Critiques de John Lang (426)
Autant pour les 4 premiers tomes, je savais, dès les premières pages que j'allais passer un bon moment, autant que pour celui ci, je n'ai pas du tout ressenti cela..et je ne me suis pas' trompé.
Ce tome est beaucoup plus sanglant et noir que les premiers et je n'ai pas' retrouvé l'humour qui caractérise cette épopée du donjon de Naheulbeuk. Dommage.
Ce tome est beaucoup plus sanglant et noir que les premiers et je n'ai pas' retrouvé l'humour qui caractérise cette épopée du donjon de Naheulbeuk. Dommage.
John Lang toujours aussi drôle. Ce livre n'est pas une simple retranscription mais une véritable adaptation, profitant pour ajouter des détails, et pour mettre des clins d’œils pour les fans de la première heure.
Les personnages sont loufoques, 100% RPG (Jeu de rôle) et on a la chance de les découvrir grâce aux bulletins cérébraux proposés tout au long du livre, nous délivrant par exemple les pensées profondes et spirituelles de l'elfe ou du nain. Ces deux là sont souvent très inspirés: insultes, jeux de mots douteux, la baston n'est jamais loin de toute manière. Un vocabulaire très familier, on ne s'embarrasse pas avec le style, vous l'aurez compris.
La quête n'est pas spécialement originale mais je ne m'attendais pas à ce que ça prenne une aussi vilaine tournure. +1 pour l'effet de surprise.
Bref, nos aventuriers ne pourront pas se la couler douce très longtemps, à la taverne avec leur butin, une fois la dernière page tournée. De nouvelles aventures nous attendent avec plusieurs tomes en perspective.
Une lecture distrayante qui ne casse pas la tête: action, aventure, un humour niveau 1 un peu lourdingue mais des répliques qui m'ont quand même bien amusée et amenée au bout des 598 pages. J'aime ce genre d'aventures même si c'est "un attrape-couillon" dixit le nain!
Lien : http://www.lelivroblog.fr/ar..
La quête n'est pas spécialement originale mais je ne m'attendais pas à ce que ça prenne une aussi vilaine tournure. +1 pour l'effet de surprise.
Bref, nos aventuriers ne pourront pas se la couler douce très longtemps, à la taverne avec leur butin, une fois la dernière page tournée. De nouvelles aventures nous attendent avec plusieurs tomes en perspective.
Une lecture distrayante qui ne casse pas la tête: action, aventure, un humour niveau 1 un peu lourdingue mais des répliques qui m'ont quand même bien amusée et amenée au bout des 598 pages. J'aime ce genre d'aventures même si c'est "un attrape-couillon" dixit le nain!
Lien : http://www.lelivroblog.fr/ar..
Une bonne reprise de la saga audio, mais qui est totalement complémentaire, autant on retrouve des scènes cultes de la saga audio mieux décrites dans le livre, autant le plaisir de les entendre s'enguirlander en vrai est mieux dans la saga audio.
Donc si j'ai un conseil à donner, ce n'est pas de faire le choix de l'écoute ou du livre mais de prendre ce livre comme un vrai complément de la saga audio.
Et pour ceux qui veulent jouer au JDR du Donjon de Naheulbeuk, dans ces romans vous trouverez pleins de petites descriptions, anecdotes et même des plans pour agrémenter vos parties !
Donc si j'ai un conseil à donner, ce n'est pas de faire le choix de l'écoute ou du livre mais de prendre ce livre comme un vrai complément de la saga audio.
Et pour ceux qui veulent jouer au JDR du Donjon de Naheulbeuk, dans ces romans vous trouverez pleins de petites descriptions, anecdotes et même des plans pour agrémenter vos parties !
Quel est le cri du canard de Barbarie ?
Et bien il fait *voix nasillarde de canard* BASTON !
Cette citation, issue du premier album du commerce du Donj' sortie quelques années avant ce bouquin reflète bien l'esprit de la saga, et des livres en général.
On est sur un roman d'aventure, traitant avec humour une quête épique. C'est beau, défoulant, rigolo, divertissant, et traité par un auteur qui a plus l'habitude de la rédaction de texte pour saga audio que de romans.
j'en suis à une deuxième lecture, et je prend toujours autant de plaisir à la (re)découverte de ces nouvelles aventures.
