Jude Deveraux

Après les trois premiers tomes, j'avais hâte de découvrir les aventures de Miles et Elizabeth. Le cadet de la fratrie Montgomery est un débauché notoire, ayant eu plusieurs enfants issus de diverses aventures. C'est alors qu'il fait la rencontre d'Elizabeth Chatworth , dans des circonstances pour le moins originales, puisque cette dernière lui est livrée complètement nue enroulée dans un tapis. Contre toute attente, Miles la désire immédiatement et semble touchée par l'apparente froideur de la jeune femme dissimulant en fait, une profonde sensibilité. En effet, avoir grandi auprès d'Edmund et Roger ne fut pas de tout repos, sans oublier son horrible belle soeur Alice. Elizabeth semble perdue dans ce conflit opposant sa famille et les Montgomery mais elle ne tardera pas à découvrir la vérité, que celle-ci lui plaise ou non. J'ai trouvé aussi très touchants les moments où Miles évoquent ses enfants et lorsque son fils les accompagne dans leur périple. Avec Elizabeth, ils semblent former une nouvelle famille. Le passage dans les pommiers en Ecosse est vraiment très beau. Pourtant, la romance entre Miles et Elizabeth devra affronter de nombreux obstacles…En effet, le premier se situe dans le conflit même entre Montgomery et Chatworth qui remonte aux plans machiavéliques d'Alice contre Judith, et à la mort de Mary. C'est toujours un grand plaisir de retrouver les autres personnages: des hommes toujours aussi têtus mais qui parviennent toutefois à se laisser dompter par leurs épouses. J'ai beaucoup ris lorsqu'ils les enferment toutes dans une cellule pour éviter qu'elles ne les suivent…Décidément, cette famille m'aura marqué et je suis prête à lire d'autres livres de Judith Deveraux. L'épilogue était vraiment génial ! On sait ce qu'il advient de chacun, à quel point la vie leur a sourit…Tout en ayant un aperçu des descendants de cette inoubliable famille.

Mince alors ! C'est peu de dire que je suis triste de n'avoir pas apprécié plus que ça ce roman, qui a l'air d'avoir plu à une grande majorité. Je m'attendais à autre chose, je pense, un roman peut-être plus maîtrisé, et, comment dire, un roman à la fois plus profond et plus dramatique.

En fait, les changements de tons permanents m'ont beaucoup gênée, jusqu'à la fin. Impossible de m'investir, impossible d'y croire ou de me sentir, moi aussi, transportée dans un autre espace-temps. Que l'auteur joue la carte de l'humour, soit, mais autant la jouer à fond et pas dans cette espèce d'écriture en demi-teinte qui ne sait pas trop sur quel pied danser.

Pour tout dire, durant les cent premières pages, j'avais l'impression qu'une pas très fute-fute un rien bécasse (comment peut-on craquer pour un aussi sombre crétin que ce Robert?) jeune femme maternait un grand ado mal grandi, ce chevalier groggy qui lui tombe dessus sans tambour ni trompette : elle lui offre des glaces, lui raconte des histoires le soir en lui papouillant les cheveux, l'emmène chez le dentiste, ou le calme avec des jeux vidéos : Douglass la mère-poule.

Quant au héros, le côté ébaubi-grand-benêt m'a, soit, un peu charmée, mais au bout d'un moment, je me suis aperçue que non, décidément, la mayonnaise ne prenait pas. Bon, disons, que là, on jouait sur le terrain de la farce, avec les objets-magiques, les gentils, les méchants, et les sots. D'accord, c'est sympa, le décalage qui prête à rire ou à sourire, mais à mon avis ça ne fait pas une romance.

Et tout à coup, quand l'affaire est dans le sac et que nos deux héros se tombent dans les bras, paf ! Virement de cap... On y est, voilà de la romance, du sentiment amoureux, des (petites) envolées... Aaaaah...

Mais sans s'y attarder, hop, l'auteur m'a sans coup férir catapultée en pleine fête foraine moyenâgeuse, avec une héroïne qui tout à coup prend du poil de la bête (mais sans arrêter tout de même de couiner, c'en était horripilant), dans une espèce d'improbable rôle de justicière des temps passés.

J'aurais vraiment voulu y croire, mais c'était soit trop, soit pas assez (trop décalé, pas assez dramatique, avec un drôle de côté "étude des temps élisabéthains" pas inintéressant, au demeurant) et j'avoue que je suis arrivée en bout de course avec un ouf de soulagement.

Oui, j'ai bien versé ma petite larmichette à la fin, cette fin qui est bien osée pour une pure romance, et c'est à cause d'elle que je mets la moyenne, et aussi pour quelques-unes de ces sympathiques idées qui m'ont largement fait sourire. Quant aux personnages secondaires, comme de grandes marionnettes de foire, elles grimaçaient beaucoup trop à mon goût.

Triste et déçue, donc, mais tant mieux pour celles qui l'ont aimé, ce roman à fort potentiel, qui contient quand même de mignons petits passages. Quant à moi, pour un premier essai avec l'auteur, il n'était pas très concluant.
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N'étant pas fan de Jude Deveraux je n'ai pas été surprise de ne pas accrocher ce livre...

