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Critiques de Jessica Peter (44)
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Le Collectionneur

Bonjour, aujourd’hui je vous propose de visiter une serre ; mesdames, je vous conseille de camoufler vos cheveux sous un bonnet ou un foulard (c’est plus prudent), messieurs, faites comme vous voulez…



J’espère que vous aimez les fleurs, car ici il y en a à profusion… Oh, désolée, je manque à tous mes devoirs !



J’ai oublié de vous présenter le docteur Skorpion, qui fut dans un premier temps médecin légiste, mais qui suite à sa révocation s’est reconverti dans la botanique, spécialité dans laquelle il excelle…



N’ayez crainte si vous percevez des bruits bizarres, tels que des cliquetis, le docteur a toujours un sécateur sur lui, et il ne peut s’empêcher de le manipuler dans sa poche, d’où le clic-clic que vous entendez.



Mais regardez plutôt toutes ces belles fleurs, parfois un peu étranges, mais tellement épanouies…



Bon, revenons-en au docteur Skorpion, il a lu un jour que des plants ont été améliorés grâce à des cheveux de femmes, alors il ne peut s’empêcher de tenter l’expérience avec les cheveux de Louise, sa cuisinière… Et, il obtient une plante qui ressemble à sa cuisinière, intéressant, non ? Le docteur ne peut en rester là, et il va retenter l’expérience avec Rose, sa servante… Et, ça va à nouveau fonctionner…



Le docteur est quand même un peu surpris, car il semble qu’il soit le seul à percevoir la ressemblance entre la plante et la personne qui a donné ses cheveux.



Son ami, Matéo Diaz, va lui présenter Violante Pericon, jeune femme dotée de magnifiques cheveux roux… et le docteur va en rêver de cette chevelure…



Ce brave docteur va devenir obnubilé par l’association des cheveux et des plantes, et il va falloir qu’il use de nombreux subterfuges pour s’approvisionner en cheveux, et vous allez voir qu’il a de l’imagination...



Inutile de vous dire que cet homme est beaucoup plus attiré par les plantes que par les femmes…



Jessica PETER nous raconte une obsession qui commence de façon assez légère, puis ça vire au drame… Ce roman est un beau prétexte pour célébrer les femmes et montrer de manière subtile les violences qu’elles subissent… Tout le long du roman, la fleur est le miroir de la femme, il y a de nombreuses analogies. L’autrice a vraiment l’art de nous captiver, c’est beau, parfois triste ou presque effrayant et on se demande comment ça va se terminer (non, je ne dirais rien!)



Par contre, pendant quelques jours, j’ai vu mes fleurs différemment…



Bref, n’hésitez pas à mettre un pied dans la serre (ou les deux pour les plus courageux), parce que l’histoire est bien écrite, n’est pas ordinaire et se termine en apothéose… Que demander de plus ?



À lire à côté de plantes naines, les cheveux sous un foulard, en écoutant « Le jardin extraordinaire » de Trénet, en mangeant des œufs en Meurette, puis des œufs mimosa suivis d’œufs montés en neige accompagnés d’un thé noir. Bonne lecture !



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Le Collectionneur

Deauville, 1920. C'est le temps des bains de mer, de l'Art déco, de l'absinthe et des grandes découvertes scientifiques. Depuis sa villa, le duc du Penny, également appelé Viktor Scorpion, fait des recherches botaniques peu fructueuses. Las, il lit un article qui va tout changer dans la revue Petrichor : les cheveux permettraient de mieux faire pousser les plantes. Ce document coïncide avec la rencontre marquante de l'éblouissante Violante Pericon, et ses recherches prennent alors un tournant glauque et obsessionnel...



J'ai beaucoup aimé ce premier roman de Jessica Peter, qui me l'a gentiment envoyé, ce dont je la remercie chaleureusement. J'ai été captivée par la première moitié du roman, et même si mon intérêt s'est émoussé au chapitre 7 (que j'ai trouvé trop long et sans grande plus-value pour l'ensemble), il y a une vraie maîtrise de la narration, de la construction des personnages, et du climax. On est spectateur de la folie de Viktor et de ses méandres toujours plus sournois, sans savoir qui va pouvoir l'arrêter et comment. Il se dégage aussi une grande sensualité puisque les plantes créées le sont à partir de femmes et qu'elles leur ressemblent en de nombreux aspects qui ne laissent pas insensible le chaste Viktor. J'ai aimé me plonger dans cette ambiance particulière, avec des références intertextuelles et surtout, de nombreux détails autour de la couleur qui m'ont beaucoup plu (surtout quand elles font écho à des pierres magnifiques). Mes compétences botaniques sont plus limitées et je n'ai pas toujours pu me figurer chaque fleur ou arbuste, mais cela n'est pas gênant. Évidemment, cela pose en creux, de manière directe ou métaphorique par le biais des plantes, la question de la place des femmes (domestiques ou non), de leur vulnérabilité et de leur sexualité, mais on se penche aussi sur la recherche scientifique, et jusqu'à quelles extrémités on est parfois capable d'aller au nom de la science.
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Le Collectionneur

