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Critiques de John Tarachine (105)
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Goodnight, I love you, tome 4

Cette série a été une jolie découverte au fil des tomes et il était temps pour moi d’en clôturer la lecture avec ce quatrième et dernier volume !



Ozora est rentré au Japon après avoir suivi les différentes étapes de son voyage en Europe. Il pensait ne plus en bouger et être prêt à assister au mariage de son père mais il va recevoir une nouvelle et dernière lettre qui pourrait bien tout remettre en question.



C’est donc direction Amsterdam que l’on va l’accompagner pour son dernier voyage et il ne va pas partir seul…



Un dernier tome qui conclut parfaitement une série que je ne regrette pas d’avoir lue ! Je vous la recommande vivement ! ♥
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Goodnight, I love you, tome 3

Cette fois, c’est en Italie que l’on va retrouver nos personnages pour la suite de ce road-trip et plus particulièrement à Florence.



Si Ozora prévoyait de se changer les idées accompagné d’un ami, c’était sans compter sur son frère qui a organisé des retrouvailles avec leur père. Et bien évidemment les relations sont tendues entre ce dernier et Ozora…



J’ai bien aimé découvrir l’Italie avec eux et j’ai aussi beaucoup apprécié d’en apprendre un peu plus sur le père du héros au moment où il a rencontré sa mère.



Je pense me procurer très bientôt le quatrième et dernier tome pour enfin connaître la conclusion de cette série ! ♥
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Goodnight, I love you, tome 4

La boucle est bouclée. Le périple d'Ozora touche à sa fin et sa relation avec son père reste encore tendue et peu compréhensible des 2 côtés.

C'est durant une nouvelle rencontre que le jeune homme va comprendre et apprendre à tendre la main vers ce père qu'il a toujours connu absent. Tous les 2 ne savent pas exprimer leurs sentiments, leur donner vie et parler pour mieux s'apprivoiser. C'est beau, Goodnight I love you n'a pas l'air d'être une série attractive avec ses couvertures kitsch mais elle vaut tellement la peine d'être lue ! Elle traite de tant de sujets d'actualité, de société et de relations humaines. C'est un concentré d'émotions pures..et pour cause, la scène du mariage m'a beaucoup touchée ! Tentez cette courte série de 4 tomes et ne vous arrêtez surtout pas aux couvertures !
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Goodnight, I love you, tome 3

Ozora poursuit son voyage vers l'Italie. Ce tome est plus lumineux, comme si Ozora avec son périple a pu mûrir. Ses expériences européennes lui ouvrent l'esprit et lui permettent de poursuivre le jeu de piste de sa mère pour mieux la connaître, encore plus l'aimer. C'est un manga doux et mélancolique que j'apprécie pour ces sentiments si réels et bruts. Ouverture d'esprit, voyage initiatique, décès d'un proche. Ces thèmes sont retranscrits très joliment et parfois même avec beaucoup de pudeur. Allez, je m'attèle au prochain..
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Goodnight, I love you, tome 2

On continue le voyage avec Ozora. C'est un volume moins puissant émotionnellement que le premier et j'ai hâte que ça reprenne une tournure un peu dramatique pour appuyer encore plus sur le sens du périple de notre héros. On découvre un secret caché concernant le père d'Ozora et on s'attend à en savoir plus au prochain volume! Vivement le suivant en main!
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Goodnight, I love you, tome 3

Avec ses décors de carte postale et ses personnages pittoresques, John Tarachine signe un excellent récit de genre, drôle, attachant et universel.
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Goodnight, I love you, tome 4

Cette série fut vraiment une jolie surprise jusqu'au bout. Alors qu'elle ne paie pas forcément de mine, notamment à cause d'un dessin encore maladroit, elle raconte une histoire qui émeut profondément car elle touche à la notion même de famille.