Décidemment je n'aime ni le style, ni les intrigues et encore moins les personnages féminins!

Même en remettant les choses dans leur contexte, Liana m'a tapé sur les nerfs pendant tout le livre!! Complètement asservie, sans réel tempéremment ni caractère, elle m'a semblée complétement effacée.

Par contre j'ai adoré le personnage de Rogan!!!! Il est parfait pour se genre d'histoire!! et tout ce qui a pu rebuter certaines lectrices - le manque d'hygiène du château et encore plus de ses habitants, la sysogynie de Rogan, etc... - moi m'ont bien fait rigoler tellement elles sont à l'opposé de ce que l'on s'attend d'un héros!!!

Une histoire pour celles qui aiment les héros sans aucuns scrupules et que l'on pourrait qualifier de "pourritures"!! lol

A 3 jours de se faire exécuter pour trahison envers la reine Elizabeth d'Angleterre, en 1564, Nicolas Stafford est "téléporté" dans le futur, en 1988, afin de semble-t'il réparer l'erreur judiciaire qui se prépare, aidé par une jeune femme abandonnée par son petit ami.

Voilà le point de départ, et ma foi, je m'étais dit "pourquoi pas!". Mais une fois commencé mon enthousiasme est vite retombé! je m'explique:



Premièrement:

Marian est une jeune femme pleurnicharde, naïve (voire stupide!), sans aucun charisme, girouette,etc...! Autant vous dire que dès le départ mes affinités avec elle étaient à peu près au niveau -100 de mon baromètre! Tout le long du livre elle m'a énervée, exaspérée, ennuyée, etc... Elle restera pour moi la plus grande Nunuche de tous les A&P (bon je suis un peu sévère, j'ai quand même eu un peu de compassion pour elle à la fin).

Nicolas, certes représente le beau chevalier en armure chevauchant au vent pour venir sauver sa donzelle. Oui d'accord, mais alors... qu'il se TAISE!!!! Il n'y a que moi qui ai eu du mal avec son langage?! D'accord, on s'y croirait vraiment au XVIe siècle, mais franchement tout son sex appeala disparu en un 10ème de seconde pour moi. Certaines ont dit avoir l'impression de voir Jacquouilles des Visiteurs, c'est un peu méchant je n'irais pas jusque là. Non il était plus proche de Jean Reno!! Mouaaaaaaaa!!!



Deuxièmement: le basculement dans le temps.

Alors c'est un thème que j'aime bien, mais définitivement quand c'est l'héroïne contemporaine qui voyage dans le passé (comme dans La Malédiction de l'Elfe Noir de KMM que j'ai adoré!).

Là, voir arriver au xxème siècle ce chevalier devient presque grotesque. Certes, les énormes changements de vie créent sans doute un bouleversement important, mais notre cher Nicolas devient un espèce de Rain Man complètement idiot!

Une fois retourné dans son époque, il retrouve enfin un peu de son charisme mais le mal était fait pour moi.

J'ai mieux apprécié la 2ème partie, avec l'arrivée de Marian au XVIème siècle, car je trouve que dans ce sens là du temps, les réactions des personnages sont moins ridicules.



Troisièmement: l'intrigue

Je ne suis pas du tout rentrée dans cette histoire de réhabilitation de l'honneur de ce pauvre chevalier... pas assez crédible à mon goût.

Et cette fin!!! sans vouloir spoilier, je tiens juste à dire que c'est mon 1er A&P avec une fin de ce genre et franchement c'est trop frustrant!



Voilà c'était mon premier Jude Deveraux, et il ne me donne pas envie de retenter l'expérience sauf si quelqu'une me donne le titre d'un livre mieux que celui-ci...

avec ce livre j'ai passé un très bon moment comme avec une comédie romantique avec meg Ryan ou Julia roberts, le personnage de Dougless est très attachant et cette histoire rocambolesque d'un chevalier servant qui revient du passé pour la sauver du cahos de sa vie est adorable.



Rien de culturel ni de nouveau , juste un bon moment

Première fois que je lis a priori cette autrice. Lecture sympathique, le style me paraît un peu daté, on a des situations un peu décalées par rapport à ce qu'on peut trouver maintenant.



Une Française qui a fui les atrocités de la révolution pour l'Angleterre. Elle est obligée d'être la bonne d'une anglaise égoïste, Bianca qui n'hésite pas à la désigner quand des malfrats viennent enlever Bianca. Clay est américain et on ne sait pourquoi il est fou de cette dernière. Il la fait enlever pour pouvoir se marier avec. Quelle ne sera pas sa surprise lorsqu'il verra débarquer Nicole et non Bianca !

Comment un homme amoureux peut avoir l'idée d'enlever une femme sensée l'aimer également par une bande de truands par la force?