Si vous n'aimez pas les fleurs , passez votre chemin. Mais non, plongez dans ce roman qui va vous offrir un voyage dans le monde d'un Frankestein - car lui, Vicktor Scorpion me fait penser à ce dernier - , d'un personnage détestable au possible, insensible, adorateur des fleurs et qui va sombrer dans la folie.



L'histoire se déroule en 1920, à Deauville. Le docteur Scorpion tombe sur un article qui fait part de l'utilisation de cheveux comme engrais. Qu'à cela ne tienne et il va tenter l'expérience sur les fleurs de sa serre, qui est immense puisque sa passion, ce sont les fleurs. Et cette expérience va aller au-delà de ses espoirs puisqu'il remarque que la fleur qui reçoit des cheveux grandit et ressemble à la dame à qui appartient les cheveux. Et il va continuer ses expériences. Il va être prêt à tout ...



Les fleurs et arbustes sont omniprésents dans ce livre, il y a beaucoup de descriptions liées à la botanique qui m'ont perdue par moment n'étant pas une grande connaissance de plantes et fleurs. Toute cette nature est ominiprésente mais bien entendu, la ou les femme(s) le sont également puisqu'elles sont liées. Le côté métaphorique et aussi sexualisé est assez présent tout au long du roman, quelques passages pourraient heurter certains lecteurs.



Mais l'autrice a une plume qui mêle le poétique, avec un côté glauque, un côté fantastique et qui va aller loin dans la tête de son personnage masculin principal. Il fallait tout de même arriver à trouver un certain lexique pour que le lecture puisse imaginer certaines fleurs avec des aspects humains et de ce côté-là, c'est réussi.



C'est donc un roman fantastique avec une idée très originale de départ.
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Le Collectionneur



Ce thriller psychologique fantastique est une œuvre que j'ai acceptée de lire lorsque l'auteur me l'a proposée car le titre était plein de promesses. Et quelles surprises !!!

Sans trop en dévoiler, je peux vous assurer que vous ne verrez plus jamais la flore de la même façon ; la douceur et la fragilité de ces plantes, diverses et variées, si délicates, ne sont plus de mise !!! On nous parle d'identité, celle des femmes mais aussi celle des fleurs, et il en découle un parallèle empli de justesse.

Une œuvre très originale, parfois déroutante, voire dérangeante, mais qui nous démontre, au-delà du fantastique, ce qu'est la folie des hommes. Quand science, amour et obsession s'entremêlent, le cocktail ne peut être que détonnant.

Une plume assez soutenue, du vocabulaire très riche (préparez les dicos ..heuuu Google pardon😁), beaucoup de poésie, des senteurs, des couleurs, des formes, du lyrisme. Le terme qui me vient à l'esprit est "sublime", j'ai été totalement transportée !

Dans ces lignes, l'auteure nous transmet son amour et son savoir sur les Plantes (termes scientifiques grandement employés), mais aussi sa vision très juste des femmes, au-delà de l'escalade dans la folie.

Un ouvrage à découvrir : certaines scènes pour public averti.
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Le Collectionneur

Mesdames, suite à la lecture de ce roman pour le moins perturbant, je ne saurais que trop vous recommander de veiller à l’intégrité de vos cheveux !



Gare à vous si vous croisez la route de Viktor Skorpión. Ce charmant jeune homme qui semble à première vue parfaitement recommandable, botaniste de renom, issu d’une bonne famille et habitant une charmante demeure à Deauville dotée de serres magnifiques dans lesquelles s’épanouissent toutes sortes d’espèces végétales (de quoi faire pâlir nombre de jardiniers)… a une bien étrange manie depuis quelques temps.



Il possède une collection de plantes d’un genre parfaitement inédit, croisées à des cheveux féminins ! Ces fleurs étonnantes ressemblent à la femme dont provient les cheveux, et ce n’est pas tout… mais je ne vous en dirais pas plus, vous risqueriez de faire d’horribles cauchemars ! Comme tout bon collectionneur, Viktor n’en a jamais assez. Il veut toujours plus… et sa proie ultime n’est autre que la sublime Violante Pericon qui lui a été présentée par son ami Matéo Diaz. Mais attention, les plus belles plantes ne sont-elles pas également les plus dangereuses ?