Franchement, c'est du bon.
Et bien il fait *voix nasillarde de canard* BASTON !
Cette citation, issue du premier album du commerce du Donj' sortie quelques années avant ce bouquin reflète bien l'esprit de la saga, et des livres en général.
On est sur un roman d'aventure, traitant avec humour une quête épique. C'est beau, défoulant, rigolo, divertissant, et traité par un auteur qui a plus l'habitude de la rédaction de texte pour saga audio que de romans.
j'en suis à une deuxième lecture, et je prend toujours autant de plaisir à la (re)découverte de ces nouvelles aventures.
Franchement, c'est du bon.
Lire la suite immédiate de la saga audio est vraiment plaisante. On retrouve avec bonheur les mésaventures de cette équipe de baltringues qui sauvent le monde malgré eux.
Pour les amateurs de la série audio, ce tome n'a pas grand intérêt. Il y a quelques ajouts mais cela ne vaut pas le détour.
Par contre pour ceux qui n'auraient pas encore écouté les épisodes, l'histoire est très drôle. On fait la connaissance des personnages et découvre leurs 1ère aventures.
Par contre pour ceux qui n'auraient pas encore écouté les épisodes, l'histoire est très drôle. On fait la connaissance des personnages et découvre leurs 1ère aventures.
Tout d’abord, je tiens à remercier le site Babelio et les éditions ActuSF qui m’ont permis de découvrir ce roman, lors de la dernière « Masse Critique » du mois de Septembre.
John Lang nous offre ici son premier roman fantastique et je dois dire que je ne fus aucunement déçue de ma lecture ! Très connu pour le « Donjon de Naheulbeuk », il offre ici une vision noire d’un monde démoniaque complètement horrifique. Mais son humour reste malgré tout présent, un humour noir évidemment.
Nous découvrons donc l’histoire d’Uther Lelance, un jeune professeur d’informatique à Paris. On a de lui, l’image d’un homme intelligent et cultivé. Il a également un côté très « geek », certes pour un professeur d’informatique de son âge cela peut se concevoir. Son quotidien est bouleversé quand son collègue, Michel lui demande d’aider un de ses amis du clergé, le père Alexandre. Après quelques réticences, Uther accepte malgré tout de l’aider. Seulement une fois sur place, le jeune professeur déchante très vite. Le virus informatique auquel il doit faire face n’a rien de naturel, il peine à comprendre ce qu’il s’est produit sur cette machine. Quand il découvre des mots et images obscènes, il se doute davantage qu’il ne pourra pas en venir à bout :
L’auteur nous démontre à partir de ce « virus », un monde totalement horrible et dérangeant. On ressent le malaise des personnages, le dégoût. Bref tout ce qui fait qu’un roman d’horreur fonctionne ! On découvre alors la fameuse phrase énigmatique « Prends garde je serai bientôt dehors. » Alors, on plonge irrémédiablement dans le monde surnaturel.
Je dois dire que la description des meurtres ou les sévices que les personnages subissent sont parfois tellement bien décrits qu’on est franchement dégoûté. (Pour moi c’est en bien évidemment) :
Voici un extrait qui montre donc le côté horrifique de ce roman, mais également le cynisme dont le héros fait preuve. Peut-être pour atténuer ce qu’il voit ?
Après ce passage, Uther qui a entrainé dans son entreprise un jeune étudiant du nom de James, avec qui il entretient des relations amicales, se voit également entraîner dans ce monde d’horreur.
Ils doivent alors trouver une solution ou une quelconque aide, c’est en tentant d’appeler du secours au Vatican, qu’ils vont rencontrer un évêque de Rome, Charles Durgain. Ce dernier va tenter de renvoyer le démon dans son monde.
John Lang évoque alors la démonologie d’un point de vue purement théorique dans la caractérisation des démons, ici : Abalam et Paymon. Les descriptions sont purement issues de source internet comme la physionomie de Paymon ou la place qu’occupe Abalam dans la hiérarchie infernale. Je dirais même que le site « La chouette noire » évoque les mêmes descriptions. (Oui, j’ai moi-même effectué des recherches sur ce sujet). Par contre, la physionomie d’Abalam est fictive, bien qu’elle doive être assez ressemblante à Paymon vu que les démons sont associés.