Nicole est kidnappée à la place de Bianca qui a pris peur devant les malfrats, mariée par procuration sous la contrainte. Elle tombe amoureuse de Clay on ne sait comment. Il est indécis, amoureux transi de Bianca mais s'intéresse à Nicole jusqu'à ce que cette anglaise égocentrique débarque et là il n'y a plus personne. Un parfait toutou face à Bianca. Clay paraît un peu inconsequent, un caractère pas très fort à se faire avoir aussi facilement par cette pimbeche.

Autant Nicole apparaît comme un ange, à supporter beaucoup de choses que lui est à baffer. L'histoire aurait pu être sympa s'il avait eu un peu plus de caractère.

un des meilleurs du genre

Un roman lu pour la détente, sur ce point je suis comblée. Un récit sans prétention, au propos certes connu mais toujours intéressant ; un chevalier du 16ème siècle atterrit au 20ème siècle pour secourir une demoiselle en détresse.

Si j'ai adoré le personnage de Nicolas et son parler rafraîchissant, sa façon de dézinguer les clichés tenaces sur la fin du Moyen-Âge (même si historiquement, on est plus dans la Renaissance depuis au moins un siècle... mais passons), comme le statut des femmes, le comportement des hommes, la propreté...

J'ai néanmoins détesté Marian d'où la note de 3. Elle est insupportable. Pourvue de 5 de QI, elle oublie constamment les acquis des précédents chapitres ; par exemple Nicolas meurt en écrivant une lettre à sa mère, elle l'apprend, mais elle se demande s'il sait lire... bref, des cas similaires, je les ai trouvés à la pelle. de plus, elle passe son temps à jouer les nunuches, la pire des cruches possible, toujours à geindre, à pleurer, à repenser à son Robert (autre personnage aussi insupportable que sa fille, tous les 3 méritent la médaille d'or des clichés) qui pourtant lui démontre par A + B, toutes les 20 pages, que c'est un s**** fini.

Heureusement, le personnage de Nicolas et l'intrigue autour de sa mort et de sa famille viennent rehausser l'intérêt du récit, qui se lit facilement. La deuxième partie, où Marian est envoyée au 16ème siècle, est également plus intéressante (même si je transpirais sous les clichés véhiculés par le roman, comme les vêtements des paysans, leurs dents, bref la palette des stéréotypes habituels portés par le cinéma).

Oui c'est une jolie romance … mais pas vraiment captivante.

Puisque l''intrigue principale était de découvrir ce qui est arrivé à Valentina… le fantôme de Caleb aurait pu être bien plus présent. Et ce qui m'a perturbée c'est de découvrir la personnalité d'un vieux grand-père alors qu'il s'agit du fantôme d'un homme jeune et séduisant, impossible de faire "coller" les deux images.

Assez fan des romances de Jude Deveraux, qu'il s'agisse d'une histoire contemporaine ou historique, j'ai été assez déçue par cette lecture.

Une édition avec des fautes et des coquilles, une romance sans beaucoup d'étincelles, c'est loin d'être le roman idéal pour découvrir Jude Deveraux…

Il est possible que je décide finalement de lire le tome suivant pour le seul plaisir de retrouver les Montgomery et les Taggert mais je ne conseille pas celui-ci.

Je n’ai pas apprécié ma lecture. Judith est attachante au début du récit puis elle a fini par m’agacer. Elle hait son mari, Gavin, et c’est normal vu comment il la traite mais elle ne peut s’empêcher de coucher avec dés qu’il la touche. Et puis, elle s’est quand même fait violer dés la nuit de noces. Je sais bien qu’à cette époque c’était courant mais là pour le roman, elle aurait pu réagir autrement. Surtout vu son tempérament…

Gavin est un vrai goujat (en restant poli car ce n’est pas ce mot qui me vient à la bouche). Il traite sa femme avec beaucoup de mépris, il ne la respecte pas et l’humilie. Il se laisse totalement manipulé et mené par le bout du nez par cette garce d’Alice !

J’ai cru qu’au fil des pages cela allait s’améliorer mais non. Judith et Gavin ne s’aiment pas, il continue de la traiter comme un chien. Il ne lui fait pas confiance et va même jusqu’à croire Demari quand il lui dit que l’enfant est le sien alors que c’est totalement impossible. Judith perd son tempérament et finit presque par abdiquer devant son mari, elle devient lasse. Il n’y a que dans les dernières pages que ça s’améliore mais malheureusement, c’est trop tard. Dommage...

De la romance Harlequin, mais avec des personnages qui voyagent dans le temps, avec le choc des cultures qui va bien, comme proposer un doliprane au moyen âge et faire de l'ombre au sorcier ou s'offusquer des jeans moulants des années 80. Dommage pour l'héroïne naïve et creuse (presque une victime), mais ça colle avec le thème de la demoiselle en détresse qui doit être sauvée par un chevalier. Et heureusement que "Vint un chevalier" parce que je ne sais pas ce qu'elle aurait fait de sa vie, vraiment c'est une cruche inutile... Ca se lit vite, et ça reste agréable. On a lu pire, hein, mais aussi beaucoup mieux.

