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Critiques de Johanna Lindsey (89)
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Ainsi parle mon coeur... (Epouse ou maîtresse..

Deuxième livre que je lis de cette autrice, le moins que je puisse dire après avoir relu ma critique de l'autre livre c'est qu'elle ménage pas ses héroïnes. On est loin des romances tranquilles sous la régence.



Ici on est en 1176, lors de prises de pouvoir sur le territoire anglais. Les luttes entre les seigneurs, les changements à la tête des châteaux sont fréquents.

Lady Beatrix est une jeune femme délaissée par son père, ivrogne sous le joug de sa seconde épouse. Elle se voit contrainte par la force à épouser le nouveau seigneur du château voisin, dont la réputation est plus que déplorable.

Leur relation dès le départ est conflictuelle d'autant plus que Rolfe a conservé son ancienne maîtresse sous son toit. Les quiproquos s'enchaînent mais leur attirance mutuelle se fait assez vite. On est plus sur des non dits, des prises de tête à cause d'une maîtresse manipulatrice refusant d'être délaissée. Une bonne discussion réglerait tout, l'opposition est vite oubliée.

La plume est fluide, on a un peu tous les codes pour cette période du moyen âge. Mais je n'ai pas été plus emballée, il m'a manqué le petit plus pour m'attacher aux personnages. Ce n'est pas non plus ma période historique préférée.





Ressorti en harlequin sous le titre ainsi parle mon coeur
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Ainsi parle mon coeur... (Epouse ou maîtresse..

C’est une lecture au top. Je l’ai dévorée. J’ai lu la saga « Les frères Malory » de l’auteure et j’ai adoré. Les personnages féminins comme masculin sont hauts en couleur. Les frères Malory sont assez sujets au coup de sang et intrépides, mais ils sont aussi charmeurs. Il me semble que j’ai pratiquement enchaîné les 10 tomes. Si vous avez aimé Les Chroniques de Bridgerton, il y a de grandes chances que vous aimiez cette saga. Du coup, quand j’ai vu des livres de l’auteure sur Netgalley, je n’ai pas hésité une seule seconde.



Et le plus important, j’en suis enchantée.



Léonie est abandonnée depuis longtemps par son père. Depuis la mort de sa mère, il l’a exilé loin de lui dans une demeure secondaire, il ne daigne même pas la voir et là il l’a mariée de force. Non, mais ce n’est pas Dieu possible. Léonie n’en croit pas ses oreilles. Elle n’existe plus à ses yeux depuis 6 ans, et lui enlève le peu de liberté qui lui restait. Elle est bien décidée à ne pas se laisser faire.



Rolf a fait ses preuves sur les champs de bataille et il est finalement récompensé par un petit château. Seulement, c’est sans compter sur ses voisins. Pour une raison inconnue, ils l’ont pris en grippe. Il a tellement de soucis à gérer avec des conflits sur ses terres. Il doit impérativement trouver une solution. Pourquoi ne se marierait-il pas avec la dame du domaine voisin ? Mais, oui… c’est ça !



Une lecture bruyante et joyeuse !



J’adore les deux protagonistes, Léonie et Rolf. Ils sont tellement butés et aveugles. Léonie ressemble fortement à une lionne indépendante, combative et douce. L’auteure nous offre des scènes pleines de quiproquos qui m’ont tantôt agacé, fait rire et même parfois fait lancer des imprécations à leur encontre. Ils sont attendrissants, mais mon dieu, ouvrez les yeux, parlez-vous. Ce sont deux êtres fiers qui sont manipulés par leur proche et ceux en qui ils ont confiance. Alors, certes, ça a un petit côté légèrement agaçant et en même temps, ça crée le mouvement, le rythme et l’addiction.



Johanna Lindsey a une plume fluide et toujours aussi immersive que dans la saga des frères Malory.



En résumé : C’est une excellente lecture qui a su me happer et me plaire. Une romance pleine de défauts et de qualités est absolument addictive.