Il est donc temps de dire au revoir à Ozora et à tous ceux qu'il a croisés au fil de ses pérégrinations entreprises sur les ordres de sa défunte mère. Mais avant cela, il reste un chapitre à clore, celui de sa relation avec ses parents. Il a été abandonné par son père quand il était enfant et ce n'est chose dont on se remet comme ça. L'auteur touche à un sujet sensible avec une grande délicatesse et une mise en scène basée sur ce trait de caractère typique des japonais, je trouve : une "trop" grande prévenance envers l'autre qui traduit en fait une difficulté à transmettre ses émotions. Le père et le fils se ressemblent énormément en cela, et le voyage entrepris par Ozora est nécessaire pour le faire mûrir et lui permettre de crever cette boule qui lui obstrue la gorge et l'empêche de dire ce qu'il a sur le coeur. Le moment où cela arrive est magnifique et m'aura fait verser ma petite larme. J'ai vraiment été touchée par cette petite famille, que ce soit Ozora avec son père, mais également sa mère que l'on découvre au fil des lettres et qui était une femme sensationnelle, entière mais fragile et blessée, ou encore son frère qu'on retrouve pour quelques pages très signifiantes en toute fin.



Dans ce dernier tome, John Tarachine aura parachevé son voyage et m'aura touchée comme jamais, que ce soit avec les histoires d'Ozora et sa famille, ou avec celle de l'ami(e) de sa mère. Il a de plus bien progressé dans ses dessins qui n'ont jamais été aussi agréables à regarder, ils sont bien plus fins et moins bruts qu'au début, s'adoucissant avec l'histoire. Akata aura vraiment su dénicher une pépite ici avec cette histoire regroupant des thèmes aussi variés que le voyage, la famille, le deuil, l'amour hors frontières, les LGBT, le pardon, etc. Voilà un nouvel auteur à suivre !
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Goodnight, I love you, tome 1

Un premier tome intriguant.

Un manga tranche de vie tout en douceur sur la quête d'un jeune homme qui suit les dernières volontés de sa mère.

Côté graphisme ce n'est pas exceptionnel mais ça se laisse regarder.
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Goodnight, I love you, tome 2

Goodnight, I love you va faire partie des séries moyennes de chez Akata, càd qu’elle a un bon potentiel, mais pas suffisamment exploité, dont le lecteur peut attendre mieux, mais qui reste à lire une fois.

La présentation des chapitres avec le timbre et l’avion Flight number continuent à être du plus bel effet.

Quand le lecteur enlève la jaquette, il a tout autre chose, et en bonus il a également comme un planning et des moments voyage du mangaka.

Le dessin reste très moyen, mais le lecteur prend de multiples plaisirs à découvrir cette histoire.



D’abord, parce qu’elle met en avant les voyages, les expériences, mais également plein de premières fois, des rencontres. Notre jeune homme a quelque chose d’adorable, il se rend compte qu’il ne connaît rien, qu’il a tout à apprendre, ne serait-ce que pour prendre son billet de train, réserver un hôtel …

Comme pour la France, à Bruxelles et Amsterdam est mis en avant ceux pour quoi les villes sont connues voire même visiter. Les clichés comme ils disent, ou encore les pièges à touriste, mais en même temps la première fois cela reste des choses à faire.

L’esprit de voyage est un élément encore rarement vu qui fait toute la force du titre. Voyager c’est vraiment quelque chose, changer de pays inclus aussi d’être ouvert d’esprit, à d’autres cultures, à d’autres fonctionnements. C’est enrichissant.

Malheureusement, le voyageur n’est jamais à l’abris d’une mauvaise rencontre non plus, et si c’est une femme, il faut redoubler d’attention, mais lui c’est un homme, mais il va quand même avoir quelques frayeurs. Et d’ailleurs, au moins le lecteur apprend comment il peut financer son voyage.

Bref, c’est compliqué, resté ouvert mais vu le monde dans lequel on vit ?

Voir par soi-même c’est autre chose, c’est plus puissant, comme pour tout, l’expérimenter soi-même c’est toujours différent.



Mais par ailleurs il y a aussi une histoire familiale compliquée, difficile, qui pourrait énerver si elle est mal gérée. Il ne cesse de découvrir des choses sur sa famille. D’ailleurs, au début du tome, je me suis personnellement sentie un peu perdu, du contexte, un rappel n’aurait vraiment pas fait de mal.



