verso de la première de couverture avec la page de découverte de l’instrument et ses indications « Dans la famille des clarinettes, il y en a une qui se nomme la clarinette d’amour ! ».



C’est le deuxième que je lis et je trouve toujours l’histoire belle avec de jolies illustration. La plume de l’écrivaine nous emmène en forêt écouter la symphonie des chants d’oiseaux accompagné du mélodieux son de la clarinette jouait par Djamila. L’enfant – qui lit ou à qui on raconte l’histoire – apprend différentes familles d’oiseaux : « Elle contemple les merles, les alouettes, les hirondelles, les coucous, les tourterelles. ». Et l’auteure cite Mozart et Brahms. Je vous conseille cette lecture !



Dans ce livre, je n’ai pas du tout accroché avec le jeu « Trouve un intrus bizarre dans chaque page ! », je précise que c’est dans chaque double page. C’était de trop selon moi, l’histoire intéressante et les belles illustrations captivent suffisamment.



La clarinette qui parlait aux oiseaux (2019)

de Katherine PANCOL et Jérôme PELISSIER

Éditions Hachette Jeunesse, collection « En avant la musique »

J'ai envie de vous présenter La cornemuse enchantée de Katherine Pancol (textes) et Jérôme Pellissier (illustrations).

Depuis quelques années des auteurs connus sortent des albums jeunesse chez Mac Donald, et La cornemuse enchantée fait partie de la collection.

Comme j'aime bien l'auteure Katherine Pancol, j'étais curieuse de découvrir cet album jeunesse. Cela tombe bien car je l'ai trouvé à 0.50 €, état neuf, sur un vide-grenier.

Depuis que Monsieur Pas-Trognon a interdit la musique au village, la pauvre cornemuse s'ennuie... Elle reste accrochée et prend la poussière.

L'arrivée de la joyeuse Djenna va tout changer !

La cornemuse enchantée est un album jeunesse charmant autant au niveau des textes que des illustrations.

C'est bien écrit, digne d'une auteure telle que Katherine Pancol. Facile à lire, à comprendre, avec une histoire simple mais très réussie qui montre qu'avec un peu de musique, un peu de folie, la vie est quand même plus jolie :)

J'ai apprécié les illustrations, elles aussi très chouettes.

Petit plus : un jeu ludique où il faut chercher un intrus dans la page, c'est amusant pour les enfants (.. et leurs parents ;)

L'ensemble donne un bon album jeunesse, je mets avec plaisir quatre étoiles :)

Brume est une jeune fille espiègle et râleuse qui rêve de devenir une sorcière… Celle du village a disparue depuis plusieurs années et Brume compte bien prendre la relève (même si personne ne l'en pense capable) ! 

Lorsqu'un brouillard magique recouvre soudainement le village, on annonce le retour d'un terrible dragon… un boulot pour notre héroïne au caractère bien trempée qui part alors à l'aventure avec son ami/assistant Hugo ainsi que son mystérieux cochon noir !



C'est un très bon début de série pour cette bande dessinée jeunesse. La thématique de la petite sorcière est vue et revue, mais les personnages sont attachants et très drôles, la narration pleine d'inventivité et le scénario nous réserve quelques secrets ! Graphiquement c'est tout simplement sublime.



Tous les ingrédients sont réunis pour une BD envoûtante. A ne pas manquer !

La batterie de Karan de Katherine Pancol et

Jérôme Pélissier fait partie de la collection En avant la musique qui présente un instrument au jeune lecteur.

Tchakaboum, Tchakaboum boum boum ! D'où vient ce rythme fou ? Karan a le tempo dans la peau, il ne résiste pas et court vers ce son si puissant ; lui qui rêve de faire de la batterie, de la vraie, et pas de taper sur tout et n'importe quoi pour sortir des sons.

La petite Sahila lui présente son instrument favori. Une batterie qui frappe, qui tonne, qui cadence... et donne du courage à tous !

La batterie de Karan est un album jeunesse dont les textes sont de Katherine Pancol et les illustrations de Jérôme Pélissier.