Si ce livre ne m’avait pas attirée plus que cela au départ, les multiples retours que j’ai lus à son propos ont attisé ma curiosité. J’ai donc profité d’une opération Masse Critique de Babelio pour découvrir à mon tour ce roman.



A sa plus grande surprise, Alix apprend qu’une vieille dame, qu’elle n’avait pas vu depuis ses quatre ans, lui a légué sa vieille maison familiale, pour un an, sur l’île de Nantucket. Ce qui est loin d’enchanter Jared Kingsley Montgomery, héritier de la maison, qui va devoir accepter qu’une étrangère l’occupe durant cette année. Pour Alix, cette nouvelle tombe à pic après sa rupture avec son petit ami Eric. Cela va lui permettre de se retrouver au calme et de travailler sur ses projets avant de courtiser les bureaux d’architecture avec un nouveau portfolio. Mais, ce qu’elle ne sait pas, c’est que cette vieille maison cache de nombreux secrets qu’elle seule est à même de découvrir. De quoi apaiser le vieil esprit qui vit dans cette demeure…



Je m’attendais à une romance contemporaine sur fond d’histoire familiale, aussi je ne vous cache pas que j’ai été très étonnée par le mélange des genres qu’opère l’auteur en intégrant une dimension assez fantastique à son récit. Mais cela permet vraiment de donner une vraie profondeur à l’intrigue, les mystères familiaux n’étant pas si éloignés que cela et trouvant leur voix en la personne de Caleb. Au final, c’est ce qui permet, à mon sens, au premier tome de cette série de ce démarquer des simples romances contemporaines.



Je suis littéralement tombée amoureuse de l’île de Nantucket. Jane Deveraux nous embarque complètement dans son histoire et nous invite à découvrir l’histoire cette île d’une façon bien inhabituelle. La magie a opéré, dès les premières pages, et je me suis régalée à découvrir ce décor.



Quant aux personnages, ils sont aussi variés que plein de reliefs. Tous possèdent une personnalité travaillée qui les rend plus humain que jamais. Ils pourraient être bien réels, et j’ai vraiment aimé ce réalisme. Tout comme j’ai adoré toutes les nuances qu’on leur découvre au fur et à mesure de l’avancée de l’histoire. Concernant Alix et Jared, leur couple est une certitude dès le départ. Malgré leur attirance, ils vont tout de même apprendre à se connaitre avant de se lancer dans la moindre histoire. Et, force est de constater que l’alchimie entre eux va vite devenir une évidence.



Au point de vue de l’intrigue, vous l’aurez compris, je me suis complètement plongée dans l’histoire familiale des Kingsley dès les premières pages. Après, je trouve dommage que l’auteur traine parfois trop en longueur certains passages, notamment vers la fin alors que l’on sent que le dénouement est proche. Pour autant, Jane Deveraux garde le même rythme lancinant, propre à cette île, mais que j’aurais aimé voir s’accélérer par moment.



Pour conclure : je me suis régalée avec ce premier tome qui me donne immédiatement envie de me plonger dans la suite. Jane Deveraux a su me charmer avec ses personnages mais aussi avec son intrigue familiale et l’île de Nantucket, qu’il me tarde de retrouver dans le prochain tome consacré à Toby !
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Toby et Graydon se rencontrent lors d'un mariage sur l'île de Nantucket. Graydon a 2 particularités : il a un frère jumeau Rory qui lui ressemble comme 2 gouttes d'eau et surtout il est Prince du Royaume de Lanconie. Toby est la seule à différencier les jumeaux ce qui intrigue fort Graydon. Ce dernier, à qui la jeune femme plait beaucoup, décide de rester une semaine sur l'île incognito afin de s'échapper de ses obligations d'héritier du trône et surtout pour profiter de la compagnie de la charmante Toby. Son frère Rory prendra sa place...Dès le début de leur rencontre, il est clair que pour Graydon et Toby, leur relation ne pourra être qu'amicale car Le Prince doit se marier. 



Cette romance commence comme un conte de fée. Une rencontre à un mariage, un prince charmant vraiment charmant, une île...Jusqu'au premier tiers de l'histoire, j'ai bien cru que j'allais m'ennuyer et j'étais sceptique quant à lire la suite. Je trouvais l'histoire sympa mais sans plus, et il ne se passait pas vraiment grand chose notamment entre Toby et Graydon. Arrivée aux 2 tiers du livre, voilà que l'histoire devient plus palpitante. L'auteure a intégré dans cette romance une part de mystère et surtout de paranormal avec une immersion sur l'île au 19ème siècle.



J'ai beaucoup aimé cette partie qui apporte enfin plus de caractère et de consistance aux personnages principaux comme aux secondaires qui tiennent une place non négligeable. Ce n'est donc qu'à ce moment là que j'ai commencé à apprécier ce roman qui semblait plutôt quelconque et sans saveur. Certains rebondissements apportent du peps et de l'intérêt à l'histoire.Les premières pages me faisaient craindre l'ennui  mais j'ai enfin pu rentrer dans l'histoire grâce aux passages à l'époque Régence. 



