Citations de Joe Benitez (47)
- T'ai-je jamais vu autrement que le verre à la main, Lewis ?
- Rarement ! Comme disait mon grand-père : "il vaut mieux avoir à boire sans avoir soif qu'avoir soif sans rien à boire"! Ha!
- Quelle sagesse !
Parfois nos actes ont des conséquences inattendues. Les meilleures intentions peuvent provoquer des drames. Je l’ai appris à mes dépens. Nous ne pouvons que faire au mieux selon la situation. Tirer les leçons du passé et aller de l’avant.
- Je le trouve fort conciliant. Et c'est la première fois que je rencontre un officier de police si prompt à collaborer avec moi. (Lady Mechanika)
- On dirait même qu'il s'attendait à te trouver ici, non ? (Lewis)
- Si.
- Ce n’est pas la fin, Mechanika ! Ce n’est que le commencemeeent...
- Ils disent toujours ça... à la fin.
Confronté à une réalité insupportable, il n'est pas rare que l'être humain se réfugie dans son imagination. Plutôt que de se laisser briser l'âme, on érige autour d'elle des remparts. On se réfugie dans un sanctuaire intérieur. Un jardin secret où l'on est à l'abri de toutes choses. Lorsqu'on est forcé de quitter ce refuge, le seul moyen de continuer à supporter la réalité... C'est d'en occulter les souvenirs pénibles.
- Au moins leur enfant est vivante.
- Mais peut-on appeler ça une vie ?
- Pour un parent, un enfant-monstre vaut mieux qu’un enfant mort. Crois-moi.
- Cela fait bien longtemps Mechanika. Tu as l'air en pleine forme.
- Toi aussi.
- Hélas, je constate que tes goûts vestimentaires sont toujours aussi déplorables.
- Peut-on vraiment juger de ces choses avec un seul œil ?
- Que c'est délicat.
Les gens ont peur de ce qu'il ne connaissent pas. C'est une vérité que j'ai toujours connue car je ne garde aucun souvenir de l'époque ou je n'était pas encore un être contre nature... Les gens craignent la différence: physique, mentale, de comportement. Ceux qui sont différents sont rejetés, ridiculisés parfois éliminés.
Le géniteur : Préfères-tu vivre avec ces monstres qu’avec ta propre famille ? Dans un monde où la mort et le danger te guettent partout ?!
Alejandro : Non ! Je n’ai pas ma place dans ton monde papa ! Le peuple de Lucian accueille ceux qui sont différents ! Ceux d’entre nous qui ne peuvent PAS se conformer aux règles de la société, quels que soient leurs efforts !
Rouler des mécaniques, c'est une maladie des hommes.
Milena : Mais ça m’a soulagée d’apprendre que vous aviez quitté Blackpool et la fabrication d’armes. J’ai toujours dit à Albie qu’une telle activité ne pouvait se solder que par le malheur et la destruction.
Yaromir : Tu es trop gentille, petite Madame Schuller. Nous devons fabriquer les armes pour protéger les innocents comme toi.
Edward : Pfff. Nous protéger, laissez-moi rire ! C’est grâce à vos inventions géniâââles que je dois me trimbaler dans le crâne jusqu’à ma mort !
Milena : Edward !
Edward : Votre protection, je m’en PASSERAIS bien, les grosses têtes !
"Moitié humaine, moitié machine. Chair et métal. Fusionnés de façon incompréhensible. Comment m'a-t-on fabriquée? Qui l'a fait et dans quel but? Je trouverai les réponses à ces questions." # Lady Mechanika
- Pourquoi les différents villages ne s’allient-ils pas ? Leurs habitants sont bien plus nombreux que les Jinetes.
- Un beau jour, ils le feront. Quand la coupe sera pleine, quand ils trouveront le courage de dire non.
Vous savez, prélever la dîme, ça n’a rien d’inhabituel, dans ce pays. Même la police, les RURALES, réclament une taxe en échange de leur protection. Mais le chef des Jinetes va trop loin. Un jour, le peuple se soulèvera contre lui, et d’autres innocents mourront. Parce que les gens d’ici sont des fermiers et des artisans. L’art de la guerre leur est inconnu. Hormis leurs outils, ils n’ont pas d’armes. Ils se battront toutefois, et peut-être qu’ils vaincront, mais nombreux d’entre eux périront.
_ Pourquoi survit-il toujours? Pourquoi?! Mon père est mort, et pas lui! Pourquoi? C'est injuste! Injuste!!! C'est ta faute! Tu m'as pris mon père! Tu m'as pris mes jambes! Tu m'as pris ma vie! Tu m'as tout priiiiis!!
_ Oui, c'est injuste. Et c'est douloureux. Mais le tuer n'arrangera rien. ça ne fera pas revivre les morts et ça ne te rendra pas tes jambes. ça ne fera que... vider ton coeur.
_ Non... non... sniff... non...
_ Ne laisse pas la douleur te guider. Laisse-la partir. Alors seulement, tu trouveras la paix.
- Je vous avertis, monsieur Blackpool, vous seriez bien avisé de retirer ces paroles. M'avoir pour ennemie n'est guère recommandable.
(Mechanika)
Si tu persistes à laisser la haine t’aveugler...C’est TOI qu’il faut stopper.
Peut-on considérer comme « éclairée »une société qui sélectionne ses membres sur la seule base de leur sexe ?
Lady Mechanika: Fred, ne crois-tu pas que je suis un phénomène?
Fred: Quoi? Mais non, voyons! Vous êtes Lady Mechanika...
L. M.: Allons, j'ai des membres mécaniques et d'effrayants yeux rouges! Mais ce qui me différencie des autres me permet de faire ce qui leur est impossible, comme toi avec ta mémoire. Tu devrais la considérer comme un don, qui va en outre nous aider à sauver ton grand-père. Quant à tes lunettes, je les trouve fort élégantes.
_ Pitié, laissez-la, prenez-moi à sa place!
_ Et ainsi me priver d'elle? Ta famille, gitan... ton sang, littéralement, est la clé du futur. Notre docteur se prétend capable d'en découvrir les secrets, mais je ne veux pas prendre de risques inutiles. Pourquoi se contenter d'un spécimen quand on peut en avoir deux?
-Je dois te poser une question, Lewis. Alors peux-tu rester sérieux ne serait ce qu'une seconde ?
-Une seconde, oui. Deux... ? Cela pourrait s'avérer difficile.