Nous découvrons un petit garçon, Karan, qui a le rythme dans la peau. Il habite avec ses parents à New Dehli, son rêve est de posséder une batterie mais ce n'est pas prévu ! Il va alors faire la connaissance de Sahila, qui en possède une et va lui montrer son instrument.

L'histoire est mignonne comme tout, ça se finit bien pour le jeune garçon et ses parents.

Ce n'est pas un grand livre mais là encore c'est une histoire parfaite pour la lecture du soir.

Ma note : quatre étoiles.

Brume est une petite fille au caractère bien trempé avec une passion débordante pour la sorcellerie. C'est une grande admiratrice de Naïa, une sorcière de la vallée qui a vécu quelques années plus tôt dans la vallée. Son père, qui aimerait qu'elle grandisse veut la persuader que ce sont des enfantillages et rien de plus.

Mais un jour, elle trouve un grimoire et joue les apprentis sorcières, et c'est là que rien ne va plus !



C'est une histoire très mignonne avec des planches très colorés et des très très arrondis pour accentuer le côté enfantin de l'histoire et des personnages. Un moment de lecture attendrissant avec un personnage attachant, de quoi donner envie de suivre ses aventures.

Une recette de baguette magique !

Il y a une recette pour tresser une baguette magique en fin d'album, même que c'est la première chose que j'ai faite après avoir terminé ma lecture : la prendre en photo. Même si je ne sais pas tresser. Pis faudrait sortir trouver des branches. Dehors le monde est vil et peu accueillant.



Et donc un deuxième tome tout aussi doux et enchanteur que le premier. Je crois que c'est ça d'ailleurs qui fait prendre la sauce dans le chaudron. L'atmosphère rassurante et confortable de qui n'a qu'un fantôme aspireur de cerveau ou un ankou aux fesses. Un univers simple avec des petits problèmes de rien du tout.

Parce que bon.

Que peut faire une sorcière au temps du numérique avec un chaudron magique ? Y plonger l'électronique pour la recycler sans polluer d'avantage ? Ah tiens... Pas bête!

En avril, ma chère,

Ne te découvre pas d'un phyl-actère.



Et comme ce week-end cumule un temps Breton, il fait beau plusieurs fois par jour, QUAND IL NE GRÊLE PAS, abracadabra, moi j'invoque des bédés pour digérer tout ça.



Brume raconte une petite fille qui se dit sorcière (mais aussi un cochon)(enfin je veux dire qu'il y a un cochon dans l'histoire, la petite fille ne truie pas), et qui décide que flûtalors, comme le poste de mage du village est vacant, c'est elle qui le reprend !



Porté par un dessin et des couleurs douces et enchanteresses (mention spéciale pour l'introduction digne d'un début de film ou de jeu vidéo et plus tard aussi lors du dragon) (car ouiiiii il y a un dragon !) le lecteur se laisse porter par le récit de cette petite fille à l'esprit bougon. Qu'on a même pas de mal à supporter tellement le décorum fait envie (moi aussi je veux une chambre-studio-cabane-dans-l'arbre accolée à la maison). Ajouté à un cahier graphique en fin de livre qui redessine la genèse de cette histoire et on est mordus ! Mordus ! Même si pour l'instant il n'y a pas de loup garou.

Lorsque j'ai aperçu ce livre il y a quelques temps en librairie, je n'ai pas pu résister, attirée par la couverture et par le résumé et je ne m'attendais pas à aimer autant !



Dans cette histoire, nous faisons la rencontre d'une enfant, Brume, qui a tendance à faire les 400 coups et qui rêve de devenir sorcière. Elle s'entraîne pour cela, accompagnée de son ami Hugo, jusqu'à ce qu'elle croit avoir la preuve d'en être véritablement une alors même que sa première potion va créer un épais brouillard dans tout le village... Convaincue de ses pouvoirs, Brume part à l'aventure afin de régler cet épineux problème, trainant derrière elle son cochon et Hugo !