Ce roman est tout aussi dérangeant que sublime, et ce par le talent indéniable de l’autrice Jessica Peter. Elle manie la plume brillamment pour nous faire passer à travers mille émotions : la curiosité, la fascination, le dégout, l’effroi… jusqu’à une certaine forme de jubilation malsaine lors des dernières pages. Viktor est un personnage comme vous en rencontrerez peu dans votre vie, et cela vaut sans doute mieux mesdames… mais rassurez-vous, il vit dans les années 1920 !


Lien : https://instagram.com/les.le..
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Le Collectionneur

Un roman très intrigant entre fantastique et thriller.

J'ai été embarquée dans cette histoire en me demandant à chaque chapitre où allait bien me mener ce récit incroyable.



Une histoire qui se déroule au début du 20e siècle où l'auteure réussit parfaitement à utiliser le langage et les manières de cette époque.

Des descriptions qui nous permettent d'être complètement immergé dans ce récit qui ne manque pas de couleurs.

Des fleurs si bien décrites que l'on croirait pouvoir les toucher ou les sentir.



Mais cette profusion de fleurs et leurs descriptions détaillées, et parfois un peu techniques, m'a pesée à un certain moment de ma lecture.



Cependant, j'ai apprécié ce récit déroutant, parfois dérangeant, avec ce sujet original et hors norme.



Un récit dans lequel j'ai plongé et où au fil des pages j'y ai vu l'ombre et la lumière, le fantastiquement beau et le terriblement dangereux, l'innocence et la folie.



Mon personnage préféré ? La belle et rousse Violante.

Pourquoi ? Pour son côté si calme et si prévenant qui n'en devient pas moi une terrible vengeresse pour toutes ces femmes.



Une plume tout aussi tendre que très dure pour ce roman que j'ai beaucoup aimé pour son histoire et son originalité.
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Le Collectionneur

Je vous partage aujourd'hui ma dernière lecture, "Le collectionneur" de Jessica Peter. Un énorme coup de cœur !



Un récit riche au style raffiné voir poétique qui se savoure et qui n'a rien a envier aux styles classiques du genre. Je n'ai pu m'empêcher de faire la parallèle entre ce livre et "Le parfum" de P. Süskind.



Il y a également un narrateur à l'humour noire qui m'a bien fait rire par moment. On note une parallèle très intéressante et bien orchestré de la condition des femmes par le biais du traitement des plantes de notre protagoniste et de sa vision des choses. Une certaine scène m'a d'ailleurs brisé le cœur, je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler.



J'adore ce genre d'atmosphère sombre, tourmentée, singulière et poétique à la fois, en somme une plume semblable à une lame de rasoir dans une main gantée de velours, voilà ce qui illustre parfaitement pour moi ce récit.



Jessica a de superbes connaissances en botanique, cela rend les descriptions plus vivaces et nous immisce totalement dans son histoire.

C'est une lecture vraiment prenante où la passion dévorante de notre protagoniste va virer à une noire obsession, la douce et mortelle folie de Skorpión monte créscendo au fil des pages. L'autrice prend son temps et nous laisse le temps à nous lecteurs d'être imprégné par tout cela et ça fonctionne à merveille. J'ai beaucoup aimé Rose, Don Matéo et Violante. Quelques références notamment à Lovecraft, Frankenstein ou encore Mr Hyde, bref que du bonheur !!



En bref, un énorme coup de cœur pour ce livre singulier, le style d'écriture poétique et recherché ainsi que pour son adorable autrice. Je ne peux que vous la conseiller !!!



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Le Collectionneur

Mettez-vous au vert avec Le Collectionneur !



Une lecture incroyable et inoubliable, meilleure que celle de la revue Pétrichor, revue internationale de botanique que consulte constamment le héros Viktor Skorpión et qui est à l'origine de tous les drames ! Car celui-ci voudra suivre un mauvais conseil et s'emparer de toutes les chevelures qui passent (uniquement celles féminines car les hommes ne l'intéressent pas 😂). Les deux chevelures qu'il désire le plus sont celles de Rose, sa ravissante femme de chambre, et de Violante, une sublime femme rousse qu'il vient de rencontrer. Toutes deux sont centrales dans l'action. Ce sont même elles qui vont voler la vedette à Viktor à partir de la seconde moitié du roman 💪Elles sont fortes, intelligentes, sensibles, volontaires et mystérieuses : si vous êtes à fleur de peau 😉 vous allez tomber amoureux d'elles, elles sont merveilleuses 🥰🥰