Forever est une jolie romance princière avec 2 personnages principaux sympatiques et un peu coincés et une galeries de personnages secondaires plus vivants. Graydon et Toby apprennent à se connaître doucement et amicalement au début et les passages qu'ils font 200 ans en arrière leur permettent de donner un ton plus intimiste à leur couple improbable.



Ce livre est bien écrit et se lit aisément malgré les longueurs. Il s'agit d'un Tome 2 qui se lit indépendamment. Je suis malgré tout un peu déçue de cette lecture car j'aime beaucoup l'auteure Jude Deveraux et ce roman ne correspond pas à ce que j'avais l'habitude de lire. Il manque de profondeur, toutefois, l'histoire est agréable.



Je remercie Babelio et Diva Romance pour cette découverte dans le cadre de la Masse Critique.
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J'ai eu la chance de recevoir ce roman grâce à Babelio et à la Masse critique donc je remercie la ME et Babelio. Surtout que ce fut une super lecture que j'ai vraiment apprécié du début à la fin.



L'histoire débute avec un Jared furax. Sa tante vient de mourir et lui lègue sa maison à Nantucket, mais pendant une année il devra accueillir Alix, qui doit mener des recherches sur la disparition d'une femme, il y a plus de 200 ans. Il est loin d'être ravi, d'autant que les insulaires détestent de principe les terriens. Jared est un génie de l'architecture et Alix vient juste de terminer ses études dans ce domaine, autant dire qu'il est loin d'être ravie d'avoir une groupie chez lui. Il prévoit même de se barrer pour l'année à venir, laissant la jeune femme se débrouiller toute seule.



L'histoire est super bien réfléchie et introduit une petite touche de fantaisie avec une sombre histoire de réincarnation. Ainsi tous les personnages présentées dans le roman auraient déjà été en relation par le passé. Cela crée une forme d'incertitude sur l'issue du roman. Mais plus encore, cette petite touche fait de cette romance une histoire vraiment géniale à découvrir. Je me demandais tout le temps comment les choses allaient tourner, quelle serait l'influence du passé sur le présent et les relations actuelles... Et ce fil conducteur m'a tenu en haleine jusqu'à la fin de l'histoire.



Alix est une jeune femme qui vient de se faire plaquer. Elle a un talent fou et en a plus ou moins conscience. Elle accepte la demande d'Adélaïde d'habiter sa maison de Nantucket surtout pour pouvoir dessiner à volonté, tranquillement afin de se composer un portfolio intéressant et moins scolaire pour sa recherche de travail. Quand elle découvre que Jared est l'héritier de la maison, elle veut à tout prix l'impressionner. Mais elle est loin de se laisser marcher sur les pieds et c'est vraiment ce que j'ai apprécié chez elle. Elle ne va pas à tout prix chercher la reconnaissance. Elle sait ce qu'elle vaut, ce qu'elle veut et elle se bat pour elle même. C'est un personnage qui change un peu de ce qu'on voit et je dois avouer que j'ai été impressionnée par elle.



Jared déteste que les gens ne voient en lui que l'architecte talentueux et célèbre. Et d'ailleurs, quand il est à New York, il n'utilise pas son vrai nom de famille, pour être tranquille à Nantucket. C'est un personnage très sauvage qui se comporte comme un parfait crétin au début du roman. J'ai d'ailleurs bien cru que j'allais le tuer sur place ^^ Mais, en dehors de son caractère solitaire et un peu méchant ours, il est loin d'être aussi arrogant qu'il ne le paraît. Il est serviable et gentil. Je l'ai énormément apprécié. Surtout que, avec Alix, il se comporte de façon protectrice sans être trop lourd. Il la laisse vivre sa vie et faire ses choix. Bref, un nouveau #BookBoyFriend.



L'histoire est très bien réfléchie. Il y a énormément de personnages mais comme ils ont tous leur importance et sont tous présentés en détail, cela permet de ne pas se perdre. La romance est englobée dans tout le reste, et si elle se fait parfois discrète, elle reste adorable et trop mignonne. Tout se passe en vase clos, sur l'île et c'était vraiment plaisant de voir l'histoire s'écrire, parfois se réaliser de nouveau.



Je ne connaissais pas Jude Deveraux mais autant dire que j'ai été convaincue par ce premier roman. J'ai passé un excellent moment de lecture et le style d'écriture est facile à lire, avec beaucoup de descriptions. J'espère en lire de nouveaux de sa plume.



En bref, une très belle histoire qui fait rêver et qui est un peu magique. J'ai énormément aimé cette lecture.
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Tout d’abord je tiens à remercier Babelio et les éditions Diva Romance pour cette lecture que j’ai reçu dans le cadre de la dernière masse critique. Il s’agit du 2ème tome de la série « Mariage à Nantucket » mais il peut se lire indépendamment. La preuve, je n’ai pas lu le premier tome à ce jour. J’ai passé un très bon moment de lecture même si je me suis sentie perdue par moment.