On retrouve également dans le roman des clins d’œil à tout ce qui est jeux vidéo. Vers la fin du roman, dans l’ultime bataille, j’avais l’impression de me tenir au cœur d’un jeu d’aventure ! Evidemment, ce style ne peut pas plaire à tout le monde, mais moi j’ai grandement apprécié ces petits détails. Notre héros lui-même est fasciné par les armures médiévales et lui aussi s’imagine être au cœur d’une quelconque aventure d’antan :
On voit ici qu’il s’agit d’un domaine très connu de l’auteur. Il sait de quoi il parle et ses descriptions du Moyen-âge sont très fidèles, comme les interludes qui s’immiscent dans le roman pour expliquer l’origine du fameux bouclier et d’une épée un peu particulière. Le récit se termine sur de nombreuses questions, des points sont restés volontairement dans le flou, comme concernant la petite amie d’Uther, Marine mais également Thomas, un personnage énigmatique qui finalement se retrouve être de la même trempe que son ancêtre. On peut supposer à une suite d’aventures pour Uther et James.
En conclusion, cette lecture m’a énormément plu ! J’aime vraiment la littérature fantastique/horreur, quand un auteur arrive à me garder captivée du début à la fin, cela est très rare. Mais John Lang y est parvenu ! Je recommande donc chaudement son roman qui est très bien écrit, facile à lire et nous donne des frissons tout le long du récit. Je n’ai rien d’autre à dire, à part : Excellent !
Lien : http://skoldasy-books.eklabl..
John Lang nous offre ici son premier roman fantastique et je dois dire que je ne fus aucunement déçue de ma lecture ! Très connu pour le « Donjon de Naheulbeuk », il offre ici une vision noire d’un monde démoniaque complètement horrifique. Mais son humour reste malgré tout présent, un humour noir évidemment.
Nous découvrons donc l’histoire d’Uther Lelance, un jeune professeur d’informatique à Paris. On a de lui, l’image d’un homme intelligent et cultivé. Il a également un côté très « geek », certes pour un professeur d’informatique de son âge cela peut se concevoir. Son quotidien est bouleversé quand son collègue, Michel lui demande d’aider un de ses amis du clergé, le père Alexandre. Après quelques réticences, Uther accepte malgré tout de l’aider. Seulement une fois sur place, le jeune professeur déchante très vite. Le virus informatique auquel il doit faire face n’a rien de naturel, il peine à comprendre ce qu’il s’est produit sur cette machine. Quand il découvre des mots et images obscènes, il se doute davantage qu’il ne pourra pas en venir à bout :
L’auteur nous démontre à partir de ce « virus », un monde totalement horrible et dérangeant. On ressent le malaise des personnages, le dégoût. Bref tout ce qui fait qu’un roman d’horreur fonctionne ! On découvre alors la fameuse phrase énigmatique « Prends garde je serai bientôt dehors. » Alors, on plonge irrémédiablement dans le monde surnaturel.
Je dois dire que la description des meurtres ou les sévices que les personnages subissent sont parfois tellement bien décrits qu’on est franchement dégoûté. (Pour moi c’est en bien évidemment) :
Voici un extrait qui montre donc le côté horrifique de ce roman, mais également le cynisme dont le héros fait preuve. Peut-être pour atténuer ce qu’il voit ?
Après ce passage, Uther qui a entrainé dans son entreprise un jeune étudiant du nom de James, avec qui il entretient des relations amicales, se voit également entraîner dans ce monde d’horreur.
Ils doivent alors trouver une solution ou une quelconque aide, c’est en tentant d’appeler du secours au Vatican, qu’ils vont rencontrer un évêque de Rome, Charles Durgain. Ce dernier va tenter de renvoyer le démon dans son monde.
John Lang évoque alors la démonologie d’un point de vue purement théorique dans la caractérisation des démons, ici : Abalam et Paymon. Les descriptions sont purement issues de source internet comme la physionomie de Paymon ou la place qu’occupe Abalam dans la hiérarchie infernale. Je dirais même que le site « La chouette noire » évoque les mêmes descriptions. (Oui, j’ai moi-même effectué des recherches sur ce sujet). Par contre, la physionomie d’Abalam est fictive, bien qu’elle doive être assez ressemblante à Paymon vu que les démons sont associés.