À partir des cheveux qu'il va récolter de mille et une façons, en se passant du consentement des dames cette fois, les "femmes-fleurs" prendront vie dans la serre du Professeur et aussi sous vos yeux ! Leurs descriptions sont magnifiques, pleines de poésie et de lyrisme🌹🌿🪷



Seulement Viktor va découvrir l'étendue de son pouvoir sur ses fleurs... et sur les femmes ! ⚠️Attention spoil⚠️



Un roman fantastique ? Un thriller ? Des descriptions tout droit sorties d'un poème ? Un texte dénonçant l'objectivation de la femme ? Le Collectionneur est tout cela à la fois. Ce livre est difficile à catégoriser tant il ne rentre dans aucune case prédéfinie. Il est incroyable : tentez l'expérience, vous verrez 😏
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Le Collectionneur

Un livre qui m’a clairement fait sortir de ma zone de confort et de temps en temps il le faut.



Même si ce n’est pas du tout mon genre littéraire, ce livre a été une surprise à sa lecture.



On est tous collectionneurs/ses de quelques choses mais certains ont des collections assez étranges, voir inédites, qui peuvent surprendre.



C’est le cas de Viktor un savant complètement déjanté, qui ne juge que par ses plantes et ses fleurs.



Alors me direz-vous , il est où le rapport avec sa collection ? Et bien je vais vous laisser dans le suspense le plus insoutenable afin que vous découvrirez cette histoire hors du commun.



Vous ne connaissiez pas mon petit côté sadique et ben le voilà …



Je vous garantie que vous allez passer un bon moment de lecture et que vous ne verrez plus les collectionneurs / ses comme vous les aviez vus jusqu’à présent …
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Le Collectionneur

VOUS NE VERREZ PLUS JAMAIS LES FLEURS COMME AVANT. NI LES CHEVEUX. NI LES SCORPIONS. NI DEAUVILLE !



J'ai lu Le Collectionneur sur les conseils de mon mari, qui m'en a fait les plus grands éloges... Et je n'ai pas été déçue !



J'ai été tout de suite plongée dans l'atmosphère mystérieuse du Deauville des années 1920 et fascinée par le héros Viktor Skorpión, sorte de Frankenstein de la fleur 🌿🌹S'il y a bien une chose que nous prouve ce roman, c'est qu'on peut avoir la main verte tout en ayant le cœur bien noir ! Viktor Skorpion va faire date : c'est un personnage qu'on n'oublie pas.



Le Collectionneur mêle le thriller au genre fantastique et c'est une réussite ! Le Professeur parvient à créer des hybrides "femmes-fleurs" dans son laboratoire et cela va lui donner beaucoup de pouvoir sur ces femmes... en effet, il existe un lien intime et très fort entre elles... Cela nous pousse à réfléchir sur les désirs inassouvis et les choix qui peuvent conduire à des destinées tragiques.



C'est aussi, selon moi, un grand livre féministe. D'abord, les magnifiques personnages féminins prennent vie de page en page : Rose, Violante Pericon, la fille du train, la femme cactus... L'auteur est très douée pour faire de beaux portraits de femmes !



Ensuite, rien que pour le chapitre V, TOUT LE MONDE devrait lire ce livre. J'ai pleuré et j'ai été bouleversée en le lisant... quand j'ai fini la dernière page du chapitre V, j'ai pris du temps à m'en remettre, je me suis demandé si j'avais bien lu cela et comment l'auteur avait pu avoir l'idée d'écrire ça...



"J'écris pour... ", écrit Jessica Peter. En effet, dans son livre elle montre un prédateur, Skorpión, mais surtout elle donne la voix à ses victimes avec beaucoup de sensibilité. L'un des personnages, Violante, incarne la possibilité de la révolte, de la reconstruction et aussi de la vengeance.



Un livre lumineux ET sombre, beau ET terrible, drôle ET effrayant, à lire absolument pour son sujet, son style et ses personnages inoubliables.
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Le Collectionneur

Ce livre me faisait de l’œil depuis quelque temps (sans parler de cette si belle couverture) et j’ai eu le plaisir de me plonger dans ce récit et de découvrir l’histoire de Viktor Skorpión, un scientifique pas du tout comme les autres qui va découvrir une nouvelle façon de jouir de son ou plutôt de ses plaisirs…

Cette histoire n’est pas à mettre entre toutes les mains. Ce livre est une explosion d’images en tout genre qui a, petit à petit, envahi mon esprit tel un lierre grimpant prenant possession d’une façade de maison. Pour moi, l’auteure a beaucoup de potentiel. Certains passages m’ont donné chaud sans compter la sexualisation descriptive débordante (à moins que ce soit moi qui ai l’esprit mal tourné).