Lors du mariage de Jared et Alix, Graydon a un coup de foudre pour Toby. Outre le fait qu’elle soit naturelle et attirante, elle arrive à le différencier de son frère jumeau et ce n’est pas à prendre à la légère. Ce que nous apprenons rapidement c’est qu’il est l’héritier du trône de Lanconie (non ce pays n’existe pas, je vous rassure). Tout de suite l’auteure a su capter mon attention, c’est un thème que j’aime beaucoup. C’est l’histoire d’un coup de foudre, une histoire d’amour impossible. Les personnages sont attachants à souhait et même si on se doute qu’ils trouveront une solution, je me suis prise au jeu. Toby est une femme indépendante et rêveuse, elle se réserve pour le grand Amour, celui qui lui fera perdre la tête. Graydon, lui est vraiment le Prince Charmant dans toute sa splendeur : viril, séduisant, gentil et intelligent… Je n’ai rien à lui reprocher : il est parfait !



Leur romance est douce et légère et est portée par une plume addictive et délicate. Elle se déguste tranquillement. L’originalité est que Jude Deveraux va intégrer une romance à travers les époques et ainsi aborder le thème des âmes sœurs. Non seulement je ne l’ai pas vu venir mais je trouve que cela apporte un réel intérêt à ce roman qui serait un peu plat sans cela. Le charme et l’ambiance qui se dégage de cette lecture me hantent encore quand j’écris ces quelques lignes. Je me suis laissée transporter par ce conte de fée des temps moderne malgré son coté un peu répétitif qui peut créer quelques longueurs.



Par contre, parce que oui il y a un mais, je me suis sentie perdue dans les relations entre chaque personnage au point qu’il m’a fallu plus de 50 pages pour rentrer réellement dans l’histoire. Par la suite, j’ai trouvé les « voyages » dans le passé très confus. J’ai été obligée de relire plusieurs fois certains passages pour être sûre de bien comprendre. Je dois avouer que cela a un peu gâché mon plaisir. Je n’ai pas pu apprécier pleinement ma lecture, mais peut-être est ce du au fait que je n’ai pas lu le 1er tome. Je ne sais pas. Toujours est-il que je trouve cette série intéressante et que je compte me procurer le tome précédent ainsi que le prochain à paraitre.



Un conte de fée des temps moderne portée par une plume légère et addictive. Les relations complexes entre les protagonistes m’ont un peu perturbée. Mais globalement cette romance à travers les siècles a su me séduire et me charmer.
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La fin du premier opus m’avait totalement mise en condition pour poursuivre cette série qui me plaît de plus en plus. J’aime le charme qui se dégage des histoires de Jude Devreaux. Elle nous propose des romances qui traversent les époques.



On retrouve nos personnages pendant la soirée du mariage d’Alix et Jared. Graydon est hypnotisé par Toby, une des demoiselles d’honneur d’Alix. Cette jeune femme l’obsède car elle est capable de distinguer Graydon de son jumeau Rory. Et selon la légende familiale, c’est la preuve du véritable amour, ce qui ne manque pas d’attiser l’intérêt de Graydon pour Toby. C’est très perturbant pour lui, il n’arrive pas à s’enlever cela de l’esprit, tout en sachant qu’ils n’ont aucun avenir ensemble étant donné que Graydon est le prétendant au trône de Lanconie… Mais il a besoin de souffler et de passer quelques jours sur l’île de Nantucket pour creuser un peu plus cette histoire d’attirance et se tenir loin de ses responsabilités. Qui plus est, Graydon va se montrer d’une grande aide pour l’organisation du mariage de la très célèbre romancière Victoria Madsen. Et nos héros se sont promis de n’être rien de plus que des amis, alors tout va pour le mieux, n’est-ce pas ?



Mais vous savez bien que rien ne se passe jamais comme prévu.



Jude Devreaux m’a une fois de plus captivée avec ce second opus, je dois dire que j’ai été totalement conquise par l’histoire de Graydon et Toby… J’ai tout de suite aimé notre héroÏne, Toby s’avère être une jeune femme qui attire sans cesse l’attention des hommes, elle a un charme naturel qui plaît énormément et comme elle n’est pas du genre à s’offrir aux hommes et bien elle n’en rencontre que plus de succès encore. Toby est passionnante, elle aime mettre à profit ses idées pour aider son entourage. Là il va s’agir du mariage de Victoria Madsen, et pour se faire, elle va devoir puiser dans toutes les ressources de l’île pour trouver le thème idéal qui plaira à la future mariée. Toby est intelligente et séduisante, elle a un petit côté secret que j’ai adoré. C’est une jeune femme pleine de surprises, elle est douce et généreuse et elle a un petit côté fougueux que j’ai aimé découvrir au fil des pages. Graydon, est quant à lui un héros qui m’a plu dès le début. Il faut dire que l’on le découvre de la meilleure de façons. Il est intrigant mais surtout intrigué. Malgré son rang dans la royauté de Lanconie, il sait resté humble et accessible. Il n’hésite pas à se rendre utile dans quelques domaines que ce soit. J’ai aimé cet homme car il est atypique, de par son statut il y a plein de choses qu’il n’avais jamais fait, qu’il n’avait jamais eu à faire seul… C’était assez drôle par moment. C’était une vraie découverte de son personnage, il a un caractère un peu rigide mais c’est son éducation royale qui a joué sur son tempérament. J’avoue que son frère Rory s’avère beaucoup plus ingérable. Mais Graydon a ce petit quelque chose qui le rend irrésistible. Forcément, il représente le rêve de toutes les femmes, c’est un prince, un véritable prince… Oui c’était magique, vraiment.