Lien : https://lesparaversdemillina..
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Captifs du désir

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Captifs du désir

J’ai adoré !



Un roman rouge qui commence comme une tragédie, c’est pas courant. Si on ajoute à cela un viol inimaginable, on se retrouve dans une aventure pleine de quiproquos inattendus qui vont déboucher sur des rebondissements surprenants.



Une plume riche et bien documentée, une toile de fond anarchique sous le règne du roi Etienne d’Angleterre, des personnages bien campés, un brin d’humour et ce qu’il faut d’érotisme pour que l’aventure s’enclenche ;-)



J’ai juste envie qu’il y ait une suite qui malheureusement n’existe pas :-p
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Captifs du désir

Ce livre m’intriguait depuis un moment et il me tardait de le découvrir !



Que dire sinon que j’ai été assez mal à l’aise pendant ma lecture. C’est rare qu’une romance historique me choque (quoique choquée est un bien grand mot), cependant j’ai eu un sentiment de malaise à cause de la réaction disproportionnée de Warrick. Je l’ai trouvé assez cruel face à Rowena, même s’il n’est pas violent physiquement. Ses perpétuelles humiliations vis-à-vis de la jeune femme m’ont dérangée.







Et pourquoi se venge-t-il cet homme ??? Parce que la pauvre Rowena se trouve contrainte de le « violer » ! Cet homme se retrouve enchainé sur un lit, et doit « subir » les assauts d’une femme magnifique !



Comment dire ??? Hummm !!!! Je comprends tout à fait que cette situation soit inadmissible, franchement, c’est une honte!!! Une femme magnifique, objet de tous les fantasmes, vient vous voir et vous couvre d’attention ! Je comprends vraiment que cet homme soit furieux !! Quel sort cruel ! Quelle torture !! Je crois que je n’avais jamais vu une telle horreur dans une romance ! Pauvre homme ! Cela justifiait-il cette haine et cette vengeance ?







Pour une romance, j’ai trouvé que ça manquait cruellement de tendresse, de même la fin est trop précipitée, j’aurais adoré voir le repentir de Warrick un peu plus détaillé !!



Par contre, j’ai beaucoup aimé Rowena, elle a un caractère bien trempé et beaucoup d’honneur. C’est elle qui sauve cette romance ! Attention, tout n’est pas à jeter dans cette romance, il y a des scènes qui m’ont fait sourire.







En bref : c’est rare mais j’ai été mal à l’aise à cause de la vengeance de Warrick que j’ai trouvé très dure, malgré quelques scènes sympathiques !
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Captifs du désir

Dans l’ensemble, je dirais que j’ai apprécié ma lecture. Mais, je suis également certaine que tout le monde ne peut s’aventurer dans ce genre de récit, sans se sentir choqué par la manière dont Warrick et Rowena débutent leur idylle.
Lien : http://www.sariahlit.com/201..
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Captifs du désir