Il est aussi question de profiter de la vie, de découvrir qui on est, de s’ouvrir au monde, aux autres, de regarder autour de soi, les paysages, de sourire aux gens.



Les sentiments sont toujours bien capturés avec les japonais, le rougissement à la découverte du quartier rouge, etc.



Cela fait plaisir de se promener en Europe.



Ainsi, comme vous le voyez, l’histoire a un certain potentiel.

J’espère qu’un jour quelqu’un reprendra la thématique du voyage pour nous livrer une histoire plus puissante et mieux dessinée.
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Goodnight, I love you, tome 3

Voyage en Italie. Moments partagés entre amis, un père et son fils. Réflexions sur la vie, réfléchir sur son avenir. de nouvelles rencontres. Tout ça c'est bien. Par contre le graphisme, Akata qui veut faire un langage jeune c'est catastrophique. En demi-teinte.

Mais j'encourage à lire la série à tout le monde une fois ^^' (désolé)



Au niveau de l'histoire, il y a vraiment des éléments très sympathiques et prenant. Plusieurs fois, j'ai souris avec tendresse et bienveillance.

J'aime la découverte d'un nouveau pays, les souvenirs, les lieux, mais également leurs maladresses de voyage (un anglais nul, oublier quelque chose etc.)

Ainsi que les nouvelles rencontres qui les fait évoluer.



Ce moment partagé entre amis est une belle occasion pour qu'ils se découvrent même eux-mêmes loin de la vie avec ses impératifs, qu'ils en profitent.

Son frère essaye également de faire rencontrer son père et lui. Surprise. Malheureusement les 2 étant assez timides, ils ont bien du mal à exprimer leurs sentiments et se comprennent mal.

En voyage, ils se lâchent, ils voguent au grée de leurs envies, il y a aussi de sacrés ratés.



Mais quelle belle incursion dans les souvenirs avec son père et sa mère quand ils étaient jeunes, et en voyage en Italie. Avec l'avenir devant eux, mais des fiances pas très roses.



C'est une brillante idée qu'a eu la mère du jeune homme, également pour l'aider à s'ouvrir, à faire des expériences, y prendre goût. Car oui, rien ne vaut de vivre soi-même les choses, de visiter soi-même le pays. Ce n'est pas pareil que tout ce que peut savoir, apprendre dans les livres ^^



A bientôt, pour le dernier tome.




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Goodnight, I love you, tome 3

On prend les mêmes et on recommence, l'auteur rebrasse les thème vus précédemment dans ce tome où l'on voyage un peu moins et où le rythme se pose pour approfondir certains sujets.

J'ai vraiment apprécié le côté voyage ici. C'était encore une fois plein de lieux communs, mais c'était plaisant de suivre les deux garçons en Italie, sans la contrainte de trouver une lettre, juste pour le plaisir de faire du tourisme. Je me suis amusée du moment où ils ont pris leurs billets, de leur visite express de Florence, de leur départ à Venise, de leur rencontre là-bas et de l'espèce de chassé croisé avec le frère du héros. C'était bien mené, ça rendait la lecture dynamique et ça allégeait un peu l'atmosphère après des débuts parfois un peu plombants.

Pour autant, le mangaka parle aussi de sujets importants comme le fait d'être honnête et de communiquer avec ses parents ou encore le fait qu'on ne peut effacer les marques du passé. J'ai trouvé la rencontre entre le père et le fils très bien amenée. C'était amusant de voir le frère aîné se trainer le père comme un boulet, ou bien de voir les ressemblances entre celui-ci et son cadet. Les retrouvailles sont aussi pleines d'humour mais l'auteur nous montre aussi avec sensibilité la complexité de la relation entre ce père et ce fils qui se sont si peu connus à cause de la séparation des parents. C'est important aussi de montre ce type de relation, on ne le fait pas assez souvent et ici, j'ai trouvé que c'était fait intelligemment.