L’auteure nous abreuve de détails botaniques. J’ai tout de suite ressenti son travail acharné.

Parfois, j’ai trouvé les descriptions très longues mais, dites-vous que sans elles, nous perdons l’âme de l’auteure. Ce roman aurait également besoin d’être aéré, à la façon d’un pétale de rose flottant dans l’air…

Certains le comparent au parfum de Patrick Suskind, de mon côté je le préfère à ce dernier.

Une dernière rêverie de ma part avant de vous laisser… J’espère qu’un jour j’aurai le plaisir de lire un roman qui parle de Violante Pericón qui, et j’ose le dire, ne m’a pas laissé indifférent…
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Le Collectionneur

Alors tout d’abord merciiii infiniment à l’autrice de m’avoir sollicité pour découvrir ce bijou ✨✨



Le Collectionneur est une lecture assez atypique qui mélange un peu de fantastique et de thriller ✨



Dès les premières lignes, j’ai été happée par son écriture qui est à la fois fluide, sensuelle, pleine de poésie et d’érudition ! J’ai adoré en apprendre plus sur les espèces végétales et animales. Je remarque vraiment tout le travail de recherche qui a été fait durant l’écriture. 🤔



J’ai adoré suivre cette découverte et cette théorie des femmes-plantes !! Je trouve cela fascinant, je commence même à croire à une certaine vérité dans ton récit !! La volupté des plantes, la sensualité des femmes : quoi de plus vrai ?



En lisant « Le Collectionneur » j’ai pensé à la citation qui dit « Qui vole un œuf, vole un bœuf » hahah ! Débutant par des petits larcins et finissant par des crimes !! Pour moi, le personnage Viktor est un mélange entre Mr. Hide, Dorian Gray et Bel Ami dans sa recherche de la beauté, dans sa vanité. Quelle drôlerie que de voir un scientifique dévier petit à petit vers la folie ! Quoique, j’ai cru comprendre que sa folie, son fétichisme ne datait pas d’hier !



Alors merci infiniment Jessica pour ta confiance ! J’ai beaucoup aimé ton livre ❤️
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Le Collectionneur

Ah, la nature et les fleurs...... quoi de plus naturel et joli?

Il y a une multitude de fleurs et d'arbres sur terre, beaucoup de personnes aiment en créer de nouveaux spécimens et il en ressort parfois de magnifiques.

Ici, l'auteure nous plonge dans l'univers d'un spécialiste dans les années 1900 qui cré aussi bien des fleurs que des arbres, il a décidé de vivre dans sa demeure juste entourée de quelques domestiques afin de pouvoir de créer librement.

Un jour il décide de tenter une expérience avec les cheveux de sa cuisinière et, une plante ressemblant à Louise, sa cuisinière a poussé. Il décide de recommencer avec Rose, sa bonne et, encore une fois il réussi à avoir une plante lui ressemblant.

Tout cela peut paraître quelque chose de tranquille et sympathique mais, et oui, il y a un mais, sinon l'histoire ne serait pas aussi prenante 🙂

Notre cher professeur va devenir obsédé par son travail et il va en vouloir plus, beaucoup plus.

Bien qu'il n'y ai que lui qui voit la ressemblance avec une femme, cela ne va pas l'arrêter et pour réussir à avoir des cheveux, mais pas n'importe lesquels, il faut que les femmes aient une grâce particulière, il va être prêt à faire n'importe quoi jusqu'à aller trop loin.

L'autrice nous emmène dans les méandres de l'obsession.

Cela m'a un peu fait penser à une histoire vraie Le parfumeur.

Si vous aimez le suspense, la psychologie, la botanie et la folie, vous ne pourrez qu'aimer cette histoire.
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Le Collectionneur

J'avais beaucoup d'attentes en commençant ce livre, car le résumé et les extraits m'avaient vraiment donné l'eau à la bouche (sans parler, bien sûr, de cette magnifique couverture), et je n'ai vraiment pas été déçue.



Dans le Deauville des années 1920, on suit le quotidien de Viktor Skorpión, botaniste de renom, un personnage haut en couleur au passé trouble, qui va faire une découverte improbable.



En lisant un article de revue scientifique qui conseille d’utiliser des cheveux humains comme engrais en les enfouissant dans la terre de ses plantes, il décide de tenter l’expérience et crée sans le vouloir un être mi-végétal, mi-humain.