C'est mon tout premier roman de Johanna Lindsey et dans l'ensemble, j'ai bien aimé. Cette histoire est très différente de ce que j'ai lu par le passé. En effet, Rowena se voit contrainte de violer Warrick afin qu'il lui fasse un enfant. Celle-ci a été contrainte d'agir ainsi à cause de son beau père qui menaçait de battre sa mère mais bien sure, Warrick ignore tout de cet odieux chantage. Après avoir subit pendant plusieurs nuits les assauts de la jeune femme, Warrick se jure de lui faire regretter un tel supplice, de l'avoir obligé à la désirer dans de telles circonstances. Autant dire que notre héros ne va pas se montrer conciliant ou tendre avec Rowena, bien au contraire au départ. Même si cela instaure la suite de l'histoire, j'aurai aimé que Warrick laisse Rowena s'exprimer, qu'il accepte au moins d'entendre sa version des faits avant de se fermer complètement. Warrick apparait d'ailleurs comme un homme dur et autoritaire, que ce soit pour ces filles ou pour son personnel. Quant à Rowena, elle se retrouve dépouillée de son titre et serve de Warrick en compagnie de Celia, Mme Blouet etc. Elle partage à plusieurs reprises le lit de Warrick et j'ai trouvé dommage que cet aspect soit à ce point survolé, non pas que je sois obsédée mais j'aurais trouvé ça utile dans la mesure ou dans leur rapports en dehors de cette chambre sont relativement froids et favorables aux affrontements. Du coup, l'amour nait mais j'ai eu du mal à accrocher à leur histoire étant donné que rien n'a vraiment été développé. Du coup, j'ai eu du mal à adhérer pleinement à l'histoire et d'une certaine façon, à trouver ça totalement réaliste. Mais je félicite toutefois l'originalité dont l'auteur à fait preuve dans la mesure ou à cette époque, la féodalité prenait une grande place dans la conscience collective. En un sens, un peu plus de passion entre Warrick et Rowena aurait ajouté de la légèreté au temps du Moyen Age.
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Captifs du désir

L’intrigue se déroule en 1152 au moment où en Angleterre se déroule une guerre entre deux prétendants au trône Mathilda et Stephen. Cela peut expliquer en partie la violence de Warrick de Chaville et celle de Gilbert d’Ambray car ils ne sont pas dans le même camp. Après cela n’explique pas la cruauté du personnage masculin envers Rowena sauf si on sait que les premières romances historiques parues dans les années 80 -90 mettaient en scène des héros (si on peut dire) forçant pour ne pas dire violant à tour de bras les héroïnes qui leur passaient dans les bras. Parmi les auteures rivalisant de cruauté, on trouve Rosemary Rogers. Johanna Lindsey se veut plus douce car, rapidement, on voit que Warrick regrette sans l’admettre son attitude avec Rowena. Mais ils sont enfermés dans une relation malsaine et il faudra à Rowena beaucoup de patience et aussi de fermeté pour reprendre les choses en main.

C’est donc une lecture qui peut déranger au départ, ensuite vous retrouvez un schéma fait d’amour et de haine. Ce que je trouve regrettable c’est le personnage de Gilbert, le demi-frère de Rowena qui aurait mérité un destin plus funeste après ce qu’il fait subir à Rowena.

Challenge Multi-défis 2019

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Captifs du désir

C'est une romance old school, qui ne correspond pas aux standards actuels, mais qui se révèle captivante. Alors certes, les héros est au départ déplaisant de par sa vengeance et son traitement de l'héroïne, qui ne veut rien savoir. L'héroïne elle-même n'est pas totalement innocente dans ses actes même contre sa volonté, donc ça fait des étincelles entre eux. Douce et forte à la fois, Rowena ne se laisse pas abattre. C'est une histoire passionnée mais qui risque de ne pas plaire au lectorat d'aujourd'hui. Très bon moment de lecture.
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En proie à la passion

Je n’ai pas apprécié ce livre. Le début était bien, pourtant. L’héroïne, Clothilde, est différente de toutes les autres jeunes femmes de son époque. Elle se rebelle et ne supporte pas qu’on veuille la brider. Ses arguments sur la condition féminine à cette époque font mouche. Les répliques cinglantes qu’elle échange avec Tristan sont sympathiques. Mais dans le milieu du roman, ça finit par devenir lassant parce que leurs incessantes disputes, bien souvent à cause de Clothilde, font traîner le récit en longueur. J’ai même fini par me demander si Clothilde n’était pas simplement une gamine trop capricieuse et butée… Parce que leurs querelles n’ont pas toujours d’explication valables… Et il manque le point de vue de Tristan parce qu’il tombe vite amoureux d’elle alors qu’au départ il ne pouvait pas la supporter. C’est un peu difficile à comprendre.