Pour finir, mon passage préféré de ce tome fut le grand moment de nostalgie où le père se rappelle le voyage qu'il avait fait autrefois avec son ex femme. Il refait le circuit des lieux clés de leur séjour et revit les moments importants qu'ils ont vécu cette fois-là. C'est très touchant et joliment mis en scène.

Maintenant, j'attends la conclusion avec une certaines impatience parce que je suis sûre qu'elle sera l'occasion de revenir avec encore beaucoup de pudeur et de sensibilité sur cette famille si particulière et pourtant bien représentative d'un pan de notre société actuelle.
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Goodnight, I love you, tome 1

Au décès de sa mère, Ozora doit réaliser son dernier voeu : qu'il aille l'annoncer à ses amis aux quatre coins du monde. Il commencera alors son périple à Londres avec son frère qu'il avait perdu de vue. Arrivés à Londres, ils seront amenés à rejoindre Paris, la ville où son frère habite. A chaque étape, il découvrira un peu plus du passé de sa mère et apprendra à accepter que son frère reste un membre de sa famille. Et oui, nous ne partons pas dans un manga simple où Ozora ne fait que courir après les amis de sa mère. Derrière ce road trip, survient une quête de soi. Les flashbacks sont réalisés au bon moment et la tournure de la relation entre Ozora et son frère est vraiment chouette.

J'ai donc bien apprécié cette jolie découverte et ai hâte de poursuivre la tournée européenne (ou mondiale ?) d'Ozora.
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Goodnight, I love you, tome 1

Goodnight, I love you… chez Akata reste fidèle à sa ligne éditoriale de proposer des titres qui sortent des sentiers battus, de cette rentrée 2018. La série est terminée en 4 tomes et est signée John Tarachine, autrice plutôt orientée boy’s love d’ordinaire, et qui va nous emmener dans un voyage initiatique des plus passionnants. Ce titre m’intriguait depuis l’annonce de sa licence, les thèmes abordés me parlaient et j’avais très fortement envie de le lire. Et puis, la vie a fait que je me suis brutalement retrouvée face au deuil à la fin de l’été, je ne savais pas si j’aurais le courage de le lire et si je pourrais l’apprécier à sa juste valeur.



Voici donc l’histoire d’Ozara, jeune étudiant japonais qui n’a pas été épargné par la vie. Enfant, il a vu son père quitter le domicile familial et ce fut ensuite le tour de son grand frère alors qu’il avait promis d’être toujours là pour lui. Ozara n’a que peu d’estime pour son père et son frère et les traitent tout simplement de « connards ». Il a donc grandi seul avec sa mère et quand elle lui annonce son cancer, Ozara, arrête ses études pour s’occuper d’elle jusqu’à la fin et fini par se couper socialement de tous ses amis. Mais il reste encore une mission à Ozara à accomplir, la dernière volonté de sa mère, il doit se rendre en Angleterre pour annoncer son décès à d’anciens amis. D’abord réticent à se rendre à l’autre bout du monde, son « connard » de grand frère le pousse inconsciemment à sauter le pas et à réserver son billet d’avion pour Londres. Et c’est le début d’un voyage initiatique pour Ozara qui va pouvoir faire son deuil au fil des rencontres et découvrir la face cachée de sa mère.



Dès les premières pages, je suis plongée dans l’histoire, la mangaka ne prend pas de détour. Les personnages et les différentes situations sont rapidement présentés, genre une petite dizaine de pages, et le héros arrive à Londres. Je pourrais trouver ça très, voir cela trop rapide, mais je trouve ça intelligent de la part de la mangaka de ne pas tout dire dès le départ. Les sentiments lors d’un deuil s’entrechoquent violemment et il est difficile de savoir dans quel état d’esprit nous sommes réellement. Ne pas savoir ce qu’il se passe dans la tête d’Ozara donne de l’intérêt à ce voyage, le lecteur va pouvoir le découvrir au fil des pages, et accompagner Ozara dans son deuil. A ma première lecture, j’avais trouvé que tout allait vraiment trop vite, je pense que je n’étais pas dans un bon état d’esprit et il m’a fallu une seconde lecture pour réellement apprécier Goodnight, I Love You…