On retrouve également dans le roman des clins d’œil à tout ce qui est jeux vidéo. Vers la fin du roman, dans l’ultime bataille, j’avais l’impression de me tenir au cœur d’un jeu d’aventure ! Evidemment, ce style ne peut pas plaire à tout le monde, mais moi j’ai grandement apprécié ces petits détails. Notre héros lui-même est fasciné par les armures médiévales et lui aussi s’imagine être au cœur d’une quelconque aventure d’antan :
On voit ici qu’il s’agit d’un domaine très connu de l’auteur. Il sait de quoi il parle et ses descriptions du Moyen-âge sont très fidèles, comme les interludes qui s’immiscent dans le roman pour expliquer l’origine du fameux bouclier et d’une épée un peu particulière. Le récit se termine sur de nombreuses questions, des points sont restés volontairement dans le flou, comme concernant la petite amie d’Uther, Marine mais également Thomas, un personnage énigmatique qui finalement se retrouve être de la même trempe que son ancêtre. On peut supposer à une suite d’aventures pour Uther et James.
En conclusion, cette lecture m’a énormément plu ! J’aime vraiment la littérature fantastique/horreur, quand un auteur arrive à me garder captivée du début à la fin, cela est très rare. Mais John Lang y est parvenu ! Je recommande donc chaudement son roman qui est très bien écrit, facile à lire et nous donne des frissons tout le long du récit. Je n’ai rien d’autre à dire, à part : Excellent !
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GRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH Tout ce que j'avais écrit s'est effacé !!!!!!!!!!!!!!!!!
Bon... *zen* je recommence...
Premier livre de POC ! Mon barbare préféré !
Malgré les fautes d'orthographe et de grammaire trop nombreuses dans le texte, les personnages et le style narratif prennent place et permettent à l'imaginaire d'entrer totalement dans l'histoire.
Ce livre se lit très rapidement et on peine à le lâcher pour vaquer à d'autres occupations... Et en fait, j'ai envie d'une suite...
Avis aux autres lecteurs, aviez-vous aussi l'impression d'être des joueurs de JDR (ou des MJ) en lisant l'histoire. Avec l'envie de sortir les dés pour savoir si les actions allaient réussir ou rater ?
Bon... *zen* je recommence...
Premier livre de POC ! Mon barbare préféré !
Malgré les fautes d'orthographe et de grammaire trop nombreuses dans le texte, les personnages et le style narratif prennent place et permettent à l'imaginaire d'entrer totalement dans l'histoire.
Ce livre se lit très rapidement et on peine à le lâcher pour vaquer à d'autres occupations... Et en fait, j'ai envie d'une suite...
Avis aux autres lecteurs, aviez-vous aussi l'impression d'être des joueurs de JDR (ou des MJ) en lisant l'histoire. Avec l'envie de sortir les dés pour savoir si les actions allaient réussir ou rater ?
Une sorte de relecture de la version audio de l'aventure qui permet d'en apprendre d'avantage sur les uns et les autres ou sur des évènements un peu flous de la saga originelle.
Je connaissais, comme beaucoup, la série audio depuis de très nombreux lustres (que je trouve fantastique), ainsi que certains de ses clones comme "reflet d'acide". Mais je n'avais encore jamais eu de contact avec sa transcription en BD.
C'est très sympa, indiscutablement, même si je pense que l'aventure gagne a être découverte via le biais audio. Toutes les qualités de cette dernière s'y retrouve: originalité, caricature des jeux de rôle type D&D (Donjons & Dragons), humour à profusion... ici, le dessin, est une illustration sympa de ce que l'on pouvait imaginer, mais, en tant que fan de JdR je préfère mon imagination à celle du dessinateur de cette BD... tout en estimant qu'il a bien fait son boulot.
Côté texte c'est du quasi copié-collé avec l'audio, seule différence à mon gout, le langage grossier aurait tendance à me marquer d'avantage à l'écrit qu'à l'oral, pourtant, c'est du kifkif dans le texte.
Bref, pour ceux qui ne connaissait pas et qui voudrait découvrir l’univers moyen-âge fantastique de JdR Donjons & Dragons, c'est une excellente porte d'entrée, n'hésitez pas, l'aventure vaut la lecture!