La fin est bâclée, tout se déroule trop vite. C’est comme si l’auteur avait un nombre de pages limitées et comme son récit a traîné en longueur dans le milieu, elle le finit rapidement, trop rapidement… Je suis déçue parce que le résumé semblait prometteur… Dommage...
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En proie à la passion

Une lecture quelque peu décevante. Tous les bons ingrédients étaient pourtant réunis : un mariage arrangé, un héros autoritaire et une jeune fille « garçon manqué » qui tente de se rebeller contre sa condition. Autant j’ai apprécié Tristan, le héros masculin, qui se demande ce qu’il a fait pour avoir une fiancée qui fait fi des conventions et qu’il tente d’amadouer par un déploiement de sensualité. Autant, j’ai trouvé Clothilde un peu agaçante, à ressasser des évènements qui se sont produits quand elle avait 6 ans…. il y a largement prescription! Je l’ai trouvée bien trop hâtive et partiale dans ses jugements. Son caractère bien trempé aurait pu être un atout pour l’histoire, or l’auteure ne s’en est que peu servi. Il m’a manqué des joutes verbales et des confrontations plus musclées entre les deux héros. Il manquait aussi quelques touches d’humour. C’est une histoire un peu trop convenue et un peu trop prévisible malheureusement. J’en suis vraiment déçue car il y avait tous les critères que j’aime retrouver dans les romances historiques.
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En proie à la passion

Un livre ‘rouge’ comme je les aime !



La violence conjugale vue par une enfant et tout est différent, tout devient sujet à rejet et pourtant, il suffit parfois d’un autre regard pour comprendre. Un sujet difficile qui provoque une série de quiproquos parfois graves, souvent désopilants.



Ainsi, une lady, une héritière va refuser son statut de femme et revêtir l’habit de serf tout en se comportant comme la maîtresse des lieux et c’est pour le moins perturbant pour le fiancé qui vient la chercher avec des pieds de plomb, il faut le dire…



Une auteure qui ne se perd pas en digressions inutiles, une toile de fond parfaite à savoir la méfiance des barons envers leur roi peu fiable Jean sans terre, une bonne analyse des couples au Moyen-Age qu’ils soient aristocrates ou serfs, des personnages attachants qui évoluent au fil des pages et surtout beaucoup d’humour ; un moment de plaisir qui se lit bien trop vite :-p
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Esclave et châtelaine (Les feux d'une passion)

Une romance au moyen âge, on est loin des codes puritains de la régence souvent propres à la romance historique. Alors on ne doit pas s'étonner de la relation entre les deux protagonistes. Lui est fils d'un seigneur de guerre, assez rude, élevé aux brimades et au dur apprentissage de guerrier. Il se voit affublé d'une serve indocile qui ne songe qu'à s'enfuir et aux faux airs de lady. Les menaces de punition au fouet, les servantes pour réchauffer le lit sans qu'on leur demande leur avis, rien de plus naturel pour lui. Aussi lorsque Brigitte se rebelle à son autorité, les réactions violentes ne sont jamais loin.

On est loin de l'amour courtois auquel on pourrait s'attendre pour les dames de cette époque. Brigitte, soeur du chatelain mort lors des dernières batailles contre les sarrazins, devait pouvoir choisir son époux mais une tante de son frère veut la marier contre son gré pour lui ravir son château. Tour à tour révoltée, acceptant sa condition de soumise, presque serve, elle essaie de faire admettre sa véritable condition.

Une romance qu'on ressent datée des années 80/90 où la femme commençait à être moins passive mais souvent les premières rencontres sont assez violentes, débuter le roman avec un viol était assez hélàs courant.

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Esclave et châtelaine (Les feux d'une passion)

Tout d'abord, le résumé de la 4ème de couverture ne fait pas honneur au roman ! Bon, l'attitude du héros est parfois limite (quand on apprend son passé cela nous semble plus « normal » )... et n’oublions pas que l’histoire se déroule en France, an de grâce 972. Donc parfois la violence donne un côté rustre à la romance mais il faut à chaque fois se dire « remets toi dans le contexte de l'époque... ». Même si le héros est arrogant, brute; l'héroïne sait se défendre! On ne s'ennuie pas, et l'histoire est prenante.