Si j'ai adoré les personnages, j'ai tout de même trouvé Brume assez agaçante, à être aussi sûre d'elle et de sa magie, mais c'était aussi ce qui faisait le charme de cette apprentie sorcière : elle m'a bien amusée. J'étais ravie de la présence d'Hubert le cochon, un animal peu commun dans la littérature et la bande dessinée, et d'Hugo qui se laisse entraîner par son amie même s'il est assez peureux.



L'histoire est agréable à lire, plaisante, avec une petite fille espiègle qui m'a fait vaguement penser à Adèle dans Mortelle Adèle. Et, surtout, j'ai vraiment aimé que ce premier tome soit une véritable intrigue à part entière : nous en apprenons beaucoup sur l'univers, les personnages... On comprend rapidement que le fantastique et la magie s'immiscent dans ce récit pour notre plus grand plaisir !



Enfin, j'ai été charmée par les illustrations qui sont magnifiques et j'ai adoré l'ambiance du petit village dans lequel vit Brume. J'ai été davantage conquise en découvrant, à la fin du livre, que Jérôme Pélissier et Carine Hinder s'étaient inspirés de Rochefort-en-Terre, petit village breton où iels résident et que je connais bien pour y être allée de nombreuses fois étant donné que je ne vis pas très loin. Le clin d'œil était parfaitement réussi et j'ai découvert la sorcière de Rochefort-en-Terre grâce à cette bande dessinée !



Ce premier tome m'a énormément plu, bien plus que je le pensais, notamment grâce aux illustrations qui sont adorables et à l'univers fantastique vraiment plaisant que les auteur•rices ont créé... L'inspiration bretonne pour le village a achevé de me convaincre !

Une très chouette découverte dont j'ai très hâte de lire la suite !

Brume est un personnage à la fois attachant et insupportable, ce second trait étant totalement fait exprès et maîtrisé par le scénariste, et l'occasion de beaucoup de rire et de sourires.

C'est plein d'humour, un savant mélange de potache et de subtil, mais aussi de sensibilité.

Les graphismes sont d'une extrême mignonnerie, la façon dont les personnages, humains comme animaux, sont représentés m'a beaucoup plu, les paysages sont splendides et la mise en couleur est juste un régal pour les yeux.

Bref, j'ai tout aimé dans cette jolie BD, avec un point supplémentaire pour l'inspiration bretonne, le village où se tient l'histoire étant largement inspiré de Rochefort-en-Terre, qui se trouve à à peine une heure de chez moi. Je relis très rarement, mais je pense que cet album fera partie des exceptions, juste pour le plaisir et pour patienter jusqu'à la sortie du second tome !

Ce livre, destiné aux enfants de 8-9 ans, fait partie de la collection "En avant la musique !" et permet de faire découvrir aux plus jeunes les instruments. Ici, c'est le piano, le "grand", le piano à queue. Un superbe piano qui trône dans une boutique parisienne et où le jeune Rémi Pinson vient passer quelques heures après l'école. Rémi est plutôt doué, et chaque jour, le piano attend son ami qui va le faire briller et vibrer. Mais un jour, le piano est vendu... Rémi est désespéré, le piano est désespéré... Ils doivent absolument être réunis !

Voici une petite histoire charmante et instructive, racontée par Katherine Pancol et illustrée par Jérôme Pellissier : le texte n'est pas mièvre, le vocabulaire est riche et les dessins sont beaux.

Idéal pour donner envie aux enfants d'en savoir un peu plus sur la musique.

Avant le récit, une explication rapide et intéressante en image sur l’accordéon que j’ai aimé. « L’accordéon est un instrument à vent. Il possède des touches de piano mais c’est le soufflet qui produit le son. »

L’histoire commence, elle s’anime à Paris sur un bateau. En plus de la fiction, chaque double page contient un élément intrus à trouver. Cela élargit la tranche d’âge et mêle lecture et jeu. Bémol de mon regard d’adulte : un capitaine qui a le mal de mer n’est pas crédible. J’ai apprécié la place laissée aux animaux dans ce récit.

L’histoire est simple, le vocabulaire est développé, certains mots seront à expliquer aux enfants mais cela ne perturbe pas la compréhension.

De belles illustrations, esthétiquement, les dessins sont jolis et les couleurs agréables.