Par curiosité, il renouvelle rapidement le procédé, commençant ainsi une collection pour le moins étrange. Il prend alors conscience du pouvoir qu’il a sur ses créations, qui sont totalement sous son emprise, à sa merci dans le secret de son laboratoire...



On est plongés dans l'esprit de Viktor, on suit ses réflexions, on vit ses déceptions et on en viendrait presque à le plaindre (j'ai bien dit presque !).

On bascule tantôt dans l'amusement, tantôt dans l'horreur, tantôt dans la fascination.



La plume est envoûtante, originale, riche et poétique à la fois. Elle transporte subtilement le lecteur et le fait voyager en faisant habilement appel à ses différents sens.

J'ai particulièrement aimé le passage avec le papillon et la dionée, ainsi que le passage final, dont je ne peux rien dire sans divulguer des informations essentielles !



Bref, j'ai adoré !

Si vous êtes à la recherche d'une lecture originale, envoûtante et fascinante, et que vous n'avez pas peur de suivre Skorpión dans les méandres de sa folie… foncez !
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Le Collectionneur

Mille mercis à toi Jessica de m’avoir fait parvenir ton livre et pour le petit message, ça fait plaisir ❤️‍🔥.



Nous sommes à Deauville en 1920. Dans la villa du Lys, vit le docteur Viktor Skorpión, ancien médecin légiste qui, après sa révocation s’est tourné vers la botanique, un domaine où il excelle (un peu trop 😂).



Mais avant de continuer plus loin, assurez-vous mesdames de bien camoufler vos cheveux ou du moins, faites en sorte qu’il ne s’y intéresse pas 🫣. C’est fait ? Continuons…



Un jour, il tombe sur un article scientifique relatant les bienfaits des cheveux en tant qu’engrais. Pour vérifier cette théorie, il décide alors de tenter l'expérience et crée sans le savoir une plante à l’aspect humain. En effet, sa création ressemble à la personne à qui il a pris les cheveux. Fasciné par le résultat, il renouvelle rapidement le procédé, ce qui donnera lieu à une étrange collection. Seulement, notre docteur n’est pas satisfait de ses créations, l'envie de créer “la plante parfaite” va pousser ses expériences plus loin ou peut être devrais-je dire trop loin 🤷🏻‍♀️…



J’ai apprécié cet univers fleuri bien que macabre. Plonger dans l'esprit du savant fou, du Frankenstein des plantes a été un pur régal. Suivre ses réflexions, écouter ses explications, vivre ses échecs et le voir basculer jusqu’à la déchéance était à la fois captivant et fascinant. C’est fou comme une petite obsession peut vite virer au cauchemar.



La plume de l’auteure est très soigné, fluide, poétique mais surtout très prenante. J’ai aimé ce roman avant même de l’avoir lu ❤️‍🔥. Alors, si comme moi, vous aimez les thrillers fantastiques, n'hésitez pas à mettre les pieds dans la villa du Lys, surtout dans la serre mais ça sera à vos risques et périls car le docteur n’est jamais très loin et toujours munit de ses pinces 🦂


Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Le Collectionneur



Viktor était un grand médecin légiste très réputé dans la capitale. Après plusieurs erreurs lors d'autopsies, il ne peut plus pratiquer ce métier. Il décide de retourner à Deauville dans la villa de ses parents. Ces derniers étant décédés, il a toute la place pour s'adonner à sa passion pour les fleurs. De la plus simple à la plus exotique, Viktor passe son temps à les chouchouter. Lorsqu'il découvre dans un magazine de jardinage qu'avec des cheveux de femme les fleurs poussent plus facilement, il décide d'essayer. Il n'a près de lui que sa bonne, elle sera son premier essai. Le lendemain, une fleur a poussé entièrement dans la nuit, celle-ci a le visage et le corps disgracieux de Louise. Heureusement pour lui, personne ne voit en la fleur, une personne. Il va réitérer avec sa soubrette, la fleur sera magnifique. Pris dans l'envie d'en savoir plus, il doit absolument trouver d'autres cheveux.

Comment va-t-il procéder ? Jusqu'où ira-t-il ? Est-ce dangereux pour les femmes ? Pour lui-même ?