Ce road trip commence donc à Londres avec un Ozara très renfermé sur lui-même, et le choc des cultures va être quelque peu violent. Il rencontre l’amie de sa mère et en apprend plus sur celle qu’elle était quand elle était jeune. Et c’est au cours d’une soirée très animée qu’on lui fait comprendre qu’il faut qu’il aille de l’avant… Une première étape importante dans la gestion du deuil. Une fois cette petite leçon apprise, il est temps pour Ozara de se diriger vers la deuxième étape, il pensait qu’il ne devrait aller qu’à Londres mais c’était sans compter sur sa mère qui lui a prévu un vrai voyage organisé ou presque… Elle avait pris ses dispositions et fait parvenir à son amie londonienne, la suite des instructions à remettre à Ozara. Et le voilà en route pour Paris… Et, il va aller de surprises en surprises.



J’ai trouvé cette étape à Paris plus intéressante que l’étape londonienne… D’une part, elle est plus développée et d’autre part, le frère d’Ozara habitant Paris, cela va permettre une grosse introspection du héros. Ne pas oublier qu’il considère son frère comme un « connard », qu’il va en apprendre beaucoup sur ce dernier et que ça va lui donner matière à réfléchir. Pas évident pour moi de parler de ce passage sans trop spoiler… Mais, c’est pour moi, le moment, où Ozara mûrit le plus. Durant ce séjour à Paris, difficile de passer à côté de l’aigreur qui anime Ozara, et quand il s’en rend compte, il se demande bien depuis combien de temps il est devenu aussi aigri. La réponse est assez simple, l’ignorance et la solitude. Face à une culture ou à des situations qu’Ozara ne connaît pas, il réagit de façon blessante. Le leitmotiv de ce premier tome est qu’il faut aller de l’avant et qu’il ne faut pas avoir peur de ce que l’on ne connaît pas.



Le deuil est bien évidemment l’élément central du manga mais ce voyage initiatique programmé par la mère d’Ozara va surtout lui ouvrir les yeux sur beaucoup de choses et il va comprendre beaucoup de choses. Même si elle n’est plus là, elle va aider son fils à s’épanouir, lui qui a tant souffert de l’absence de son père et de son frère et qui s’est sacrifié lorsqu’elle est tombée malade. Tout en retenu, la mangaka déroule son récit avec une grande justesse. Pas de grosses larmes, pas d’effet pathos, la tristesse est présente mais toujours pour servir l’histoire et la quête identitaire d’Ozara. Je n’ai pas particulièrement accrochée au dessin mais je trouve le thème et l’histoire tellement bien maîtrisés que cela ne m’a absolument pas dérangée. Une jolie découverte empreinte de mélancolie tout en étant saupoudrée d’un chouette positivisme. La série étant terminée en 4 tomes, c’est une raison supplémentaire pour craquer.
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Goodnight, I love you, tome 2

Des moments touchants de (re)construction du personnage d'Ozora, qui au travers de son voyage et de ses rencontres, apprivoise une vision complexe de cette famille sur laquelle il avait un regard faussé, qui lui permettait d'oublier la complexité des relations humaines. Le trait s'affirme dans ce tome, et confirme que cette série a beaucoup à offrir !
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Goodnight, I love you, tome 1

Ne pas s'arrêter au trait hasardeux et une mise en scène parfois brouillonne. Ce trait est un bain d'émotions, qui retranscrit le deuil et la reconstruction dans ces moments où la tristesse frappe au moment le plus inattendu, à la difficulté d'exprimer ses sentiments, la violence parfois, mais surtout les liens familiaux qui se resserrent. Un voyage en Europe que j'ai hâte de poursuivre !
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Goodnight, I love you, tome 1

Voici un manga qui m’attirait beaucoup mais qui m’a laisser une grosse impression de déception.

Je trouve en effet que ce manga n’est pas très lisible. Le graphisme est pour moi très décousu et n’adhère pas à tous les expressions des visages.

Néanmoins le scénario nous donne envie de continuer la lecture.