J’ai découvert l’écrivaine avec la saga Les yeux jaunes des crocodiles grâce à ma meilleure amie ; et là je découvre sa plume en littérature jeunesse. L’écrivaine sait manier plusieurs styles littéraires.



L’Accordéon, marchand de bonheur (2019)

de Katherine PANCOL et Jérôme PELISSIER

Éditions Hachette Jeunesse

Le premier tome avait été un coup de cœur immédiat, le deuxième l'est aussi ! Quel immense plaisir de retrouver Brume, la facétieuse petite sorcière, ainsi qu'Hugo et Hubert le petit cochon. Dans ce tome, la fillette part en quête de ses origines, sur les traces de la sorcière disparue, Naïa.



L'univers de Jérôme Pelissier et Carine Hinder est toujours aussi réjouissant à explorer. Les décors sont soigneusement travaillés et nous plongent dans une atmosphère mystérieuse à souhait. La colorisation rend d'ailleurs les ambiances encore plus réussies, immersives. Le découpage des planches possède une belle alchimie avec l'intrigue. Il est parfois resserré, parfois aéré, mais sert toujours l'histoire : il dynamise les scènes d'action, met en valeur un décor etc.



Bref, je me suis régalée avec ce tome! J'aime tout dans cette série : ses personnages décalés, ses superbes dessins, l'histoire mystérieuse, l'humour du scénario et son grain de folie .

📜𝕸𝖔𝖓 𝖗𝖊𝖘𝖘𝖊𝖓𝖙𝖎📜



❤️Un love merci à mon zamoureux qui m'a offert cette BD pour ma fête❤️



❤️❤️Quelle claque !!!! Tout d'abord cet ouvrage est magnifique, autant la couverture que les planches superbement illustrées !!! Je suis tombée littéralement amoureuse de cette BD !! Si si je vous jure ❤️❤️



🧙‍♀️L'histoire de cette petite fille, qui a été recueillie un jour de brouillard, d'où son prénom Brûme, est attendrissante. Même si au début je me suis dis "Ah mais quelle petite peste" !!! On apprend à la connaître, à sourire de ces déboires, à rire même car elle veut devenir un grande sorcière. Elle lance des sorts à tout va, elle pense vraiment faire de la magie surtout quand elle "transforme" une "tête de chips" en "tas de lardons" 🐷 !!! Et ce n'est que le commencement de ses maladresses qui seront rattrapées par son assistant Hubert ! Qui est un .....



✨Pour comprendre, il vous faudra lire cette histoire, teintée d'humour, de mignonneries, et même de quête avec une chasse au dragon 🐲!! Cet album pose les bases d'une belle suite à venir et que j'attend avec impatience et oui je suis tombée en amour pour cette BD, je vous l'ai déjà dit non ?? !!!!😊



✨🧙‍♀️Une BD magnifique : une bd que je vous recommande🧙‍♀️✨

Dès sa sortie, je lorgnais sur cette BD. Jeunesse, fantasy, magie. Le design est adorable, tout en rondeur. J'adore. J'ai passé un moment plein d'humour, d'aventure et j'ai beaucoup aimé ce duo improbable qu'est Brume et son cochon Hubert. Brume c'est la petite fille qui rêverait d'être une sorcière. Ainsi quand son père adoptif lui tend le grimoire qu'il avait trouvé dans son couffin de naissance, elle est toute en joie : elle est une sorcière !! Mais c'était sans compter ses maladresses, son trop plein d'énergie... Hubert est là et rattrape tant bien que mal ses bêtises. Tout est en synergie, j'aime le positivisme qui en ressort et vivement la suite !

La première fois que j'ai vu cette BD, j'avoue ne pas m'être attardée pensant qu'il s'agissait d'une énième série fantastique avec sorcière, chaudron et tout le tintouin. Mais j'y suis revenue quelques jours plus tard et cela a été un franc coup de cœur !