On retrouve une multitude de personnages, j’aime la faculté que Jude Devreaux a de ne pas nous perdre dans cette ribambelle de protagonistes. On a toutes les clés en main pour remettre chacun dans son rôle.



L’intrigue nous offre une fois de plus une quête des plus intéressante. Nos personnages vont très vite s’apercevoir qu’ils sont liés par bien plus qu’une simple amitié… L’île de Nantucket recèle bien des secrets et ce fut une véritable aventure de suivre l’histoire de nos héros à travers les siècles. Cette série est vraiment pleine de charme, j’adore l’ambiance et l’univers de cette saga. Je dois dire que les descriptions me donnent envie de partir à la découverte de l’île. J’ai aussi envie de découvrir tout ce qui se rapporte aux habitants… Jude Devreaux a une plume tellement riche et imagée que l’on a aucun mal à s’imaginer les personnages et ce qu’ils vivent. J’aime énormément la narration à la troisième personne qui nous permet d’avoir une véritable vue d’ensemble sur tout ce qu’il se passe. Cette romance est loin d’être commune, non c’est du sensationnel, on voyage, on s’émeut et on tombe complètement sous le charme de cette grande saga familiale authentique.



Ce second tome m’a encore plus plu que le premier, très certainement parce que les révélations étaient encore plus surprenantes et captivantes. J’ai trouvé la romance passionnée malgré le côté amour interdit… L’auteure a d’ailleurs su rendre la relation de Toby et Graydon magique. J’avoue avoir eu le cœur lourd et en même temps rempli d’amour.



En bref, ce second opus de Mariage à Nantucket est un véritable coup de cœur… A l’image de toutes les histoires d’amour impossibles, j’ai été charmée par la puissance des sentiments et la teneur exceptionnelle de l’intrigue qui traverse les siècles pour nous proposer une romance hors du commun.
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Lors du mariage d'Alix et Jared, Graydon, le cousin de ce dernier n'a d'yeux que pour Toby, la demoiselle d'honneur. Alors que beaucoup en sont incapables, la jeune femme a le don de le différencier de Rory, son jumeau. Selon la légende, cette capacité engendre un lien d'amour éternel. Toutefois, les choses s'annoncent compliquées, car Graydon est l'héritier du trône de Lanconie et ce dernier a le devoir d'épouser Danna, une aristocrate, dont il s'avère que son jumeau est amoureux. Il a envie d'en apprendre davantage sur Toby et décide donc de rester quelque temps sur l'île, envoyant son frère à sa place. Le passé finit par reprendre vie dans le présent...



J'avais beaucoup aimé le premier tome, et c'est donc enjouée que j'ai commencé cette lecture. L'intrigue, tient son originalité dans l'univers dépeint par l'auteure, et est bien ficelée. Je me suis vite laissé emporter par l'histoire entre nos deux protagonistes, mais ici, je dois l'avouer, je me suis sentie perdue plus d'une fois. Je n'arrivais plus trop à me situer, ne sachant plus exactement si l'on était dans le passé avec les alter ego ou dans le présent. Le récit a certes un bon rythme, toutefois, j'ai trouvé l'ensemble un peu plat, répétitif, manquant d'émotions.



Les personnages sont attachants, notamment Toby. C'est une jeune femme qui sait ce qu'elle veut malgré ce que ses parents et surtout sa mère semblent lui faire croire le contraire. Elle rêve du prince charmant et ne veut pas donner sa virginité à n'importe qui. Elle souhaite faire le bien autour d'elle, même si elle doit rester en retrait et quand elle rencontre Graydon, la donne change quelque peu. Elle est sûre de ce qu'elle souhaite tout en sachant qu'elle ne doit pas céder à l'attirance, car il n'est pas fait pour elle, et quand elle se retrouve dans le rôle de Tabitha, son « passé », elle fait tout ce qu'elle peut pour voguer à la passion et faire en sorte que tout finisse bien.

Graydon est l'héritier du trône de Lanconie. Voué à épouser une aristocrate, l'occasion de se retrouver à Nantucket pour ce mariage lui permettra d'y voir plus clair. Il sait qu'il a des obligations, un devoir, et en se retrouvant également dans Garrett, il finira par reconsidérer les choses. Des jumeaux, il est le plus droit, le plus « ennuyeux », mais il a réellement un bon fond et est très intéressant.

J'ai beaucoup apprécié les protagonistes secondaires qui sont intéressants et apportent un petit quelque chose à l'histoire.