Le thème est très intéressant. La réalisation un peu moins, je trouve cela trop succinct et limité caricaturalement avec un certains nombre de clichés.

J’ai néanmoins envie de lire la suite..,,

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Goodnight, I love you, tome 2

Le premier tome avait été une belle découverte et j’avais hâte de découvrir la suite du road trip d’Ôzora.



On va le suivre de la France à la Belgique, puis de la Belgique aux Pays-Bas et là encore il va faire des découvertes, des rencontres et va se remettre en question…



Il prévoit ensuite de partir en Italie avant son retour au Japon et je suis curieuse de savoir ce qu’il s’y passera !



Le troisième et avant dernier tome sera disponible au mois de mars et je ne manquerai pas de me le procurer à sa sortie ! ♥
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Goodnight, I love you, tome 1

Ozora a accompagné seul la fin de vie de sa mère morte d'un cancer foudroyant.



Il doit maintenant se rendre à Londres où il s'est engagé à annoncer son décès à une amie de sa mère.



Il est accompagné de son frère qui est parti de la maison peu de temps après la fuite de leur père et à qui il en veut énormément de son abandon.



Ozora est un jeune homme solitaire, qui a du abandonner ses études pour s'occuper de sa mère. Sa rancoeur envers sa famille est très présente mais il souhaite respecter la dernière demande de sa mère.



Le voyage initiatique ne fait en réalité que débuter car à Londres; l'anglaise lui remet alors une lettre reçue peu de temps avant de sa maman...



Un manga sur le thème du deuil qui prend la forme d'un récit initiatique où le héros va devoir affronter de nombreuses épreuves afin de mieux se connaître et s'accepter.



Dans ce premier volume il devrait affronter l'alcool, la perte de son sac et surtout le sentiment de solitude qu'il cache en lui-même. Partir à la découverte du monde pour se réconcilier avec soi-même. Série complète en quatre tomes.



A découvrir !
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Goodnight, I love you, tome 2

Cette suite est dans la droite ligne du précédent tome. On continue à suivre le périple en Europe de notre jeune Japonais qui vient de perdre sa mère.



Le voyage est encore une fois très présent et très plaisant à suivre. J'ai aimé le voir galérer pour prendre son train, réserver son hôtel, visiter les différentes villes. Celles-ci sont encore mise en avant par ce qu'elles ont de plus emblématique culturellement et gustativement. C'est cliché, mais ça me plaît, ce sont des marqueurs et tout touriste qui y vient pour la première fois a sûrement envie d'expérimenter les mêmes choses que notre héros. Au passage, c'est très sympa de suivre aussi le voyage en Europe de l'auteur à la fin du tome le temps de quelques pages.



Mais ce n'est pas tout ce qu'il y a retenir de cette lecture, non. On sent vraiment que la famille est au coeur de cette oeuvre. On parle de comment les enfants perçoivent leurs parents en tant qu'individu mais aussi la relation de ceux-ci. On parle aussi d'accepter que nos parents aient une vie avant, après et en-dehors de nous. C'est très riche. Après le souci avec ce genre de thème, c'est que ça peut vite être assez plombant, surtout avec un héros qui aime se flageller comme le nôtre. J'ai donc eu quelques passages à vide où j'ai trouvé ça même un peu redondant. Heureusement, le héros profite aussi de ce voyage pour en apprendre pas mal sur lui-même. Il fait son introspection et mûrit, ce qui donne lieu à de jolis moments et de jolies rencontres pour nous.



J'ai donc une nouvelle fois passée un bon moment entre voyages et réflexions sur la famille. Je suis touchée par les galères de ce jeune adulte et je sens que je ne suis pas au bout de mes peines avec lui ^^
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Goodnight, I love you, tome 1

Après le décès de sa mère, qui l'a élevé seule, Ozora, étudiant japonais, entreprend un voyage en Europe qui l'entraîne sur les traces de cette dernière lorsqu'elle avait son âge. Un joli « road trip » et un voyage pas réellement touristique, fait de rencontres étranges qui vont aider notre héros à se trouver.
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