Une belle couverture colorée qui représente une partie du corps d'une femme en fleur. Un roman qui se déroule dans les années 1920. L'auteure a respecté le langage et les conditions de vie de cette époque. Une histoire peu commune avec un personnage principal doté d'une passion dévorante voir même obsessionnelle. Il n'hésite pas à se mettre en danger et à sortir de sa zone de confort pour obtenir le Graal. Les descriptions de l'auteure nous permettent d'être intégrés complètement à l'histoire auprès des personnages. Un mélange de fantastique et de thriller parfaitement équilibré. Il y a également un parfait équilibre entre le côté sombre de Viktor et les magnifiques couleurs des fleurs qui partagent sa vie. J'ai adoré lire ce roman qui sort des sentiers battus. La plume de l'auteure est tantôt douce tantôt dure selon ce qui se passe dans l'histoire. À plusieurs reprises, elle nous parle de personnages en nous disant " je vous en parlerais plus tard ". Ça promet encore de belles heures de lecture.







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Le Collectionneur

HELLO Retour lecture 👌



Petit résumé : Nous suivons un botaniste, qui va faire une découverte intrigante. Celui-ci va vouloir aller plus loin dans ses expériences et pour cela il aura besoin de cheveux et de femmes. 👯



J'essaie de ne faire aucuns spoil 😆



Pour commencé : C'est un roman qui m'a étonné, car je n'ai jamais lu ce type d'histoires. Un botaniste qui tente de planter des cheveux..)😜 Un peut fou non ? Et pourtant c'est arrivé dans le collectionneur ...👄



Mais c'est une botaniste déterminée ! C'est ce qu'on adore les gens déter 💜

J'ai eu un peu de mal à me mettre dedans au début, mais une fois que je suis entré dedans j'ai apprécié ma lecture.. Bien que Viktor m'ait énervé plusieurs fois. 😅



Les descriptions détaillées ne laisse pas forcément libre cours à votre imagination mais elle te permet de voir directement le monde que l'auteur voulais. Vous capté directement l'univers 🤗



Ensuite j'avoue que la couverture ne m'a pas entièrement séduite, mais elle correspond entièrement à l'univers dans lequel nous sommes plongés.🌷



Point négatif : La couleurs de l'écriture du synopsis en orange sur un fond vert .. ça fait mal aux yeux .. 😔



Roman qui pour moi , sort de l'ordinaire. C'était un plaisir !

J'ai apprécié découvrir ce roman et je remercie Jessica 💜

Je lui souhaite plein de bonne choses 😁



#Botaniste #femmes #expérience #magie #book #livres #fantastique #bookworm #roman #books #lecteurs #lecture #sp
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Le Collectionneur

Ce livre m'a bouleversée, tout simplement !

Tout commence par une histoire dans le genre "fantastique", on se demande si les fleurs ont réellement pris un aspect humain ou si Viktor Skorpión a tout imaginé. Est-ce réel ? Est-ce son fantasme ? Je ne spoile pas bien sûr donc je ne dirai rien 🤐

Mais ce n'est pas du tout le véritable sujet du livre. Pour moi, il y a deux sujets : le désir de Viktor, l'analyse psychologique qui est faite de lui, et puis le lien mystérieux entre les fleurs et les femmes...

J'ai adoré ces deux aspects : Viktor est tour à tour bizarre, cruel, ridicule, torturé... Par moments je l'ai détesté de toutes mes forces et d'autres fois j'avais de l'empathie pour lui. Dans le dernier chapitre notamment, je ressentais de la tristesse pour lui. L'auteure n'a pas une vision manichéenne de l'âme humaine, elle s'attache à la complexité de son personnage, elle n'est pas "moralisatrice", elle nous donne à voir son intériorité et c'est au lecteur de se faire son propre jugement.

Concernant les fleurs, elles sont si bien décrites qu'on croirait les avoir sous les yeux, pouvoir les toucher et les sentir. L'auteure a une plume incroyable, ses descriptions sont très sensorielles, sensuelles. On s'interroge tout le long sur la nature des fleurs, sur ce qu'elles sont exactement. Ce sont des personnages à part entière ! C'est la première fois que je vois cela dans un roman. Je ne peux pas en dire plus...

En résumé, j'ai adoré ce livre ! Si vous aimez le fantastique et vous interroger sur la réalité de ce que les personnages pensent voir, vous allez aimer. Si vous aimez les thrillers psychologiques bien tordus, vous allez aimer aussi. Si vous aimez tout simplement la littérature, vous allez aimer !
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Le Collectionneur

Quand cet ouvrage m’a été proposé à la lecture, j’ai été très intriguée par la couverture et par le résumé, ce qui m’a donné envie d’aller à la rencontre de Viktor et de plonger dans cette histoire hors norme. Dès les premiers chapitres, l’autrice nous fait comprendre qu’elle nous a préparé un fil rouge pas comme les autres et que nous allons aller de surprise en surprise.