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Esclave et châtelaine (Les feux d'une passion)

J'ai adoré ce roman !

Pourtant, il contient une des "ficelles scénaristiques" que je ne supporte pas, d'habitude : le quiproquo sur l'identité de quelqu'un. Et malgré ça, j'ai dévoré cette romance. Pour une fois, aucun des deux personnages principaux ne m'a agacée. Au contraire, j'ai beaucoup aimé leur personnalité et l'évolution de leur relation.

Bon, par contre, ne vous fiez pas au résumé, il est bourré d'incorrections par rapport à la vraie histoire.

Et si vous ne supportez pas les hommes légèrement machos sur les bords et les non-consentements, ce livre n'est pas pour vous. Il n'y a aucune violence, mais disons que comme le personnage masculin croit que l'héroïne est une esclave, il ne s'embarrasse pas trop de savoir si elle est d'accord ou non (n'oublions pas non plus que ce roman a été publié pour la première fois en 1983 !). Ce qui ne nous empêche pas de nous attacher à lui, et c'est ça qui est très fort. Car ce roman ne se résume pas qu'à ça et il y a beaucoup d'autres choses qui le rendent impossible à lâcher.

Vraiment, cette lecture a été une excellente surprise, et je lirai d'autres livres de cette autrice !
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Il était une fois une princesse



Stefan doit monter sur le trône de Cardinie et épouser Tatiana Janacek à qui il a été fiancée alors qu'elle n'avait que quelques jours. Pour la sécurité de l'enfant, dernière de sa lignée, Tatiana a été envoyée en Amérique il y a une vingtaine d'années, aux bons soins d'une noble qui ne devait la ramener qu'une fois tout danger écarté. Stefan doit donc se rendre de l'autre côté de l'Atlantique pour récupérer celle qui doit être devenue une jeune femme. Sauf que rien ne se passera comme prévu...



Tous les ingrédients qu'on attend d'une romance sont ici réunis. Des personnages hauts en couleur, des dialogues piquants, de l'humour, de la mauvaise foi, des malentendus, des quiproquos et bien entendu, de l'amour.

Le contexte historique est plutôt survolé et sert surtout de prétexte à une folle épopée de l'Amérique aux portes de la Russie à l'époque où cela mettait des semaines.

Bien entendu tout est cousu de fil blanc mais c'est ce qu'on recherche en ouvrant ce type de roman.

J'ai vraiment bien aimé le personnage de Tanya qui ne s'en laisse jamais conter et dont les réparties m'ont souvent fait sourire.



La trame est construite en mode "conte" comme pouvait le laisser sous-entendre le titre et on peut donc y retrouver certains marqueurs du genre. Et c'est justement parce que l'héroïne n'a jamais cru aux contes de fées que cette lecture sera si enjouée.



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Il était une fois une princesse

Et j’ai encore bien ri :-)



Faut dire que perdre une princesse bébé au fin fond de la Louisiane et la retrouver, souillon, tenancière de taverne une vingtaine d’années plus tard, c’est pas à la portée de tous. Et pourtant, le futur roi de Cardinie, le héros assez soupe au lait de cette aventure, va la retrouver sous son déguisement assez repoussant. Jusque là, tout va bien, c’était le plus facile mais notre jeune fille n’est pas née de la dernière pluie et il ne faut surtout pas lui conter des féeries, elle n’y croit pas ! Et le combat commence entre deux caractères robustes et résolus et c’est vraiment drôle :-)



Si le côté historique n’est présent que pour le décors, l’auteure s’est vraiment amusée dans l’écriture de son récit qui allie le roman de ‘cape et d’épée’ à la romance. Une belle réussite et un des ‘introuvables’ qui mérite le détour :-)
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Il était une fois une princesse

Je ressort de cette lecture avec un avis mitiger, j’ai connu mieux en tout cas de cette auteur, le résumé semblait prometteur mais malheureusement il y a beaucoup de longueur et de répétition même si l’intrigue a réussi à me garder jusqu’au bout.