En bref : j'ai passé un bon moment avec ce roman, mais sans plus. A contrario du précédent, j'ai trouvé que celui-ci était plat, quelque peu répétitif. Malgré tout, l'histoire reste agréable à lire !
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Ce roman est un roman d'amours. Avec un "s", oui. Mais aussi un peu plus.

Certes, on a tous les éléments clés d'une romance-type. La rencontre, les non-dits, les aveux, la dispute, les retrouvailles. Mais en plus, on a une belle rédaction, agréable à lire, sans verser dans le roman de gare, on a l'architecture et des descriptions délicieuses, et on a Nantucket et des fantômes!



Si vous ne tombez pas pour l'histoire des deux héros, vous succomberez au charme de cette île, de son atmosphère, de ses maisons. La touche fantastique apportée par l'histoire des fantômes est très bien dosée, puisqu'elle ne prend pas le pas sur l'histoire, mais reste présente tout du long. Elle donne envie de connaître la suite, de comprendre.



Certains passages vont un peu vite, des explications sont un peu coupées courtes, il y a des quelques incohérences, mais (pardon, je suis une sentimentale qui a grandi en lisant des Harlequins..) les passages de pure romance sont parfaitement amenés, ni trop lourds, ni trop rapides.



L'intrigue familiale, les secrets et l'enquête restent simples, mais efficaces. Et ils apportent au livre une richesse, une saveur un peu différente, et prolongent l'aventure.



Bref, je ne l'ai pas lâché avant de l'avoir fini, et il m'a fallu quelques minutes avant de revenir en France depuis Nantucket ^_^

Si vous n'aimez pas les romans d'amour, je ne vous le conseille pas. Si vous appréciez ces lectures qui font des papillons dans le ventre : lancez-vous, vous ne regretterez pas!

Chronique de Diana :



Voilà une romance contemporaine « old school » si je puis dire. On s’échappe directement pour une petite ile, Nantucket, où tout le monde se connait et où la totalité de la population insulaire annuelle est le cousin, l’oncle, la tante d’un autre. C’est sur ce lieu que nous feront la connaissance d’Alix, jeune diplômée en architecture et Jared architecte à la renommée internationale.



Alix part sur l’ile pour se remonter le moral après sa rupture mais elle ignore que sur place elle aura une toute autre occupation. Jared lui est un peu bourru, il veut fuir cette continentale qui lui prendra sa maison (mais surtout son ile) durant un an comme le testament de sa tante Addy l’a exigée.



Pourtant entre eux il y a une connexion qui s’explique difficilement mais qui les pousse à se rapprocher toujours plus. Tout ce ci aurait pu s’arrêter à ça mais il vous faudra aussi compter sur le Capitaine Caleb l’arrière, arrière grand père de Jared qui depuis 200 ans est piégé à Kingsley House et attend le retour de sa bien aimée Valentina.



Entre les descriptions des paysages de ce paradis et la découverte de nos héros et des insulaires ce roman vous embarque complètement vers cette île de l’océan Atlantique nord. Les détails sont nombreux et on s’imagine sans mal ce petit bout de terre. La pointe de surnaturelle égaye le récit et entretient l’énigme Valentina jusqu’à la conclusion. L’alchimie entre nos héros aussi est agréable car novatrice. Certes ils se plaisent mais c’est plus que ça et l’équipe qu’ils forment sur le plan professionnel est aussi très mise en avant.



Il y a longtemps que je n’avais pas autant aimé une romance. Le dosage est parfait entre la relation naissante, les descriptions, le fil conducteur. Les pages défilent au rythme envoutant de la plume de Jude Deveraux. Un tome qui nous laisse avec l’envie de rester sur cette ile et d’en découvrir encore plus.
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Ce roman fut à la fois plaisant et contrariant. Je ne savais pas sur quel pied dansé quand Liana commence à vivre avec Rogan. J'ai le sentiment que Jude Deveraux a mis en place sa romance en faisant en sorte qu'on éprouve de la sympathie pour Liana. Je ne cache pas que j'ai éprouvé quelques réticences au sujet de Rogan et de son comportement. Mais au fil de ma lecture, j'ai compris les réticences qu'il a et de montré un visage dur en toute circonstance. Il est ce qu’il est à cause de la façon dont il a été élevé.



Beaucoup de péripéties nous emmènent entre deux corps à corps, Liana qui est une jeune femme douce et impétueuse et Logan qui n'est autre qu'un homme des cavernes qui ne sait faire qu'une chose, se battre. Entre eux, le torchon ne va pas s'embrasser mais il va aussi s'enflammer. Il m'a fallu comprendre et apprendre le dénouement de chaque personnage mais une chose est sûr, seul le courage peut faire sortir les personnages de leurs peurs et d'inviter le futur a entré chez-eux.



J'ai toutefois bien aimé cette romance historique qui me permet de voyager dans des contrées encore plus délicieuse et des personnages qui ont de fort caractère.



La brute apprivoisée fut une lecture agréable et montre des visages un peu cassé par la vie. Liana et Rogan nous offre beaucoup de dispute mais aussi beaucoup de péripéties.
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