Viktor est un botaniste de renom. Il aime ses plantes plus que tout et leur voue un amour sans limite, presque irrationnel. Cela le coupe beaucoup du reste du monde et fascine les autres en même temps. Quand il décide de tester ce qu’il découvre dans une revue scientifique, son monde va totalement basculer et le conduire sur un chemin des plus dangereux.



Car lorsqu’il va utiliser des cheveux comme engrais, ses plantes vont montrer une croissance étonnante et quelque peu déstabilisante. Mais Viktor entrevoit là sa totale réussite et il va se lancer à cœur et à corps perdus dans cette nouvelle quête, une quête qui va l’emmener sur un chemin plus que glissant, pour le plus grand plaisir des lecteurs de thrillers.



L’autrice nous propose un récit qui a le mérite d’être totalement original ! Je ne sais pas où elle est allée chercher toutes ses idées, mais c’est passionnant et cela donne envie d’en apprendre toujours plus. Comment ne pas se poser plein de questions face à ce qu’il arrive à toutes ces plantes ? C’est glaçant et en même temps, totalement fascinant.



Viktor est un personnage très particulier qui fascine et horrifie en même temps, ce qui en fait un parfait « héros » que nous suivons avec passion, voulant en apprendre toujours plus sur lui et sur ses agissements. C’est clairement lui qui tient la tête d’affiche et qui fait que ce livre vaut le détour. Je me suis nettement moins attachée aux autres personnages.



Si j’ai adoré le fil rouge, l’originalité de l’œuvre et le personnage principal si ambivalent, j’ai quand même eu un peu de mal durant cette lecture. Pourquoi ? Parce que certains passages sont vraiment longuets à mon goût et que j’ai malheureusement décroché durant ces moments.



En bref, c’est donc une découverte qui vaut clairement le détour malgré un rythme un peu trop lent par moment. Mais rien que pour l’originalité du récit, il ne faut pas passer à côté de ce roman.
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Le Collectionneur

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Le collectionneur de Jessica Peter

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Skorpión ne vit que pour ses plantes qu’il entretient jalousement et qu’il croise entre elles pour créer de nouvelles espèces. Ses hybridations lui ont apporté ces dernières années notoriété et reconnaissance auprès de la communauté scientifique.

En parcourant une revue, il lit que les cheveux seraient un engrais très efficace pour les végétaux. Il décide de tenter l’expérience et utilisant ceux de sa cuisinière puis ceux de sa bonne. Dès le lendemain, les plantes ont démesurément grandi et surtout elles ressemblent à s’y méprendre à celles qui ont donné leur cheveux en guise d’engrais. Pour Skorpión, c’est l’hybridation ultime, la création de femmes-fleurs.

Mais seul lui semble remarquer la prodigieuse ressemblance entre la fleur créée et son modèle original. Ce sera son secret, son prodige.



Un homme totalement habité par sa passion et totalement indifférent à tout ce qui ne touche pas à ses précieuses plantes. Pourtant c’est un homme cultivé, sociable et qui traite avec humanité et respect ses deux employées. Mais le démon de la science qui l’habite va grossir jusqu’à prendre toute la place.

Il commencera par quelques mèches récupérées sur les brosses à cheveux, mais bientôt il subtilisera les mèches directement sur leurs propriétaires, à leur insu. Un jeu dangereux et pour lequel Skorpión va prendre de plus en plus de risques.



On est au début du vingtième siècle et le statut de la femme est dépendant de celui que l’homme lui donne : femme et mère soumise à son mari, employée soumise à son patron ou prostituée soumise aux hommes. Toujours dépendante des hommes, toujours figée dans un rôle. Malgré son ouverture d’esprit, Viktor les fige un peu plus avec ses créations mi végétales, mi femmes. Les fleurs obtenues deviennent le symbole de la pureté ou de la perdition de celle qui en est la copie. L’image de la femme vénéneuse, séductrice et manipulatrice à son apogée.



Petit à petit le roman va devenir plus sombre, plus machiavélique et virer au fantastique. Le scientifique qu’est Viktor est dépassé par sa création et son ambition, plus rien ne peut le restreindre dans sa soif e découverte, même pas la morale.

La plume de l’auteur est de bout en bout assez poétique, théâtrale presque parfois, s’immisçant au plus profond des sombres pensées et divagations de son personnage.

Le tout nous offre une histoire riche, vraiment originale mais qui aurait pu être un peu raccourcie selon moi. Certains passages sont un peu répétitifs et on y perd un peu en rythme.



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