Entre les personnages c’est comme chiens et chats , qui va même jusqu’au manque de respect à certain moment et en boucle en plus car le héros à que sa en tête alors que le pire c’est que c’est tout l’inverse. Enfin, elle tellement têtue car elle ne veux rien savoir mais bon après au vu de ce qu’elle a vécu sa peux se comprendre que ce qu’il lui dise et tirer par les cheveux.



Certaines scènes sont vraiment cocasses, je pense que c’est sa en partie ce qui m’a fait lire d’une traite ce livre.



Pas un des meilleures de la collection " les introuvables " , c’est dommage, je trouve que l’histoire a mal était exploitée et la fin est un peu bâclée, tout va trop vite.



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Il était une fois une princesse

L’étoile est pour la traductrice. Je me demande encore comment on peut appeler ceci une romance. Je suis allé jusqu’au bout seulement pour espérer savoir qui en voulait encore à Tanya. Mais le reste c’est une vaste blague.

Pourtant, le résumé me tentait bien et semblait être comme beaucoup de livres de ce genre. Pas du tout. Tout d’abord le début, on découvre une Tanya qui travaille dans une taverne et qui ne sait pas qu’elle est une princesse. Tout ce qu’elle veut c’est être indépendante et gérer la taverne une fois que Dobbs sera mort. Stefan et ses amis arrivent et là le désenchantement total. D’une, la façon dont ils s’y prennent pour la convaincre est bancale et en plus les piques insultantes sur le fait qu’une employée de taverne se prostitue obligatoirement, c’est bien connu. Tanya fait tout pour fuir car elle ne croit pas leur racontar. S’ensuit violence physique, kidnapping, et par deux fois viol (tout de la part de Stefan). Personnellement, je suis persuadé que le consentement du personnage féminin est enterré dans un trou très profond au fond du jardin.

Mais il y a un cran au-dessus. Tanya que j’appréciais parce qu’elle faisait tout pour se battre et s’échapper, se met à éprouver des sentiments pour Stefan… Vive le beau syndrome de Stockholm des familles. Comment peut-on apprécier un homme sanguin, prompt à la colère qui t’a frappé, violé et qui t’insulte de prostituée juste sur une supposition. Et j’oublie son cousin Vasili qui n’est pas mieux pour les insultes à peine couvertes.

Pour conclure, cette lecture fut un fiasco total. C’est l’une des pires histoires que j’ai pu lire de ma vie. Et le fait qu’elle a 30 ans d’âge n’excuse rien.
Lien : https://la-bibliotheque-du-l..
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L'orgueil du contrebandier

Une fois n'est pas coutume la magie Johanna Lindsey a délicieusement opéré ! Il faut dire que cette fine plume sait exactement comment faire pour me faire passer un savoureux moment. Une intrigue fort bien menée. Des personnages attachants. Et enfin une bonne dose d'humour, de défis, d'action, de danger, de rebondissements, d'aventure, de passions, d'émotions vives et de sensualité. Si vous cherchez une palpitante et pétillante romance de piraterie qui vous tienne en haleine, qui vous fasse vibrer dans tous les sens du terme et qui fasse en prime un bien fou au moral. Alors L'orgueil du contrebandier est exactement ce qu'il vous faut ! Fans de la saga Malory, foncez ! Vous n'allez pas le regretter ! Quand à moi, il me tarde de découvrir l'histoire de Jacqueline, alias Jack la téméraire. La fille de James Mallory...
Lien : https://wp.me/p5AuT9-dLu
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