Du fait de l'équi-qualité de tous les volumes, je vais mettre, une fois n'est pas coutume, la même critique à ceux-ci, jusqu'au Tome 6.
C'est très sympa, indiscutablement, même si je pense que l'aventure gagne a être découverte via le biais audio. Toutes les qualités de cette dernière s'y retrouve: originalité, caricature des jeux de rôle type D&D (Donjons & Dragons), humour à profusion... ici, le dessin, est une illustration sympa de ce que l'on pouvait imaginer, mais, en tant que fan de JdR je préfère mon imagination à celle du dessinateur de cette BD... tout en estimant qu'il a bien fait son boulot.
Côté texte c'est du quasi copié-collé avec l'audio, seule différence à mon gout, le langage grossier aurait tendance à me marquer d'avantage à l'écrit qu'à l'oral, pourtant, c'est du kifkif dans le texte.
Bref, pour ceux qui ne connaissait pas et qui voudrait découvrir l’univers moyen-âge fantastique de JdR Donjons & Dragons, c'est une excellente porte d'entrée, n'hésitez pas, l'aventure vaut la lecture!
Du fait de l'équi-qualité de tous les volumes, je vais mettre, une fois n'est pas coutume, la même critique à ceux-ci, jusqu'au Tome 6.
Je connaissais, comme beaucoup, la série audio depuis de très nombreux lustres (que je trouve fantastique), ainsi que certains de ses clones comme "reflet d'acide". Mais je n'avais encore jamais eu de contact avec sa transcription en BD.
C'est très sympa, indiscutablement, même si je pense que l'aventure gagne a être découverte via le biais audio. Toutes les qualités de cette dernière s'y retrouve: originalité, caricature des jeux de rôle type D&D (Donjons & Dragons), humour à profusion... ici, le dessin, est une illustration sympa de ce que l'on pouvait imaginer, mais, en tant que fan de JdR je préfère mon imagination à celle du dessinateur de cette BD... tout en estimant qu'il a bien fait son boulot.
Côté texte c'est du quasi copié-collé avec l'audio, seule différence à mon gout, le langage grossier aurait tendance à me marquer d'avantage à l'écrit qu'à l'oral, pourtant, c'est du kifkif dans le texte.
Bref, pour ceux qui ne connaissait pas et qui voudrait découvrir l’univers moyen-âge fantastique de JdR Donjons & Dragons, c'est une excellente porte d'entrée, n'hésitez pas, l'aventure vaut la lecture!
Du fait de l'équi-qualité de tous les volumes, je vais mettre, une fois n'est pas coutume, la même critique à ceux-ci, jusqu'au Tome 6.
C'est très sympa, indiscutablement, même si je pense que l'aventure gagne a être découverte via le biais audio. Toutes les qualités de cette dernière s'y retrouve: originalité, caricature des jeux de rôle type D&D (Donjons & Dragons), humour à profusion... ici, le dessin, est une illustration sympa de ce que l'on pouvait imaginer, mais, en tant que fan de JdR je préfère mon imagination à celle du dessinateur de cette BD... tout en estimant qu'il a bien fait son boulot.
Côté texte c'est du quasi copié-collé avec l'audio, seule différence à mon gout, le langage grossier aurait tendance à me marquer d'avantage à l'écrit qu'à l'oral, pourtant, c'est du kifkif dans le texte.
Bref, pour ceux qui ne connaissait pas et qui voudrait découvrir l’univers moyen-âge fantastique de JdR Donjons & Dragons, c'est une excellente porte d'entrée, n'hésitez pas, l'aventure vaut la lecture!
Du fait de l'équi-qualité de tous les volumes, je vais mettre, une fois n'est pas coutume, la même critique à ceux-ci, jusqu'au Tome 6.
Je connaissais, comme beaucoup, la série audio depuis de très nombreux lustres (que je trouve fantastique), ainsi que certains de ses clones comme "reflet d'acide". Mais je n'avais encore jamais eu de contact avec sa transcription en BD.
C'est très sympa, indiscutablement, même si je pense que l'aventure gagne a être découverte via le biais audio. Toutes les qualités de cette dernière s'y retrouve: originalité, caricature des jeux de rôle type D&D (Donjons & Dragons), humour à profusion... ici, le dessin, est une illustration sympa de ce que l'on pouvait imaginer, mais, en tant que fan de JdR je préfère mon imagination à celle du dessinateur de cette BD... tout en estimant qu'il a bien fait son boulot.