Espiègle et intrépide, Brume est une fillette dont le plus grand rêve est de devenir sorcière. Quand elle entre en possession du grimoire magique avec lequel elle a été trouvée abandonnée, Brume se met en tête de l'utiliser aussitôt. Catastrophe ! Son village se retrouve plongé dans une étrange brume. En compagnie d'Hubert, son cochon apprenti, et Hugo, son ami trouillard, elle s'enfonce dans la forêt interdite, bien décidée à vaincre le terrible dragon qu'elle pense être responsable de la brume...



Sélectionnée pour le prix ACBD Jeunesse, "Brume" est une nouvelle série qui associe magie et humour à la perfection. Difficile de résister à l'héroïne de Jérôme Pelissier et Carine Hinder, si sûre d'elle et un brin caractérielle. Elle est à la fois adorable et insupportable ! Les personnages d'Hubert et Hugo permettent quant à eux d'ajouter beaucoup d'humour à l'histoire. En ce qui concerne les dessins, je les ai beaucoup aimé. Ils sont particulièrement réussis, tout comme la colorisation, habile à construire des ambiances tantôt joyeuses, tantôt mystérieuses. Les dialogues sont bourrés d'humour, je me suis bien marrée !



J'ai vraiment hâte de lire la suite et en découvrir plus sur les origines de Brume.

Coup de coeur pour cette bd jeunesse !



Brûme est une petite fille espiègle vivant avec son père dans un petit village. Il lui apprend qu'il l'a adoptée il y a quelques années alors qu'il l'a trouvée au pied d'un arbre dans la brume, d'où lui vient son prénom. A ses côtés se trouvait un grimoire qui lui cachait jusque-là.

La petite fille ne rêve que d'une chose : être une grande sorcière comme Naïa, l'ancienne sorcière du village.

Avec ses économies elle décide d'acheter un chaudron. Accompagnée de son meilleur ami et d'Hubert (un cochon trop craquant trouvé dans la rue, qui devient son assistant), elle s'apprête à ouvrir son échoppe.

Mais alors qu'elle fabrique une potion rien ne se passe comme prévu et un sortilège s'abat sur le village. Pour Brûme il est temps de mettre ses talents de sorcière en avant et de partir à l'avant du danger pour sauver les habitants.



Quelle jolie découverte pour Nina et moi !  Nous avons tout aimé dans cette bande dessinée.

Les personnages sont très mignons et attachants. Brume est une petite fille espiègle mais qui se pose beaucoup de questions sur son passé.

Hugo, son meilleur ami, est un brin trouillard mais prêt à affronter les dangers à ses côtés.

Hubert est un cochon trop mignon qui adore les pains à la chocolatine. Il est intelligent et est une des force de Brume car il rectifie les erreurs de la petite sorcière.

Le graphisme est très agréable avec beaucoup de rondeurs et des couleurs toute douces.

C'est une superbe nouvelle série jeunesse que nous aurons plaisir à suivre et nous attendons avec impatience les suites des aventures de Brume.

Et puis, le petit plus : les auteurs nous racontent comment est née cette bande dessinée et leurs inspirations. 

cute.



Mais genre vraiment, vraiment cute. Pis j’me suis marré. Je sais pas si je vieillis au point de me marrer façon se marrer des daddy jokes mais l’humour de cette série vient de faire carton plein.



La douceur qui ressort des illustrations et la palette de couleurs m’ont fait penser à ce génial film d’animation Le Peuple loup.



Brume est une petite sorcière culottée (au sens @penelopeb du terme), n’a ni froid aux poches ni la langue dans ses yeux, manie l’ironie comme d’autres pilotent un nimbus 2000 capable de remporter un tournoi de quidditch.



Mention spéciale au narrateur (un petit cochon qui m’a rappelé Ryôga dans Ranma 1/2) et qui doit sa place aux côtés de Brume grâce à un merveilleux quiproquo de sortilège.



Le seul côté « nul » comme le dirait ma belle fille (ce post n’a pas faveur à exploiter la sensibilité des mômes de l’entourage, je le jure) c’est qu’il faille attendre le tome 2 !



Anyways c’est un sacré crush de mon côté, bravo aux auteur.ices de s’être inspirée d’une des dernières vraies sorcières de France pour étoffer la matière de leur bande dessinée, quinte crush ⭐️
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