Côté texte c'est du quasi copié-collé avec l'audio, seule différence à mon gout, le langage grossier aurait tendance à me marquer d'avantage à l'écrit qu'à l'oral, pourtant, c'est du kifkif dans le texte.
Bref, pour ceux qui ne connaissait pas et qui voudrait découvrir l’univers moyen-âge fantastique de JdR Donjons & Dragons, c'est une excellente porte d'entrée, n'hésitez pas, l'aventure vaut la lecture!
Du fait de l'équi-qualité de tous les volumes, je vais mettre, une fois n'est pas coutume, la même critique à ceux-ci, jusqu'au Tome 6.
C'est très sympa, indiscutablement, même si je pense que l'aventure gagne a être découverte via le biais audio. Toutes les qualités de cette dernière s'y retrouve: originalité, caricature des jeux de rôle type D&D (Donjons & Dragons), humour à profusion... ici, le dessin, est une illustration sympa de ce que l'on pouvait imaginer, mais, en tant que fan de JdR je préfère mon imagination à celle du dessinateur de cette BD... tout en estimant qu'il a bien fait son boulot.
Côté texte c'est du quasi copié-collé avec l'audio, seule différence à mon gout, le langage grossier aurait tendance à me marquer d'avantage à l'écrit qu'à l'oral, pourtant, c'est du kifkif dans le texte.
Bref, pour ceux qui ne connaissait pas et qui voudrait découvrir l’univers moyen-âge fantastique de JdR Donjons & Dragons, c'est une excellente porte d'entrée, n'hésitez pas, l'aventure vaut la lecture!
Du fait de l'équi-qualité de tous les volumes, je vais mettre, une fois n'est pas coutume, la même critique à ceux-ci, jusqu'au Tome 6.
Ce dernier volume de la saga héroic-fantasy-comédie vient en fait combler une lacune. En effet, à l'origine, l'auteur avait crée un feuilleton sonore sur Internet, qui a ensuite été adaptée en BD puis en roman. Le premier livre avait donc pris en cours de route la saison 3.
Ici, nous revenons donc au tout départ, et ce volume permet de connaitre le début de l'histoire pour ceux qui n'aurait pas eu la chance d'écouter les aventures de l'équipe la plus nulle de l'histoire des jeux de rôle.
Comme d'habitude, c'est vraiment très drôle, même s'il faut indubitablement avoir une culture héroic fantasy et jeux de rôle pour apprécier pleinement l'humour de l'auteur. C'est bourré de références aux grands classiques et on se retrouve forcément quand il évoque des traits de rolistes caricaturaux!
J'adore la galerie de personnages tous plus nuls les uns que les autres, c'est rudement bien écrit! Et surtout, malgré le côté comédie, l'auteur n'oublie pas de nous pondre tout de même une histoire bien sympa qu'on suit avec un grand plaisir!
Ce roman a donc trouvé toute sa place dans ma bibliothèque!
Lien : http://zerojanviersworld.blo..
Ici, nous revenons donc au tout départ, et ce volume permet de connaitre le début de l'histoire pour ceux qui n'aurait pas eu la chance d'écouter les aventures de l'équipe la plus nulle de l'histoire des jeux de rôle.
Comme d'habitude, c'est vraiment très drôle, même s'il faut indubitablement avoir une culture héroic fantasy et jeux de rôle pour apprécier pleinement l'humour de l'auteur. C'est bourré de références aux grands classiques et on se retrouve forcément quand il évoque des traits de rolistes caricaturaux!
J'adore la galerie de personnages tous plus nuls les uns que les autres, c'est rudement bien écrit! Et surtout, malgré le côté comédie, l'auteur n'oublie pas de nous pondre tout de même une histoire bien sympa qu'on suit avec un grand plaisir!
Ce roman a donc trouvé toute sa place dans ma bibliothèque!
Lien : http://zerojanviersworld.blo..
Voici mon avis en vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=v_WQnvxPUpA
Lien : https://www.youtube.com/watc..
https://www.youtube.com/watch?v=v_WQnvxPUpA
Lien : https://www.youtube.com/watc..
C'est trop rigolo. Mais bon, les parents risquent d'être déboussolés. A la première page dans la première bulle du premier personnage, il y a un gros mot !
Pen of Chaos est un phénomène internet, adulé par toute la communauté geek : illustré par la diffusion sur internet de sketchs audio "Le Donjon de Naheulbeuk", le fan de fantasy et autres jeu de rôles qu'il est fait écho au succès inattendu de sa web-série en commençant la publication de bandes-dessinées remportant un encore plus grandissant succès. S'ensuit la création d'un jeu de rôle, l'écriture de romans consacrés à la série... John Lang est un artiste très prolifique, s'étant donné une identité remarquable, en créant autour de ce qui à la base fut un projet "déconnade" sans grande ambition un univers vaste, singulier et humoristique, très construit.
La Couette de l'Oubli est, suite à la fin de la publication de la saison 2 en BD, le premier roman sur la série écrit par John Lang. Nous y suivons les trépidations de la compagnie d'aventuriers la moins douée de la Terre de Fangh, ayant, par leur insouciance, permis à un sorcier maléfique le déclenchement de la fin du monde.
Lang montre, avec La Couette de l'Oubli, un talent certain pour l'écriture : certes nous n'avons pas affaire à un chef-d'oeuvre littéraire, mais le nouvel auteur étale avec cet ouvrage un style singulier, pas très fin, un peu bourru, mais comique par ces aspects, et ne se privant pas de formules littéraires recherchées, donnant un caractère particulier à ce roman. Très bien narré, nombreuses péripéties tant prenantes qu'amusantes, satire légère du débutant dans les RPGs, la Couette de l'Oubli est un roman misant principalement sur le rire de son lecteur, et l'entreprise est réussie : entre les nombreuses situations parodiques de l'univers heroic-fantasy, les bulletins cérébraux des personnages et les nombreuses situations cocasses les mettant en situation, on ne s'ennuie pas une page, dont chacune recèle son lot de rebondissements et d'humour.
La Couette de l'Oubli est, suite à la fin de la publication de la saison 2 en BD, le premier roman sur la série écrit par John Lang. Nous y suivons les trépidations de la compagnie d'aventuriers la moins douée de la Terre de Fangh, ayant, par leur insouciance, permis à un sorcier maléfique le déclenchement de la fin du monde.
Lang montre, avec La Couette de l'Oubli, un talent certain pour l'écriture : certes nous n'avons pas affaire à un chef-d'oeuvre littéraire, mais le nouvel auteur étale avec cet ouvrage un style singulier, pas très fin, un peu bourru, mais comique par ces aspects, et ne se privant pas de formules littéraires recherchées, donnant un caractère particulier à ce roman. Très bien narré, nombreuses péripéties tant prenantes qu'amusantes, satire légère du débutant dans les RPGs, la Couette de l'Oubli est un roman misant principalement sur le rire de son lecteur, et l'entreprise est réussie : entre les nombreuses situations parodiques de l'univers heroic-fantasy, les bulletins cérébraux des personnages et les nombreuses situations cocasses les mettant en situation, on ne s'ennuie pas une page, dont chacune recèle son lot de rebondissements et d'humour.
Le dernier tome de cette merveilleuse équipe hétéroclite qui nous à tant fait rire.
Ces avec un grand plaisir mais aussi une petite pointe de tristesse que j'ai lu ce dernier tome.
Moins drôle,plus sérieux il n'en reste pas moins à lire..... car c'est un donjon de naheulbeuk.
Ces avec un grand plaisir mais aussi une petite pointe de tristesse que j'ai lu ce dernier tome.
Moins drôle,plus sérieux il n'en reste pas moins à lire..... car c'est un donjon de naheulbeuk.
je trouve ce livres drôle et plein de fantasy , la couverture donne envie de le lire.Comme toujour içl continuent leur aventure héroic mais pas vraiment !
Pour les dernières péripéties de la"Compagnie", ce roman se veut plus sombre. La guerre avec les descriptions des blessures et des morts, ainsi que l'impact sur les "héros" nous permettent de percevoir ce changement de ton.
La personnalité des protagoniste n'est pas altéré. Comment dire ? Le "Nain" c'est toujours le "Nain".
La personnalité des protagoniste n'est pas altéré. Comment dire ? Le "Nain" c'est toujours le "Nain".
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